Mademoiselle BarbU

Mademoiselle BarbU > Bienvenue dans mon petit coin de vérité.

Maman, belle-maman, amoureuse, rêveuse…
Je partage des bouts de vie, des réflexions, des réalités qu’on tait trop souvent.
🌙 Ici, on parle d’amour, de blessures, de courage, p*s de vraie vie.

10/19/2025

💫 Fini de m’éteindre pour que les autres brillent
Fini de tout donner sans qu’on voie ma lumière. Fini d’être celle qu’on écoute pas, celle qu’on tient pour acquise. J’ai trop porté, trop encaissé, trop tu.
Je veux rire à nouveau, respirer sans poids sur la poitrine, vivre sans m’excuser d’exister.
Je veux être vivante, vibrante, vraie. Je veux me sentir importante, pas juste présente. Fini de parler dans le vide, fini de sauver des cœurs pendant que le mien se vide.
Aujourd’hui, je me choisis. Je reprends ma place, ma voix, ma lumière.
Parce que je mérite la paix, je mérite la douceur, et je mérite d’être aimée sans condition. 🌷

10/15/2025

Aujourd’hui, il m’est arrivé quelque chose de beau. Un geste simple, gratuit, venu d’une pure inconnue. Une véritable perle d’eau douce. Elle m’a partagé ce qu’elle pensait de moi, parce qu’elle m’avait déjà aperçue quelques fois. Ses mots m’ont profondément touchée. Cette reconnaissance inattendue m’a permis, le temps d’un instant, de me reconnecter à moi-même. De me souvenir de qui j’étais. Même si ce n’est qu’un petit 10 %, c’était assez pour me redonner envie de me retrouver.
En ce moment, je vis dans un silence lourd. On ne me parle plus, et quand je parle, mes mots semblent se perdre dans le vide. Comme si ma voix n’avait plus d’importance. Comme si ma façon de penser dérangeait. Mon confort, celui de mon fils, semblent secondaires. Je ne sens plus la confiance, ni la place que j’avais. Je nage dans un néant qui fait mal.
Et ce que j’aime… ce que j’ai redécouvert récemment et qui me rend vivante… je ne peux même pas le pratiquer. J’ai l’impression que tout ce qui me rend heureuse doit d’abord servir à rendre les autres bien, ou simplement « corrects ». Je me sens souvent à la mauvaise place. Inutile. Privée de trop de choses.
Je savais que je devais faire des sacrifices. Je pensais que ce serait temporaire, qu’on reconnaîtrait mes efforts, ma présence, ma bonté. Mais je me suis trompée. Amèrement. Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on ne garde de moi que ce que j’ai à donner… et que moi, et mon fils, on importe peu.

10/13/2025

Je suis fatiguée. Pas juste physiquement, mais fatiguée à l’intérieur. J’essaie tellement fort de faire plaisir à tout le monde, d’aider, de comprendre, de m’adapter, d’être là quand on a besoin de moi… mais c’est lourd. J’ai l’impression que peu importe ce que je fais, c’est jamais assez. Que mes efforts passent souvent inaperçus, comme si c’était rendu “normal” que je donne tout.
Je me sens vidée, comme si je devais constamment prouver ma valeur en donnant, en réparant, en supportant les autres. Mais qui me rattrape, moi, quand je tombe ? Qui me demande comment je vais pour vrai ?
Je commence à réaliser que j’ai besoin de me choisir un peu. Pas pour être égoïste, mais pour me retrouver. J’ai envie de respirer, de ne plus courir après la reconnaissance ou la compréhension. J’ai juste envie d’exister sans me sentir coupable.
Parce que oui, j’ai un grand cœur. Mais même les cœurs forts ont besoin de repos. 💔🌙

10/09/2025

J'ai toujours fait attention à mes actions pour ne pas faire du mal au gens, jusqu'à ce que je réalise que les autres ne se soucient pas si leurs actions me blessent, l'empathie excessive détruit aussi.

10/09/2025

L’un des états émotionnels les plus épuisants, c’est la cognitive empathie. Cette faculté rare qui empêche de haïr totalement quelqu’un, même quand il t’a détruit. Parce que toi, au lieu de rester bloqué sur le geste, tu vois l’histoire derrière. Tu comprends les blessures qui l’ont façonné, les manques qui l’ont poussé, les failles qui l’ont conduit à t’abîmer.

Alors que beaucoup diraient : « Il m’a fait mal, point », toi tu rajoutes : « Oui, mais je comprends pourquoi ». Et c’est là que ça devient un fardeau. Parce que tu portes deux poids à la fois : la douleur de ce qu’on t’a fait, et la lucidité de comprendre pourquoi on te l’a fait.

