Vie des arts est une revue francophone consacrée aux arts visuels québécois et canadiens depuis 1956. Parler d’art : voilà ce que nous faisons.
Sa mission d’information et d’éducation consiste à donner des clés de lecture pour favoriser une compréhension et une appréciation globale des œuvres actuelles et contemporaines.
07/11/2025
⚡️𝐕𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐢𝐫⚡️
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📖 Parler d’art : voilà ce que nous faisons.
06/18/2025
Même si Tanya Tagaq et Soleil Launière appartiennent à deux cultures autochtones distinctes (inuite et innue), elles sont intrinsèquement liées par les thèmes de leurs créations artistiques, que ce soit leur relation sacrée au territoire, le refus de la violence coloniale, l’affirmation de la souveraineté des corps, et le caractère multidisciplinaires de leurs prestations musicales.
🎵Lisez ce texte de Camille Larivée dans notre tout dernier numéro, qui vous invite à (re)découvrir ces artistes et à ajouter leurs œuvres sonores à votre bibliothèque musicale !
Chaque mardi, la chronique 𝑫𝒆𝒔 𝒊𝒅𝒆́𝒆𝒔 𝒆𝒏 𝒓𝒆𝒗𝒖𝒆 publie un texte tiré d'un périodique québécois. Cette semaine, découvrez l'article 𝑻𝒓𝒂𝒋𝒆𝒄𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝒆́𝒍𝒆𝒄𝒕𝒓𝒐𝒂𝒄𝒐𝒖𝒔𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒂𝒖 𝑸𝒖𝒆́𝒃𝒆𝒄 : 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒔 𝒃𝒊𝒈 𝒃𝒂𝒏𝒈 d'Esther Bourdages, qui retrace minutieusement l'histoire de ce courant musical et de la signature particulière qu'il prend au Québec.
« Tandis qu’en Europe les praticien·ne·s inscrivent souvent leur travail dans une esthétique particulière, les artistes d’ici orientent plutôt le leur de façon à poursuivre les traditions. Il est commun de constater que les compositeur·rice·s du Québec sont impliqué·e·s à la fois en électroacoustique, en musique de chambre ou bien en musique orchestrale, en performances in situ et encore en installation audio, pour ne nommer que ces quelques pratiques. Ce contexte a pris forme grâce à la création, au fil des ans, d’organismes, d’institutions et de maisons de production (tel que Avatar Centre, OBORO, MUTEK Montréal, ELEKTRA Montréal), et grâce aussi à l’accessibilité au financement gouvernemental qui soutient les démarches exploratoires et les projets novateurs. »
🎼Un texte qui souligne l'importance de valoriser, de reconnaître et de soigner notre écosystème musical — qu'il soit académique ou expérimental.
Pour lire l'article : lien en commentaire !
📸 Magali Babin, Régime acoustique (2007), Sala Rosa,
Montréal.
06/03/2025
𝑽𝒊𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒓𝒕𝒔 est dans Le Devoir !
Chaque mardi, la chronique 𝑫𝒆𝒔 𝒊𝒅𝒆́𝒆𝒔 𝒆𝒏 𝒓𝒆𝒗𝒖𝒆 publie un texte tiré d'un périodique québécois. Cette semaine, découvrez l'article 𝑻𝒓𝒂𝒋𝒆𝒄𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝒆́𝒍𝒆𝒄𝒕𝒓𝒐𝒂𝒄𝒐𝒖𝒔𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒂𝒖 𝑸𝒖𝒆́𝒃𝒆𝒄 : 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒔 𝒃𝒊𝒈 𝒃𝒂𝒏𝒈 d'Esther Bourdage, qui retrace minutieusement l'histoire de ce courant musical et de la signature particulière qu'il prend au Québec.
« Tandis qu’en Europe les praticien·ne·s inscrivent souvent leur travail dans une esthétique particulière, les artistes d’ici orientent plutôt le leur de façon à poursuivre les traditions. Il est commun de constater que les compositeur·rice·s du Québec sont impliqué·e·s à la fois en électroacoustique, en musique de chambre ou bien en musique orchestrale, en performances in situ et encore en installation audio, pour ne nommer que ces quelques pratiques. Ce contexte a pris forme grâce à la création, au fil des ans, d’organismes, d’institutions et de maisons de production (tel que Avatar Centre, OBORO, MUTEK Montréal, ELEKTRA Montréal) et grâce aussi à l’accessibilité au financement gouvernemental qui soutient les démarches exploratoires et les projets novateurs. »
🎼Un texte qui souligne l'importance de valoriser, de reconnaître et de soigner notre écosystème musical — qu'il soit académique ou expérimental.
À lire par ici :
Cela fait plusieurs années que le son d’ici affiche une signature particulière.
06/03/2025
𝑽𝒊𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒂𝒓𝒕𝒔 est dans Le Devoir !
Chaque mardi, la chronique 𝑫𝒆𝒔 𝒊𝒅𝒆́𝒆𝒔 𝒆𝒏 𝒓𝒆𝒗𝒖𝒆 publie un texte tiré d'un périodique québécois. Cette semaine, découvrez l'article 𝑻𝒓𝒂𝒋𝒆𝒄𝒕𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝒆́𝒍𝒆𝒄𝒕𝒓𝒐𝒂𝒄𝒐𝒖𝒔𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒂𝒖 𝑸𝒖𝒆́𝒃𝒆𝒄 : 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒔 𝒃𝒊𝒈 𝒃𝒂𝒏𝒈 d'Esther Bourdage, qui retrace minutieusement l'histoire de ce courant musical et de la signature particulière qu'il prend au Québec.
