Loge Liberté

Loge Liberté Loge Liberté, membre de l'Ordre Maçonnique Mixte International Le Droit humain

03/17/2025
Je sais, je sais, je ne suis pas bien présente, mais vous pouvez aussi aller voir notre site web
01/23/2024

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09/15/2023

INVITATION
Le Grand Orient du Québec, GODQ .'.,
le Grand Orient de France GODF .' .
et la Grande Loge Ani GLANI .'.
vous invitent à assister à la conférence publique qui se tiendra
le dimanche 17 septembre 2023,
au Centre St-Pierre de Montréal (1212 rue Panet).
ORDRE DU JOUR
9h30 Accueil du public
9h50 Mot de bienvenue, par Rémi Noël, GODF
10h00 Thème I : La Transition Écologique, présidé par Yves Vaillancourt, GODQ
Introduction : « La Franc-Maçonnerie et la prise en compte du vivant », par Yves Vaillancourt
Conférencier invité : Yves-Marie Abraham, « Guérir du mal de l’infini »
Point de vue : « Une initiative concrète, Écomaris », par Didier Minneci, GWU
12h00 Pause repas/collation
13h00 Histoire du Rite Français, par Rémi Noël
13h30 Présentation d’artéfacts et documents du Musée du GODF
14h00 Thème II : Franc-Maçonnerie & Laïcité, co-présidé par Laurent Guerchais & Rémi Noël, GODF
> Introduction, par Laurent Guerchais
> « Les conditions socio-politiques qui favorisent ou entravent la Laïcité, au travers trois exemples : France, Uruguay & Canada », par Gloria Escomel de l'Ordre maçonnique mixte et international le Droit Humain.
> « Franc-Maçonnerie & Laïcité, Une histoire courte », par Yves Vaillancourt
15h15 Interlude
15h30 Thème III : La Franc-Maçonnerie au 21è siècle, présidé par Franco Huard, GLANI
17h00 Lancement de la maison d’édition La Roseraie des Philosophes
17h15 Mot de clôture, par Dominique Larson, GODQ
Adresse : Centre St-Pierre, 1212 rue Panet, Montréal (Qc) H2L 2Y7
Entrée gratuite sur réservation
Réservez votre place sur [email protected],
en précisant vos nom, prénom, numéro de téléphone et courriel.

Nous avons maintenant un site web
06/21/2023

Nous avons maintenant un site web

Constituée en 1976 en tant que loge indépendante, la respectable loge Liberté s’est affiliée à l’Ordre maçonnique mixte international « Le Droit Humain » en 1980. De ce fait, elle est historiquement la première loge du Droit Humain au Québec.

Aux amis qui nous écrivent• Un certain nombre des lecteurs qui nous écrivent semblent avoir de la Franc-Maçonnerie une v...
03/10/2023

