16/02/2024
Le récit initiatique de la passion d'Ousiré montre le plagiat fait pour inventer la passion de Jésus.
« Les papyrus d’Ani et de Hunefer nomment Osiris « seigneur de justice » (Maat) « seigneur saint », comme on appellera Jésus. Ils parlent du serpent humain Sata ou Seth, qui donnera le Satan chrétien.
Ces mêmes papyrus mentionnent les Fils des Ténèbres et évoquent la passion d’Osiris après un souper au cours duquel « le Roi distribua le pain et les viandes consacrées en son nom de Seigneur de la Nourriture Divine. Ce seigneur saint passa ensuite sa coupe à chacun. ». « Osiris connaît son heure et sait qu’il a vécu sa période de vie… Osiris a peur. Osiris a la terreur de marcher dans les ténèbres… Ceux qui veulent se défaire de moi et me faire du mal sont les fils des ténèbres, dit-il… ».
« Père d’Osiris ! Atoum dans les ténèbres ! Prends Osiris à tes côtés ! ». Plus t**d, quand les fils des ténèbres viennent capturer le Messie égyptien, Osiris leur dit : « Je suis votre Seigneur. Venez prendre place dans mes rangs. Je suis le fils de votre Seigneur et vous m’appartenez par mon divin père qui vous a créés… Je suis le Seigneur de la Vie. ».
Ce sont les paroles de Jésus, sur le Mont des Oliviers, telles qu’il les a prononcées 2300 ans plus t**d !
Et Osiris continue : « Puissent ma chair et mes membres ne pas être tailladés à coup de couteau ! Puissé-je ne pas être fouetté ! ». Jésus, lui, fut fouetté. « Oh ! Ne m’enchaînez pas à votre gibet de mort ! Ne m’entraînez jusqu’au lieu des supplices, où mes ennemis immolent leurs victimes ! ». Tout comme Jésus longtemps après lui, Osiris est crucifié sur un gibet formé d’un tronc de sycomore sur lequel un madrier est disposé horizontalement.
La croix du supplice d’Osiris a pour nom : tat. « Pépi vient à toi, Osiris ! Puisse-t-il essuyer ton, visage ! » (Répété quatre fois) (source) Et près de mourir, le roi murmure : « Mon cœur ! Ma mère ! Mon cœur ! Ma mère ! ». On reconnaît ici la passion de Jésus où Véronique essuie le visage de Jésus portant sa croix, puis l’épisode du légionnaire qui lui donne à boire. On est saisi ensuite par le parallèle avec les derniers mots de Jésus sur la croix : « Père ! Père ! Pourquoi m’as-tu abandonné ? ».