Ramsey Officiel

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LA PATRIE âœŠđŸ»OU LA MORT☠!!!

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16/11/2025

đŸ€ŁđŸ˜‚đŸ˜čđŸ˜č

09/11/2025
C’est pas mieux đŸ€ŁđŸ˜č😭😭😭
08/11/2025

C’est pas mieux đŸ€ŁđŸ˜č😭😭😭

03/11/2025

Non non non non non non non non non non non non non 😭😂đŸ˜čđŸ€ŁđŸ€ŁđŸ€Ł

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29/10/2025

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26/10/2025

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26/10/2025

🔮ANONYME| JE N’AURAIS JAMAIS DÛ OUVRIR CETTE PORTE À 3 HEURES DU MATIN


Je ne sais mĂȘme pas par oĂč commencer

Je ne sais pas si quelqu’un va me croire, mais tout ce que je vais dire est vrai.
Je m’appelle Mireille, j’ai 31 ans, et depuis cette nuit-là
 je ne dors plus jamais sans lumiùre.

C’était un dimanche soir.
Je vivais seule avec ma fille de 6 ans, dans une petite maison louée en périphérie de la ville.
Une maison tranquille, un peu isolée, mais pas loin de la route principale.
Je venais de perdre mon mari il y a trois mois dans un accident. Depuis, la vie était lourde.
Le soir, je priais toujours avant de dormir, pour que Dieu nous protĂšge.

Ce soir-lĂ , il pleuvait fort.
Il faisait noir et l’électricitĂ© avait sautĂ©.
Ma fille dormait déjà, blottie contre son ours en peluche.
Moi, j’étais dans le salon, avec une bougie posĂ©e sur la table.
Je lisais un psaume quand j’ai entendu trois coups à la porte.

TOC
 TOC
 TOC.

Je me suis figée.
Il était 3 h 07 du matin.

Je me suis dit : peut-ĂȘtre un voisin en dĂ©tresse
 ou un voleur.
Mon cƓur battait à toute vitesse.
Je n’ai rien dit.
Mais les coups ont repris, plus forts cette fois :

TOC ! TOC ! TOC !

Et puis
 une voix, rauque, lente, presque cassée :

— Mireille
 ouvre-moi
 c’est moi.

J’ai failli laisser tomber la bougie.
Cette voix, je la connaissais.
C’était celle de mon mari.

Mais c’était impossible.
Il était mort.
J’avais assistĂ© Ă  son enterrement.
Je l’avais vu dans le cercueil.

J’ai cru devenir f***e.
Je me suis approchée doucement de la porte, sans faire de bruit.
La voix a repris :

— Tu ne reconnais plus ma voix ? C’est moi
 ouvre la porte, mon amour


Je tremblais.
Des larmes coulaient toutes seules.
Je me suis mise Ă  prier Ă  voix basse :

“Seigneur JĂ©sus, si c’est un dĂ©mon, Ă©loigne-le de ma maison.”

Mais la voix s’est faite plus insistante.

— Mireille, pourquoi tu pries ? Tu ne veux plus de moi ? Regarde-moi juste une derniùre fois


À travers les interstices de la porte, j’ai vu quelque chose bouger.
Une ombre.
Et puis
 une main.
Une main d’homme, mais noire comme du charbon, aux doigts trop longs.
Elle essayait d’ouvrir la poignĂ©e.

J’ai criĂ©.
Et j’ai couru dans la chambre de ma fille.
Je l’ai rĂ©veillĂ©e brusquement.
Elle a ouvert les yeux et a dit calmement :

— Maman
 pourquoi papa est dehors ? Il m’a dit qu’il voulait rentrer


Je me suis figée.
Mon sang s’est glacĂ©.
Elle avait aussi entendu sa voix.

Je lui ai mis la main sur la bouche.

— Ne parle pas, chĂ©rie.

On est restées là, cachées derriÚre le lit.
Mais la porte d’entrĂ©e s’est mise Ă  grincer, comme si quelqu’un essayait de forcer le verrou.
Puis
 plus rien.
Silence total.

C’est là que j’ai entendu des pas lents dans le couloir.
À l’intĂ©rieur de la maison.
Des pas lourds.
Des pas d’homme.
Je n’avais pas ouvert. Alors comment Ă©tait-il entrĂ© ?

J’ai pris ma fille dans mes bras, on s’est cachĂ©es dans le placard.
Je pouvais voir Ă  travers une fente.
Il avançait. Lentement.
Ses pieds nus laissaient des traces humides sur le carrelage.

C’était lui.
Mon mari.
Ou du moins
 quelque chose qui lui ressemblait.
Son visage était couvert de boue.
Ses yeux, blancs, sans pupilles.
Et son ventre Ă©tait gonflĂ©, comme s’il allait exploser.
Il tenait sa main gauche contre sa poitrine, lĂ  oĂč les clous du cercueil avaient laissĂ© des marques.
Et il appelait :

— Mireille
 oĂč es-tu ? Viens, je ne veux pas te faire de mal


Chaque mot faisait trembler la maison.
La bougie du salon s’est Ă©teinte d’un coup.
Ma fille voulait pleurer, mais je lui ai serré la bouche.

Soudain, il s’est arrĂȘtĂ© net.
Et s’est tournĂ© vers le placard.

J’ai senti qu’il nous regardait

MĂȘme Ă  travers les portes fermĂ©es.

— Je sais que tu es là


Puis il a souri.
Un sourire monstrueux, qui s’étirait jusqu’aux oreilles.

Il a levé sa main
 et a frappé violemment sur le placard.
Une fois.
Deux fois.
Trois fois.
Les planches vibraient.
J’ai cru qu’elles allaient se briser.

Et puis soudain, tout s’est arrĂȘtĂ©.
Silence.
Plus un bruit.

J’ai attendu
 longtemps.
Quand je suis sortie, tremblante, il n’y avait plus rien.
Mais sur le mur, il y avait une phrase écrite avec du sang :

“Ne me laisse plus seul dans la terre.”

Je me suis évanouie.

Le lendemain matin, les voisins m’ont trouvĂ©e au sol, serrant ma fille.
La porte était encore verrouillée.
Personne n’avait vu entrer ni sortir quelqu’un.
Mais dehors, dans la boue, il y avait des traces de pas

Des pas d’homme, qui allaient de la route jusqu’à la porte — et s’arrĂȘtaient net, comme s’il avait disparu dans l’air.

Depuis ce jour-lĂ , je ne dors plus la nuit.
Parce qu’à chaque 3 h 07, j’entends encore les trois coups sur ma porte.
Et la mĂȘme voix qui murmure derriĂšre le bois :

— Mireille
 tu m’as laissĂ© seul


25/10/2025

Le chapeau ne porte pas le genoux 😭😭

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