Aux amis qui nous écrivent
• Un certain nombre des lecteurs qui nous écrivent semblent avoir de la Franc-Maçonnerie une vision fantaisiste… C’est pourquoi il nous semble nécessaire de revenir vers la base, essayer de définir ce qu’elle est : un regroupement d’hommes et de femmes de bonne volonté, qui pensent pouvoir s’améliorer pour mieux pouvoir faire progresser l’humanité. Leur devise : Liberté, égalité, fraternité.
• On y entre après une série de questions, pour s’assurer que les motivations de la personne demandeuse sont sérieuses, qu’elles n’ont pas de casier judiciaire, en un mot qu’elles sont libres et de bonne mœurs. Il faut également qu’elles habitent la même ville ou ses environs, en tout cas, le même pays dont elles ont la nationalité, naturelle ou acquise.
• Elles se réunissent une ou deux fois par mois. C’est parce que ces réunions sont obligatoires que les membres de la loge doivent habiter proches du local ou elles se tiennent.
• Ces réunions se déroulent dans cet espace appelé temple, qui est décoré de symboles, selon un rituel, destiné à marquer une coupure entre ce lieu et ceux de l'extérieur, profanes (-profane signifiant hors du temple-) ou nous avons nos occupations et nos préoccupations.
• Dans ces réunions le rituel permet à chacun de s’exprimer librement sans être interrompu. On y discute de questions sociales, psychologiques ou symboliques, -mais ni politiques ni religieuses- qui ont pour but de faire réfléchir à des problèmes ou à des situations où elles peuvent intervenir. Par exemple l’un des membres, qui aura fait des recherches et préparé le sujet au préalable, présentera un exposé sur la situation des sans-abri, (itinérants ou sans domicile fixe, comme on voudra les appeler), les secours que la société leur apporte, ou ne leur apporte pas, ce qu’il faudrait faire pour les améliorer, comment on pourrait agir pour contribuer à ces solutions, etc. Les questions et les discussions viennent ensuite, dans le calme et dans l’ordre de la prise de parole, ce que l’on trouve rarement dans la vie de tous les jours. Il faut, pour cela, non seulement la discipline du rituel, mais aussi une écoute intelligente et tolérante, qui reconnaît la variété des opinions et cherche à les comprendre plutôt que d’imaginer immédiatement des arguments pour les descendre en flammes.
• Dans les loges se rassemblent des gens très différents, de nationalités, origines, genres, orientations, classes sociales, conditions, professions, croyances ou opinions, niveaux d’éducation, caractères… des gens qu’ils ne rencontrerait peut-être pas dans notre entourage, notre vie professionnelle, nos familles, nos amis. Cette variété des connaissances et des opinions que chacun apporte constitue une grande richesse. Mais il est évident que cela n’est pas toujours facile d’admettre certains points de vue opposés aux nôtres. On apprend au fil des réunions à chercher à les comprendre, admettre ces oppositions, devenir plus tolérant, on apprend aussi à se maîtriser.
• Les grandes valeurs de la Franc-maçonnerie sont la liberté, l’égalité, la fraternité, la solidarité entre êtres humains, la perte des préjugés et des jugements péremptoires, la recherche de la justice et des vérités. Car il n’y a pas une seule vérité, mais des vérités multiples, et ceux qui cherchent à tout prix à convertir les autres à leurs convictions, qu’elles soient religieuses ou politiques, deviennent rapidement dangereux, parce que fanatiques.
• C’est pourquoi la franc-maçonnerie défend la laïcité. Cela ne veut pas dire lutter contre les religions, mais faire en sorte que les valeurs religieuses des uns ne soient pas imposées aux autres, afin de laisser à chacun la liberté de croire ou de ne pas croire, tout en respectant leur choix.
• Les principaux symboles soumis à la réflexion ou à la rêverie des membres de la Franc-maçonnerie sont empruntés surtout à la tradition des anciens bâtisseurs : le niveau, la perpendiculaire, le maillet, le ciseau, l’équerre, le compas…On peut leur donner une définition précise, mais dans ce cas-là, on parlera d’emblèmes, comme lorsqu’on dit que la balance représente la Justice, que l’équerre signifie la droiture. Le symbole est plus souple, il laisse jouer l’imagination. Certes, on sait que le compas sert à tracer des cercles, que le cercle est associé au ciel, le ciel à la spiritualité, mais dire : le compas représente la spiritualité c’est aller un peu vite et réduire considérablement tout ce que l’imagination peut se représenter.
• On n’enseigne rien, en Franc- maçonnerie, mais on y apprend beaucoup de choses, qui ne sont peut-être pas ce qu’un autre y découvre. Cela est dû au symbolisme, aux nuances auxquelles il se prête. Nous savons que pour nous améliorer il faut savoir polir notre pierre, c’est-à-dire nous débarrasser de tout ce qui est mauvais en nous : par exemple, le caractère difficile, la colère, l’égoïsme… On doit se connaître soi-même afin de s’améliorer, mais on ne nous dira pas comment nous y prendre, ce n’est pas une école de développement personnel.

• Il n’y a aucune magie dans nos rituels ni dans les symboles, il n’y en a pas non plus dans l’initiation. Ce dernier mot fait rêver, mais il ne veut rien dire d’autre que commencement à quelque chose et non pas révélations transcendantes. L’initiation maçonnique consiste en un scénario que l’on nous fait vivre, qui figure les épreuves de la vie et la signification de chaque épisode nous est indiquée sommairement : à nous de développer ces exemples en les reportant aux circonstances de notre existence.
• Autre préjugé courant : la franc-maçonnerie nous donnerait du pouvoir. Si on entend par pouvoir des situations où nous pouvons obtenir quelque chose sans grand effort, ou bien que nous puissions diriger ou commander d’autres personnes, on fait erreur. Le seul pouvoir qu’elle nous donne est celui que l’on finit par avoir sur nous, la maîtrise de notre caractère, de nos impulsions. Certes, l’aide de nos frères et sœurs peut constituer un avantage, nous donner pouvoir sur une situation personnelle difficile, mais c’est tout, et c’est déjà beaucoup. Ne comptez pas sur les relations que la franc-maçonnerie pourra nous apporter : il est rare qu’il y ait des personnes influentes dans les loges. Rare aussi que la franc-maçonnerie nous enrichisse. On doit plutôt payer nos cotisations ! Leur montant dépend des loges et des obédiences, mais elles ne sont jamais excessives et il y a des arrangements possibles pour les personnes mal prises financièrement.
• Ces quelques indications sommaires peuvent être complétées par une visite à des sites comme
https://droithumaincanada.org/ ce site était celui de la Fédération canadienne maintenant dissoute, mais reste valable pour mieux expliquer ce qu’est la franc-maçonnerie
https://droithumaincanada.org/les-loges-canadiennes décrit les trois loges qui restent.




