Journal Clin d'Oeil

Journal Clin d'Oeil Mensuel gratuit distribué de Morges à Yverdon ! 🗞

Voici la Une de notre édition de ce vendredi 27 juin.Bonne lecture à toutes et à tous📸🖋
27/06/2025

Voici la Une de notre édition de ce vendredi 27 juin.
Bonne lecture à toutes et à tous📸🖋

Une nouvelle joyeuse saison pour les Jeudis du ChâteauFaisant partie des incontournables de l’été culturel, les fameux J...
23/06/2025

Une nouvelle joyeuse saison pour les Jeudis du Château

Faisant partie des incontournables de l’été culturel, les fameux Jeudis auront lieu pour la sixième fois, de fin juin à début septembre, dans les jardins du château de
La Sarraz. L’occasion de vivre de merveilleuses soirées en musique et dans la convivialité. Grâce aux artistes et aux organisateurs, bien sûr, mais aussi grâce aux nombreux bénévoles qui rendent la manifestation possible.

➡️ Découvrez l'article complet dans notre dernière édition du 25 avril. Pour tous renseignements: www.les-jeudis.ch et www.amis-chateau-lasarraz.ch

👁Le clin d’œil de NathalieRaclette mon amourEn Suisse, on n’a pas de pétrole mais on a des tas d’autres richesses nature...
19/06/2025

👁Le clin d’œil de Nathalie
Raclette mon amour

En Suisse, on n’a pas de pétrole mais on a des tas d’autres richesses naturelles (la liste suivante compte un intrus, saurez-vous le découvrir?): nos paysages, nos montagnes, nos trains, Roger Federer, notre système politique, le dialecte suisse-alémanique, Yann Sommer, notre chocolat et bien sûr notre fromage.
La France s’est autoproclamée Pays du fromage, mais c’est sans doute par méconnaissance de nos trésors gustatifs, voire par excès d’ego. Ce qui m’étonnerait de leur part. Mais heureusement, on vient de remettre la laiterie au milieu du village. Quand je dis «on» ce sont plus précisément les Valaisans, qui ont repris un record qui devait leur revenir de droit: le record du monde de la plus grande raclette. Titre hautement important, détenu jusqu’alors par des Français. Non mais des choses pareilles! Piqués au vif dans ce qu’ils ont de plus profond en eux, l’amour du terroir (et aussi un peu leur ego), les Valaisans devaient réagir. Déjà, les Français c’était pas de la vraie raclette, c’était de la raclonette. Non mais l’équipe ici! Oser appeler ça raclette, c’est comme appeler Gruyère un pauvre Emmental plein de trous. ‘Méritent une claque avec la pelle à neige ceux-ci…’ Ni une ni deux, les voici prêts à montrer leur supériorité fromagère en organisant un événement à la hauteur de l’affront occasionné. Et les voici en train d’envahir le CERM de Martigny de dizaines de fours et de racleurs chauds comme… comme… un four à raclette. Plus de 4’000 personnes sont venues pour descendre des kilos de fromage et de Fendant et c’est dans la bonne humeur et les effluves persistantes de fromage fondu que le record a été homologué. Victoire! L’honneur est sauf! Et on aura juste le temps de bien aérer le CERM avant la Foire du Valais.
Toute la presse en a abondamment parlé et le visage rouge vif (d’émotion bien sûr) d’Eddy Baillifard – le pape de la raclette – s’est étalé dans les médias et réseaux sociaux. Et bien je trouve que dans l’état du monde actuel, ça fait du bien. Il y a déjà bien assez de personnes en train de se disputer le record du monde de la connerie, alors le fromage ça nous donne un peu d’air. Et je ne parle pas seulement des conséquences gastriques d’un abus d’alpage flambé à l’abricotine. Tiens, on va en envoyer quelques kilos aux USA, avec ou sans droits de douane, pour huiler un peu leurs relations diplomatiques. Et leur apprendre que le fromage c’est pas seulement des tranches orange emballées dans du plastique. Vive la raclette et que le fromage fondu envahisse le monde de douceur.