Ça paraît noble, mais dans le quotidien, c’est un piège. Tu pardonnes trop vite. Tu restes trop longtemps dans des relations qui ne te respectent pas. Tu trouves des excuses à tes parents, à ton partenaire, à tes amis, aux gens qui te déçoivent… parce que tu vois au-delà de leurs actes, tu vois leurs blessures.

Mais voilà le paradoxe : comprendre ne signifie pas excuser. Oui, un père violent a peut-être été brisé dans son enfance. Oui, une partenaire infidèle cache peut-être un vide intérieur. Oui, un ami toxique est sûrement lui-même perdu. Tout ça peut avoir du sens. Mais avoir une explication ne transforme jamais une blessure en quelque chose de juste.

La société adore te dire : « Mets-toi à sa place, sois compréhensif ». Mais rarement on te dit : « Et toi, qui se met à ta place ? » Tu passes ta vie à comprendre les autres, et au fond, ton plus grand rêve serait qu’un jour, quelqu’un te comprenne avec la même intensité.

L’empathie cognitive, c’est donc un don, mais aussi une croix. Elle t’élève au-dessus du jugement binaire, mais elle te condamne aussi à vivre avec des douleurs que tu n’arrives jamais à transformer en colère libératrice. Tu restes suspendu entre le pardon et la cicatrice.

La vérité, c’est qu’il faut apprendre à poser une frontière : comprendre, oui. Mais se respecter, d’abord.

Via

10/09/2025

🌹 Les relations vraies – amour, amitié ou âme sœur
Dans la vie, on finit tous par comprendre une chose essentielle : Il ne s’agit pas d’avoir mille relations, mais des relations vraies. Des gens qui te veulent réellement dans leur vie. Pas par habitude, pas par intérêt, mais parce qu’ils voient ta valeur, même quand toi, tu doutes un peu.
Des gens qui ne sont pas gênés de ta présence, qui t’accueillent avec le sourire, sans filtre, sans gêne, sans jugement. Des gens qui ne te font pas sentir de trop, qui ne te laissent pas t’épuiser à prouver que tu mérites ta place.
Les vraies relations sont faites de respect, de réciprocité, de cette énergie douce et stable qui dit :
“Je suis là, pas seulement quand tout va bien, mais aussi quand ça tremble.”
C’est rare, mais ça existe. Et c’est ce qu’il faut chérir.
Parce qu’une relation saine — qu’elle soit d’amour ou d’amitié — c’est un échange, pas un combat. C’est une équipe, pas une compétition. C’est une chimie naturelle, pas un effort constant pour plaire.
Quand tu es avec les bonnes personnes, tu ne ressens pas ce vide à côté de quelqu’un. Tu ressens la paix. Tu ressens que tu es importante. Tu ressens que tu es vue, entendue et comprise.
Les vraies relations te font grandir. Elles ne t’enferment pas, elles t’élèvent. Elles t’aident à devenir la meilleure version de toi-même. Elles ne jouent pas avec ton cœur, elles le protègent.
Parce qu’au fond, aimer et être aimé, c’est une forme de détermination. C’est choisir chaque jour d’être présent, de communiquer, de réparer, de construire. C’est choisir d’avancer ensemble, main dans la main, avec bienveillance.
Une relation, ce n’est pas de donner pendant que l’autre prend sans retour. Ce n’est pas de supplier pour de l’attention, ni d’espérer des gestes qui ne viennent jamais. Une relation doit être donnante-donnante — équilibrée, sincère, vivante.
Les vraies connexions ne s’éteignent pas parce que le temps passe, elles se renforcent. Elles ne te font pas sentir seule, même quand il y a du silence. Elles te rappellent que tu as ta place, que tu es aimée, que tu comptes.
Alors aujourd’hui, choisis de t’entourer de ceux qui te veulent vraiment. Ceux qui t’écoutent avec le cœur, qui te regardent avec fierté, qui te respectent même en ton absence.
Parce que tu mérites la présence, pas la tolérance. Tu mérites la sincérité, pas les excuses. Tu mérites une relation qui te nourrit, pas qui t’épuise.
Et quand tu trouveras ces âmes-là — ne les lâche pas. Cultive-les. Protège-les. Parce que ce sont elles, les vraies richesses d’une vie. 🌙💫

🤍 entour toi de gens qui t'aime pour ce que tu es et ce que tu fais! Qui sont capables de voir ton potentiel. Reste loin...
10/05/2025

🤍 entour toi de gens qui t'aime pour ce que tu es et ce que tu fais! Qui sont capables de voir ton potentiel. Reste loin des gens qui ne verront pas ce que tu fais pour eux.

