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PASCAL AFFI N'GUESSAN( Président du FPI) :« L'OPPOSITION cherche à se FÉDÉRER pour la B.ATAILLE contre un 4 ÈME MANDAT d...
21/09/2025

PASCAL AFFI N'GUESSAN( Président du FPI) :

« L'OPPOSITION cherche à se FÉDÉRER pour la B.ATAILLE contre un 4 ÈME MANDAT de M. OUATTARA ; pas derrière un CANDIDAT.

Il y a un temps pour TERGIVERSER et un temps pour se RASSEMBLER. Lorsque les CONDITIONS sont RÉUNIES, le RASSEMBLEMENT transcende les CLIVAGES. Depuis le VERDICT du CONSEIL CONSTITUTIONNEL, le PPA-CI, le PDCI-RDA ou le FPI ont tous intérêt à se donner la main. Et notre première B.ATAILLE consiste à CRÉER un cadre ÉLECTORAL TRANSPARENT et INCLUSIF. Que vous soyez de GAUCHE ou de DROITE, si vous ne DÉVERROUILLEZ pas le PROCESSUS ÉLECTORAL, vous n'aurez aucune chance de faire valoir vos IDÉES. Si vous vous conformez aux CHOIX ARBITRAIRES, vous ne faites qu'accompagner une DIC.TATURE .

Le PPA-CI et le FPI partagent désormais le même C.OMBAT, sans se regarder en chiens de faïence. De plus, nos sensibilités ne sont pas si éloignées. Son parti, le PPA-CI, et le FPI se réclament tous deux de gauche. Les nuances de nos sensibilités respectives ne peuvent être qu'un enrichissement.

Il faut bien comprendre le sens du mot BOYCOTT .
Un BOYCOTT suppose que vous soyez AUTORISÉ à CONCOURIR et que vous REFUSIEZ après c.oup de participer. Or, nos CANDIDATURES n'ont même pas été ACCEPTÉES. Le BOYCOTT est donc hors de propos. Je crois que c'est ce que le PDCI-RDA veut dire. Nous restons dans une perspective de PARTICIPATION au SCRUTIN, sans la candidature D'ALASSANE OUATTARA .

Le plus ancien PARTI de Côte d'Ivoire, le PDCI-RDA, ne dispose d'aucun CANDIDAT retenu pour L'ÉLECTION d'octobre. C'est le symbole même du caractère inacceptable de ce SCRUTIN. Sur le plan institutionnel, le PDCI-RDA demeure le plus GRAND PARTI D'OPPOSITION IVOIRIEN. Au-delà de son passé, il conserve un grand nombre de DÉPUTÉS et de MAIRES dans tout le PAYS.

Comment donc LÉGITIMER une ÉLECTION dont il serait EX.CLU ? Il en va de même pour le PPA-CI et le FPI qui possèdent des ÉLUS au Parlement.»

20/09/2025

❌"La france nous a empêchés de descendre sur Abidjan !"

Cherif Ousmane est un clown qui n'a de force que contre des femmes enceintes et des civils désarmés. Ce militant du RDR a massacré des milliers de personnes qui ne pouvaient pas se défendre. Le procureur de la CPI lui a demandé un rendez-vous à Abidjan pour l'écouter sur ses crimes, il a fui comme un gros chat.

Cherif Ousmane dit qu'il est garçon, mais il n'assume pas ses actes, comme tous les leaders du RDR. La vie humaine est sacrée, ils paieront tous pour les femmes enceintes éventrées, les hommes décapités, les filles violées, les villages brûlés, etc...

Au nom de quoi ont-ils fait tout ça ? Comment les mercenaires français qui les ont aidés se regardent-ils dans une glace aujourd'hui? Sont-ils fiers d'eux ? Dorment-ils en paix ?

Si l'enfer existe, qu'il soit la destination finale de chaque militant et soutien de Dramane Ouattara sur toute la terre et dans l'au-delà. Qu'un lourd décret karmique s'abatte sur eux et leur descendance.

