EMILE ZOLA Écrivain De La Littérature Négro-africaine

EMILE ZOLA Écrivain De La Littérature Négro-africaine Lire Mes Oeuvres Et Mes Romans

25/05/2022

Met. Seulement. VU☝️👇
Et le nom de l'école

L'homme aux écrits pour servir sa nation et le monde entier
25/05/2022

L'homme aux écrits pour servir sa nation et le monde entier

19/04/2022

📌 /Coutume et tradition/ Les types de dot : Des chèvres, mais le nombre varie selon les tribus!

👉Chez les Nandes ou Yira, peuple vivant principalement dans le grand Nord-Kivu, la dot est fixée à 12 chèvres.

👉C’est pareil pour les Tembo, un peuple du Sud-Kivu. C’est le même nombre, officiellement, chez les Hunde, un peuple de Masisi, une partie sud du Nord-Kivu. Mais chez eux, quelques chèvres s’ajoutent, comme l’explique Eric Sima : « Au total j’en avais donné 18. En plus de 12, il en faut une pour les frères, une pour les tantes, une pour les oncles, une pour maman, une pour demander l’épouse, etc. »

👉Chez les Bazimba, un peuple du Maniema, il faut jusque 25 chèvres.
Ces chèvres s’accompagnent d’autres cadeaux qui sont plus ou moins les mêmes pour différentes tribus : Une grosse casserole ou le Kirinda (chez les Hunde) , une couverture, des habits pour les beaux-parents et pour la femme, un bidon vide, un box de sel de table, une machette, une houe etc.

👉Mais attention, chez certains peuples, dont les Shi du Sud-Kivu, ou les Tutsis, donner des chèvres en guise de dot peut être considéré comme une vraie insulte à la fiancée et à sa famille.
Un calibre 12 pour la chasse, une machine à coudre ou un appareil électronique

👉Chez les Lega, un peuple qui est à cheval entre le Sud-Kivu et le Maniema, le fusil calibre 12 est nécessaire. Il est accompagné des « Miziba », les coraux ou des perles que l’on ramasse dans les lits des cours d’eau douce.
Des boissons : de la bière, du vin ou du jus
Oui, il existe de tribus où seules les boissons suffisent comme dot. Il faut avoir à l’idée le fait que la dot est, en son essence, un cadeau. Un symbole de rapprochement entre les familles.

👉Chez les Kongo, le futur marié apporte de la bière, du vin et du jus. Actuellement cela se traduit par minimum deux caisses de bière, 2 caisse de boissons sucrée non alcoolisée (jus), 1 bidon de vin de palme, et de l’argent pour acheter un décapsuleur (cela se négocie entre 10 et 50 dollars américains). Mais ce n’est pas tout comme boisson, il faut ajouter un « nkotolo lu pangu », un pack d’alcool très fort, souvent du whisky, le mbogolo nkento une somme de près de 100 dollars américains ( si le futur époux veut directement cohabiter avec sa compagne). Pour terminer, on demande une série d’amandes payables en monnaie.

👉Chez Les Budu, à Wamba dans le Haut-Uélé, un bidon de Libondo, du vin palmiste, et celui de Mangoka, une liqueur forte faite à base de maïs, sont une exigence auxquelles on ne déroge pas.

Des outils de pêche

👉Chez les Lokele, un peuple qui vit sur les larges du majestueux fleuve Congo dans la province de la Tshopo, la dot est principalement constituée d’une pirogue et d’un filet. A cela on ajoute le manioc, un régime de banane plantain, du sombe (feuilles de manioc), des escargots et un bidon d’huile.

La dot en nombre de caches

👉Alors que chez les Shi (Sud-Kivu), la tradition fixe la dot à 2 vaches, aujourd’hui elle se négocie de plus en plus difficilement selon les familles. Certaines exigent jusque 5 vaches et au-delà. Chez les Hema, un peuple pasteur d’Ituri, il en faut 10 pour épouser une femme.

👉Et pour les Lendu (Ituri), il faut un mélange : 4 vaches plus 16 chèvres. Si la fille a fait des études supérieures, la dot peut monter jusqu’à 32 chèvres. Une anecdote sur la dot en termes de vaches : chez les Shi, la bouse est rendue tous les jours à la famille de l’époux jusqu’au jour où la vache mettra bas, assurez-vous donc qu’elle soit bien enceinte avant de la donner !

👉Le porc, un fusil de chasse et de l’alcool
Chez les Bowa, un peuple de Buta dans le Bas-Uélé, il faut 7 porcs ou cochons pour épouser une femme, un calibre 12, des escargots, 2 régimes de banane, des cocoricos, des arachides, un bassin, de la bière, un pagne de luxe type Super Wax, imprimé aux Pays-Bas.