Rend service a ton mental chum!!

L’hypocrisie : le masque des faux visages
Il y a des sourires qui blessent plus que des silences.
Des regards qui semblent t’accueillir, mais qui te méprisent dès que tu tournes le dos.
Un jour, on t’élève avec des mots doux, des compliments sucrés…
Et le lendemain, ces mêmes mots deviennent des armes, retournés contre toi, déformés, trahis....

L’hypocrisie est une danse macabre où les masques tombent parfois trop t**d.
Elle se glisse dans les gestes, dans les phrases anodines, dans les silences complices.
Elle te fait croire à l’amitié, à la bienveillance…
Mais derrière, c’est l’intérêt, la jalousie, la manipulation ou pire : l’indifférence.

Ne te laisse pas berner par les apparences.
Ceux qui brillent trop fort cachent parfois des intentions sombres.
Ceux qui te flattent sans te connaître ne cherchent pas à t’aimer, mais à t’utiliser.

Entoure-toi de ceux qui te regardent avec sincérité, même quand tu es vulnérable.
De ceux qui t’aiment pour tes défauts autant que pour tes qualités.
De ceux qui ne cherchent rien à gagner, sauf le privilège de te connaître.

La sincérité ne fait pas de bruit, mais elle éclaire les âmes.
Elle ne promet pas, elle prouve.
Et ceux qui en font preuve méritent une place dans ton cœur, dans ta vie, dans ton monde. Cnudde MCh 🐞🌿

10/05/2025

Quand quelqu’un est négatif envers toi, il y a plusieurs angles pour comprendre ce qui se passe — et surtout, pour te protéger émotionnellement. Voici quelques p*stes de réflexion :

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🌱 Ce qui se passe souvent dans la tête de la personne

Projection : Beaucoup de gens déversent leurs frustrations ou insécurités sur les autres. Leur négativité parle souvent plus d’eux que de toi.

Stress ou fatigue : Quelqu’un qui vit de la pression peut devenir critique ou désagréable même sans le vouloir.

Habitude ou mode de communication : Certaines personnes ont appris à s’exprimer de manière négative par défaut (famille, milieu de travail, cercle d’amis).

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🛡️ Ce que toi tu peux penser pour te protéger

Ce n’est pas personnel : Leur attitude est un reflet d’eux-mêmes, pas une vérité sur toi.

Filtrer l’information : Distinguer ce qui est une critique constructive (qui peut t’aider) de ce qui est gratuit.

Garder ton centre : Respirer, ne pas répondre sur le même ton, ne pas absorber l’énergie.

Choisir ton focus : Penser à tes forces, tes valeurs et aux gens qui t’apprécient.

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🌟 Une phrase-clé pour toi

> « Ce qu’ils disent parle d’eux. Ce que je choisis d’en faire parle de moi. »

C’est une façon douce de te rappeler que tu gardes le pouvoir sur ton état d’esprit, même quand quelqu’un t’envoie du négatif.

10/05/2025

1. Ne tends jamais la main en restant assis.

2. Ne critique jamais la nourriture quand tu es invité.

3. Ne prends pas le dernier morceau de quelque chose que tu n’as pas acheté.

4. Protège celui qui est derrière toi et respecte celui qui est à tes côtés.

5. Ne fais jamais la première offre lors d’une négociation.

6. Ne t’attribue pas le mérite d’un travail que tu n’as pas fait.

7. Habille-toi toujours correctement, quelle que soit l’occasion.

8. Parle avec honnêteté : dis ce que tu penses et pense ce que tu dis.

9. Pose plus de questions que tu n’en donnes de réponses.

10. Laisse le langage vulgaire aux moins instruits.

11. Évite de poser ton téléphone sur la table lorsque tu manges avec quelqu’un.

12. Écoute, souris et surtout, regarde dans les yeux.

13. Si tu n’es pas invité, ne demande pas à venir.

14. N’aie jamais honte de tes origines.

15. Ne supplie jamais pour une relation.

10/05/2025

🎭 1. L’école, c’est un milieu de socialisation, pas une thérapie
Un enfant ou un ado qui miaule, qui porte des oreilles de chat ou une s**e dans un contexte public, ça place les autres enfants et les enseignants dans une situation très confuse. L’école est censée apprendre à vivre ensemble, à grandir, à s’adapter au monde. Si un parent ou une école cautionne ça, c’est comme si on disait :
“Ton imaginaire a plus d’importance que la réalité.” Ce n’est pas de la liberté, c’est une fuite encouragée.

