Nouveau Départ au Canada

Nouveau Départ  au Canada Ensemble, bâtissons des ponts vers une nouvelle vie. La tienne aussi. Partage ton vécu, commente, interagis.

Témoignages, conseils et vérités pour soutenir tous ceux qui osent tout quitter pour recommencer ici, au Canada. Nouveau Départ au Canada est un espace d'entraide, d'information et d'inspiration dédié à celles et ceux qui ont choisi de tout quitter pour recommencer ici, au Canada. Nous savons qu'immigrer, ce n’est pas simplement changer de pays — c’est reconstruire une vie, sur tous les plans : pr

ofessionnel, émotionnel, social. C’est apprendre de nouveaux codes, affronter des moments de doute, mais aussi célébrer de petites victoires qui font toute la différence. Notre mission : partager des contenus concrets, humains et actuels pour accompagner les nouveaux arrivants, en particulier ceux venus d’Afrique francophone, dans leur processus d’intégration au Québec.

💬 Ici, on parle de :

Trouver un emploi sans "expérience canadienne"

Comprendre la société québécoise

S’adapter aux différences culturelles

Gérer le choc migratoire et la solitude

Naviguer entre espoirs, déceptions et réussite

🎥 Nous diffusons :

Des témoignages

Des conseils pratiques

Des vidéos explicatives et inspirantes

Des publications enrichies de statistiques et d’analyses de terrain

📣 Chaque histoire compte. Ensemble, on construit un réseau de soutien pour que l’intégration soit moins douloureuse — et surtout, plus éclairée.

07/19/2025

Immigration, le rêve brisé?

Et si immigrer n'était pas toujours le rêve qu’on nous vend ? Dans cette vidéo, on explore les vraies raisons pour lesquelles certains immigrants regrettent leur décision. Isolement, déclassement, désillusion… une plongée lucide et humaine dans les coulisses de l’immigration.

👉 Une vidéo qui brise les tabous et redonne du sens.

✍️ Partage ton histoire ou ton avis en commentaire — on te lit.

🔔 Abonne-toi pour d’autres documentaires puissants sur la migration, la résilience et la vérité.

07/09/2025

Une réforme historique est sur la table au Canada.
Elle pourrait changer la vie de milliers d’enfants nés à l’étranger.

Jusqu’ici, si un Canadien né à l’étranger a un enfant lui-même né à l’étranger…
Cet enfant n’a pas automatiquement la citoyenneté.
Une loi adoptée en 2009 bloque la transmission à la 2e génération.

Mais aujourd’hui, Ottawa parle d’assouplir cette règle.
L’objectif ?
Rendre la citoyenneté transmissible à la génération suivante, même hors du Canada.

Une évolution majeure, qui pourrait réparer des injustices…
Et redonner une voix à des familles oubliées.

Et si ton enfant, né à l’étranger, pouvait redevenir Canadien sans jamais avoir mis les pieds ici ? Une génération oubli...
07/06/2025

Et si ton enfant, né à l’étranger, pouvait redevenir Canadien sans jamais avoir mis les pieds ici ?

Une génération oubliée. Jusqu’à maintenant.
Pendant des années, la loi canadienne a imposé une coupure silencieuse.
Depuis 2009, les enfants nés à l’étranger de parents eux-mêmes nés hors du Canada ne pouvaient plus automatiquement devenir citoyens canadiens.
Un changement passé sous silence, mais qui a bouleversé des milliers de familles issues de l’immigration.

On les appelle : les exclus de la deuxième génération.

Tu vis ici, tu travailles ici, tu paies tes impôts ici…
Mais si ton enfant naît pendant un séjour à l’étranger, ou si tu adoptes un enfant dans ton pays d’origine, il ne sera pas automatiquement Canadien.

Mais ça, c’était avant. Le vent tourne.

Le 19 juin 2024, un projet de loi attendu depuis des années a franchi une étape historique.
Le gouvernement a annoncé vouloir rétablir l’accès à la citoyenneté pour la deuxième génération née à l’étranger, à condition qu’au moins l’un des parents ait un lien réel avec le Canada (résidence minimale de 1 095 jours).