La Confédération Africaine de Football a dévoilé les primes pour la prochaine CAN au Maroc, du 21 décembre 2025 au 18 ja...
19/09/2025

La Confédération Africaine de Football a dévoilé les primes pour la prochaine CAN au Maroc, du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 !

• Champion : 7 millions $
• Finaliste : 4 millions $
• Demi-finalistes : 2,5 millions $

• Quart de finale : 1,3 million $
• Huitième de finale : 800 000 $
• 3ᵉ place de groupe : 700 000 $
• 4ᵉ place de groupe : 500 000 $

▪️Groupe A : Maroc – Mali – Zambie – Comores

▪️Groupe B : Égypte – Afrique du Sud – Angola – Zimbabwe

▪️Groupe C : Nigeria – Tunisie – Ouganda – Tanzanie

▪️Groupe D : Sénégal – RD Congo – Bénin – Botswana

▪️Groupe E : Algérie – Burkina Faso – Guinée équatoriale – Soudan

▪️Groupe F : Côte d’Ivoire – Cameroun – Gabon – Mozambique

𝟏𝟗 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 : 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐎𝐮𝐚𝐭𝐭𝐚𝐫𝐚 𝐫𝐞𝐧𝐢𝐞 𝐥’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐥’𝐚 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞́ 𝐚𝐮 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫Le 19 septembre 2002 demeure un tournant majeur ...
19/09/2025

𝟏𝟗 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 : 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐎𝐮𝐚𝐭𝐭𝐚𝐫𝐚 𝐫𝐞𝐧𝐢𝐞 𝐥’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐥’𝐚 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞́ 𝐚𝐮 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫

Le 19 septembre 2002 demeure un tournant majeur de l’histoire contemporaine de la Côte d’Ivoire. Cet événement, douloureux mais fondateur, a profondément marqué le destin national. Vingt-trois ans après, force est de constater que ceux qui ont tiré profit de ce combat pour accéder aux délices du pouvoir préfèrent aujourd’hui le silence, le reniement, voire la falsification de l’histoire.

Le régime actuel, dirigé par Alassane Ouattara et son parti, le RHDP, prend une distance honteuse vis-à-vis de la rébellion de 2002. Pourtant, chacun sait que sans elle, jamais Alassane Ouattara n’aurait accédé à la magistrature suprême. Les faits sont têtus, et les documents d’archives, les témoignages publics et les paroles prononcées autrefois sont là pour rappeler la vérité.

𝐋𝐞 𝐝𝐢𝐬𝐜𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝’𝐡𝐨𝐦𝐦𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐎𝐮𝐚𝐭𝐭𝐚𝐫𝐚 𝐚̀ 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐒𝐨𝐫𝐨 (𝟖 𝐦𝐚𝐫𝐬 𝟐𝟎𝟏𝟐)

Lors de la démission du Premier ministre Guillaume Soro en mars 2012, Alassane Ouattara s’exprimait en ces termes :

« Je voudrais vous rendre hommage pour le rôle que vous avez joué dans le rétablissement de la démocratie dans notre pays. Vous avez amplement contribué dans la signature de l’Accord de Ouagadougou. Grâce à vos efforts inlassables, vous avez amené la Côte d’Ivoire à des élections libres et transparentes en 2010. Cela n’a pas été chose facile. A l’occasion de la grave crise postélectorale que notre pays a connue, vous vous êtes mis du côté de la vérité et de la démocratie. Et vos actions ont été plus que déterminantes. Enfin depuis votre nomination à la tête du gouvernement, vous avez su faire preuve de rigueur, de discipline et de solidarité. Vous avez posé les jalons pour le redécollage économique de la Côte d’Ivoire et surtout son rayonnement régional et international. Sans oublier le grand chantier de sécurisation de nos compatriotes et d’harmoniser les jeux sur les grands dossiers de l’Etat, leurs biens. Vous avez institué des séminaires gouvernementaux pour renforcer la cohésion gouvernementale. Vous avez adopté une charte d’éthique et de déontologie qui a édité des règles et des valeurs morales faites de principes déontologiques. Tout au long de ces années, vous avez démontré votre qualité d’homme d’Etat et de devoir. Profondément attaché à son pays. Sachez que la Côte d’Ivoire saura toujours compter sur votre efficacité, votre engagement, votre patriotisme et votre loyauté pour approfondir la démocratie et apporter un mieux-être aux populations. Mon cher frère. Mon jeune frère, »
Ces paroles publiques ne laissent place à aucune ambiguïté : Guillaume Soro fut reconnu comme l’artisan principal du retour de la démocratie et un pilier de l’accession d’Alassane Ouattara au pouvoir.