01/25/2023

5ème Journée nationale de lutte contre le sexisme


La Fédération française de l’Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN, de par son histoire et ses fondements, promeut l’égalité entre les femmes et les hommes.
Le rapport 2023 sur l’état des lieux du sexisme en France [1], qui a été remis ce 25 janvier 2023 au Président de la République par le Haut Conseil à l’Egalité entre les Femmes et les Hommes démontre combien cette cause reste encore aujourd’hui un combat à poursuivre au quotidien.
Au-delà de la considération liée à l’intimité des relations hommes femmes, c’est encore et toujours la représentation de la femme construite sur une iniquité couplée à un rapport dominant/dominé qui dévalorise systématiquement le genre féminin. Ce regard porté sur les femmes n’est pas généralisable à l’intégralité de la gent masculine.
Toutefois, et c’est alarmant, le rapport démontre que le sexisme, malgré des avancées notoires en matière de droits des femmes, se développe de plus en plus au sein des jeunes générations et reste fortement inscrit dans la société française.
Au-delà de la représentation, le rapport insiste sur l’augmentation des violences, leur expression dans des espaces nouveaux, les inégalités de traitement, la réémergence d’un mouvement réactionnaire à l’égard des femmes, le recul des droits fondamentaux de celles-ci dans certaines parties du monde.
La Fédération française de l’Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN reprend les paroles de Maria Deraismes fondatrice avec Georges Martin de notre Ordre : «l’infériorité des femmes n’est pas un fait de nature, c’est une invention humaine, une fiction sociale».
Elle demande solennellement à chacun, là où il peut agir et quelles que soient ses responsabilités, de mettre en œuvre les moyens de combattre et de prévenir le sexisme et de permettre une véritable égalité entre femmes et hommes pour un vivre ensemble fait de respect et d’harmonie.
La commission Droits de l’Homme et Laïcité de la Fédération française de
l’Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN

[1] Consultable intégralement en cliquant ici

L'agenda des conférences publiques du DROIT HUMAIN est consultable via notre site internet et nos réseaux sociaux Facebook, Twitter et Instagram


Fédération française de l'Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN
A.P.F.D.H. - 9 rue Pinel - 75013 PARIS
www.droithumain-france.org

5ème Journée nationale de lutte contre le sexisme


La Fédération française de l’Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN, de par son histoire et ses fondements, promeut l’égalité entre les femmes et les hommes.
Le rapport 2023 sur l’état des lieux du sexisme en France [1], qui a été remis ce 25 janvier 2023 au Président de la République par le Haut Conseil à l’Egalité entre les Femmes et les Hommes démontre combien cette cause reste encore aujourd’hui un combat à poursuivre au quotidien.
Au-delà de la considération liée à l’intimité des relations hommes femmes, c’est encore et toujours la représentation de la femme construite sur une iniquité couplée à un rapport dominant/dominé qui dévalorise systématiquement le genre féminin. Ce regard porté sur les femmes n’est pas généralisable à l’intégralité de la gent masculine.
Toutefois, et c’est alarmant, le rapport démontre que le sexisme, malgré des avancées notoires en matière de droits des femmes, se développe de plus en plus au sein des jeunes générations et reste fortement inscrit dans la société française.
Au-delà de la représentation, le rapport insiste sur l’augmentation des violences, leur expression dans des espaces nouveaux, les inégalités de traitement, la réémergence d’un mouvement réactionnaire à l’égard des femmes, le recul des droits fondamentaux de celles-ci dans certaines parties du monde.
La Fédération française de l’Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN reprend les paroles de Maria Deraismes fondatrice avec Georges Martin de notre Ordre : «l’infériorité des femmes n’est pas un fait de nature, c’est une invention humaine, une fiction sociale».
Elle demande solennellement à chacun, là où il peut agir et quelles que soient ses responsabilités, de mettre en œuvre les moyens de combattre et de prévenir le sexisme et de permettre une véritable égalité entre femmes et hommes pour un vivre ensemble fait de respect et d’harmonie.
La commission Droits de l’Homme et Laïcité de la Fédération française de
l’Ordre Maçonnique Mixte International LE DROIT HUMAIN

[1] Consultable intégralement en cliquant ici

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PRÉSENTÉ PAR AMNISTIE INTERNATIONALE people in Hanover and Lower Saxony.Crédit : Moritz Frankenberg/dpaDiscriminationsFA...
10/28/2022

PRÉSENTÉ PAR AMNISTIE INTERNATIONALE
people in Hanover and Lower Saxony.
Crédit : Moritz Frankenberg/dpa

Discriminations
FAITS & CHIFFRES
5 FAUSSES IDÉES SUR LES PERSONNES INTERSEXES
Publié le 30.10.2018
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Souvent discriminées, les personnes intersexes sont victimes d’idée reçues. A l'occasion de la journée de la visibilité intersexe, le 26 octobre, voici cinq fausses idées qu'il est urgent de dissiper, pour mieux lutter contre les stéréotypes de genre et comprendre les enjeux liés à l'intersexuation.

