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26/11/2025

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🌧️ Rapport d’alerte sur les pluies du 12 novembre 2025 dans la commune de KimbansekeKinshasa, le 12 novembre 2025 Dans l...
12/11/2025

🌧️ Rapport d’alerte sur les pluies du 12 novembre 2025 dans la commune de Kimbanseke

Kinshasa, le 12 novembre 2025
Dans la nuit du mardi à mercredi, à partir de 1h du matin, la commune de Kimbanseke a été frappée par une pluie intense et prolongée, provoquant des perturbations majeures dans plusieurs quartiers. Ce phénomène météorologique, bien que saisonnier, a révélé une fois de plus les vulnérabilités structurelles et environnementales de cette zone densément peuplée de la capitale congolaise.

⛈️ Intensité et durée de la pluie

Selon les témoignages recueillis sur place, la pluie a commencé de manière modérée avant de s’intensifier rapidement, atteignant un pic entre 2h et 4h du matin. Des rafales de vent ont accompagné les précipitations, aggravant les risques d’effondrement des habitations précaires et de chute d’arbres. La pluie s’est poursuivie jusqu’au petit matin, avec des épisodes intermittents de forte intensité.

🏚️ Conséquences sur les infrastructures et les habitations

Plusieurs quartiers de Kimbanseke, notamment Luebo, Biyela etc.. ont été touchés par des inondations. Des caniveaux obstrués ont débordé, transformant les rues en véritables rivières. Des maisons construites en matériaux non durables ont été envahies par les eaux, forçant certaines familles à se réfugier chez des voisins ou dans des écoles non touchées.

Des témoignages font état de pertes matérielles importantes : matelas, vivres, documents administratifs et équipements électroniques ont été endommagés. Aucune perte humaine n’a été confirmée à l’heure de rédaction de ce rapport, mais des cas de blessures légères ont été signalés, notamment chez des enfants surpris dans leur sommeil.

🚧 Mobilisation communautaire et absence d’intervention rapide

Face à l’urgence, des jeunes du quartier se sont mobilisés spontanément pour dégager les caniveaux et aider les familles sinistrées. Toutefois, aucune intervention officielle des services de la voirie ou de la protection civile n’a été observée dans les premières heures suivant l’événement, malgré les appels lancés par les chefs de quartier.

Cette absence d’intervention rapide soulève des questions sur la coordination des services municipaux en période de crise climatique, surtout dans les communes périphériques comme Kimbanseke.

📢 Recommandations à l’attention du Gouvernement de la ville

Ce rapport vise à alerter les autorités urbaines sur la nécessité urgente de :

• Mettre en place un système d’alerte précoce pour les pluies nocturnes
• Déployer des équipes de secours dans les zones à risque dès les premières heures
• Réhabiliter les caniveaux et les bassins de rétention d’eau
• Sensibiliser les populations sur les comportements à adopter en cas d’inondation
• Soutenir les familles sinistrées par des aides d’urgence (matériel, relogement temporaire)

📸 Documentation visuelle

Des images prises sur le terrain montrent clairement l’ampleur des dégâts. Elles peuvent être transmises aux autorités compétentes pour appuyer ce rapport et faciliter une réponse rapide et ciblée.

Journaliste free-lance
Daniel BUMBA🚨🚨

12/11/2025

🚨🚨🚨Daniel Daniel BUMBA Tala kolela Kimbanseke na mbula le 12 Novembre 2025😩😩 Journaliste free-lance Israël Mutombo Actualités Rdcongo Actualite.cd

Les régies financières de la République démocratique du Congo ont atteint un taux de réalisation de 100% dans la mobilis...
11/11/2025

Les régies financières de la République démocratique du Congo ont atteint un taux de réalisation de 100% dans la mobilisation des recettes publiques pour la période allant de janvier à octobre 2025. Elles ont collecté 23.294 milliards de francs congolais (CDF), contre des prévisions fixées à 23.289 milliards de CDF.

