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31/07/2025

ÉCOUTEZ, RE-ECOUTEZ, ECOUTEZ À NOUVEAU LA PROPHÉTIE DU PASTEUR MOHAMMED DONNÉE EN FIN D’ANNÉE 2023… NE DITES PAS QUE VOUS N’AVEZ PAS ÉTÉ PRÉVENUS!

Le PPA-CI appelle tous les citoyens attachés à la dignité de la Côte d'Ivoire, à se préparer à défendre la Constitution,...
31/07/2025

Le PPA-CI appelle tous les citoyens attachés à la dignité de la Côte d'Ivoire, à se préparer à défendre la Constitution, la justice et l'alternance. C'est une responsabilité historique.

Nous saisissons l'opinion nationale et internationale : le peuple ivoirien n'acceptera pas que la loi fondamentale soit encore bafouée. Nous tiendrons Monsieur Alassane Ouattara pour responsable des tensions et violences qui pourraient se produire.

Extrait du Communiqué officiel du PPA CI

31/07/2025

SI THIAM EST CANDIDAT, IL LES BAT À PLATE COUTURE… VOILÀ LEUR PROBLÈME.

31/07/2025

« L’ADOPTION DE LA NOUVELLE CONSTITUTION N’ENTRAINERA PAS DE RUPTURE AVEC L’ANCIENNE » ILS L’ONT DIT OUI OU NON?

31/07/2025

📣 La société civile tire la sonnette d’alarme !
Le Dr. Mathias Nehan, président de Gem Thiam et coordinateur de la société civile Diaspora Europe & Asie, vous donne rendez-vous ce jeudi 31 juillet à 20h30 (heure de Paris) pour une causerie Thiamiste décisive sur "Le mandat de la honte".
Avec Aristide Palé en modérateur, mobilisons-nous pour dire NON à un 4e mandat anticonstitutionnel.

📍 En direct sur Facebook : Shed Times News, L'Ivoirien, Mel Essis Media TV

RÉPONSE DIRECTE DE Me MATHIAS CHICHPORTICH (AVOCAT DU PRÉSIDENT TIDJANE THIAM) À AMADOU COULIBALY PORTE-PAROLE DU GOUVER...
31/07/2025

RÉPONSE DIRECTE DE Me MATHIAS CHICHPORTICH (AVOCAT DU PRÉSIDENT TIDJANE THIAM) À AMADOU COULIBALY PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT

👉 " Ce que le porte-parole du gouvernement indique, c'est purement et simplement faux ! C'est bel et bien un rappel à l’ordre cinglant de la Côte d’Ivoire, à ses obligations internationales. "

« Je réitère ce que j'ai indiqué, hier, puisque j'ai vu que cela avait fait polémique. Cette décision est un rappel à l'ordre cinglant de la Côte d’Ivoire 🇨🇮, à ses OBLIGATIONS INTERNATIONALES et à L'ORDRE PUBLIC INTERNATIONAL.

J'ai entendu le porte-parole du gouvernement, dont je ne sais pas d'ailleurs si c'est le porte-parole d'un gouvernement ou d'un candidat, indiquer que j'avais AFFABULÉ, il a utilisé le mot AFFABULATION, allant jusqu'à placer le niveau jusqu'à celui de mes HONORAIRES. Je regrette que la solennité qui sied à un COMPTE-RENDU de Conseil des ministres soit descendue à ce niveau et je vais lui répondre sur la FORME et sur le FOND.
Sur la FORME, je m'étonne qu'il ait fallu autant de temps et d'énergie depuis 24 heures aux REPRÉSENTANTS de la CÔTE D'IVOIRE, à son AVOCAT, pour indiquer que ce que je dis est AFFABULATOIRE, si jamais il n'y avait pas un fondement. Pourquoi autant de temps et d'énergie à discréditer ce qui serait une simple affabulation ? Pour une raison simple, c'est que si on lit clairement la DÉCISION, et je vais vous la lire puisqu'il vous y incitait. Il est clair que la Côte d'Ivoire 🇨🇮est RAPPELÉE À L'ORDRE par le COMITÉ des DROITS HUMAINS.

Je vous lis ce qui est indiqué en référence à la régle 94 de son réglement intérieur : "Après avoir examiné le dossier, le Comité, agissant par l'intermédiaire de ses rapporteurs spéciaux sur les nouvelles communications et mesures provisoires, a décidé de ne pas accéder à la demande de mesures provisoires de l'auteur, mais invite L’État partie à prendre toutes les mesures nécessaires, je dis bien toutes les mesures nécessaires, POUR GARANTIR QUE M. TIDJANE THIAM PUISSE EXERCER SES DROITS POLITIQUES EN VERTU DE L'ARTICLE 25 DU PACTE, tant que sa requête est en cours d'examen par le COMITÉ".
Désolé d'avoir dû prendre le temps de vous le lire, mais je ne veux pas qu'il y ait le moindre malentendu sur ce qui est écrit : "INVITE L'ÉTAT PARTIE À PRENDRE TOUTES LES MESURES NÉCESSAIRES POUR GARANTIR QUE M. THIAM PUISSE EXERCER SES DROITS POLITIQUES".

