Le magazine OPT1MUM est un magazine généraliste axé sur l’économie
10/06/2025
🚨 Big Announcement! 🚨
We’re beyond excited to team up with Opt1mum Magazine as our official media partner for DRC Mining Week's 20th Anniversary
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OPTIMUM magazine is a general-interest publication focused on the economy. It is apolitical. Our goal is to present the economy in a decidedly dynamic manner and to establish ourselves as a reference point for all opinion leaders by combining current events with economic analysis. We aim to position ourselves as the magazine for those who drive and lead the economy.
Together, we’re bringing you:
✅ Exclusive updates
✅ Behind-the-scenes action
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02/06/2025
𝐃𝐨𝐬𝐬𝐢𝐞𝐫 𝐒𝐩𝐞́𝐜𝐢𝐚𝐥 : 𝟒𝟎 𝐉𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝟒𝟎 𝐚𝐧𝐬
📈Comment débloquer la puissance financière des jeunes ?
Pour le Groupe de la Banque mondiale ( ), l’entrepreneuriat est au cœur de la prospérité future de l’Afrique, qui constitue la région du monde avec le plus grand nombre de jeunes (Nb. 200 millions d’habitants âgés de 15 à 24 ans). Plus de la moitié de la croissance démographique mondiale d’ici à 2050 aura lieu sur le continent africain. L’emploi dans le secteur formel est souvent limité, poursuit le GBM, et « la meilleure chance pour une meilleure vie est souvent l’entrepreneuriat et l’auto-emploi ». Selon un sondage d’IFF (Ichikowitz Family Foundation, 2022) réalisé auprès de 4 507 jeunes africains sélectionnés dans 15 pays, 78 % des jeunes sondés de 18 à 24 ans envisagent de créer leur propre entreprise au cours des 5 prochaines années. Au Malawi, ce taux avoisine même les 92 % des jeunes interrogés.
Il n’existe pas de modèle d’action unique pour encourager et promouvoir l’activité entrepreneuriale dans un pays. En effet, la culture entrepreneuriale, si présente dans l’Est africain anglophone, fait son chemin en République démocratique du Congo. Dans ce numéro spécial, Opt1mum magazine ouvre ses colonnes à 40 jeunes de moins de 40 ans. Ils font partie des 0,4 % d’entrepreneurs qui exercent en toute légalité sur l’étendue du territoire national. À en croire les rares chiffres officiels disponibles, plus de 80 % d’entreprises disparaissent un an après leur création, faute d’études de faisabilité et de business plan précis.
À travers ce dossier spécial, nous avons recueilli des pistes de solution auprès de 40 d’entre eux qui, sans être exhaustives, peuvent inspirer des politiques entrepreneuriales futures (...).
Procurez-vous dès maintenant l'intégralité du Dossier Spécial "𝟒𝟎 𝐔𝐧𝐝𝐞𝐫 𝟒𝟎" en version numérique sur www.Opt1mum.com et débloquez la puissance financière de demain !
02/05/2025
NOUVEAU NUMÉRO "UNDER 40" - Bientôt disponible dans les kiosques
Découvrez la force et l'audace des jeunes entrepreneurs de moins de 40 ans qui bâtissent l'avenir et créent la richesse de notre collectivité.
Face aux défis et à la compétition, ils ont osé se lancer. Nous leur avons donné la parole pour qu'ils partagent leurs parcours inspirants, leurs combats, leurs aspirations et les leçons apprises.
Préparez-vous à être inspiré par ces leaders de demain.
Restez connectés. Le numéro "UNDER 40" arrive très bientôt.
Retrouvez votre magazine sur www.opt1mum.com
La République Démocratique du Congo, immense pays de plus de 100 millions d’habitants, l’inclusion financière est devenue un défi.
Selon 𝐌𝐚𝐫𝐢𝐞-𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐊𝐚𝐥𝐞𝐧𝐠𝐚 𝐎𝐩𝐞𝐬𝐞, Présidente de l’𝐀𝐬𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨𝐥𝐚𝐢𝐬𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐁𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞𝐬 (ACB), la RDC connait une adoption croissante des services bancaires numériques ainsi que l’utilisation grandissante des plateformes de paiements mobiles.
A l’en croire, la RDC fait face à de nombreux défis, notamment le déficit en infrastructures de base qui crée des difficultés de déploiement des institutions financières sur toute l’étendue du territoire national de la .
𝐋’𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 𝐝’𝐎𝐩𝐭𝟏𝐦𝐮𝐦 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐡𝐚𝐢𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐞𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞́𝐛𝐮𝐭 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞 ! 🫶
Découvrez notre édition spéciale sur l’𝐈𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐅𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞̀𝐫𝐞, un guide essentiel pour comprendre les enjeux économiques d'aujourd'hui et de demain.