Comparées à la même période en 2024, où les recettes s’élevaient à 21.176 milliards de CDF, ces performances représentent une hausse de 2.117 milliards de CDF, soit +10%, confirmant la progression de la mobilisation fiscale et parafiscale dans le pays.
Une performance portée par le pilotage du ministère des Finances
Cette dynamique est attribuée à la coordination stratégique menée par le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, ainsi qu’à l’engagement continu des régies financières (DGI, Dgda, Dgrad) dans l’amélioration du rendement et de la discipline budgétaire.

Sous l’impulsion du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, des réunions mensuelles d’évaluation avec les directions générales des régies permettent de suivre la performance en temps réel et de réorienter les stratégies lorsque nécessaire.
Chaque régie a, en parallèle, renforcé ses mécanismes internes de contrôle et de responsabilisation.
Digitalisation, lutte contre la fraude...
Le Plan stratégique de mobilisation des recettes à l’horizon 2028 constitue le référentiel majeur des réformes en cours. Ses principaux axes incluent :
- L’élargissement de l’assiette fiscale ;
- La mise à jour et la fiabilisation du répertoire des contribuables ;
- La digitalisation des procédures et paiements ;
- Le renforcement du contrôle fiscal et du recouvrement ;
- La lutte contre la fraude et l’évasion fiscale.
Dans le même élan, les régies sont tenues d’établir un plan d’apurement des restes à recouvrer, ciblant les créances mobilisables pour maximiser les recettes effectives.
Des receveurs soumis à prestation de serment
En septembre 2025, les receveurs de la Direction générale des impôts (DGI) ont prêté serment conformément au Règlement Général sur la Comptabilité Publique, une mesure visant à sécuriser les flux financiers de l’État.
Les mêmes dispositions seront progressivement étendues à la Dgda et à la Dgrad.
Maintien du cap
Cette performance, qualifiée de significative et structurante, appelle à préserver la même rigueur au cours des deux derniers mois de l’exercice, afin de consolider les acquis et poursuivre la modernisation de la gestion publique.

La République démocratique du Congo (RDC) se prépare à accueillir le 9ᵉ Sommet des chefs d'État et de Gouvernement de la...
11/11/2025

La République démocratique du Congo (RDC) se prépare à accueillir le 9ᵉ Sommet des chefs d'État et de Gouvernement de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), prévu le 15 novembre 2025. Cet événement s'annonce capital car la RDC succédera à l'Angola à la présidence de cette institution régionale, marquant son ambition d'être un moteur essentiel pour la paix et la stabilité dans la sous-région.

Le Rwanda convié malgré les accusations d'agression
Le point le plus marquant de ce sommet est la présence attendue du Rwanda. Malgré les accusations persistantes de la RDC selon lesquelles le Rwanda est le pays qui l’agresse et soutient le groupe rebelle AFC-M23, l'invitation a été confirmée.
Interrogé sur le sujet, le Ministre de l'Intégration régionale, Floribert Anzuluni, a été catégorique : « Nous pouvons vous assurer, que la CIRGL est un cadre multilatéral. Tous les pays devant y participer ont été conviés diplomatiquement à y prendre part ».

Le Ministre a également précisé que des dispositions sont prises pour permettre une participation virtuelle si des chefs d'État ne peuvent pas être présents physiquement.
Transformer les différends en développement économique
La RDC entend bien utiliser sa nouvelle présidence non pas pour « régler ses comptes », mais pour offrir un cadre de résolution pacifique des différends régionaux.
L'objectif ultime, selon le Ministre de l'intégration régionale, est de faire de la paix le préalable à une intégration économique plus forte.
Floribert Anzuluni a insisté sur cette double priorité :
* Résolution : « On veut trouver des solutions pacifiques pour mettre un terme à ces différents groupes armés ».
* Développement économique : « Ne pas oublier de travailler ensemble pour accroître le développement économique qui passe par une plus grande intégration économique entre les différents pays de la région ».
Intégration régionale par le chemin de fer
Pour illustrer cette ambition de développement, un projet d'infrastructure majeur sera au cœur des discussions : le chemin de fer intégrateur.
Ce projet stratégique vise à relier l'Est de la RDC à la côte :
* Le chemin de fer part de la Tanzanie.
Il est arrivé au Burundi.
* Prochaine étape : extension jusqu'à Uvira, en RDC.
* Destination finale : Kindu.
Ce corridor économique est considéré comme essentiel pour avoir un « impact économique immédiat sur les populations » en stimulant le commerce et l'emploi.
Le 9ᵉ Sommet de la CIRGL est donc attendu comme un test majeur de la capacité des pays des Grands Lacs à mettre la coopération économique au-dessus des tensions politiques et sécuritaires.
La CIRGL est composée de 12 États membres : Angola, Burundi, RCA, République du Congo, RDC, Kenya, Ouganda, Rwanda, Soudan, Soudan du Sud, Tanzanie et Zambie.