𝐋’𝐡𝐨𝐦𝐦𝐚𝐠𝐞 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜 𝐝’𝐀𝐥𝐚𝐬𝐬𝐚𝐧𝐞 𝐎𝐮𝐚𝐭𝐭𝐚𝐫𝐚 𝐚̀ 𝐆𝐮𝐢𝐥𝐥𝐚𝐮𝐦𝐞 𝐒𝐨𝐫𝐨 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐢𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐅𝐨𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 (𝐅𝐞𝐫𝐤𝐞́, 𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟏𝟑)

À Ferké, quelques mois plus t**d, Alassane Ouattara affirmait :

« Ferké est spécial, parce que Ferké connait un jeune qui a grandi ici, qui a fait le petit séminaire à Katiola, qui a fait preuve d’un courage exceptionnel. Bien sûr, il a estimé à un moment donné que nous les anciens déjà engagés dans une voie, mettions trop de temps pour faire aboutir notre combat. Il a fait preuve de sacrifice, il s’est battu pour que les populations au Nord puissent retrouver leur dignité par la nationalité ivoirienne. Je souhaiterais rendre hommage à Soro Guillaume pour les combats qu’il a menés, son courage, sa fidélité. S’il a fait cela, c’est parce qu’il aime la Côte d’Ivoire. Je voudrais te féliciter cher filleul pour ton courage, ta fidélité et ton patriotisme. »
Comment comprendre qu’aujourd’hui celui qui était salué comme un “filleul” courageux et patriotique soit devenu un ennemi d’État, poursuivi et exilé ?

𝐋𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐯𝐞́𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐊𝐨𝐧𝐞́ 𝐙𝐚𝐤𝐚𝐫𝐢𝐚 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐛𝐞𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧

Dans une vidéo publique, Koné Zakaria, ancien commandant des Forces nouvelles, dévoilait la vérité sur l’implication d’Alassane Ouattara :

« Si vous supportez le MPCI, ne le faites pas pour Zakaria ni pour IB (Ibrahim Coulibaly, ndlr) ni pour quelqu’un d’autre, sinon pour celui qui a acheté nos armes, c’est-à-dire Alassane Dramane Ouattara. (…) Nous avons pris les armes mais ce n’est pas IB qui les a achetées. Que cette vérité soit sue de tous aujourd’hui. (…) Ce n’est pas pour IB ni pour Soro, c’est pour Alassane que nous avons pris les armes. »
Ces propos, documentés dès 2005 rappellent que la rébellion fut surtout l’affaire d’Alassane Ouattara car, comme l’a révélé Koné Zakaria, « lorsque nous étions en exil, c'est Alassane Ouattara qui s'occupait de nous. Il nous apportait régulièrement du riz et la somme de 25 millions de francs par mois ». Selon l’un des chefs militaire de l’ex rébellion c’est ADO qui a apporté les moyens financiers et matériels qui ont permis à la rébellion d’agir.

