26/07/2022
LES JOURNALISTES DE L'UNIVERSITÉ DE PARAKOU NE CESSERONT JAMAIS DE ME SURPRENDRE
Un monde sans presse est un monde quasiment inexistant. Mais force est de constater que la presse universitaire est une presse trouillarde. Je m'explique.
Nous avions UP FM, Akôwé, le Journal de l'étudiant noir.
Ces journaux choisissent des informations à diffuser. C'est déjà une erreur. Apparemment UP FM est en vacances, Akôwé est en Crise et comme Journal de l'étudiant noir vient de naître, il est en croissance. Je m'explique.
Avant, dans les années 2017-2018, quand il y a un souci ou une nouvelle, on voyait les journalistes de UP FM un peu partout dans la cour de l'université et même souvent dehors pour des interviews. C'était souvent très émouvant. Aujourd'hui ils ont disparu. C'est le journal de l'étudiant noir qui raconte tout avec des amplifications. Je m'explique.
Ce journal ne cherche pas en profondeur à savoir ce qui se passe et pourquoi cela se passe. Il publie ce qu'il a vu. Parfois le journal de l'étudiant noir exagère et lorsqu'on analyse ces publications on sent souvent une prise de position. C'est à dire il est pour ce qu'il dit. Et c'est ça ou rien.
Or normalement un journal devrait être neutre. Akôwé vient quand il veut. Je ne veux pas parler de lui. UP FM dort. Si vous me lisez, réveillez vous.
On ne le voit que lorsque les autorités rectorales sont présentes.
Or c'est une radio d'abord pour les étudiants avant d'être celle des autorités.
Pensez y.
Accent Grave...