La RDC a lancé une campagne demandant aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) de se rendre et de déposer...
11/11/2025

La RDC a lancé une campagne demandant aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) de se rendre et de déposer les armes, en vue de leur rapatriement au Rwanda. En cas de refus, les combattants seront contraints par la force, selon le message officiel. Cette phase de contrainte est déjà en préparation, dans le cadre de l’accord du 27 juin signé entre Kinshasa et Kigali.
Le 7 novembre 2025, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont examiné ensemble les préparatifs des opérations militaires contre les FDLR et adopté un accord de mise en œuvre. Ces initiatives s'inscrivent dans une volonté commune d'en finir avec la présence du groupe armé, considéré comme l'un des plus anciens encore actifs dans l'est du Congo.
« Remettre les armes, c'est une utopie »
Le lieutenant-colonel Octavien Mutimura, porte-parole des FDLR-FOCA, rejette catégoriquement tout désarmement. « On doit juger la cause de notre lutte armée. Nous sommes là pour nous protéger et protéger les réfugiés rwandais abandonnés. Remettre les armes sans que toutes les conditions soient réunies, c'est une utopie », affirme-t-il à RFI.

Face à la menace d'une opération militaire conjointe, le porte-parole des FDLR se veut ferme : « Quand on est dans le feu, on ne peut pas redouter d'être attaqués. Nous sommes parmi les cibles de Kigali. Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali admette un dialogue inter-rwandais et un retour des réfugiés en toute dignité. »
Les FDLR affirment par ailleurs être la cible d'attaques menées par l'AFC/M23. « Nous sommes dans les zones où se mènent les combats. L'AFC/M23 nous attaque et menace nos réfugiés. Nous sommes dans l'obligation de les protéger », explique Octavien Mutimura.
Un contexte de rapatriement de réfugiés
Alors que les FDLR disent vouloir protéger les réfugiés rwandais, les opérations de rapatriement se poursuivent sous la coordination du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Le 21 octobre, 277 Rwandais ont traversé la frontière de Rubavu depuis l'Est de la RDC. En août, 532 réfugiés, représentant 168 familles, avaient déjà regagné le Rwanda. En trois mois, plus de 800 personnes ont donc choisi le retour volontaire, selon le HCR.

Parallèlement, le Rwanda poursuit le processus de démobilisation. Le 7 novembre, la 76e phase du programme a été lancée au centre de Mutobo, à Musanze, avec 156 anciens membres des FDLR et milices affiliées. Trois mois de formation sont prévus, axés sur la réinsertion, la discipline, et l'éducation civique.
Mais pour les FDLR, le HCR ne joue pas un rôle neutre. « Les réfugiés, ce sont nos parents, nos enfants. On ne peut pas séparer une famille rwandaise comme ça. Certains des gens envoyés au Rwanda avec l'aide du HCR sont des Congolais. Et d'autres sont capturés, puis renvoyés de force. Nous accusons le HCR de jouer le jeu du Rwanda », dénonce Octavien Mutimura.
Rejet de toute collusion avec les FARDC, appel à « un dialogue entre présidents »
Le groupe armé, souvent accusé par les Nations unies de coopérer avec les Forces armées de la RDC (FARDC), dément fermement. « Les experts des Nations unies se trompent. Comment peut-on être à la fois amis et ennemis de Kinshasa ? Nous sommes traqués. Nous avons perdu beaucoup d'hommes et du matériel dans la traque de septembre 2024 », déclare le lieutenant-colonel Mutimura.