𝐋𝐞𝐬 𝐝𝐨𝐜𝐮𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐬𝐬𝐢𝐟𝐢𝐞́𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐩𝐥𝐨𝐦𝐚𝐭𝐢𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞

Enfin, la déclassification d’un document officiel de l’armée française confirme ces indices :

« Concernant le processus de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (DDR), il semble de plus en plus clair que le blocage actuel relève de Guillaume Soro, inspiré par Ouattara. Il conviendrait de tenir aux deux intéressés un langage politique convaincant, en soulignant que la seule possibilité de renverser Gbagbo passe par les élections. Serge Degallaix, conseiller diplomatique du Premier ministre d’alors, qui connaît bien Alassane Ouattara, pourrait passer directement ce message à l’intéressé, en lui demandant de répercuter à Guillaume Soro. Acceptez-vous ces propositions ? » (Correspondance du Général Jean-Louis Georgelin à Jacques Chirac, 2004).
Ce document prouve que la communauté internationale savait pertinemment le rôle d’Alassane Ouattara dans la rébellion, rôle qu’il nie aujourd’hui.


Face à ces témoignages et preuves accablants, le silence actuel du pouvoir est révélateur. Alassane Ouattara et le RHDP tentent d’effacer ou de minimiser leur rôle dans l’histoire récente du pays. Ils jouissent des fruits de la rébellion, mais ils refusent d’en reconnaître la paternité.

Cette attitude relève d’une véritable psychanalyse politique : le régime vit dans une contradiction permanente. Il bénéficie de l’œuvre de la rébellion, qui l’a porté au pouvoir, mais redoute la colère populaire face aux violences et aux souffrances qu’elle a causées. Alors, pour se protéger, il charge Guillaume Soro d’endosser seul le poids de cette mémoire douloureuse, tout en s’attribuant les acquis démocratiques qu’elle a permis.

Ce reniement est doublement coupable : d’abord parce qu’il falsifie l’histoire, ensuite parce qu’il prive les nouvelles générations de la vérité sur leur passé.


Le 19 septembre ne peut être effacé ni transformé en non-événement. Ceux qui hier en ont été les acteurs et les bénéficiaires directs n’ont pas le droit de se réfugier aujourd’hui dans le silence ou le reniement.

L’histoire nationale doit être assumée dans toute sa complexité : ses ombres, ses douleurs, mais aussi ses acquis. En tentant d’effacer son rôle dans la rébellion, le pouvoir actuel ne fait que trahir la mémoire collective.

Car, en politique comme dans la vie des nations, une vérité demeure immuable : les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets.

Par TOURÉ Moussa

DECLARATION DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO Abidjan, le 18 septembre 2025   Mesdames et Messieurs de la presse nationale et ...
18/09/2025

DECLARATION DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO

Abidjan, le 18 septembre 2025


Mesdames et Messieurs de la presse nationale et internationale,

Son Excellence le Président Laurent Gbagbo tient tout d’abord à vous remercier d’avoir répondu à cette invitation, preuve de l’importance que vous accordez à la vie démocratique de notre pays et à la nécessaire information de nos concitoyens.

Il tient à préciser que cette rencontre est la première mais ne sera pas la dernière. Il tient à ce qu’un point détaillé vous soit fait régulièrement quant à l’évolution de la situation politique du pays.
Par cette déclaration, Son Excellence le Président Laurent Gbagbo, Ancien Président de la République de Côte d’Ivoire, Président du PPA-CI souhaite faire le point des activités menées ces derniers jours, notamment les consultations qu’il a engagées avec de nombreux acteurs politiques à la suite de la décision du Conseil Constitutionnel rendue le 8 septembre dernier. En sa qualité d’ancien Chef d’État et de candidat déclaré à l’élection présidentielle, il a tenu à échanger avec plusieurs des personnalités dont les dossiers ont été déclarés irrecevables, afin de recueillir leurs analyses, leurs préoccupations et leurs propositions face à cette décision lourde de conséquences.

