20/07/2025
🔴 — NON, L’HISTOIRE NE S’ÉCRIT PAS AVEC DES SLOGANS.
La Déclaration de Principes signée à n’est ni une capitulation ni une réédition, encore moins une ligne droite vers le déploiement unilatéral d’un régime qui a abandonné nos populations.
📌 L’accord ne parle pas de "retrait obligatoire", mais de cessation des hostilités mutuelles.
📌 Il ne parle pas de “déploiement immédiat des institutions”, mais du rétablissement de l’autorité de l’ selon des modalités à définir dans un accord global.
L’article 4 est clair :
"Le rétablissement de l’autorité de l’État constitue un élément clé de l’accord de paix, lequel définira les modalités et le processus de cette restauration."
Cela veut dire , pas de retour unilatéral, pas de diktat, pas de vengeance institutionnelle.
De plus, l’accord est signé par “Les Parties”, en reconnaissant explicitement l’AFC/M23 comme acteur légitime du processus de paix.
Oui, nous sommes une Partie.
Et cela veut dire :
que nous participons à la conception du nouvel ordre public,( y compris les institutions dont la présidence) ,
que nous avons droit de regard sur chaque modalité de mise en œuvre,
que nous sommes co-constructeurs, et non cibles d'une opération politique.
Quant à la souveraineté nationale, nous n’avons jamais cherché à la violer.
C’est justement parce que le pouvoir central l’a trahie, en abandonnant le , le , , la , ...en pillant les ressources, en sacrifiant la jeunesse, que le peuple s’est levé et que la révolution a pris corps.
L’accord de Doha est un pas vers une paix juste, pas vers une vengeance d’État.
Il n’annule pas la mémoire, ni la douleur, ni les causes profondes du conflit.
Il ouvre un espace pour réécrire l’État congolais avec les peuples .
peut signer ses tweets à coups de drapeaux.
Nous signons l’histoire avec la légitimité du terrain et de la vision