1- « TOUT LE MONDE NAÎT GARÇON OU FILLE »
Beaucoup de gens pensent que le monde est divisé en deux catégories bien distinctes de personnes, les hommes et les femmes. Et que toute personne présente des caractéristiques biologiques et génétiques qui relèvent d’une seule de ces deux catégories.

Pourtant, ce n'est pas toujours le cas. Des millions de personnes dans le monde présentent des caractéristiques sexuelles qui ne correspondent pas aux définitions traditionnelles binaires du corps masculin ou féminin. Beaucoup d’entre elles, bien que ce ne soit pas le cas de toutes, s’identifient comme intersexes.

Le terme intersexuation est un terme générique utilisé pour désigner un large éventail de variations naturelles qui affectent les organes génitaux, les gonades, les hormones, les chromosomes ou les organes reproducteurs. Ces caractéristiques peuvent être visibles à la naissance, apparaître seulement à la puberté, ou encore ne pas être apparentes du tout sur le plan physique.

Mais ça veut dire quoi, être intersexe ou intersexué(e) ? Lisez notre focus !

2 - « L’INTERSEXUATION EST TRÈS RARE »
Selon les spécialistes, environ 1,7 % de la population naît avec des caractéristiques intersexes, ce qui est comparable au nombre d’enfants qui naissent avec des cheveux roux.

Pourtant, le terme intersexe reste très mal compris et les personnes intersexes sont extrêmement sous-représentées. Cette semaine, une note de service de l'administration Trump qui a fait l’objet d’une fuite a donné à penser que le gouvernement américain travaillait sur une redéfinition des notions de sexe et de genre, pour les diviser en deux catégories « immuables » : masculin et féminin. Cela reviendrait à nier complètement l'existence des personnes transgenres et intersexes, avec des conséquences dangereuses pour les droits humains aux États-Unis et au-delà.

3 - « L’INTERSEXUATION EST UNE ANOMALIE QU’IL FAUT CORRIGER »
De nombreux enfants intersexes subissent des interventions chirurgicales destinées à les « normaliser » - alors même que ces opérations sont souvent invasives, irréversibles et dénuées de caractère d’urgence.

Les médecins et les parents peuvent être bien intentionnés, mais la réalité est que les interventions réalisées sur des enfants intersexes peuvent entraîner des problèmes majeurs, notamment une infertilité, des douleurs, une incontinence et des souffrances psychologiques tout au long de la vie. Tout cela uniquement pour que ces enfants soient conformes à l’idée que la société se fait de ce à quoi une fille ou un garçon « doit » ressembler.

Nous avons mis en évidence les raisons pour lesquelles il s'agit d'une violation des droits humains. Ces interventions sont fréquemment réalisées sur des enfants trop jeunes pour participer véritablement à la prise de décisions concernant leur propre corps, et leurs parents, bien souvent, ne sont pas correctement informés des risques encourus.

Les États ont le devoir de lutter contre les stéréotypes préjudiciables en matière de genre et de diversité. Or, beaucoup choisissent de soumettre ces enfants à des opérations inutiles uniquement pour qu’ils « s’intègrent ».

Lire aussi : les enfants intersexes face aux actes médicaux

4 - « INTERSEXE = TRANSGENRE »
L’intersexuation n'a rien à voir avec la transidentité.

Nos caractéristiques sexuelles physiques n'ont rien à voir avec la façon dont nous considérons notre identité de genre, ni avec les personnes qui nous attirent.

Le mot « transgenre » - ou trans - est un terme générique qui désigne les personnes dont l'identité de genre est différente du sexe qui leur a été assigné à la naissance. Le mot « intersexe » se rapporte à des caractéristiques sexuelles physiques et non à un sentiment interne d'identité. Une personne intersexe peut aussi s'identifier comme trans, mais l’intersexuation et la transidentité sont des choses bien distinctes, car le sexe et le genre sont deux notions différentes.

Une personne intersexe peut être hétérosexuelle, gay, lesbienne, bisexuelle ou asexuelle et s'identifier en tant que femme, homme, les deux ou aucun des deux.

Les personnes intersexes comme les personnes transgenres ont le droit de choisir leur identité de genre, et ne devraient jamais être contraintes à vivre avec un corps ou une identité avec lesquels elles ne se sentent pas à l'aise.

5 « PERSONNE NE SE MOBILISE POUR LES PERSONNES INTERSEXES »
Il existe encore beaucoup d’idées fausses au sujet de l’intersexuation, mais de nombreux militants intersexes remarquables, partout dans le monde, se mobilisent pour sensibiliser le public et protéger les droits humains.

Beaucoup disent vouloir veiller à ce que, à l’avenir, aucun enfant ne connaisse les souffrances qu'ils ont endurées.

Eves et Charlie, deux militants intersexes, ont souligné la nécessité de l’ouverture d’esprit et de l’acceptation.