Voici la Une de notre édition de ce vendredi 25 avril.Bonne lecture à toutes et à tous📸🖋
24/04/2025

Voici la Une de notre édition de ce vendredi 25 avril.

Bonne lecture à toutes et à tous📸🖋

GROS-DE-VAUDQuatre vélos électriques à louer à l’Office du tourismeEchallens Région Tourisme mettra l’accent sur la prat...
22/04/2025

GROS-DE-VAUD
Quatre vélos électriques à louer à l’Office du tourisme

Echallens Région Tourisme mettra l’accent sur la pratique du deux-roues ce printemps en mettant du matériel à disposition et en publiant une nouvelle carte regroupant neuf propositions de balades à vélo.

➡️ Découvrez l'article complet dans notre dernière édition du 28 mars.

Toutes infos sur www.echallens-tourisme.ch ou directement auprès d’Echallens Région Tourisme, Place de l’Hôtel-de-Ville 3 à Echallens, du mardi au vendredi de 8h30 à 17h, samedi et dimanche de 10h à 16h. Tél. 021 881 50 62. Voir aussi page Facebook «Echallens région Tourisme» et compte Instagram echallensregiontourisme. Voir aussi www.vcechallens.ch/larandodesbles.

🐣 Le conte de Pâques, par Bénédicte GandoisL’incendie de la chocolaterieDu haut de mes huit ans, jamais je n’avais vu mo...
17/04/2025