De ces discussions, deux principales options ont été évoquées :

§ D’une part, l’idée de prendre le régime RHDP à son propre piège en soutenant collectivement l’un des candidats retenus. A cet égard, le Président Laurent Gbagbo tient à rappeler qu’il n’avait jamais soutenu, ni de près ni de loin, un prétendu « plan de précaution » ;

§ D’autre part, la nécessité de résister, par des actions démocratiques, pour exiger des élections inclusives et le respect de la Constitution.
Le Président Laurent Gbagbo a entendu chacune de ces propositions. La première, bien que pertinente en théorie, n’a pas prospéré : elle ne faisait pas l’unanimité, ni parmi les candidats exclus, ni parmi nos concitoyens. De plus, il faut le dire clairement, les candidats retenus par le Conseil constitutionnel ne sont pas ceux investis par les grands partis politiques du pays.

Dès lors, il n’y avait ni consensus, ni légitimité suffisante pour bâtir une telle stratégie.

La seconde option, celle d’actions démocratiques et pacifiques, s’est imposée comme la voie à suivre. Car notre véritable adversaire, ce n’est pas tel ou tel candidat : c’est le régime RHDP, avec à sa tête Monsieur Alassane Ouattara, qui semble vouloir transformer la Côte d’Ivoire en un royaume personnel, où la Constitution n’est plus une boussole mais un obstacle à contourner.

Le Président Laurent Gbagbo affirme que la véritable responsabilité des démocrates n’est pas de chercher une échappatoire, mais de tenir debout face à l’épreuve. Ce n’est pas une question de posture, mais l’essence même du combat : garantir une alternance démocratique, préserver les libertés publiques et assurer la dignité du peuple ivoirien.
Aujourd’hui, ce qui est en jeu dépasse la seule élection présidentielle. Ce qui est en jeu, c’est la survie de notre démocratie, c’est le respect de nos libertés publiques, c’est l’avenir même de notre Nation. En validant un quatrième mandat anticonstitutionnel et en écartant 55 candidats, dont ceux des principaux partis d’opposition, c’est le principe d’égalité devant la loi qui a été foulé aux pieds. Et ainsi on a privé le peuple de son droit souverain de choisir librement son dirigeant.
Ce vers quoi on avance aujourd’hui ressemble à tout sauf à une élection inclusive et transparente. La liste électorale est contestable. La Commission électorale indépendante est décriée. Le processus électoral actuel n’offre aucune garantie de transparence ni de crédibilité.

Le Président Laurent Gbagbo demeure convaincu qu’il est encore temps de privilégier la paix, et d’ouvrir la voie à un dialogue sincère. Mais il reste tout aussi ferme : il ne peut et ne doit pas y avoir de quatrième mandat.

Le Président Laurent Gbagbo souhaite rappeler au Président Alassane Ouattara que leur dernière confrontation électorale a été douloureuse pour la Côte d’Ivoire, précisément parce que la Constitution n’avait pas été respectée. Les cicatrices de cette période ne se sont pas encore refermées et nous savons, tous, quel prix le pays a payé à ce manquement au droit.

Aujourd’hui encore, il est de leur responsabilité historique, de transmettre à ce pays une Côte d’Ivoire en paix, réconciliée et respectueuse de ses propres règles.

Le Président Henri Konan Bédié n’est plus. Parmi ceux qui ont eu la charge suprême de conduire la nation, il ne reste désormais que deux hommes : Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara. Cette réalité crée un devoir supplémentaire. Car l’histoire retiendra non seulement ce que chacun a fait quand il était au pouvoir, mais aussi ce qu’ils auront légué au moment de le quitter.

Il ne faut pas croire que l’on est fort parce que l’on tient momentanément les institutions et les armes. On n’est jamais fort tout le temps. Et surtout, on n’est jamais plus fort que le peuple.
Les régimes qui l’ont oublié, partout dans le monde, ont fini par s’effondrer. Le peuple, lui, demeure toujours.