« La société doit devenir plus ouverte à toute la diversité que recouvre le fait d’être une personne. Et les enfants doivent pouvoir grandir comme ils sont. »

Récemment, d'importants progrès ont été accomplis grâce à la mobilisation sans relâche de militants et d'organisations intersexes.

Si le sujet n'est pas abordé, s’il est de fait sous une chape de silence, il est extrêmement difficile pour les personnes concernées de s'accepter et d’accepter leur corps.

En 2013, des militants intersexes représentant 30 organisations se sont réunis pour élaborer la Déclaration de Malte, qui met en lumière les revendications et les recommandations du mouvement intersexe international.

Le chemin à parcourir est encore long, mais Amnesty International continuera à soutenir le combat des personnes intersexes, pour qu’elles puissent vivent sans honte, sans stigmatisation et sans souffrance.



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10/27/2022

Le vrai, le beau, le bien
Article paru dans le journal FM450

Par
Gilbert Garibal
23 Octobre 2022
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572

Les supports de réflexion du franc-maçon, de la franc-maçonne, sont d’abord les contenus des rites : rituels, mythes, allégories, symboles, légendes. Ce sont des outils, des boussoles pour nous orienter sur le territoire. Mais pas le territoire ! Ils nous donnent le sens et du sens, mais pas la réalité ! Encore moins le réel, ni la vérité ! Il s’agit donc de faire entrer en résonance leurs logiques et leurs morales – si elles sont adaptables – avec une société des hommes et des femmes en pleine mutation. Pour y vivre ensemble le mieux possible !

Les valeurs morales
L’expérience de la vie nous apprend qu’il y a autant de logiques et de morales, que de sociétés et d’époques, c’est à dire de philosophies et de points de vue! A l’école, entre quatre murs protecteurs et devant le tableau noir de notre enfance ces mots étaient inoffensifs : Nous faisions de l’analyse logique après la dictée, la pensée du jour (« bien mal acquis ne profite jamais ! ») nous servait de leçon de morale. Et la preuve par neuf nous montrait que notre raisonnement arithmétique « tombait juste ». Voire que la vérité était dans les chiffres!

C’est en quittant l’école que tout a changé, pour ne pas dire que tout s’est gâté! Adultes devenus, nous constatons que le « camarade de classe » c’est maintenant « l’Autre » dans sa grande diversité signifiante et agissante (ethnies, coutumes, religions, individualismes, hiérarchies de dominance, etc.) et qu’il faut – malgré ces différences et contraintes – « vivre ensemble » sur la planète. Facile à dire avec des mots choisis, difficile à faire avec des actes positifs!

A partir de mon vécu des années 1930/40, je retiens qu’une partie importante d’un grand pays comme l’Allemagne, éduqué et cultivé s’il en est, suit alors dans un bel élan patriotique le raisonnement d’un fou furieux ! Celui-ci, le sinistre Hi**er, met dans l’entonnoir de la logique tous les paramètres « normatifs » qui lui conviennent (revanche de la guerre précédente, difficultés économiques, pureté de la race aryenne à protéger, etc.), pour recueillir à la sortie, une épouvantable « rationalisation » qui lui apparaît pourtant « naturelle » : l’extermination des juifs ! Heidegger, l’un des plus grands philosophes du XXème siècle, que l’on peut supposer intelligent, adhère à cet antisémitisme! Sa compagne de route, Hannah Arendt, philosophe talentueuse elle- même, ouvre les yeux à temps et bifurque pour décrire ce que, effarée, elle découvre : la banalité du mal. Dit autrement, il est tout à fait logique de tuer son semblable quand on en reçoit l’ordre d’un supérieur et que l’on est obéissant et scrupuleux. C’est normal, banal, on ne fait que son devoir (encore un mot dont il faut se méfier, n’en déplaise à Kant!) La logique et la morale détruisent ici tout discernement!

Les convoyeurs et les exécutants de l’holocauste avaient aussi une logique : « Mon honneur est ma fidélité ». De leur côté, les militaires n***s portaient un ceinturon – à hauteur de mes yeux de gamin – dont la boucle arborait leur morale : Gott mit uns (Dieu avec nous). Bilan en 1945 de ces logiques et morale funestes : 6 millions de morts. Il est aisé de comprendre que l’on puisse se méfier aujourd’hui de ces deux mots…qui n’auraient peut-être jamais dû quitter la salle de classe! Croire que les doctrines, l’instruction et le progrès peuvent seuls parfaire l’Homme est la grande illusion des Lumières….et des francs-maçons! Parce que l’Homme est autant capable de détestation et d’égoïsme, que de bonté et d’amour, il nous reste, pour éliminer (en tout cas réduire) notre part d’ombre, encore et toujours, à apprendre et mettre en pratique LA LIBERTÉ, L’EGALITÉ, LA FRATERNITÉ.

Découvrez le journal papier en cliquant ici !