Un geste fort pour réparer une injustice silencieuse.

Ce que ça change concrètement :
✔️ Si tu es Canadien né à l’étranger, ton enfant pourrait bientôt redevenir éligible à la citoyenneté.
✔️ Si tu vis au Canada depuis au moins 3 ans, ton lien est reconnu.
✔️ Moins de paperasse, plus de reconnaissance de l’histoire familiale.

Et derrière la loi, il y a des visages. Des enfants. Des familles. Des rêves en suspens.

Cette réforme, c’est plus que du droit.
C’est un pas vers une intégration transgénérationnelle réelle, qui respecte les liens du cœur et pas seulement ceux du sol.

Et toi ?
As-tu été concerné ou touché par cette règle ?
Connais-tu quelqu’un dans ce cas ?
Dis-nous ce que tu en penses dans les commentaires. 👇🏾

Nouveau Départ au Canada — parce que l’intégration, c’est aussi une affaire de générations.

Tu ne choisis plus le Canada. C’est lui qui te choisit…Tu sais ce qui a changé dans l’immigration canadienne ?Ce n’est p...
07/05/2025

Tu ne choisis plus le Canada. C’est lui qui te choisit…

Tu sais ce qui a changé dans l’immigration canadienne ?
Ce n’est plus une question de points, d’anglais parfait ou de CV ultra-poli.
C’est une question de besoin immédiat.

Depuis 2023, le programme Entrée Express a pris un virage décisif : les tirages ciblés.
Autrement dit : si ton métier est en demande, tu as bien plus de chances qu’avant.
Mais si ce n’est pas le cas… même un dossier solide peut rester bloqué.

C’est l’histoire de Francine, infirmière diplômée au Cameroun.
Pendant deux ans, elle a accumulé les points, perfectionné son anglais, payé ses évaluations.
Rien.
Puis un jour, en 2024, BOUM : un tirage ciblé sort pour les professions de la santé.
Elle reçoit son ITA (invitation à présenter une demande) alors qu’elle avait baissé les bras.

En 2024, plus de 28 % des invitations Entrée Express ont été envoyées via des tirages ciblés, selon IRCC.
Les métiers en demande ? Santé, génie, tech, enseignement, métiers spécialisés, agriculture.
Et ça continue.

Mais attention : ce n’est pas une loterie.
Certains candidats s’endorment sur leurs lauriers en pensant que le système va les repêcher un jour.
Erreur classique : attendre sans adapter son profil à la nouvelle réalité.
Pendant ce temps, ceux qui s'informent, ajustent leur CV et ciblent les bons secteurs avancent.

Le rêve canadien existe encore.
Mais il est devenu plus stratégique, plus ciblé, plus réaliste.
Et surtout… il faut savoir lire entre les lignes.

Tu veux maximiser tes chances ? Mets ton énergie là où le Canada recrute vraiment.

Et toi, ton métier figure-t-il dans la liste des professions en demande ? As-tu déjà adapté ton profil ?
Commente ton domaine ou pose tes questions — on est là pour s’entraider.

Quand on te dit que le Canada t'accueille… mais que la porte se referme lentement. Elle s'appelle Grâce. Elle avait tout...
07/04/2025

Quand on te dit que le Canada t'accueille… mais que la porte se referme lentement.

Elle s'appelle Grâce. Elle avait tout : une lettre d’admission, une bourse partielle, et surtout… un rêve. Celui de venir étudier au Canada et construire un avenir meilleur. Mais voilà, cette année, tout a basculé.

Depuis 2024, le Canada a commencé à resserrer les critères d’admission pour les étudiants étrangers. Moins de permis, quotas provinciaux, et surtout, une limitation sévère pour les conjoints et enfants qui accompagnaient autrefois sans trop de tracas.

Grâce n’a pas été refusée à cause d’un manque de mérite.
Mais parce que le Québec avait atteint son plafond de permis d’études. Son dossier ? Complet. Solide. Mais mis sur pause… indéfiniment.