C’est pourquoi, le Président Laurent Gbagbo en appelle à la responsabilité. Gouverner, ce n’est pas s’éterniser au pouvoir au risque de briser la nation. Gouverner, c’est préparer la paix et la réconciliation pour l’avenir. Gouverner, c’est respecter la Constitution, respecter le peuple et accepter que le pouvoir ne soit pas une propriété personnelle, mais une charge temporaire confiée par la souveraineté populaire.

Le Président Laurent Gbagbo tient à préciser que sa volonté n’est pas de contester nos institutions. Bien au contraire. Il s’agit de leur rappeler que leur force et leur légitimité ne viennent pas d’elles-mêmes mais du peuple, et du peuple seul. Elles agissent en son nom, et c’est du peuple qu’elles tirent leur autorité. Oublier cela, c’est trahir l’esprit même de la République.
Le Président Laurent Gbagbo insiste avec force : il n’est pas trop t**d. Il est encore temps de rompre avec cette logique de confiscation. Il est encore temps de revenir aux fondamentaux de la démocratie : la souveraineté du peuple, l’égalité de tous devant la loi, et la vérité des urnes.
Le peuple ivoirien doit être celui qui décide. Lui seul détient le droit de dire qui doit le gouverner. Ce droit ne peut pas être confisqué, encore moins marchandé.

Le lui retirer, c’est condamner notre pays à l’instabilité. Le lui restituer, c’est ouvrir la voie à la paix, à la réconciliation et à la dignité nationale.
Son Excellence le Président Laurent Gbagbo tient à rappeler que c’est unis, que nous serons plus forts que la peur. Déterminés, nous serons plus forts que la répression. Mobilisés, nous serons plus forts que toutes les manœuvres.

Ainsi s’achève la déclaration faite au nom du Président Gbagbo.
Je vous remercie.

Pour le Président Laurent Gbagbo
Me Habiba TOURE
Porte-Parole

Que de la comédie !! 🎭
18/09/2025

Que de la comédie !! 🎭

Gbagbo avait une opposition armée en face. Les moutons le traitent de tueur, mais les mêmes disent qu'il a joué parce qu...
18/09/2025

Gbagbo avait une opposition armée en face. Les moutons le traitent de tueur, mais les mêmes disent qu'il a joué parce qu'il n'a pas tué ceux qui l'attaquaient.
lol

18/09/2025

❌"Le Conseil Constitutionnel a la PLÉNITUDE DE JURIDICTION !"

Le Professeur LATH YEDOH, membre du Conseil Constitutionnel, n'a jamais cessé de prononcer cette phrase avec fermeté à ses étudiants des facultés de droit. Il est intransigeant sur ce principe. Tellement rigoureux qu'il fait échouer facilement aux examens annuels et aux concours.

Mais quand il a eu lui-même un examen pratique à l'échelle nationale, ce fut une catastrophe monumentale. Le professeur sévère et rigoureux a osé participer à la forfaiture du 08 septembre avec Chantal Nanaba. Ses étudiants ne le respecteront plus jamais, parce qu'il a sacrifié son honneur, et il le sait.

🔴 KIDNAPPING DE 𝗠𝗜𝗟𝗜𝗧𝗔𝗡𝗧𝗦 À LEURS DOMICILES𝗝𝗼𝘂𝗿𝗻𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗖𝗵𝗿𝗶𝘀𝘁𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗣𝗶𝗿𝗲: « Bonjour Monsieur le Ministre de TV5 Monde, je ...
18/09/2025

🔴 KIDNAPPING DE 𝗠𝗜𝗟𝗜𝗧𝗔𝗡𝗧𝗦 À LEURS DOMICILES

𝗝𝗼𝘂𝗿𝗻𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗖𝗵𝗿𝗶𝘀𝘁𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗣𝗶𝗿𝗲: « Bonjour Monsieur le Ministre de TV5 Monde, je vais rebondir sur votre dernière réponse, le PPACI hier a dénoncé, l'arrestation et je cite l'enlèvement par des hommes cagoulés de 29 de ses militants depuis, début août, le parti de l'ancien président Laurent Gbagbo dénonce je cite une intimidation, une dérive grave dans la vie politique ivoirienne avec des arrestations à cause d'opinions politiques, qu'est-ce que vous répondez à ces accusations s'il vous plaît? Merci. »