Et référence à l'article 25. Alors que nous dit l'article 25 ? Et je vous promets que ce sera la seule autre lecture que je vous ferai d'une disposition légale : "Tout citoyen a le droit et la possibilité, sans aucune DISCRIMINATI0N, de prendre part à la direction des affaires publiques, soit directement, soit par l'intermédiaire de ses représentants librement choisis. De VOTER et D'ÊTRE ÉLU au cours d'élections périodiques, honnêtes au suffrage universel et égal au scrutin secret, assurant l'expression libre de sa VOLONTÉ des ÉLECTEURS. D'accéder dans des conditions générales d'égalité aux fonctions publiques de son PAYS".

C'est dire que lorsque le porte-parole du gouvernement indique que la Côte d’Ivoire 🇨🇮 respecte les DROITS POLITIQUES de TIDJANE THIAM parce qu'il exercerait des fonctions de DIRECTION DU PARTI, c'est purement et simplement FAUX.
Parce que ce que vient dire le COMITÉ, c'est que soit RESPECTÉ l'article 25 du PACTE, c'est à-dire le fait DE VOTER ET D'ÊTRE ÉLU. Et la meilleure preuve, c'est que si, à l'examen du dossier de la requête des arguments présentés par la CÔTE D'IVOIRE, le COMITÉ avait estimé que les DROITS de M. THIAM étaient garantis, alors pourquoi donc INVITERAIT-IL la Côte d’Ivoire 🇨🇮 à les GARANTIR ?

À quoi bon prendre le soin d'indiquer que L'ÉTAT partie doit prendre toutes les mesures nécessaires pour GARANTIR les DROITS de M. THIAM si ces DERNIERS sont déjà GARANTIS ?
Je pense qu'il faut lire les choses avec RIGUEUR. Et puisqu'on me reproche de faire des écrans de fumée, tirer les conséquences des décisions qui sont rendues. Ou alors assumer le fait que la Côte d’Ivoire 🇨🇮 aujourd'hui NE VEUT PAS RESPECTER LA DÉCISION DU COMITÉ DES DROITS DE L'HOMME.

J'insiste également sur un point, puisque le porte-parole du gouvernement m'a apostrophé. Je l'engage également à relire la CONSTITUTION de la Côte d’Ivoire 🇨🇮, et je le dis avec d'autant plus de respect que je ne suis pas IVOIRIEN, que j'interviens ici comme AVOCAT FRANÇAIS, mais avec tout un tas D'AVOCATS IVOIRIENS qui pensent exactement ce que je pense et qui sont sur la même ligne. Que, évidemment, les TRAITÉS INTERNATIONAUX priment sur la LOI INTERNE.

Et j'en appelle à L'ARTICLE 123 de la CONSTITUTION, qui nous indique qu'évidemment les TRAITÉS ou ACCORDS ont une AUTORITÉ SUPÉRIEURE à celle des LOIS. Et que dans une DÉCISION du CONSEIL CONSTITUTIONNEL de 2010, qui concernait d'ailleurs l'élection du président OUATTARA, il est indiqué que les NORMES et DISPOSITIONS INTERNATIONALES ont une AUTORITÉ SUPÉRIEURE à celle des lois et des décisions juridictionnelles internes.

C'est dire que ce que nous dit le COMITÉ, c'est que peu importe les moyens légaux et politiques qui doivent être utilisés par la Côte d'Ivoire, elles doivent faire RESPECTER et GARANTIR les DROITS de TIDJANE THIAM. Parce que considérer qu'un président de PARTI qui est désigné à près de 99% pour être le CANDIDAT à L'ÉLECTION, jouirait de ses DROITS POLITIQUES simplement parce qu'il dirige le PARTI en étant PRIVÉ D'ÉLECTION, c'est prendre des IVOIRIENS, me semble-t-il, pour des ID.IOTS. Et je ne pense pas que le débat démocratique mérite cela.

Je ne pense pas qu'aujourd'hui, une DÉCISION rendue par une instance internationale indépendante qui invite clairement la Côte d’Ivoire 🇨🇮 à prendre ses responsabilités, que cette DÉCISION puisse être interprétée comme elle est interprétée aujourd'hui. Et j'en appelle à la responsabilité des uns et des autres parce que ce qui se JOUE indépendamment de la CANDIDATURE de M. TIDJANE THIAM, c'est aussi la PAROLE de la Côte d’Ivoire 🇨🇮. C'est aussi sa CRÉDIBILITÉ sur la SCÈNE INTERNATIONALE...»

