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Amis des Diables Rouges du Congo-ADRC

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Amis des Diables Rouges du Congo-ADRC

ADRC est une association sportive et culturelle qui soutient l'équipe nationale congolaise de footb

27/10/2025

[No Comment]

Ministère de la Jeunesse et des Sports- Congo
Fédération Congolaise de Football

27/10/2025

De 2015 à 2025, huit entraîneurs se sont succédé sur le banc des Diables Rouges : Claude Leroy, Pierre Lechantre, Barthélémy Ngatsono, Sébastien Migné, Valdo Cândido, Paul Put, Isaac Ngata et Fabrizio Cesana. Une décennie marquée par des changements constants, mais pour un même résultat : l’échec. Aucun de ces techniciens, pourtant expérimentés pour la plupart, n’a réussi à faire briller le Congo sur la scène africaine. Ce constat pousse à se poser la vraie question : le problème vient-il réellement des entraîneurs ?

Il est trop facile de pointer du doigt le staff technique ou les joueurs après chaque défaite. Le vrai mal est bien plus profond. Lorsqu’un homme change de femme à chaque fois sans jamais trouver la stabilité, il est évident que le problème ne vient pas forcément des femmes, mais de lui-même. De la même manière, si le Congo change d’entraîneur sans jamais progresser, c’est qu’il y a un dysfonctionnement structurel et institutionnel qui gangrène notre football depuis longtemps.

La vérité, c’est que les causes de nos échecs ne sont pas sur le terrain, mais dans les bureaux. Le ministère des Sports, la fédération et même certaines influences politiques freinent le développement du football congolais. Tant que ces structures resteront gangrenées par la mauvaise gestion, les ingérences et le manque de vision, aucun entraîneur, aussi compétent soit-il, ne pourra réussir. Il est temps de regarder la réalité en face : pour redonner vie à nos Diables Rouges, c’est tout le système qu’il faut réformer, pas seulement le banc de touche.

Ministère de la Jeunesse et des Sports- Congo

Fédération Congolaise de Football

25/10/2025

Si c'était toi le problème, tu n'allais pas arriver à qualifier l'Ouganda à la CAN

Eza nde bango moto bazo boma football na biso surtout papa wana.

To sengui na yo olimbissa bisso na mabé to sali yo. To lingaki to salir vraiment image na yo alors que ossali eloko té

15/10/2025

⚽ Bilan catastrophique des Diables Rouges : une campagne à oublier ! 🇨🇬

Les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 zone Afrique ont tiré leur révérence, laissant derrière elles un goût amer pour les supporters congolais. Les Diables Rouges du Congo ont vécu la pire campagne de leur histoire, marquée par les défaites, les sanctions, et les polémiques institutionnelles qui ont plongé le football national dans une profonde crise.

Dès le départ, le ton était donné. La FIFA avait suspendu la FECOFOOT pour ingérence politique, privant la sélection nationale de plusieurs matchs cruciaux. Cette décision a coûté cher : le Congo a perdu trois rencontres sur tapis vert (face au Niger, à la Tanzanie et à la Zambie), après avoir refusé notamment de jouer à Kinshasa, la CAF ayant jugé le stade Alphonse Massemba-Débat non conforme aux normes internationales. Une situation inédite qui a fait du Congo la risée du continent.

Sur le plan sportif, le bilan est tout simplement désastreux :
👉 7 matchs joués
👉 0 victoire
👉 1 match nul
👉 6 défaites
👉 4 buts marqués contre 23 encaissés
👉 Seulement 1 point au classement, terminant bon dernier du groupe E dominé par le Maroc.

Parmi les rares moments de satisfaction, on retiendra le match nul (1-1) face à la Tanzanie à Brazzaville, grâce à un but de Dechan Rayan Moussavou. Mais le reste de la campagne n’a été qu’une succession de désillusions, symbolisée par la gifle 6-0 reçue face au Maroc à Agadir — une humiliation qui a définitivement mis fin à tout espoir de qualification.

Les causes de ce naufrage sont multiples : ingérence politique, mauvaise gestion fédérale, stade non homologué, convocations tardives et désorganisation totale. Plusieurs joueurs expatriés ont d’ailleurs publiquement dénoncé le manque de professionnalisme au sein de la FECOFOOT. Le résultat est sans appel : un football national à la dérive, miné par des querelles internes et une absence de vision claire.

Aujourd’hui, le Congo clôture ces éliminatoires avec la plus faible performance de son histoire. Cette débâcle doit être un électrochoc. Si rien ne change, les Diables Rouges risquent de s’enfoncer encore davantage dans l’oubli continental. Mais si les réformes promises se concrétisent indépendance de la fédération, rénovation des infrastructures, plan de formation et rigueur dans la gestion, alors peut-être que le Congo pourra un jour retrouver la flamme de ses belles années.

🔥 Et vous, que pensez-vous de cette campagne des Diables Rouges ?
Faut-il tout reconstruire à zéro ou maintenir la continuité actuelle ?
Vos avis comptent 👇

Fédération Congolaise de Football
Ministère de la Jeunesse et des Sports- Congo

15/10/2025

*LE SPORT UNIT LES PEUPLES, IL NE DIVISE PAS*

Avec une équipe que certains ont osé qualifier de « locaux » dans l’intention de dénigrer le Congo, les Diables Rouges ont su tenir tête au Maroc et éviter un score fleuve. Ce résultat prouve qu’il ne faut jamais sous-estimer la valeur des joueurs évoluant sur le sol national. Là où, lors du match aller, ceux qu’on appelle « professionnels » ou « joueurs de la diaspora » avaient concédé une lourde défaite 6-0, les joueurs dits locaux ont démontré courage, discipline et fierté pour le drapeau congolais.

