Numéro 1 Débats Politique Guinéennes

Numéro 1 Débats Politique Guinéennes wir sind für Gerechtigkeit für Chancengleichheiten und für die Menschenrechten

31/07/2025
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🔴🟡🟢@ NEWS L’Afrique vit une période difficile. Dans beaucoup de pays, la démocratie recule. Ceux qui veulent vraiment changer les choses sont souvent bloqués. A titre d'exemple, trois hommes représentent ce combat pour le changement : Cellou Dalein Diallo en Guinée, Tidjane Thiam en Côte d’Ivoire et Maurice Kamto au Cameroun. Chacun d’eux aurait pu gagner une vraie élection, mais les dirigeants en place font tout pour les empêcher de se présenter.

En Guinée, Cellou Dalein Diallo est depuis longtemps un espoir pour ceux qui veulent un nouveau type de gouvernement. Il s’oppose aux militaires au pouvoir et se bat pour le retour à l'ordre constitutionnel. Il est très populaire, ce qui gêne les militaires. Alors, ils empêchent la tenue d’élections libres et veulent faire taire l’opposition.

En Côte d’Ivoire, Tidjane Thiam représente le changement. Il a dirigé de grandes banques et est connu pour ses compétences. Il pourrait aider le pays, mais le système actuel préfère garder le contrôle. Les lois sont souvent utilisées pour empêcher des candidats comme lui de participer.

Au Cameroun, Maurice Kamto est un symbole d’espoir depuis 2018. Il s’oppose au président Paul Biya, au pouvoir depuis plus de 40 ans. Malgré son succès, Kamto est souvent arrêté, menacé et empêché de se présenter. Pourtant, dans une élection juste, il aurait de bonnes chances.

Ces trois hommes montrent un gros problème en Afrique : il y a des leaders compétents et honnêtes, mais on ne leur donne pas la chance de diriger. Ceux qui sont au pouvoir veulent y rester à tout prix. Ils utilisent la justice, les médias et les lois pour se protéger.

Cette manière de faire est dangereuse. Elle empêche les vrais changements. Elle décourage les citoyens, qui ne croient plus aux élections. Elle pousse certains à se révolter.

Pour aller de l’avant, l’Afrique a besoin de toutes ses forces. Empêcher des gens comme Cellou Dalein Diallo, Tidjane Thiam ou Maurice Kamto de participer, c’est fermer la porte à un avenir meilleur.

Il est temps que les citoyens, les organisations africaines et les partenaires étrangers disent stop. Les élections doivent être ouvertes à tous. Ces trois hommes ne sont pas juste des opposants : ils sont un espoir. Si on les empêche de parler, c’est toute l’Afrique qui perd.

Abdoul Karim Diallo, Citoyen Guinéen

29/07/2025

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