Le troc, épouse ma sœur et j’épouse la tienne.

👉Chez les pygmées. Il n’y pas de présent dit dot. On le fait troc, comme au début des échanges commerciaux. « Je te donne ma sœur, tu me donne la tienne. C’est tout », précise Bradeau Mbafumoja , un journaliste qui vit avec ce peuple dans la cité d’Oicha (Nord-Kivu).

📌Connaissez-vous d’autres types de dot selon les coutumes, postez-les en commentaire.

19/04/2022

🇨🇩lisons la constitution congolaise à son article 18

"Toute personne arrêté doit être immédiatement informée des motifs de son arrestation et de toute accusation portée contre elle et ce, dans la langue qu'elle comprend. Elle doit être informée immédiatement de ses droits.
La personne gardée à vue a le droit d'entrer immédiatement en contact avec sa famille ou avec son conseil.
La garde à vue ne peut excéder quarante huit heures. A l'expiration de ce délai, la personne gardée à vue doit être relâchée ou mise à la disposition de l'autorité judiciaire compétente.
Tout détenu doit bénéficier d'un traitement qui préserve sa vie, sa santé physique et mentale ainsi que sa dignité"

📍 🇨🇩
Le Bourgmestre de la commune de Lubumbashi qui avait tenu des propos sur le comportement de quelques proche du Président Félix Tshisekedi se retrouve aux arrêts, ce mardi, à l'ANR de Lubumbashi

📍 🇨🇩
Le Pasteur Momo Mulopu arrêté à Kolwezi pour des propos diffamatoires à l'endroit du régime en place à été transféré à Kinshasa. Ses proches dénoncent le fait que personne n'a accès à lui, même pas ses avocats .
[Rachel Kisita]


🆕❤️🇨🇩

18/04/2022

📌LA COUTUME OU TRADITION LUBA
Voici quelques règles élémentaires à observer:

👉1. La belle mère est sacrée
Elle ne peut jamais serrer la main de son beau fils; Elle ne peut pas venir chez sa fille par surprise elle doit avertir quelques jours avant.
Elle ne peut pas entrer dans la maison de sa fille avec des chaussures; Elle ne peut pas s'assoir sur la chaise chez sa fille.
Elle ne peut pas entrer dans les toilettes chez sa fille ni s'y laver; Elle ne peut pas dormir chez sa fille.

En cas de force majeure cad s'il n'y a pas une autre possibilité et qu'elle doit impérativement passer la nuit chez sa fille, le mari de sa fille doit aller dormir ailleurs.

Elle ne peut pas manger la nourriture laisser par son beau fils, si elle en mange par mégarde elle va souffrir de parkisone.

👉2. Le beau père et le beau fils sont comme amis.
Le beau père peut venir chez sa fille comme il veut et quand veut, il peut partager quelques confidentialité avec son beau fils et même prendre un verre au coin. Hélas comme pour la belle mère, ils ne peuvent pas dormir chez leurs filles. En cas de force majeure le beau fils devra passer la nuit en dehors du toit conjugal.

👉3. Les belles soeurs et les beaux frères
Les moins âgés n'ont aucun interdit, les garçons d'ailleurs peuvent hériter des épouses de leurs grands frères au cas où ces derniers venaient à mourir.

Ceux qui sont plus âgés que leurs sœurs n'ont pas le droit de passer la nuit chez leurs petites sœurs, en cas de force majeure le mari de leur petite sœur devra passer la nuit en dehors du toit conjugal. Si ils ( elles) sont chez leur petite sœur pour un long séjour, le couple hôte devra les loger chez les voisins ou à l'hôtel.

👉4. Pour les polygames, la cohabitation des plusieurs épouses sous le même toit est prohibée dans les coutumes luba, chaque épouse doit avoir son propre toit.
Le respect se tient selon l'ordre d'arrivée, la première épouse détient l'autorité sur les toutes les autres, la deuxième sur les suivantes etc.

👉5. Le toit conjugal: Il est sacré pour tous.
Les enfants mariés ne peuvent pas habiter avec leurs conjointe(es) sous le toit paternel. En cas de force majeure ils devront être séparés et éviter à tout prix d'y s'accoupler. Les enfants célibataire ne peuvent eux non plus s'accoupler avec leurs fiancé(es) sous le toit paternel
L'épouse et l'époux eux aussi ne peuvent s'accoupler avec des amants sous le toit conjugal.

👉6. Le mariage, il est exclusivement sous l'apanage du père de la fille s'il est vivant ou de l'oncle paternel si le père est décédé ou absent, si le père n'avait pas épousé la mère de la fille, il ne recevra qu'à titre symbolique une veste, une chemise et des souliers. Dans ce genre de cas c'est l'oncle maternel qui jouit de la dot.
La dot étant un symbole elle ne dépasse pas 1000$.
Après la nuit de noce si l'époux constate que son épouse avait garder la virginité, il devra faire cadeau d'une chèvre à la maman de la fille comme remerciement.