Selon lui, les FDLR se trouvent actuellement dans des zones contrôlées par l'AFC/M23, notamment à Bwisha, dans le territoire de Rutshuru, où elles affrontent régulièrement leurs adversaires. Concernant leurs capacités militaires, Mutimura reste évasif : « Nous avons un nombre consistant. L'effectif est significatif. Nous comptons sur notre détermination. »
Les rapports divers évoquent entre 1 500 et 3 000 combattants, mais le porte-parole estime que ce chiffre est sous-évalué.
Les FDLR appellent également les médiateurs qatariens et américains à accentuer la pression sur Kigali. « Il faut qu'ils mettent la pression sur Paul Kagame pour avoir un dialogue inclusif entre Rwandais. La solution en Afrique centrale, c'est que les présidents s'assoient et se parlent en toute franchise, pour que les peuples de la région vivent en paix et en symbiose », conclut Mutimura.
De multiples tentatives déjà engagées
Depuis deux décennies, plusieurs initiatives ont tenté de régler la question des FDLR. En 2001, un premier processus avait conduit au désarmement et au cantonnement des combattants à Kamina, ainsi qu'à la destruction publique d'armes à Kinshasa, en présence de la communauté internationale. En 2014, plus de 1 500 combattants avaient remis leurs armes à la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC) et à la Mission de l'Organisation des Nations unies pour la stabilisation en république démocratique du Congo (MONUSCO), avant d'être cantonnés, avec leurs familles, dans les camps de Kisangani, Kanyabayonga et Walungu, toujours sous supervision internationale.
La même année, une réunion de Rome, organisée sous la médiation de la Communauté Sant'Egidio et représentée par le cardinal Matteo Maria Zuppi, avait réuni des représentants des États-Unis, de l'Union européenne, des Nations unies et du gouvernement congolais, dans une nouvelle tentative de dialogue et de démobilisation du mouvement.

De 2009 à 2015, plusieurs opérations militaires conjointes entre les FARDC, les Forces rwandaises de défense (RDF) et la MONUSCO ont été menées dans l'Est de la RDC, conjointement ou avec seulement les FARDC. Parmi elles : Umoja Wetu, Kimia I et II, Amani Leo, Amani Kamilifu ou encore Sokola II. Ces offensives ont provoqué des centaines de milliers de déplacés et de nombreuses pertes civiles, sans jamais régler définitivement la question.
Il reste à savoir comment va se dérouler la nouvelle campagne de lutte contre les FDLR, comment se passera la collaboration entre les FARDC et les RDF, et quel rôle jouera l'AFC/M23.

10/11/2025

Par manque de maturité professionnelle, il lui arrive de contredire ses confrères journalistes de manière précipitée🤔

Lors de la réunion du Conseil des ministres qu’elle a présidée ce vendredi 07 novembre 2025, la Première Ministre de la ...
10/11/2025

Lors de la réunion du Conseil des ministres qu’elle a présidée ce vendredi 07 novembre 2025, la Première Ministre de la République démocratique du Congo, Judith Suminwa, est revenue sur les avancées réalisées dans le cadre des discussions entre le gouvernement congolais et le Fonds Monétaire International (FMI). Ces échanges interviennent dans le cadre de la deuxième r***e du programme de la Facilité Élargie de Crédit (FEC) et de la première r***e du programme de la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD).

Selon la Cheffe du Gouvernement, un accord préliminaire a été trouvé avec le FMI, lequel a salué les progrès réalisés par la RDC en matière de réformes économiques. L’institution financière internationale a particulièrement encouragé la poursuite des efforts, notamment dans la mobilisation accrue des recettes intérieures et la rationalisation des dépenses publiques, jugées essentielles pour stabiliser le cadre macroéconomique national.