Alors que l’islamisme est en train de prendre le relais du n***sme, alors que, contre toute attente, divers gouvernements étrangers songent au XXIème siècle à interdire la franc-maçonnerie, quelques grandes obédiences maçonniques françaises, ont aussi leur logique et leur morale. Celles-ci devraient être précisément et totalement axées sur les dangers qui menacent les francs-maçons, plus que jamais invités à être unis, toutes organisations confondues et les coudes serrés.

Or, que constate-t-on avec, il faut le dire, une grande stupéfaction ?! Ivres d’une puissance factice, lesdites obédiences – le plus souvent sous la pression des Suprêmes Conseils auxquels elles sont reliées – cultivent les interdits et, partant, n’ont jamais été aussi « clôturantes » pour leurs membres ! C’est à dire, qu’au titre d’un « marché captif » (gestion financière oblige) – et contre la liberté d’association – elles prohibent toute autre appartenance hors de leur champ, entravant ainsi la transmission, donc l’étendue de la trilogie républicaine. A un moment où celle-ci n’a jamais été autant nécessaire, pour ne pas dire vitale!

En termes de valeurs morales, la jeune génération d’initiés (es) qui n’a pas connu le fascisme doit refuser net cette conduite fautive. Encore faut-il qu’elle soit informée ! Aux Maîtres de loges, aux Surveillants de dispenser cette information, aussi importante que les rituels ! D’urgence !

Les valeurs spirituelles
Dans l’univers maçonnique, le mot « spiritualité » comporte certainement autant de définitions qu’il y a de francs-maçons ! De la vie de l’esprit, tel que le philosophe Hegel le définit, à la conscience et à la connaissance de soi. De la transcendance à la quête de sens. Rappelons encore une fois que ce vocable appartient à la famille latine spir, (respiration, inspiration, expiration). Partant, il évoque étymologiquement le souffle. C’est à dire la vie !

Précisément, ce « souffle de l’esprit » génère aux 18 et 19ème siècles, une maçonnerie spéculative qui se déploie successivement en trois spiritualités. La première, théiste, est portée par la foi révélée. La seconde, déiste, aspire à la sagesse, à la force et à la beauté. La troisième, laïque, est inspirée par la liberté, l’égalité, la fraternité.

En vérité, les frontières philosophiques sont ténues entre ces diverses obédiences et juridictions. Elles partagent aujourd’hui des valeurs spirituelles qui se rejoignent. Le maçon, la maçonne, tout en construisant leur temple intérieur, participent à la construction du même Temple de l’Humanité. Quels que soient le rite et les rituels pratiqués. Dès lors, il est surprenant que ces organisations entretiennent, comme à plaisir, d’interminables disputes – plus haut signalées – autour d’une chimérique « régularité », ou du silencieux Grand Architecte de l’Univers. Et qui nuisent ainsi à l’harmonie de l’Ordre maçonnique. Les scissions qu’elles entraînent, avec à chaque fois l’espoir d’un climat apaisé, d’un sang neuf, d’une parole neuve, devraient parvenir à éradiquer ce « conflit génétique ». Or, il n’en est rien : les ego boursoufflés des dignitaires, leur jouissance d’interdire, surpassent les considérations philosophiques! Ces formes « d’excommunications » sont navrantes en ce qu’elles empêchent les « inter-visites », donc les rencontres entre francs-maçons. Autant d’échanges humains perdus !

Trop souvent, l’obédience et le Suprême Conseil, enivrés d’eux-mêmes, ordonnent imposent, interdisent aux loges, alors qu’ils devraient – c’est leur rôle même – assister, conseiller, permettre. Ce rapport inversé est aussi une manière de montrer leur pouvoir aux autres « puissances » maçonniques. Or, en quoi des Constitutions, règlements, arrêtés, patentes, à géométrie variable donc modifiables à merci, permettraient d’affirmer une authenticité supérieure à des documents d’une autre association, « confectionnés » pareillement ?! Il y a quelque chose d’infantile dans ces tristes jeux psychologiques. Même si elle entame son quatrième siècle, la maçonnerie est encore très jeune ! D’aucuns diront que les conflits et les crises sont formateurs, donc nécessaires. A suivre!

Mais dans ces conditions, il ne faut pas s’étonner que le fait maçonnique soit absent du milieu académique quand le fait religieux, lui y est étudié et enseigné. Et que ces querelles de clochers nuisibles à l’image de marque, intéressent davantage les magazines Grand Public que l’anthropologie et la sociologie. Et qu’enfin la philosophie – à laquelle la franc-maçonnerie doit tant – reste muette à son sujet ! Certes, les philosophes de renom viennent volontiers donner des conférences dans les obédiences…mais ils ne la citent pratiquement jamais dans leurs livres, ne voulant sans doute pas être soupçonnés d’en faire partie !

C’est bien dommage, car la franc-maçonnerie – au-delà de la « volonté capricieuse et rétrograde d’empêchement » de certains de ses dignitaires – explore des domaines de « la vie de l’esprit » qui méritent l’attention des chercheurs en sciences humaines. Et par conséquent, invite à l’ouverture et à l’union en ce début du XXIème siècle.