Me. Mathias CHICHPORTICH, avocat du président Thiam, extrait dans Le Nouveau Réveil, 31/07/2025

AU MOINS LES POLICIERS QUI VONT ALLER À BOUAKE POURRONT REVENIR SUR ABIDJAN POUR ENCADRER CETTE MARCHE
31/07/2025

AU MOINS LES POLICIERS QUI VONT ALLER À BOUAKE POURRONT REVENIR SUR ABIDJAN POUR ENCADRER CETTE MARCHE

31/07/2025

VOICI CE QUE THIAM VEUT CHANGER…

31/07/2025

« LE NON RESPECT DE LA DEMANDE DE L’ONU CONCERNANT THIAM RENDRAIT L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ILLÉGALE AUX YEUX DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE » JURISTE

🇨🇮 COURRIER DU COMITÉ DES DROITS DE L’HOMME DE L’ONU : INTERPRÉTATIONS JURIDIQUES 💥Me. Mathias Chichportich (avocat du P...
31/07/2025

🇨🇮 COURRIER DU COMITÉ DES DROITS DE L’HOMME DE L’ONU : INTERPRÉTATIONS JURIDIQUES 💥

Me. Mathias Chichportich (avocat du Président TIDJANE THIAM) évoque une victoire à travers le vocable "enjoindre" qui veut dire "ordonner expressément", tandis que du côté du gouvernement ivoirien l’on estime qu’aucune recommandation expresse n’a été faite.

Nous avions prévenu que c'était le début d’un thriller juridique. En bien c’est lancé.

Voici quelques détails recueillies auprès de juristes assermentés : 👇

1. Sur la référence à l’article 94 du règlement intérieur dans la décision du Comité des droits de l’homme, nous avons eu hier une discussion confidentielle avec un juriste impliqué dans le dossier du côté du gouvernement et ce dernier a reconnu que la mention “in fine” du paragraphe 2 du courrier du Comité est une mesure provisoire “explicite”. Je le cite : “Pour ma part, c’est UNE MESURE PROVISOIRE QUI NE DIT PAS SON NOM, par extension de l’article 94 du règlement intérieur du Comité. Autrement dit, quel serait alors le fondement juridique de la décision du Comité prise avant même d’avoir statué sur la recevabilité et le fond du dossier ?

2. ⁠Il est constant et documenté au regard des pièces diffusées largement que le Comité des Droits de l’Homme, statuant en vertu de l’article 94 de son règlement intérieur sur les mesures provisoires, vient de demander expressément et sans équivoque au gouvernement de la République de Côte d'Ivoire 🇨🇮 de garantir à TIDJANE THIAM de ses droits civils et politiques : voir paragraphe 2 de la lettre du Comité ;

3. ⁠Qu’il s’agit là de la formulation appropriée d’une recommandation du Comité qui emporte tous les effets des demandes spécifiques tout en laissant, conformément à sa jurisprudence et à sa tradition, à l’État partie (ici la Côte d’Ivoire 🇨🇮) la liberté du choix des moyens nécessaires pour garantir l’exercice par TIDJANE THIAM de son droit de participer à la direction des affaires publiques, de son droit de voter et de son droit d’être élu à toute échéance électorale avec effet immédiat et jusqu’à ce que le Comité rende sa décision finale ;

4. Il est donc totalement erroné, juridiquement insoutenable et moralement récusable de déclarer à ce stade, comme le fait notre adversaire, que la l’ordonnance de radiation de M. TIDJANE THIAM de la liste électorale respectait les droits garantis dans le pacte international sur les droits civils et politiques alors même que la Côte d'Ivoire 🇨🇮 n’a même pas encore déposé ses conclusions au fond qui sont attendues en janvier 2026, d’une part, et que ce même Comité vient de demander à l’État de Côte d'Ivoire 🇨🇮 de respecter les droits civils politiques de TIDJANE THIAM en attendant sa décision finale ;

5. ⁠Il ressort de la jurisprudence du Comité que le refus par tout État de mettre en oeuvre toute recommandation du Comité est incompatible à l’obligation qui incombe aux États parties au Pacte international sur les droits civils et politiques de 1966 et de son protocole facultatif dont est partie la Côte d'Ivoire 🇨🇮, d’exécuter de bonne foi les demandes du Comité ;

6. ⁠Cette recommandation du Comité, au sens de l’article 25 du Pacte, impose donc à l’État de Côte d'Ivoire 🇨🇮 de lever toute obstacle à la participation de M. TIDJANE THIAM à la prochaine élection présidentielle d’octobre 2025;

7. ⁠Au regard de la recommandation du Comité toute exclusion de TIDJANE THIAM de la prochaine élection présidentielle serait donc illégale au regard du droit international.

Allons seulement THIAMEMENT et SÛREMENT...

🇨🇮
🤝

COMMUNIQUÉ DU PPA CI
31/07/2025

COMMUNIQUÉ DU PPA CI

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Abidjan
1030

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