Afin de renforcer la trajectoire de discipline budgétaire engagée, la Première Ministre a instruit le Vice-premier ministre, ministre du Budget, ainsi que le ministre des Finances, de procéder à un réajustement du Plan de trésorerie et du Plan d’engagement budgétaire pour le dernier trimestre 2025.
L’objectif est d’aligner les différents décaissements sur les recettes projetées pour la même période, dans une logique de gestion prudente et prévisible.

Elle a insisté sur la nécessité d’une gestion rigoureuse des fonds publics, dans le respect des contraintes budgétaires, afin de préserver la crédibilité financière du pays.

La Première Ministre a rappelé que la réussite de cette démarche repose sur l’engagement responsable de l’ensemble des membres du Gouvernement.
Elle a souligné que la transparence et la rigueur constituent des conditions indispensables pour consolider la confiance des partenaires techniques et financiers, et garantir l’efficacité des politiques économiques menées.

Cette volonté, a-t-elle renchéri, vise à assurer la stabilité financière du pays, tout en créant les conditions d’une croissance durable et résiliente au bénéfice de la population congolaise.

Lukusa tozo zela yo na Bosolo Télévision mercredi Israël Mutombo 🥋
10/11/2025

Lukusa tozo zela yo na Bosolo Télévision mercredi
Israël Mutombo 🥋

La ministre d’État en charge de l’Éducation, Raïssa Malu, a salué les avancées apportées par l’intelligence artificielle...
10/11/2025

La ministre d’État en charge de l’Éducation, Raïssa Malu, a salué les avancées apportées par l’intelligence artificielle (IA) dans le processus de correction de l’Examen d’État, édition 2025, en RDC.

Intervenant au Sommet mondial de l’Internet, tenu du 6 au 9 novembre à Wuzhen, dans la province du Zhejiang (Chine), elle a souligné que l’IA a permis au gouvernement congolais de garantir la méritocratie et de lutter efficacement contre la fraude lors de cette épreuve nationale.

Ce sommet de quatre jours a réuni des représentants gouvernementaux, des géants de la technologie et des institutions de recherche, venus partager les innovations numériques intégrées dans le système éducatif congolais.

« Ce qui autrefois prenait 45 jours et était sujet à l’erreur humaine est désormais accompli en trois jours, avec une fiabilité accrue », a déclaré Raïssa Malu.

Elle a également affirmé que « l’intégrité du capital humain commence par la fiabilité de ses titres ». Face au fléau de la falsification des diplômes, la RDC délivre désormais des e-diplômes sécurisés par la technologie Blockchain, afin de protéger l’avenir des jeunes et de renforcer la crédibilité du pays sur la scène internationale.

La ministre a rappelé que la RDC, en tant que pays-continent, fait face au défi d’atteindre des millions d’enfants, souvent situés dans des zones reculées ou en conflit. Pour y répondre, le gouvernement a légalisé et encadré l’enseignement à distance, offrant ainsi à un plus grand nombre l’accès au cyberespace. « C’est le socle de l’équité pour un développement durable », a-t-elle souligné.

Raïssa Malu a enfin plaidé pour une coopération internationale fondée sur trois piliers essentiels :

La mutualisation des expériences en gouvernance numérique ;
L’inclusion, qui passe non seulement par les infrastructures, mais aussi par la capacité à opérer hors réseau et en langues locales ;
L’investissement dans l’humain, en rappelant que « l’Afrique est le réservoir de la jeunesse mondiale.

Les évêques de l’Église de Réveil au Congo (ERC) ont qualifié la situation de la RDC de « génocide », se référant au Pri...
10/11/2025

Les évêques de l’Église de Réveil au Congo (ERC) ont qualifié la situation de la RDC de « génocide », se référant au Principe de Nuremberg de 1950 et au Statut de Rome de la Cour pénale internationale. Ils ont présenté cette situation dimanche 9 novembre dans un rapport sur la situation de la RDC, publié à la clôture d’un sommet de prières patriotiques organisé à Kinshasa.