« Tandis qu’en Europe les praticien·ne·s inscrivent souvent leur travail dans une esthétique particulière, les artistes d’ici orientent plutôt le leur de façon à poursuivre les traditions. Il est commun de constater que les compositeur·rice·s du Québec sont impliqué·e·s à la fois en électroacoustique, en musique de chambre ou bien en musique orchestrale, en performances in situ et encore en installation audio, pour ne nommer que ces quelques pratiques. Ce contexte a pris forme grâce à la création, au fil des ans, d’organismes, d’institutions et de maisons de production (tel que Avatar Centre, OBORO, MUTEK Montréal, ELEKTRA Montréal), et grâce aussi à l’accessibilité au financement gouvernemental qui soutient les démarches exploratoires et les projets novateurs. »
🎼Un texte qui souligne l'importance de valoriser, de reconnaître et de soigner notre écosystème musical — qu'il soit académique ou expérimental.
À lire par ici :
Cela fait plusieurs années que le son d’ici affiche une signature particulière.
05/29/2025
[𝟐𝟕𝟕] 𝐕𝐢𝐛𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐆𝐚𝐳𝐚 : 𝑺𝒊𝒈𝒏𝒆𝒓 𝒍𝒂 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒆𝒖𝒓
Dans le cadre de cette chronique, Charles Guilbert revient sur l’exposition 𝑷 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝑷𝒂𝒍𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏𝒆, et plus particulièrement sur le court-métrage 𝑽𝒊𝒃𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒈𝒂𝒛𝒂, de l’artiste Rehab Nazzal.
Comme l’écrit l’auteur, l’art devient ici une manière d'aborder le génocide en cours sous de nouveaux angles, et ainsi, garder notre sensibilité en éveil et rester critique face à la violence coloniale. C'est trop peu, mais l’art peut au moins cela.
🍉Un papier sensible à lire en ligne ou dans la r***e papier :
viedesarts.com/signer-la-terreur/
05/12/2025
📣𝐀𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 ! Vous avez jusqu'à ce soir, 𝐦𝐢𝐧𝐮𝐢𝐭, pour soumettre votre candidature au 𝐏𝐫𝐢𝐱 𝐏𝐨𝐥𝐲𝐠𝐨𝐧𝐞 : un prix qui vient avec une bourse de 10 000$ afin de récompenser un.e artiste qui explore des avenues marginales, plurielle et sous-représentées.
Un prix présenté par Vie des arts et le Conseil des arts de Montréal.
Le Conseil et la r***e Vie des arts s’associent pour lancer le Prix Polygone en arts visuels, accompagné d’une bourse de 10 000 $.
05/08/2025
📖 En début du numéro 𝟐𝟕𝟕, nous revenons sur deux évènements indispensables à l'écosystème de l'art actuel : 𝐋𝐚 𝐁𝐢𝐞𝐧𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐝’𝐚𝐫𝐭 𝐩𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐟 𝐝𝐞 𝐑𝐨𝐮𝐲𝐧-𝐍𝐨𝐫𝐚𝐧𝐝𝐚 et 𝐋’𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐞𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞 — deux rendez-vous qui rassemblent une importante communauté d’artistes en proposant des performances, des interventions et des conférences sous le signe de l’expérimentation.
On en profite pour rendre hommage à Matthieu Dumont du collectif Geneviève et Matthieu, et de souligner l’arrivée de la nouvelle directrice de l’Écart, Audrée Juteau ! Nous y soulignons également l’initiative du centre d’artistes L'Œil de Poisson et le travail de la commissaire Véronique Hudon à la réalisation de l’École expérimentale.
On vous en dit plus sur le portrait qui figure en couverture du numéro 277 : 𝐋’𝐨𝐫𝐜𝐡𝐞𝐬𝐭𝐫𝐞 𝐝’𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞𝐬-𝐨𝐫𝐜𝐡𝐞𝐬𝐭𝐫𝐞𝐬, un collectif qui joue de la musique et du klaxon, cuit des poulets sur scène, enterre des guitares électriques, et se promène avec son vieux camion, à la fois 𝑠𝑜𝑢𝑛𝑑 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒𝑚 itinérant et machine de science-fiction.
Entrez dans l'univers indiscipliné de L'ODHO à travers ce portrait magnifiquement capté par l'œil du photographe 𝐒𝐚𝐦𝐮𝐞𝐥 𝐒𝐭-𝐎𝐧𝐠𝐞 𝐃𝐨𝐬𝐭𝐢𝐞 et la plume de 𝐂𝐞́𝐜𝐢𝐥𝐞 𝐑𝐞𝐧𝐨𝐮𝐥𝐭🔥
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Vie des Arts est la première r***e francophone consacrée aux arts visuels à voir le jour au Canada. Dans une optique d’éducation et d’information, la r***e publie des articles accessibles et originaux sur une diversité de sujets qui reflètent le milieu des arts actuels québécois et canadiens. Sa ligne éditoriale met en relief la production des artistes dans le contexte des enjeux d’actualités les plus significatifs de notre époque tout en s’adressant à une audience large intéressée à entretenir son sens critique et son appréciation globale de l’art actuel.
Vie des Arts publie quatre numéros par année et maintient une présence multiplateforme.
Bref historique
Fondée en 1956, Vie des Arts paraît originellement sous le format d’un petit cahier, et est incorporée sous le nom de la société La Vie des Arts, dont l’objectif est de rendre compte de toutes les disciplines artistiques afin de démocratiser la culture québécoise : on tient alors le pari de faire comprendre l’œuvre d’art à un vaste public et de faire reconnaître la multiplicité des formes artistiques. Les champs couverts sont larges, et l’on discutera autant d’arts visuels, de théâtre, d’architecture que de littérature. La r***e est publiée principalement en français avec une section anglophone.
Organisme à but non lucratif, Vie des Arts est administrée par un conseil d’administration dont les membres se réunissent quatre fois par année.