👉7. Le tshibawu et le tshibindi
Le tshibindi signifie délit ou infraction.
Le tshibindi s'observe ou s'avoue dans divers cas dont le plus connu est l'infidélité de la femme. Il existe pourtant plusieurs autres formes aussi mortelles que l'infidélité entre autres. S'accoupler avec une sœur, une cousine, avec sa fille, avec son père, avec sa mère, avec le frère de son époux, voir la nudité d'un parent père, mère, oncle, tente etc, avec l'amant(e) de son père ou de sa mère.
Le tshibawu signifie sanction ou sentence

On évoque ce terme après une constatation du tshibindi pour faire payer au coupable l'infraction commise. Il s'évalue selon le degré et la gravité de l'infraction et se paie en nature ou espèce.

📌À découvrir : « OKITO » Le Mariage arrangé chez les TETELA en cliquant ici👇
https://www.facebook.com/308208545882723/posts/5064240246946172/?d=n

18/04/2022

📌Mariage chez les Mongo : La modernité n’occulte pas la tradition

La famille de la Mariée nous attend sur le seuil avec des pagnes faisant le substitut du « tapis rouge » pour l’élu ! Une « taxe » lui est exigé à l’entrée de la salle. Début des pourparlers. On négocie.

Des billets circulent, des proverbes s’affolent et voltigent au-dessus des cris et des fous rires. Des billets de banque fripés garnissent les sacs de certaines tantes qui jouent les entremetteuses. Le modus vivendi est enfin trouvé. L’incident est clos.

C’est sur ces entrefaites que le Marié peut accéder triomphalement dans la pièce sous les ovations d’une assistance chauffée à blanc. Des hourras et des « houlou lou lou lou lou » sont balancés à souhait. Premier constat : Tout le monde est là, sauf la Mariée. On prétend qu’elle est à Mbandaka dans la province de l’Équateur en RDC. Bon, fermons la parenthèse.

Deux camps distincts se tiennent en respect, se faisant face. Deux sièges, également disposés de manière frontale, sont réquisitionnés. Ils seront occupés par les représentants de deux familles en présence. Dans un coin, sont exposés des objets divers et des denrées alimentaires. Un banquet à peine couvert laisse échapper un fumet qui laisse présager un festin digne de ce nom.

Une longue liste reprenant les effets de la dot est étalée sur la table. Après les présentations et échanges des civilités, les choses sérieuses peuvent alors commencer. La famille de la mariée exige « réparation » pour les sacrifices consentis pour assurer l’éducation sa fille, de la maternité à ce jour. Je ne pourrais énumérer le contenu de la liste ainsi présentée. Tout y était : des vestes, des dame-jeanne de vin, des chemises, des lampes-tempêtes, des ceintures, des cravates, un fusil de chasse, des chaussures hommes et dames, des cartons de Whisky Jack Daniel’s, des wax hollandais, des foulards, des sacs de sucre, des casseroles, des grosses boîtes de lait, des casiers de bière, des tas de bananes, une lampe « Coleman », des sacs de sel … et une somme d’argent conséquente. Le compte est bon.

C’est alors que la future belle-famille demandera l’argent pour aller chercher la Mariée à Mbandaka, qu’importe le moyen de transport à utiliser (avion, bateau, train, bus, vélo etc). Tel dans un scénario boutiqué d’avance, les acteurs que sont les délégués de deux familles négocient alors le coût du transport. Après accord, la Mariée fera son entrée, un quart d’heure plus t**d, sous des pas cadencés de musique. C’est cela la symbolique du rituel Mongo conçue sous forme de théâtralisation, pour détendre l’atmosphère et couronner le processus laborieux du mariage. Ainsi la tradition Mongo est-elle honorée dans la bonne humeur et le respect mutuel, au grand enchantement des conservateurs de ses us et coutumes.

Femmedafriquemagazine

18/04/2022

🇨🇩Augustin Kabuya :"Les problèmes que nous traversons n'ont pas permis de faire ce que l'UDPS avait comme projet. Même la Constitution de notre pays a des directives. Pour mettre sur pied un gouvernement il y a des procédures à suivre. On s'est retrouvé dans un contexte que personne ne pouvait s'imaginer."
Et d'ajouter :
"D'un côté, l'UDPS avait la magistrature suprême, et de l'autre côté, il y avait une autre personne qui avait sa majorité. Mais pour travailler qu'est-ce qu'on devait faire ? Nous étions obligés de nous incliner devant cette réalité de la Constitution" , SG/Udps
🆕❤️🇨🇩

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