𝗔𝗺𝗮𝗱𝗼𝘂 𝗖𝗼𝘂𝗹𝗶𝗯𝗮𝗹𝘆 : « Que heureusement nous sommes un État de droit sinon on aurait eu 29 cadavres dans les rues. Je pense que je me suis fait comprendre. Toutes ces personnes sont dans les mains de la justice et sont en train de subir des procédures. Si elle n'avait pas commis de délit, elle n'aurait pas été arrêtée. Il n'y a aucune intimidation. Nous sommes dans le cadre de l'application de la loi. Et cette loi, elle est connue. Et je le répète, tout ce qui n'est pas autorisé dans le réel ne peut pas l'être dans le virtuel. Ces personnes qui ont été interpellées, eh ben elles sont sous le coup de la loi elles seront jugées si elles sont reconnues coupables elles seront condamnées si elles ne sont pas reconnues coupables elles seront relaxées. C'est pourquoi nous nous réjouissons qu'elle soit en vie. »

🇨🇮🗣️DION GOKAN  : "En Côte d’Ivoire, on a vu deux Conseils constitutionnels.De 2000 à 2010, quand le RHDP était dehors, ...
18/09/2025

🇨🇮🗣️DION GOKAN : "En Côte d’Ivoire, on a vu deux Conseils constitutionnels.
De 2000 à 2010, quand le RHDP était dehors, ses décisions étaient traitées comme du « papier hygiénique » : on déchire, on jette, on piétine.
Mais depuis 2011, une fois assis au pouvoir, le même parti nous explique que ces décisions sont sacrées, intouchables, et que les contester c’est presque aller en prison.

Bref, ce n’est pas le Conseil qui a changé… c’est seulement la place de chacun autour de la marmite."

LA FIN TRAG!QUE DE L’ARTISTE ROCH BI :Valerie , sa collègue de travail avec qui il exerçait le métier de djosseur de Nam...
18/09/2025

LA FIN TRAG!QUE DE L’ARTISTE ROCH BI :

Valerie , sa collègue de travail avec qui il exerçait le métier de djosseur de Naman l'une des premières femmes djosseur des namans a Abidjan.
Très tôt les 2 tourtereaux tombaient amoureux mais après une bonne période de gloire sur la scène musicale nationale, la carrière de Roch Bi commença à s'essouffler.

La carrière pratiquement à l'arrêt, Roch bi décida de miser ces dernières économies sur le voyage de sa chérie Valérie pour la France.
Elle figure dans le clip( PDG des Naman)

Le deal entre les 2 amoureux était qu'après que Roch bi la faisait partie en France Valérie à son tour devrait lui rendre l'ascenseur une fois sa situation financière se stabilisait là-bas. Quelques années après chose qui a été le cas.

À Abidjan la carrière de Roch bi ne decolais plus et sa situation financière se dégradait de jour en jour .
Informer de la nouvelle vie de Valérie en France, Roch bi entreprit plusieurs tentatives pour rentrer en contact avec cette dernière mais helas ! Valerie a changé d'option en France oubliant tous les sacrifices de son amoureux. Naivéte ou amour aveugle ? Seul Dieu a la réponse.

Ruiné et abandonné par sa Valérie, Roch Bi sombra petit à petit dans la dépression. De ce chagrin amoureux il ne se releva plus jamais. L'alc00lisme fr€laté (koutoukou) et la dr0gue ont été ces derniers compagnons au point d'être fr@ppé malheureusement d'une folie qui l'emporta dans des conditions inimaginables à Yopougon camp militaire CNPS.

Nb: Concernant Valérie aucune nouvelle d'elle à ce jour.

Si tu veux te SAKRA pour femme n’oublie pas l’histoire

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