Ce contraste met en lumière une vérité simple : le football n’est pas une question de statut ou d’origine. Être professionnel à l’étranger ne garantit pas la victoire, tout comme jouer au pays ne signifie pas être limité. Ce qui compte avant tout, c’est l’amour du maillot, l’esprit collectif et la volonté de se battre pour la patrie. Le Congo a des talents, qu’ils soient à Brazzaville, à Pointe-Noire ou en Europe ; il suffit de leur accorder confiance et de construire un groupe uni.

L’équipe nationale doit être perçue comme une symbiose parfaite entre ceux qui évoluent au pays et ceux qui sont à l’extérieur. Chaque joueur sélectionné porte la même responsabilité : représenter dignement le Congo sur la scène internationale. Il est donc temps de dépasser les clivages entre « locaux » et « diaspora ». Les couleurs nationales n’ont pas de frontière ; elles unissent tous les fils du pays dans une même passion : le football congolais.

Nous espérons voir dans les jours à venir une meilleure collaboration, une véritable alchimie entre les joueurs, le staff et la fédération. Le Congo a besoin d’une équipe soudée, animée par un même esprit de conquête et de discipline. L’unité et la solidarité doivent devenir les piliers du renouveau des Diables Rouges, car sans cohésion, aucune stratégie ne peut tenir face aux grandes nations africaines.

Être Diable Rouge du Congo, c’est bien plus qu’un titre : c’est un honneur, une mission, une responsabilité envers tout un peuple. Porter le maillot national, c’est défendre les couleurs du drapeau 🇨🇬, c’est sauver l’honneur du pays à chaque match. Les Diables Rouges unis, c’est le secret d’une véritable révolution sportive. L’heure n’est plus à la division, mais à l’unité pour redonner au Congo la place qu’il mérite dans le football africain.

Ministère de la Jeunesse et des Sports- Congo
Fédération Congolaise de Football

14/10/2025

Faute d'électricité, nous allons analyser tout ça demain.
Ils ont évité la catastrophe. Merci les locaux
Malgré la défaite de 1-0

14/10/2025

Maroc 1 - 0 Congo

14/10/2025

Yako loba eza lisusu té.
To tala kaka match

14/10/2025

Surprise Générale

Qui aurait cru que le Cap-Vert devrait se qualifier devant le Cameroun ??

Comme quoi les conflits internes détruisent le football

Tant que toutes les parties ( Ministère de la Jeunesse et des Sports- Congo , Fédération Congolaise de Football et les joueurs) ne parleront pas le même langage rien ne changera.

Le travail dans l'harmonie et l'unité produit de bons résultats

09/10/2025

Les Diables Rouges : Sujet de honte internationale

Les Diables Rouges du Congo 🇨🇬, autrefois source de fierté et d’unité nationale, sont aujourd’hui devenus un véritable sujet de honte sur la scène internationale. Les défaites s’enchaînent, les performances sont catastrophiques et l’espoir des supporteurs s’éteint peu à peu. Chaque match semble être une nouvelle humiliation, chaque compétition une preuve supplémentaire du déclin d’une équipe jadis redoutée. Ce qui devait être un symbole de gloire et de patriotisme est désormais perçu comme une blague amère dans le monde du football africain.

Ce qui choque davantage, c’est le silence assourdissant des autorités compétentes. Ni la présidence de la République, ni le ministère des Sports, ni la Fédération Congolaise de Football (FECOFOOT) ne semblent véritablement préoccupés par la situation. Le manque de stratégie, de suivi et de réforme trahit une gestion irresponsable et un désintéressement total du sport roi. Le football, pourtant miroir du dynamisme d’un peuple, est devenu un espace d’improvisation et de scandales.

Les joueurs, censés être les ambassadeurs du pays, ne montrent malheureusement aucun sens du devoir national. Beaucoup d’entre eux considèrent la sélection comme une simple opportunité d’obtenir des primes, de fréquenter des boîtes de nuit ou de retrouver leurs proches, au lieu de se battre pour défendre les couleurs du drapeau. Le respect du maillot national a disparu, remplacé par l’individualisme, la paresse et l’indiscipline. Ce comportement ternit l’image du Congo et décourage les jeunes talents qui rêvaient jadis de porter ce maillot avec honneur.

Quant aux dirigeants, ils semblent davantage préoccupés par leurs intérêts personnels que par le développement du football congolais. Entre mauvaise gestion, corruption et favoritisme, l’encadrement technique et administratif s’enlise dans un chaos permanent. L’argent qui devrait servir à la formation, à la préparation et à la motivation des joueurs finit souvent dans des poches privées. Pendant ce temps, les infrastructures sportives restent délabrées, les entraîneurs démunis et les supporteurs désabusés.

Au final, ce sont ces mêmes supporteurs, véritables amoureux du pays, qui subissent les conséquences de cette décadence. Ils continuent à espérer, à chanter, à soutenir, malgré les humiliations répétées. Mais jusqu’à quand ? Il est temps que les autorités et les acteurs du football congolais prennent leurs responsabilités. Le Congo mérite mieux que des défaites et des scandales. Il est urgent de redonner sens et dignité au football national, avant qu’il ne soit complètement oublié.

Ministère de la Jeunesse et des Sports- Congo
Fédération Congolaise de Football
Primature République du Congo
Présidence de la République du Congo

08/10/2025

To louka délivrance

08/10/2025

MI-TEMPS

Niger 🇳🇪 1-0 Congo 🇨🇬

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Brazzaville

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