09/27/2025
★★★★ , Amélie Revert, Le Devoir
« Lire IL FAUT BEAUCOUP AIMER LES FEMMES QUI PLEURENT, c’est être entraîné dans une confession qui ne se réduit pas à la simple révélation d’une histoire privée. C’est entendre la voix d’une femme qui envisage le pouvoir réparateur de la littérature, qui voit dans l’acte d’écrire une manière de résister aux silences et de redonner sens aux ruines de notre temps. Après avoir refermé le livre, on y croit envers et contre tout : à la force politique de l’amour, du féminisme, de l’art. Aujourd’hui plus que jamais, il faut, oui, beaucoup aimer les femmes qui pleurent.»