10/18/2025
EN/FR
In Ghana, đŹđ rhythm isnât a metaphor âïž itâs medicine
One of the first things I noticed in Ghana was the people. Landing in Accra, the heat rises from the pavement before your feet even touch the ground. The air hums with life đ markets woven into the streets, music playing through open windows, and laughter that reverberates through the crowd.
Rhythm is everywhere - in the trotro (those buzzing, brightly painted tricycle taxis), in the cadence of conversation, in the way time itself seems to move to the beat of a different drum.
I remember one night at a small beach bar decorated with driftwood and palm thatch. The music was never less than the backbone, then slowly became the heartbeat of the evening. When the dj cued the right song and the rhythm deepened, the men gathered to dance - hips loose, chests open, completely unhinged and self aware. The women watched, smiling, cheering, owning their stillness like a form of strength.
On some evenings, the drum circle would draw the crowd đȘ djembe and talking drums echoing along the shoreline, accompanied by beach fires that could outshine the bioluminescent sand. It wasnât performance. It was communion.
In Ghana, drumming isnât entertainment - itâs communication. Dance isnât spectacle - itâs synchronization. Each beat is a reminder that resilience is a shared state.
In the West, we often regulate individually đ§đ»ââïž we meditate, journal, or breathe alone. But in many traditional societies, regulation happens communally. The group holds the rhythm. The rhythm holds the group.
I believe thatâs what leadership feels like when itâs done right - not one person setting the pace, but many staying attuned, each contributing their energy, their role, their purpose. Because no one can sustain a beat forever on their own.
But in community? The rhythm never stops.
If this resonates, follow for more stories of rhythm, resilience, and regeneration - where anthropology meets entrepreneurship, and coherence becomes a way of life. đđ«
FR
đŹđ Au Ghana, le rythme nâest pas une mĂ©taphore âïž câest un remĂšde.
Une des premiĂšres choses que jâai remarquĂ©es au Ghana, câest les gens.
En arrivant Ă Accra, la chaleur monte de lâasphalte avant mĂȘme que tes pieds touchent le sol.
Lâair vibre de vie đ les marchĂ©s dĂ©bordent jusque dans les rues, la musique sâĂ©chappe des fenĂȘtres ouvertes, et les rires rĂ©sonnent Ă travers la foule.
Le rythme est partout - dans les trotros (ces petits taxis-tricycles colorĂ©s qui zigzaguent partout), dans la cadence des conversations, dans la façon dont le temps lui-mĂȘme semble suivre le battement dâun autre tambour.
Je me souviens dâune soirĂ©e dans un petit bar de plage fait de bois flottĂ© et de palmes tressĂ©es.
La musique, au dĂ©but discrĂšte, est vite devenue le cĆur battant de la nuit.
Quand le DJ a lancĂ© la bonne chanson, le rythme sâest intensifiĂ© et les hommes se sont mis Ă danser - les hanches souples, la poitrine ouverte, complĂštement libres et prĂ©sents.
Les femmes regardaient, souriaient, encourageaient, habitant leur immobilité comme une force tranquille.
Certains soirs, les cercles de tambours attiraient la foule đȘ
Les djembés et les tambours parlants faisaient écho le long du rivage, accompagnés de feux de plage qui rivalisaient avec le sable bioluminescent.
Ce nâĂ©tait pas un spectacle. CâĂ©tait une communion.
Au Ghana, le tambour nâest pas un divertissement - câest une forme de communication.
La danse nâest pas une performance - câest une synchronisation.
Chaque battement rappelle que la rĂ©silience, câest quelque chose quâon partage.
En Occident, on se rĂ©gule souvent seul đ§đ»ââïž
On médite, on écrit, on respire chacun de notre cÎté.
Mais dans plusieurs sociétés traditionnelles, la régulation se vit en communauté.
Le groupe porte le rythme. Et le rythme porte le groupe.
Je crois que câest ça, le vrai leadership - pas une seule personne qui impose le tempo, mais plusieurs qui restent Ă lâĂ©coute, chacune apportant son Ă©nergie, son rĂŽle, son intention.
Parce que personne ne peut tenir le rythme indéfiniment, seul.
Mais en communautĂ©? Le rythme ne sâarrĂȘte jamais.
Si ça te parle, suis-moi pour dâautres rĂ©cits oĂč le rythme, la rĂ©silience et la rĂ©gĂ©nĂ©ration se rencontrent â lĂ oĂč lâanthropologie croise lâentrepreneuriat, et oĂč la cohĂ©rence devient un mode de vie. đđ«