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Pour promouvoir le partenariat privilégié entre le public et le privé, le gouvernement de la République démocratique du Congo a intégré des mécanismes nouveaux dans sa Loi 18 / 016 du 09 juillet 2018 relative au Partenariat public-privé (PPP).
Cette législation de 115 articles n’a qu’un seul objectif : mettre fin au désordre. A ce stade, il est difficile d’établir un véritable bilan des six années d’application de cette législation.
Toutefois, 𝐌𝐞 𝐋𝐢𝐬𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐁𝐞𝐰𝐚 a accepté de se prêter à cet exercice pour éclairer notre lanterne. En 2017, elle avait aussi consenti à nous fournir les clefs pour comprendre le projet de loi sur les PPP. Éminente avocate, elle a participé aux différents cycles d’élaboration de la Loi de 2018.
💬« Depuis que l'UC-PPP est devenue opérationnelle en 2023, 28 projets ont été soumis pour avis de conformité sur les études de faisabilité; sept dosiers ont été valdés et deux signés. »
— 𝐂𝐚𝐥𝐥𝐢𝐱𝐭𝐞 𝐓𝐔𝐙𝐎𝐋𝐀𝐍𝐀, Avocat et corédacteur de la loi sur le PPP et ses mesures d'application
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💬« L'UC-PPP a renforcé son rôle central dans la préparation et la structuration des projets, tout en intégrant de plus en plus les risques climatiques dans les évaluations. »
— 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐨𝐢𝐬 𝐍𝐆𝐄𝐍𝐘𝐈 𝐌𝐔𝐋𝐎𝐖𝐀𝐘𝐈, DG de l'UC-PPP
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L’effet domino est un ensemble de phénomènes se déroulant dans un ordre et ayant un résultat généralement négatif. La réaction en chaîne peut se produire lorsqu’un changement mineur provoque un changement comparable à proximité qui provoquera un autre changement similaire, et ainsi de suite au cours d’une séquence linéaire.
Dans le but d’attirer plus d’investissements directs étrangers (IDE), la RDC a procédé à plusieurs réformes incitatives au cours de la dernière décennie : Guichet unique de création d’entreprise, incitations fiscales, mutations immobilières, Fonds de promotion industriel (FPI), Agence nationale pour les investissements (ANAPI), adhésions à plusieurs mécanismes internationaux (MIGA, CIRDI, ACA, OHADA), SEGUCE, ouverture du secteur des assurances ...
Rien n’enclenche un déferlement d’investissements des grands joueurs internationaux pour convaincre les quelques locaux susceptibles d’instaurer la confiance nécessaire pour rassurer.
Quelle est la première pièce du jeu domino national qui doit tomber pour entraîner les autres et amorcer un mouvement positif ? Pour que son effet soit positif, le premier domino qui tombe doit représenter une rupture avec la routine et faire entrer inéluctablement le pays dans un cercle vertueux entraînant des changements positifs.
Le premier domino est l’instauration - à l’instar du modèle singapourien qui fait école dans l’attraction des IDE - d’un pouvoir judiciaire indépendant d’un pouvoir exécutif qui devra être honnête, compétent, stable et appliquer des politiques macroéconomiques cohérentes.
La fin de l’insécurité juridique et l’instabilité politique permettront l’avènement d’un État de droit dans lequel toutes les parties respectent les règles du jeu et où la méritocratie est au premier rang.
L’État de droit dans lequel sont appliquées des sanctions coercitives atténuera profondément la corruption qui représente l’un des principaux freins aux investissements et qui ralentit l’effectivité des réformes entamées. La diminution de la corruption induira quant à elle un assainissement des finances publiques. L’assainissement des finances publiques, lui, permettra des investissements publics dans la modernisation de l’administration publique et des infrastructures ; dans l’éducation afin d’améliorer les compétences du capital humain ; dans les nouvelles technologies ou encore dans l’électrification des villes et des zones rurales. Ces investissements contribueront à l’amélioration du climat des affaires.
Des finances publiques assainies donneront également à l’État congolais la capacité de prendre des décisions économiques qui ne subissent pas le diktat des bailleurs de fonds et de quelques capitalistes véreux qui jouent au Monopoly avec l’économie nationale mais s’alignent sur les priorités nationales.
L’effet d’entraînement peut ainsi se prolonger à l’infini avec des réactions en chaine qui changeront positivement l’environnement macroéconomique de la RDC et favoriseront l’attractivité de la RDC auprès des investisseurs de tous les continents car les opportunités sont multisectorielles. Pour enclencher le mouvement, le premier domino à tomber est celui de la stabilité juridico-politique.