🐣 Le conte de Pâques, par Bénédicte Gandois
L’incendie de la chocolaterie

Du haut de mes huit ans, jamais je n’avais vu mon père aussi effondré. Ma mère, livide, en robe de chambre, au milieu du salon, tentait de réaliser ce qui se passait. Et le vieux Jeremiah, le gardien de l’atelier, se balançait d’un pied sur l’autre sans savoir que faire. Quelques heures, en cette nuit du 4 mars 1891, avaient suffi à détruire la chocolaterie familiale. Malgré l’effort des pompiers des casernes de Château-Landon et Château-d’Eau, qui étaient parvenus à éteindre les flammes avant qu’elles n’atteignent «la Jardinière», le magasin de nouveautés 1 voisin, il ne restait plus grand-chose des ateliers.
– Par chance, il n’y a eu aucun blessé, commentait doucement Jeremiah.
– Mais, pour la production… c’est terminé. Et Pâques est dans deux semaines!
– … vingt-cinq ouvriers au chômage… et leurs familles… comment les nourriront-ils? murmura ma mère en se tordant les mains.
Il faut dire qu’elle avait grandi dans l’usine, construite par son père, Alsacien qui s’était installé à Paris. Elle connaissait chaque employé de la Chocolaterie de Belleville.
– On a quand même réussi à sauver trois sacs de cacao, ils sont chez la v***e Duvoisin.
– Oui… merci, Jeremiah. Mais, maintenant? A part mettre la clef sous la porte… jamais nous ne pourrons honorer nos commandes de Pâques!
C’est à ce moment-là que ma grand-mère, Mariette, qu’on croyait assoupie dans son fauteuil près de la fenêtre, à mille lieues des discussions et de l’inquiétude de mes parents, intervint.
– Hé! bien, mon cher Henri, il n’y a qu’à faire des œufs peints et décorés, comme dans mon enfance! On n’avait pas de chocolat, alors, tu sais, ma petite Ninon, ajouta-t-elle en me faisant un clin d’œil.
Je souris un peu et tous se tournèrent vers moi, comme s’ils venaient de se rappeler de ma présence. Puis ma mère porta une main tremblante à ses cheveux:
– Maman, s’il te plaît, ne dis pas de bêtises, lui répondit-elle.
Le soleil se levait et j’entendis peu à peu tous les bruits du matin, qui d’habitude me réveillent: le vrombissement des machines de l’ébénisterie Etienne, en face, la cloche du tramway, les rideaux métalliques des boutiques qui se lèvent, les voix des marchands… Mon père glissa un peu d’argent dans la main de Jeremiah en remerciement de tous les efforts fournis par le vieux gardien pour défendre «son» usine, et partit se préparer. Il devait maintenant évaluer les dégâts avec Monsieur Martin, son secrétaire. De mon côté, je me débarbouillai en hâte et cherchai Aline, notre domestique. Au vu des circonstances, j’hésitais à lui demander mon chocolat chaud habituel. Une tartine beurrée me suffirait. Soudain, Grand-maman Mariette surgit derrière moi:
– Ninon, tu es prête? On a du travail! dit-elle avec un clin d’œil.
Je la suivis sans comprendre. On traversa Paris en autobus jusqu’au quartier des Halles, où elle choisit quelques douzaines d’œufs.
– Avec le Carême, les prix sont au plus bas, c’est une chance! me glissa-t-elle à l’oreille.
On s’arrêta au retour à La Jardinière, où ma grand-mère, après avoir choisi plusieurs rouleaux de rubans, tentait de négocier un rabais auprès du directeur, que l’on connaissait bien.
– Je veux bien vous aider, voisine, mais… et avec vos employés à reloger… c’est qu’on se serre déjà les coudes!
Satisfaite, ma grand-mère traversa la cour et entra par la porte arrière dans notre chocolaterie. Ou plutôt dans ce qu’il en restait. J’avais le cœur qui battait. Je tentais de la suivre de mon mieux, claudiquant sous le poids du cabas.
Alors, comme s’il n’y avait jamais eu d’incendie, devant les yeux incrédules des employés désespérés, elle s’installa à une longue table et entreprit de sortir tout son matériel. Au bord des larmes, je n’osais pas regarder autour de moi. Au-delà de cette pièce, les traces des flammes étaient partout. L’entrepôt et la salle des torréfacteurs anéantis. Mal à l’aise, je m’assis, pendant que ma grand-mère s’activait. Mon père, qui discutait un peu plus loin, accourut à grandes enjambées:
– Belle-maman, que faites-vous?
– Hé, bien, des œufs décorés! Comme dans mon enfance, avant toutes vos machines et quand le chocolat n’existait pas!
– Je vous en prie, ce n’est pas le moment de plaisanter!
Soudain fâchée, ma grand-mère se redressa, d’une colère que je ne lui connaissais pas.
– Mon cher Henri, ce n’est ni la première fois qu’un malheur s’abat sur une famille ni la dernière! Alors, nous allons préparer avec vos ouvriers des œufs peints et décorés de rubans et nous les vendrons. Ça nous occupera tous, et ils pourront gagner quelques sous pour joindre les deux bouts en attendant que l’on puisse de nouveau faire vos chocolats!
Etonnés, une dizaine d’employés s’étaient rapprochés, tandis que grand-mère Mariette expliquait comment nous allions procéder. Mon père n’osa plus rien dire.
Alors, l’espoir revint dans l’usine dévastée et l’on se mit tous au travail. Moi, je coupais des morceaux de ruban de longueur égale. D’autres vidaient les œufs, d’autres les peignaient. Deux ouvrières en couvraient certains d’une sorte de résille en macramé. A midi, nous bavardions avec entrain et, à la fin de la journée, nous avions retrouvé le sourire.

1. Un magasin de nouveautés au XIXe siècle vendait des tissus ainsi que des produits de confection, chapeaux, gants, sous-vêtements, et des articles de mercerie.

FOOTBALL «A Echallens, si tu travailles, tu joues»Depuis quelques saisons, le FC Echallens Région se distingue par un ét...
16/04/2025

FOOTBALL
«A Echallens, si tu travailles, tu joues»

Depuis quelques saisons, le FC Echallens Région se distingue par un état d’esprit à toute épreuve et une rare stabilité dans son effectif. Comment l’entraîneur Fabio de Almeida est-il parvenu à créer un esprit d’équipe dont la force d’attraction surpasse désormais les sirènes de l’argent? Entretien.