Ce que peu de gens réalisent, c’est que ce durcissement des règles ne touche pas que les chiffres. Il touche des vies. Des projets de familles entières.
Car avant, venir avec son époux(se) et obtenir un permis de travail ouvert était une opportunité incroyable d’intégration. Aujourd’hui ? Ce droit devient de plus en plus conditionnel.

Selon IRCC, plus de 35% des demandes étudiantes sont désormais refusées au Québec, contre 17% en Ontario. Et la tendance se durcit.
De nombreux couples se retrouvent dans des situations déchirantes : l’un est accepté, l’autre reste bloqué. Des familles séparées par des politiques.
Et ce, même si le projet est bien ficelé.

La contradiction ? Le Canada a besoin de main-d'œuvre qualifiée. Mais freine l’entrée de ceux qui pourraient contribuer.

Pour ceux qui pensaient que "faire des études ici" était la voie la plus sûre vers la résidence permanente, la réalité a changé. Les programmes sont là, oui. Mais les obstacles aussi.

Et toi, que penses-tu de ces nouvelles limitations ? As-tu été touché, ou connais-tu quelqu’un que ça a freiné ?
Ton expérience peut aider d’autres à mieux s’orienter. Parlons-en

Et si la frontière ne se fermait pas seulement aux criminels… mais aussi à ceux qui fuient pour survivre ?On nous parle ...
07/03/2025

Et si la frontière ne se fermait pas seulement aux criminels… mais aussi à ceux qui fuient pour survivre ?

On nous parle de sécurité, de contrôle, de souveraineté.
Mais on oublie parfois que derrière chaque visa refusé, chaque demande d’asile suspendue, il y a un être humain.

Prenez l’exemple d’Anwar. Il a quitté le Soudan avec sa famille après avoir vu son quartier réduit en cendres. Il croyait à la promesse canadienne : "Un pays ouvert, respectueux des droits humains." Mais aujourd’hui, même avec un dossier solide, il est bloqué.
Pourquoi ?
Parce que l’Acte sur des frontières renforcées, entré en vigueur récemment, permet désormais de refouler plus rapidement certains demandeurs d’asile dès leur arrivée à la frontière, s’ils ont transité par un "pays sûr" comme les États-Unis.

Officiellement, c’est pour éviter les abus du système.
Officieusement, c’est un message clair : “On ne peut pas accueillir tout le monde.”
Mais alors… que reste-t-il à ceux qui fuient une mort probable ?

Selon Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, près de 40 % des demandeurs d’asile en 2023 sont passés par des points d’entrée non officiels — comme Roxham Road avant sa fermeture. Avec cette nouvelle loi, ces personnes risquent d’être immédiatement expulsées, sans examen complet de leur dossier.

Et pendant ce temps, les discours changent.
On ne parle plus de compassion.
On parle de “crise migratoire”.
On oublie que chaque exilé n’est pas un problème… mais une histoire.

Oui, tout pays a le droit de gérer ses frontières.
Mais à quel prix ?
Celui de fermer la porte à des personnes en détresse ?
Celui de traiter un père de famille comme un fraudeur parce qu’il a traversé un pays "sûr" ?

Et toi, qu’en penses-tu ?
Est-ce que la sécurité doit primer sur l’humanité ?
Ou est-ce qu’il existe une troisième voie ?

Dis-le-nous en commentaire

Tu as payé des milliers de dollars pour étudier ici……et on t’offre un stage non payé. Normal ?C’est la vidéo qui a mis l...
07/02/2025

Tu as payé des milliers de dollars pour étudier ici…
…et on t’offre un stage non payé. Normal ?

C’est la vidéo qui a mis le feu à Instagram il y a quelques semaines.
Une étudiante étrangère, caméra à la main, raconte :

“J’ai quitté mon pays, j’ai pris un prêt, je travaille le soir dans un resto…
Et pour valider mon diplôme ici, on me propose un stage… gratuit.”

“Même mon patron me dit : ‘C’est la règle ici’.”

En quelques heures, des milliers de likes.
Mais aussi des centaines de commentaires. Certains crient à l’injustice.
D’autres rétorquent : “C’est comme ça, tout le monde passe par là.”