🧍‍♀️ 2. Les autres enfants ne comprennent pas
Imagine un petit qui fait des efforts pour apprendre à parler, à se comporter, à respecter les consignes… et à côté, un autre qui miaule ou s**e une s**e parce qu’on lui permet “d’être lui-même”. C’est profondément injuste pour les autres et ça brouille les repères. Les enfants ont besoin d’exemples clairs de ce qui est approprié dans la vie en société.

⚖️ 3. Le rôle du parent, c’est de préparer à la vie, pas de la nier
Laisser un enfant “vivre comme un chat” ou régresser en public, c’est souvent une manière d’éviter le malaise du moment, mais on sacrifie son futur équilibre. Parce que plus t**d, le monde ne va pas accepter ça. Le rôle du parent, c’est de dire :
“Je t’aime, mais le monde ne fonctionne pas ainsi, et je vais t’aider à t’y adapter.”

🧩 4. Le danger derrière la tolérance sans limites
Sous prétexte d’ouverture, on oublie la responsabilité. L’enfant n’a pas besoin d’un public pour ses fragilités, il a besoin d’un cadre pour apprendre à se fortifier. Quand les adultes abandonnent leur rôle, c’est l’enfant qui finit par payer le prix, souvent en humiliation, en moquerie ou en confusion identitaire.

09/16/2025

J’ai traversé des mois de tempêtes où la négativité m’a tout pris. Jamais je n’aurais cru voir tant de mensonges, tant de méchanceté. J’ai tenu debout. Pour moi, aimer voulait dire rester — même sous l’orage, je ne comptais pas les rafales.
Aujourd’hui, je suis devenue fragile : l’insécurité me ronge, l’anxiété me tient éveillée, la peur me suit partout. Je ne me sens plus à ma place.
Ça m’a coûté cher — pas seulement de l’argent, mais des morceaux de moi. Je ne regrette pas, parce que recommencer, si c’est choisir une vie nouvelle, n’est jamais perdu. Pourtant, la tristesse pèse.
J’ai tant donné. J’ai tenu bon face à la méchanceté, j’ai encaissé les jugements, les critiques, les salissures. On m’a menti, on a fait des manigances en croyant que j’ignorais. J’observe. Et chaque observation me lâche un peu plus.
L’amour s’est alourdi : les regards intenses se sont vidés, les baisers se sont tus, les présences se sont effacées. On ne me parle plus ; on change de place pour m’éviter. On ne se confie plus, comme si tous mes efforts avaient été une erreur — un mélange de protection (« je ne veux pas t’embarrasser ») et de trahison (« je te cache la vérité »).
Ça fait mal, ce changement. Ma famille me dit que j’ai fait une erreur ; je culpabilise, et la douleur me serre la poitrine.
Est-ce que quelque chose peut changer ? Ai-je le droit à un peu de bonheur ?
Je souffre d’anxiété et certains disent que j’ai la mèche courte, mais ma souffrance est réelle. Les câlins ont laissé place au silence, à des regards fuyants. Je me sens si fragile.
J’ai cherché la validation comme on glisse une pièce dans une machine à friandises : on attend une récompense, une preuve qu’on existe encore. Mais je n’en veux plus de cette validation mécanique.
J’ai tout tenté pour réparer, j’ai accepté, j’ai souffert, je me suis effacée pour élever des vies merveilleuses qui ne m’ont pas rendues la pareille. Je me suis écrasée, je me suis retirée.
Avant, je voyais un avenir de douceur — indépendance, confiance, générosité, équipe, amour sincère, partage, famille. Aujourd’hui, tout a basculé : doutes, mensonges, intérêt, profit. Je me sens reléguée, 50e sur une liste. J’ai tant encaissé que l’escalier pour retrouver ma place me paraît infranchissable. Je parle, je me justifie, mais personne n’écoute vraiment — ce n’est pas le sujet du moment. Je suis « game over » alors que j’ai tout donné. Ma vie, mon fils, mes finances : tout à recommencer.
Il faut que je reparte à zéro et que je tienne debout pour celui qui compte le plus : mon fils. Mon cœur est lourd et meurtri, je me sens coupable et stupide. Mais quelque part, au-dessus de cette douleur, il y a encore une flamme. Et cette flamme mérite d’être protégée.

08/15/2025

💔🔥

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