➡️ Découvrez l'article complet dans notre dernière édition du 28 mars.

👁Le clin d’œil de NathalieÊtre ou ne pas être élu·e?Ça y est! On a un nouveau conseiller fédéral! Markus Pfister! Non… a...
14/04/2025

👁Le clin d’œil de Nathalie
Être ou ne pas être élu·e?

Ça y est! On a un nouveau conseiller fédéral! Markus Pfister! Non… attends, c’est Markus Ritter… Ou bien… Martin Ritter… ou Martin Pfister… Argh! En tous cas c’est sûr, celui qui a été élu est un mâle (on n’avait pas le droit d’avoir le choix d’élire une femme, il y en a déjà beaucoup trop au Conseil fédéral), d’un âge bien mûr, grand, avec des grandes lunettes et une grande calvitie. Ça ne m’aide pas beaucoup, nos deux M&M’s en question ont l’air d’avoir été des jumeaux séparés à la naissance. L’un est du centre, l’autre aussi (mais moins). L’un est suisse allemand, l’autre aussi. L’un est pour l’armée, l’autre aussi (encore plus). Dans cette élection sans grand suspense, ni l’un ni l’autre n’a en tous cas suscité l’enthousiasme. Mais on n’était pas là pour s’enthousiasmer, on était là pour que la formule magique soit respectée. Une formule magique qui ne crée pas souvent des étincelles, ne fait pas jaillir des petits lapins d’un chapeau, mais qui nous garantit que tout continue dans la stabilité. Circulez y a rien à voir, retournez bo**er pour faire marcher l’économie. Pour l’élu du jour, ça a été un vrai
tour de magie. Sortir de nulle part et arriver direct au Conseil fédéral!
Du coup, ça m’a inspirée. Je vais me lancer en politique. Mais pas me confronter aux élections populaires, car je supporte mal l’échec. Et puis faudrait faire des campagnes électorales, serrer des mains moites, embrasser des joues moites, faire semblant d’aimer la fanfare, le Tir, la langue de bœuf aux câpres… Je voudrais être élue sans élections. Ouais, je me verrai bien être la Donald Trump vaudoise. Tac, direct au sommet! On a des points communs avec Donald. Il vient du show-biz, moi aussi. Il avait une émission de télé, moi je fais les Dicodeurs. Il est milliardaire, moi j’ai un 3e pilier. Il a fait plusieurs fois faillite, moi j’ai reçu un commandement de payer. La comparaison s’arrête là, parce que je n’ai pas de voiture électrique. Quoique… on a peut-être encore un point commun… quand j’étais enfant, j’étais entourée de Poupées Barbie et j’avais un Big Jim, la Barbie au masculin, qui lorsqu’on lui appuyait dans le dos, il avait son bras droit qui se levait. Pour donner son cœur, évidemment.

Louis Margot accueilli en héros aux îles MarquisesAprès 552 jours de périple depuis son départ le 3 septembre 2023 à Mor...
09/04/2025

Louis Margot accueilli en héros aux îles Marquises

Après 552 jours de périple depuis son départ le 3 septembre 2023 à Morges et 117 jours passés sur l’océan Pacifique, Louis Margot a atteint les îles Marquises le 8 mars. Le rameur de Colombier avait réalisé 2’000 km à vélo jusqu’au Portugal, 8’000 km pour traverser l’Atlantique jusqu’en Colombie et 4’000 km à vélo pour rallier le Pérou. La 4e étape de son tour du monde à la force humaine, Human Impulse, consistant à traverser le Pacifique pour rejoindre l’Indonésie, est désormais bien entamée.

➡️ Découvrez l'article complet dans notre dernière édition du 28 mars.