Mais si on gratte un peu…
C’est bien plus qu’un simple stage.
C’est le reflet d’un système où les étudiants étrangers paient plus cher…
…et doivent souvent accepter sans broncher, pour espérer rester.

Une réalité pas si nouvelle…
D’après un rapport du CBC, plus de 60 % des étudiants internationaux au Canada se retrouvent à faire des stages obligatoires dans des entreprises qui ne versent pas un seul dollar.
Et ce, même quand ces stages demandent 35h/semaine… sur plusieurs mois.
Pendant ce temps-là, leurs collègues canadiens accèdent plus facilement à des réseaux, à des références, à des opportunités.

Et après tout ça ?
Certains ne décrochent même pas un job.
On parle de diplômés à 25 000 $ qui finissent à la plonge.

Ce que ce post Instagram révèle, c’est…
Que le système d’immigration via les études est rentable… mais pas toujours pour l’étudiant.

Que l’illusion de la compétence pousse beaucoup à accepter l’inacceptable, “juste pour rentrer dans le moule”.

Que le silence est souvent la norme. Par peur. Par pression. Par isolement.

Alors, on fait quoi ?
Peut-être que parler, c’est déjà agir.
Et que dénoncer ces absurdités, c’est faire un pas de plus vers une intégration plus juste, plus humaine.

Si toi aussi, tu as connu un stage non payé ou une situation absurde au Canada, viens en parler. On est nombreux à se taire. Et ça suffit.

"Hausse du salaire minimum pour les travailleurs étrangers : bonne nouvelle… ou illusion de progrès ?"Quand ton salaire ...
07/01/2025

"Hausse du salaire minimum pour les travailleurs étrangers : bonne nouvelle… ou illusion de progrès ?"

Quand ton salaire augmente… mais que ton panier d’épicerie te rappelle que tu es toujours à découvert.

C’est ce que vit Saïdou, arrivé en 2022 au Québec comme travailleur étranger temporaire (TFW). Il a appris que son salaire allait passer de 15,25 $ à 16,50 $ de l’heure. Une hausse officielle. Sur le papier, une avancée.

Mais dans la vraie vie ?
Le loyer de sa chambre a pris 100 $ en un an. Le prix du litre d’huile ? +28 %. Et les envois d’argent à la famille restée au pays sont devenus un vrai casse-tête.

La hausse du salaire minimum au Canada, annoncée dans plusieurs provinces en 2024, vise à rattraper l’inflation.
Mais pour beaucoup de TFW, le “minimum” reste en dessous du seuil de dignité.

Ils travaillent dans les champs, dans les abattoirs, dans les résidences pour aînés.
Ils cotisent. Ils paient des taxes.
Mais n’ont parfois aucune sécurité de statut, ni accès à la résidence permanente.

Et surtout :
Ils vivent dans un paradoxe.
Essentiels, mais précaires.
Indispensables, mais invisibles.

Ce que cette hausse révèle, ce n’est pas seulement une mesure économique. C’est un révélateur social.
Celui de la valeur qu’on accorde aux vies venues d’ailleurs.

Parce que gagner 1 $ de plus de l’heure ne compense pas :
• Les contrats saisonniers instables
• Les logements surpeuplés
• L’éloignement familial
• La peur constante de perdre son emploi… donc son droit de rester

Selon le Conseil canadien pour les réfugiés, en 2023, près de 70 % des TFW n’ont aucun chemin clair vers la résidence permanente, même après plusieurs années à servir l’économie.

Alors oui, c’est un pas. Mais est-ce vraiment une avancée, si le sol reste glissant ?

Et vous, pensez-vous que les travailleurs étrangers reçoivent un traitement juste au Canada ?
Partagez vos expériences ou vos idées

Et s’il existait une autre voie pour obtenir la résidence permanente… sans passer par le chemin classique ?Il s’appelle ...
06/30/2025

Et s’il existait une autre voie pour obtenir la résidence permanente… sans passer par le chemin classique ?

Il s’appelle Samuel.
Réfugié. Ingénieur. 38 ans. Trois enfants. Et une envie farouche de reconstruire sa vie ailleurs.
Mais comme beaucoup, il croyait que son statut de réfugié limitait ses chances d’immigrer légalement au Canada.