Une des rares universitaires qui approche sans préjugés la sphère maçonnique, Céline Bryon-Portet, a bien repéré ses thématiques originales. Qu’il s’agisse de l’histoire de l’Ordre (son syncrétisme à partir de ses emprunts aux traditions méditerranéennes) ; de sa sociabilité particulière marquée aujourd’hui par le passage du secret au discret ; de son système de recrutement, avec sa fameuse épreuve du bandeau ; de la sémiotique, productrice de signes et d’une gestuelle singulière ; de la dramatisation mise en œuvre lors du processus initiatique et la période de silence imposée à l’apprenti (e), ainsi invité à l’introspection ; des prises de parole obligatoirement « triangulaire » des membres (relayées par le Surveillant et autorisées par le Vénérable Maître); de la communication extérieure enfin, qui, en plus des prestations télévisuelles et radiophoniques, des expositions et des conférences publiques, utilise le média Internet pour véhiculer les valeurs spirituelles de la maçonnerie. L’articulation de cette « construction spirituelle » dégage-t-elle pour autant une « culture maçonnique » ? Les conservateurs, crispés sur la tradition, en sont persuadés, les progressistes, partisans d’un « allègement rituélique », beaucoup moins ! Pour eux, elle reste à créer.

Si l’information institutionnelle met mieux en lumière aujourd’hui lesdites valeurs morales et spirituelles prônées par l’Art royal – par voie de presse, radio et télévision – il convient de remarquer que les blogs, forums et autres sites Internet qui libèrent la parole des initiés tempèrent de leur côté les enthousiasmes excessifs. Ces « voix de l’intérieur » peuvent apparaître dérangeantes mais ne sont-elles pas dans leur rôle quand elles alertent sur le fonctionnarisme obédientiel et juridictionnel grandissant ? La spiritualité a besoin de ciel bleu, pas de barreaux !

Les valeurs existentielles
Nous venons de voir que, en termes de valeurs – profanes et maçonniques, il faut s’entendre – comme toujours – sur le sens des mots…à même de devenir des maux ! Les valeurs morales concernent avec le respect en premier lieu, le vrai, le bien et le beau, le souci de l’autre, bref, la générosité, la bonté. Mais elles peuvent constituer aussi le détestable, le mauvais, le mal, contre l’autre, bref, la méchanceté. Question de points de vue, d’intentions. Et d’actions !

De leur côté, les valeurs spirituelles sont à considérer avec ou sans Dieu. Avec ou sans religion. Il en est de même pour la spiritualité maçonnique, déiste ou laïque, selon les options.

N’omettons pas ici les valeurs existentielles. Pour leur part, elles évoquent la réalité vécue, le « quotidien » individuel avec son lot de joies certes, mais aussi de tourments divers, personnels, familiaux, professionnels, de problèmes matériels, auxquels s’ajoutent maladies et deuils des êtres chers, qu’il faut assumer. Et qui nous renvoient à notre propre condition en marche, vieillissement puis finitude !

De la sorte, il est intéressant de se demander ici quelles motivations, quels espoirs, peuvent bien inciter un citoyen fatigué le soir venu, à quitter son canapé devant la télévision, pour venir frapper à la porte du temple maçonnique ! La première, nous le savons, est le principe de plaisir en éternel combat avec le principe de réalité. Que lui impose celui-ci ?

Ce que lui montre son écran à longueur de semaines ! : Un monde cataclysmique où tremblements de terre et fleuves en crues déciment des populations, et en même temps, une société humaine qui, sur toute la surface du globe, s’entre-déchire. Nature et culture : Autant de tragédies anxiogènes et « questionnantes » sur l’homo sapiens et sa trajectoire : une course perdue d’avance, une histoire qui finit mal!

Eureka ! La franc-maçonnerie est une des rares sociétés initiatiques occidentales qui, précisément – comme la philosophie – propose devant ce constat négatif, non seulement une « aide à vivre », mais ose aussi aborder cette mort qui nous guette et invite à nous y préparer.

Vaincre la mort, ou plutôt « l’idée de la mort », c’est de fait, adoucir cette certitude et glorifier la vie. Pour la vivre pleinement, telle une éternité, ici et maintenant ! Malgré notre sort, pétris de désirs – donc de curiosité, d’un besoin d’étonnements et de découvertes – nous avons envie de positiver « l’humain ». En quelque sorte de le rendre immortel ! Avec des rencontres joyeuses, à la fois « énergisantes », enrichissantes et rassurantes ! Avec des acquisitions nouvelles transposables dans la cité. Pour partager en groupe les effets bénéfiques de la trilogie républicaine, « Liberté, Egalité, Fraternité », trois valeurs existentielles, s’il en est ! Au vrai, pour trouver du sens à cette vie, à la fois mystérieuse et si précieuse. C’est cette promesse qui nous fait quitter notre canapé !

