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11/09/2025

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A toi Kunta Kinte, ancĂȘtre libre, capturĂ© en Afrique et asservi par des chaines en fer pour devenir une machine de production en AmĂ©rique. Ta vie et t...

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11/09/2025

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Ces titres de chapitres peuvent paraßtre simples. Les stratégies qui mÚnent au succÚs ne sont plus un secret pour personne et, pourtant, la plupart de...

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IL Y A UN RACCOURCI QUI MÈNE À LA RICHESSE Il existe une route cachĂ©e qui mĂšne Ă  la richesse et Ă  la libertĂ© financiĂšre, un raccourci Ă©poustouflant qu...

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11/09/2025

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Pensez et devenez riche est le fruit de vingt-cinq annĂ©es de travail. C’est l’ouvrage le plus connu de NapolĂ©on Hill, basĂ© sur sa fameuse philosophie ...

1Úre leçon : ne pas avoir peur de dire b@iser J 'emploie toujours les mots "b@ise, b!te, ch@tte, suce-r" et non "faire l...
07/09/2025

1Úre leçon : ne pas avoir peur de dire b@iser

J 'emploie toujours les mots "b@ise, b!te, ch@tte, suce-r" et non "faire
l', pén!s, v@gin et c@resse bucc@le".
Pour information, ni voyez aucun jugement négatif quand j'utilise ces mots. En fait, je préfÚre ces termes car ce sont les termes les plus utilisés par les hommes comme les femmes. J'ai plus souvent entendu une femme me dire "b@ise-moi" ou "je
veux te suce-r", qu'une femme me dire "fais-moi l'" ou "je veux te faire
une fell@tion". Pareil pour les hommes. Je les ai plus souvent entendus dire à leur femme "je vais te léch-er" que "je vais te faire un cunnil!ngus".
Alors pour ĂȘtre le plus proche de la rĂ©alitĂ© et du terrain, j'emploierai
beaucoup ce vocabulaire. Si vous ĂȘtes allergique aux mots ch@tte, b!te, ba!se,
dĂ©passez ces limites sinon vous ne deviendrez jamais une bĂȘte de sÂŁxe. Ça
sera votre premiÚre leçon.
Tu veux savoir la suite des leçons ? Alors clique ici —

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Nous vous prĂ©sentons un ebook digne de son nom. On l'a mis sur cet prix parce qu'on Ă  trouver que c'est trĂšs important pour homme/femme. Ça vous aider...

28/07/2023

Prenons rendez-vous

12/06/2023

Bientît 🎉🎉

30/05/2023

Un taximan à New York a écrit :
"Je suis arrivĂ© Ă  l'adresse et j’ai klaxonnĂ©. AprĂšs avoir attendu quelques minutes, je klaxonne Ă  nouveau. Comme il s’agissait de ma derniĂšre course de la journĂ©e, je pensais partir, mais finalement je me suis stationnĂ© et puis je me suis dirigĂ© vers la porte et j’ai toquĂ©.

« Juste une minute », a répondu une voix de personne ùgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traßnait sur le plancher.

AprÚs une longue pause, la porte s'ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.
À cĂŽtĂ© d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait comme si personne n'avait vĂ©cu dedans depuis des annĂ©es. Tout le mobilier Ă©tait recouvert de draps.

Il n’y avait pas d'horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boüte en carton remplie de photos et de verrerie.

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu'Ă  la voiture? » dit-elle. J'ai portĂ© la valise jusqu’à mon vĂ©hicule, puis suis retournĂ© aider la femme.

Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.

Elle n'arrĂȘtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n'est rien », je lui ai dit « J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mĂšre soit traitĂ©e. »

« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m'a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »
« Ce n'est pas le plus court chemin », répondis-je.

« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressée. Je me rends au centre de soins palliatifs. »

J'ai regardĂ© dans le rĂ©troviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n'ai pas de famille » reprit-elle d'une voix douce. «Le docteur dit que je n'en ai plus pour trĂšs longtemps. » J'ai discrĂštement arrĂȘtĂ© le compteur.

« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulĂ© Ă  travers la ville. Elle m'a montrĂ© le bĂątiment oĂč elle avait travaillĂ© comme opĂ©rateur d'ascenseur.

Nous avons traversĂ© le quartier oĂč elle et son mari avaient vĂ©cu quand ils Ă©taient jeunes mariĂ©s. Elle m’a fait arrĂȘter devant d'un entrepĂŽt de meubles qui Ă©tait Ă  l’époque une salle de bal oĂč elle Ă©tait allĂ©e danser lorsqu’elle Ă©tait jeune fille.

Parfois, elle me demandait de ralentir en face d'un bùtiment particulier ou dans un coin et s'asseyait le regard perdu dans l'obscurité, sans rien dire.

Lorsque le soleil commença Ă  rejoindre l'horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguĂ©e, j’aimerai que nous y allions maintenant ».

Nous avons roulé en silence à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.

Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient trÚs attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.

J'ai ouvert le coffre et portĂ© la petite valise jusqu’à la porte. La femme Ă©tait dĂ©jĂ  assise dans un fauteuil roulant.

« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandĂ©, en ouvrant son sac.
« Rien » lui dis-je
« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.
« Il y aura d'autres passagers, » ai-je répondu.
Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.
« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »

Je lui serrai la main, et me retournai. DerriĂšre moi, une porte a claquĂ©, c’était le bruit d'une vie qui se termine.

Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J'ai conduit sans but perdu dans mes pensĂ©es.

Je n’ai pratiquement pas parlĂ© le reste de la soirĂ©e. Que se serait-il passĂ© si cette femme avait eu Ă  faire Ă  un chauffeur en colĂšre, ou Ă  quelqu’un d’impatient et pressĂ© ? Et si j’avais refusĂ© de prendre la course, ou avais klaxonnĂ© plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

AprÚs réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnĂ©s Ă  penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prĂȘtons pas assez attention.

Les Belles Pensées restent et les Mots s'envolent.
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