Ce qu’il ne savait pas, c’est que le Canada vient tout juste d’ouvrir une voie révolutionnaire et humaine : l’EMPP.

EMPP, c’est le Programme de Mobilité Économique des Réfugiés.
Il permet à des personnes comme Samuel — qualifiées, compétentes, motivées — mais réfugiées, de postuler directement à la résidence permanente canadienne via les programmes d’immigration économique.

Mais attention : ce n’est pas un programme de compassion.
C’est un programme de reconnaissance.

Parce que le Canada a compris qu’on peut être réfugié et professionnel hautement qualifié.

Depuis juin 2024, l’EMPP a été élargi pour accélérer les dossiers.
Plus besoin d’attendre des années dans un camp ou une file interminable.
Avec un emploi validé ou une formation ciblée, les délais sont raccourcis à 6 mois ou moins, selon Immigration Canada.

Exemples de profils recherchés :
– Infirmiers et infirmières
– Techniciens en mécanique ou électronique
– Développeurs web
– Enseignants qualifiés
– Plombiers, électriciens, soudeurs
– Comptables ou agents de conformité
– Et plus encore...

Ce que Samuel a découvert :
Il n’était pas condamné à attendre.
Il pouvait être acteur de sa propre mobilité, même en étant réfugié.
Et aujourd’hui, il travaille à Gatineau, ses enfants vont à l’école, et il prépare même sa demande de citoyenneté.

Si vous êtes réfugié ou connaissez quelqu’un qui l’est, sachez que ce programme peut tout changer.
Et si vous êtes déjà installé ici, n’hésitez pas à partager cette info. Elle peut sauver des années de galère à quelqu’un.

Et vous : avez-vous déjà entendu parler de l’EMPP ? Trouvez-vous que ce type de programme est assez connu ?
Partagez votre avis ou votre expérience en commentaire

🇨🇦 Tu es ici, mais ton cœur reste là-bas… 🇨🇲🇸🇳🇨🇮...Quand ton corps s’intègre, mais que ton âme reste suspendue entre deu...
06/29/2025

🇨🇦 Tu es ici, mais ton cœur reste là-bas… 🇨🇲🇸🇳🇨🇮...
Quand ton corps s’intègre, mais que ton âme reste suspendue entre deux continents.

Il m’a dit cette phrase un jour, les yeux un peu humides :
“Je suis bien ici… mais je ne suis pas entier.”
C’était un mardi soir ordinaire, mais ses mots résonnaient comme un aveu que beaucoup d’immigrants n’osent jamais formuler.

Il avait quitté son pays à 42 ans, laissant derrière lui une mère vieillissante, des amis d’enfance, des souvenirs gravés dans la poussière rouge et les parfums du marché du coin. Aujourd’hui, il vit à Montréal, dans un appartement chauffé, entouré de silences et de neige.

Il travaille, il paie ses impôts, il sourit quand on lui dit « Bienvenue au Canada ! »
Mais parfois, sans prévenir, un plat, une musique ou une odeur lui arrache une larme silencieuse.

On parle souvent de l’adaptation économique, linguistique, professionnelle…
Mais qui parle du deuil invisible de l’identité ?

Tu es entre deux mondes. Trop « là-bas » pour être totalement d’ici. Trop « d’ici » pour encore être tout à fait de là-bas.
C’est le paradoxe du migrant moderne : on gagne en sécurité, on perd en repères.

Selon une étude de l’Université Laval, plus de 60 % des nouveaux arrivants avouent ressentir un mal du pays persistant, même après 3 ans de résidence au Canada. Ce n’est pas de l’ingratitude. C’est de l’humanité.

Ce post n’est pas une plainte. C’est un hommage silencieux à ceux qui apprennent à sourire avec un cœur en deux morceaux.
Ceux qui construisent une nouvelle vie, tout en chérissant l’ancienne.

Parce qu’on peut aimer deux pays à la fois.
Parce qu’on peut se reconstruire, sans s’effacer.