Ce document s’inscrit dans une pétition initiée par les évêques de l’ERC visant à faire reconnaître internationalement le génocide congolais. Ce rapport met en lumière les atrocités commises, notamment dans l’Est du pays, où des millions de vies ont été perdues, des femmes violées et des enfants privés d’éducation.
L’événement a également regroupé des personnalités comme la Révérende Paula White-Cain de la Maison-Blanche, l’archevêque Nicolas Duncan-Williams du Ghana, ainsi que des responsables du Fonds national de réparation des victimes des violences sexuelles liées aux conflits (FONAREV).

Le président Félix Tshisekedi, présent à la clôture, a salué cette mobilisation, qualifiant la visite et les échanges comme un « tournant dans le destin du pays ».
L’archevêque Duncan-Williams a, pour sa part, proclamé que la RDC se tient désormais « debout, digne et unie », soulignant l’importance de la foi dans le processus de rétablissement national.
Un témoignage poignant d’une survivante des violences sexuelles a aussi été partagé au cours de cette rencontre, illustrant les souffrances mais également la résilience des victimes.
En amont, le FONAREV) avait sensibilisé l’assistance à travers le témoignage poignant d’une survivante, évoquant les souffrances liées à la guerre et son parcours de résilience.

Le journal affirme que Téhéran conserve une importante réserve d’uranium enrichi et accélère la production de missiles e...
10/11/2025

Le journal affirme que Téhéran conserve une importante réserve d’uranium enrichi et accélère la production de missiles en vue d’un affrontement futur.
Un nouveau conflit entre Israël et l’Iran ne serait plus qu’une question de temps, selon une enquête du New York Times publiée dimanche. Le journal américain affirme que, malgré la guerre éclair de douze jours en juin dernier, Téhéran conserve une importante réserve d’uranium enrichi et accélère la production de missiles en vue d’un affrontement futur.

D’après des responsables et experts du Moyen-Orient cités par le quotidien, les frappes israéliennes et américaines de l’été n’auraient infligé que des dégâts limités aux infrastructures nucléaires iraniennes. Le programme nucléaire de la République islamique serait toujours opérationnel, et les deux pays se prépareraient désormais à un second round.
Le rapport évoque un stock d’uranium hautement enrichi suffisant pour produire jusqu’à onze bombes nucléaires. Les autorités iraniennes affirment que ce stock a été enseveli sous les décombres, tandis qu’Israël pense qu’il a été déplacé dans un site sécurisé. Parallèlement, l’Iran aurait intensifié ses travaux sur une nouvelle installation d’enrichissement à laquelle les inspecteurs internationaux n’ont plus accès.
Ali Vaez, directeur du projet Iran au sein de l’International Crisis Group, estime que Téhéran "travaille jour et nuit" pour accroître sa puissance de frappe. L’objectif serait de pouvoir lancer 2 000 missiles simultanément, contre 500 durant le dernier conflit, afin de saturer les défenses israéliennes. "Israël considère que le travail n’est pas terminé, et l’Iran se prépare à la prochaine manche", a-t-il déclaré, tout en précisant qu’aucune reprise immédiate des hostilités n’est attendue.

Les perspectives diplomatiques apparaissent minces. Le retrait des États-Unis de l’accord nucléaire de 2015, décidé lors du premier mandat de Donald Trump, puis son expiration officielle récemment, ont rouvert la voie aux sanctions internationales contre l’Iran. Le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a par ailleurs rejeté toute possibilité de rapprochement avec Washington, accusé de soutenir "le régime sioniste maudit" et d’interférer dans la région.
Les dirigeants iraniens restent divisés entre partisans d’une reprise des négociations et partisans d’une confrontation. Tous, en revanche, s’accordent sur un point : un nouvel affrontement avec Israël semble inévitable. Selon le New York Times, les préparatifs militaires des deux camps confirment que la trêve de juin n’aura été qu’une pause dans une guerre appelée à reprendre.

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