Pour la suite de son tour du monde, Louis Margot est toujours à la recherche de sponsors. Plus d’informations sur son Instagram human_impulse et son site internet humanimpulse.ch

Voici la Une de notre édition de ce vendredi 28 mars.Bonne lecture à toutes et à tous📸🖋
27/03/2025

Voici la Une de notre édition de ce vendredi 28 mars.
Bonne lecture à toutes et à tous📸🖋

👁Le clin d’œil de NathalieLa transhumance hivernaleAlors non, je ne veux pas vous parler des troupeaux de moutons que l’...
20/03/2025

👁Le clin d’œil de Nathalie
La transhumance hivernale

Alors non, je ne veux pas vous parler des troupeaux de moutons que l’on voit parfois traverser nos campagnes pendant l’hiver. Je veux vous parler de la transhumance des troupeaux de skieurs (et loin de moi l’idée de suggérer une quelconque ressemblance avec les troupeaux précédemment cités). Pour les plus chanceux, propriétaires d’un logement en station, c’est le dépaysement chaque week-end. Le dépaysement de retrouver le même appartement, dévaler les mêmes pistes, retrouver le même cercle d’amis à l’apéro, mais en étant dépaysé. Disserter sur le réchauffement climatique en garant son 4x4 à côté des canons à neige.
Chaque vendredi soir, l’aventure commence sur l’autoroute A9, depuis les faubourgs lausannois jusqu’au Chablais. Et se termine le dimanche soir dans l’autre sens. Avec une bonne dose de patience nécessaire puisque l’idée de passer le week-end en montagne est semble-t-il partagée par un grand nombre de personnes qui ont le mauvais goût de se retrouver sur la route en même temps que vous. Mais c’est le prix à payer pour s’offrir un shoot de poudre blanche, un sas de décompression, une dose de grand air, en regardant d’un air satisfait la mer de brouillard envahir la vallée. Si comme moi vous vous êtes retrouvés pris dans les fameux bouchons de retour du ski le dimanche, vous avez pu constater que chacun a sa petite stratégie pour tenter de les déjouer. Alors bien sûr vous pouvez rentrer à 10h le matin mais ça fait court la journée de ski à 70 balles. Vous avez le Bison futé: qui rentre en passant par Interlaken, ça rallonge un chouïa mais au moins ça roule. Le culbuto: qui passe d’une file de voiture à l’autre en restant persuadé que c’est toujours l’autre qui avance le plus. L’urgentiste: qui emprunte la bande d’arrêt d’urgence et dépose son permis après avoir rencontré un véritable véhicule de police. L’opportuniste: qui s’arrête au Mac Do pour calmer les enfants et reposer ses oreilles. Le je-connais-un-raccourci: emprunte tous les chemins de remaniement possibles, jusqu’à se retrouver en cul-de-sac ou pris dans une ornière. Évidemment, la solution miracle n’existe pas. Enfin, si, faut aller skier en juillet. Mais ça s’appelle de la randonnée. Et il y a pas de téléskis pour monter. Alors bonne fin de saison et courage pour les bouchons!

Soutien aux manifestations complètement repenséLa Région Gros-de-Vaud a réorganisé ses aides en soutiens et sponsorings....
19/03/2025

Soutien aux manifestations complètement repensé

La Région Gros-de-Vaud a réorganisé ses aides en soutiens et sponsorings. Un festival d’impro, Nathalie Devantay, un nouveau festival country et la 2e Coupe du monde de la raisinée en bénéficieront cette année.

➡️ Découvrez l'article complet dans notre dernière
édition du 28 février.

Voir www.grosdvaud.ch/activites/sport-culture-et-associations/fond-de-soutien-pour-les-manifestations.html. Voir aussi www.festival-ide.ch, www.nathaliedevantay.ch, www.coupe-du-monde-raisinee.ch et www.countryfestivalgdv.ch.

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