
15/07/2025
Année scolaire 2025-2026.
Tout est permis.
Nos autorités, au-delà de toutes les bêtises qu’elles ont déjà faites, n’ont pas l’intention de s’arrêter.
Permettre aux jeunes filles enceintes de poursuivre leur scolarité, malgré les contraintes physiques et émotionnelles liées à la grossesse, peut avoir des conséquences sur l’équilibre de l’environnement scolaire. C’est, d’une certaine manière, banaliser des situations qui devraient pourtant interpeller notre société et notre système éducatif, comme les grossesses précoces ou les unions avant l’âge légal. C’est comme légaliser le mariage d’une fille de moins de 15 ans.
La salle de classe n’est pas toujours un cadre adapté pour répondre aux besoins spécifiques d’une élève enceinte. Il est illusoire, voire idiot, de penser que toutes les exigences liées à son état pourront y être prises en charge.
En d’autres termes, c’est donner une mauvaise leçon aux jeunes filles qui n’avaient d’autre ambition que de se consacrer à leurs études.
Il ne s’agit pas ici de les rejeter ou de les condamner, mais de penser à une meilleure manière de les accompagner et de les protéger, hors d’un cadre scolaire inadapté à leur situation.
La décision de maintenir les filles enceintes en classe est profondément absurde.
Dans nos écoles catholiques, il existe un certain nombre de règles. Ce sont elles qui permettent de maintenir l’ordre, la discipline, la distinction, l’exemplarité et le sérieux de nos établissements. Parmi ces règles figure celle-ci : Une fille enceinte ne peut pas poursuivre les études dans cet état.
Mélanger les louves et les agneaux dans un enclos est un niveau d’idiotie inquiétant.