Et toi… as-tu déjà ressenti ce tiraillement entre deux vies ? Entre ici… et là-bas ?
Dis-moi ce que tu fais pour trouver ton équilibre. Parlons-en

Ce que tu vois sur Instagram, c’est pas toute l’histoire.Des rues propres, des cafés cosy, des forêts aux couleurs magiq...
06/27/2025

Ce que tu vois sur Instagram, c’est pas toute l’histoire.
Des rues propres, des cafés cosy, des forêts aux couleurs magiques…
Oui, le Canada peut ressembler à une carte postale.
Mais tu sais ce que les filtres ne montrent jamais ?
La solitude. Le doute. Les nuits d’insomnie à te demander si t’as fait le bon choix.

C’est l’histoire de Lynda, arrivée à Montréal en plein hiver, téléphone à la main, prête à “documenter son nouveau départ”.
Elle pensait qu’un nouveau pays serait synonyme de nouvelle vie… rapide.
Mais après les likes sont venus les larmes.
👉 Un appartement trop cher.
👉 Des boulots en-dessous de ses compétences.
👉 Une sensation de recommencer à zéro, mais sans mode d’emploi.

On ne parle pas assez de cette désillusion douce, celle qui ne fait pas de bruit, mais qui pèse lourd.
Celle qui fait que tu souris devant ta famille restée au pays… alors qu’au fond, tu te sens invisible ici.

Selon Statistique Canada (2022), près de 60 % des nouveaux arrivants disent vivre un stress psychologique élevé dans les deux premières années.

Et pourtant…
Ce n’est pas une plainte. Ce n’est pas un “coup de gueule”.
C’est juste une vérité.
Et parfois, dire les choses telles qu’elles sont, c’est aussi une forme de courage.

Alors si toi aussi tu galères, sache une chose :
Ce n’est pas toi le problème. Ce sont les attentes irréalistes qu’on nous vend… et qu’on finit par intégrer malgré nous.

On peut aimer ce pays, tout en reconnaissant que tout n’est pas rose.
Et c’est ça, l’équilibre lucide.

Et toi ? Y a-t-il une chose que tu aurais aimé savoir avant de venir au Canada ?
Partage ton expérience, même si elle est imparfaite. Surtout si elle est imparfaite.

Tu veux t’intégrer, alors tu dis “oui”… même quand tout ton corps crie “non”.On m’a raconté un jour l’histoire de Fatou,...
06/26/2025

Tu veux t’intégrer, alors tu dis “oui”… même quand tout ton corps crie “non”.

On m’a raconté un jour l’histoire de Fatou, une jeune immigrante arrivée à Montréal il y a 6 mois. Nouvelle au boulot, nouvelle dans le pays, elle voulait bien faire. Trop bien faire.

Un vendredi soir, son superviseur lui demande :
— “Tu pourrais rester une heure de plus pour couvrir un collègue ?”
Elle n’en pouvait plus. Épuisée, des enfants à aller chercher, un mal de tête lancinant. Mais elle a souri.
Et elle a dit :
— “Oui, bien sûr !”

Pas par envie.
Par peur.
Peur d’être perçue comme “compliquée”.
Peur de nuire à son intégration.
Peur de déplaire dans un pays où “être gentil” semble une valeur sacrée.

Pourtant, selon un rapport de l’Université de Sherbrooke, 62 % des nouveaux arrivants affirment avoir du mal à affirmer leurs limites dans les premiers mois suivant leur arrivée.
C’est énorme. Et c’est silencieux.

Fatou a fini par craquer. Un burn-out discret. Pas spectaculaire. Juste une fatigue profonde, un trop-plein de “oui” empilés comme des dettes qu’elle n’a jamais osé contester.

Aujourd’hui, elle apprend à dire “non”.
Pas de manière brusque. Pas pour tout.
Mais pour elle. Pour se respecter.

Parce qu’au fond, s’intégrer, ce n’est pas disparaître.
C’est trouver l’équilibre entre s’adapter… et rester soi.

Et toi, as-tu déjà dit “oui” alors que tu pensais “non” ? Qu’est-ce que ça t’a coûté ?

Raconte-nous. Tu n’es pas seul(e). Et chaque histoire partagée peut libérer quelqu’un d’autre.

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