En termes de Liberté, la promesse est tenue lorsque la liberté d’association (Loi 1901) est respectée, et permet à l’initié(e) de participer, dans la ou les organisations maçonniques de son choix, séparément ou en même temps, à la construction de la société idéale. Elle ne l’est plus, lorsque l’obédience ou la juridiction devient sectaire et « immobilise » ses adhérents avec interdiction d’en sortir ! Ne nous y trompons pas, ce ne sont pas eux qui sortent de la communauté maçonnique mais ladite obédience ou juridiction qui s’en exclue par ses empêchements même !

En termes d’Egalité, la promesse est tenue lorsque l’échelle des degrés est accessible à tous les initié (e). Elle n’est pas tenue lorsqu’elle est réduite à un escabeau qui empêche d’atteindre le degré sommital du rite ! Lorsque le dispositif ne permet plus de s’élever, du vertical il passe à l’horizontal et se transforme en barrière ! Pratiquer un barrage est un délit d’entrave inadmissible et un manquement grave à l’esprit du rite considéré. Quel qu’il soit, il est ouvert, et accessible à tout maçon, toute maçonne digne et désireux (reuse) d’atteindre le terme du chemin.

En termes de Fraternité, la promesse est tenue lorsque la mixité est respectée et que la franc-maçonnerie ajoute effectivement la sororité à la devise républicaine. Elle n’est pas tenue lorsque les décors maçonniques deviennent des grades – donc des «instruments de pouvoir » sélectifs alors qu’ils n’indiquent que les degrés du parcours personnel. Elle n’est pas tenue enfin lorsqu’un frère ou une sœur devient le bouc émissaire d’une loge, et « abandonné (e) » au bord de la route, parce qu’il ou elle refuse allégeance à des règles non conformes aux législations en vigueur. C’est toute la loge qui devrait alors se révolter !

A l’évidence, pour sa survie même, l’Art royal doit se dégager d’une administration obédientielle limitante. Et d’un autoritarisme juridictionnel, producteur d’ego saisis de vertige, parés des titres ronflants du 18ème siècle. Il s’agit de retrouver le concept de loge souveraine. C’est en son sein que se cultivent les fleurs de la liberté, de l’égalité, de la fraternité. Il viendra, le « temps du réveil » : alors s’abaisseront les pont-levis de ces châteaux forts – que sont devenues certaines de ces « puissances » maçonniques – pour permettre communication et communion. Alors et seulement, la franc-maçonnerie pourra prétendre à l’universalité !

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Gilbert Garibal
Gilbert Garibal, docteur en philosophie, psychosociologue et psychanalyste, est spécialisé dans l'écriture d'ouvrages pratiques sur le développement personnel et les faits de société ( parus, entre autres, chez Marabout, Hachette, De Vecchi, Dangles, Dervy, Grancher, Numérilivre-Bords de Seine), Il a écrit une trentaine d'ouvrages dont voici les principaux : - Turbulences initiatiques - (2018) - Editions Numérilivre - Bords de Seine - Le rite écossais ancien et accepté, 33 degrés de sagesse pratique (2018) - Editions Numérilivre - Bords de Seine - Approfondir l'art royal ) (2017) - Edition Numérilivre - Bords de Seine - Comprendre et vivre les hauts grades maçonniques - Tome 1 et 2 - 1er au 33ème degré (2015 - 2016) - Editions Numérilivre - Bords de Seine - Plancher, et après ? (2014) - Edition Numérilivre - Bords de Seine - Voyage en franc-maçonnerie (2010) - Editions de Vecchi - Vers une nouvelle franc-maçonnerie (2010) - Editions Dervy - Au cœur de la franc-maçonnerie (2009) - Editions Numérilivre - Francs-maçons et franc-maçonnes d'aujourd'hui (2006) - ABC de la franc-maçonnerie (2005) - Editions Grancher) - Bénévolat, mode d'emploi (2004) - Editions Numérilivre- Editions des Bords de Seine - Ombres et lumières sur la franc-maçonnerie (2004) - Editions Dervy - Emile Coué - L’homme, le pharmacien, le psychothérapeute (2002) - Edition Numérilivre - Bords de Seine - En finir avec le trac (2001 - Edition Numérilivre - Bords de Seine - Sigmund Freud. L'homme, le médecin, le psychanalyste (2001) - Editions Numérilivre- Edition des Bords de Seine - Guide du bénévolat et du volontariat (1998) - Editions Numérilivre - Bords de Seine - Vers la confiance en vous (1997) - Editions Dangles - La méthode Coué (1999) - L'homme, le pharmacien, le psychothérapeute - Editions Numérilivre - Bords de Seine - Le guide des sciences parallèles (1997) - Editions Numérilivre - Bords de Seine - Vaincre le stress et le trac (1996) - Editions Hachette - La voyance, guide pratique (1994 - Editions de Vecchi - Être franc-maçon aujourd'hui (1994) - Editions Marabout

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