18/04/2025
📍On est en 2025.
On a tout pour être connectés : smartphones, réseaux, applis, notifications en continu.
Mais on est de plus en plus seuls, anxieux, perdus… Pourquoi ?
J’ai envie de parler de ce mal-être silencieux. Celui qu’on voit partout mais qu’on n’ose pas toujours nommer. Celui qui se cache derrière les filtres, les likes et les “ça va” automatiques.
🧠 Pendant quelques jours, je vais publier une série de posts sur ce que je considère comme les grands maux du 21e siècle. Pas pour faire la morale. Pas pour dramatiser. Juste pour réfléchir. Pour ouvrir les yeux… et les cœurs. ❤️
Aujourd’hui, on commence par un paradoxe :
🤳 L’isolement à l’ère de l’hyperconnexion.🚨
Jamais dans l’histoire, on n’a été aussi connectés :
📲 Messages instantanés, appels vidéos, stories, likes à la chaîne…
En apparence, tout va bien. On est entourés. Toujours en ligne. Toujours joignables.
Mais plus on “parle”, moins on communique vraiment.
Plus on s’affiche, plus on se compare.
Plus on “aime”, moins on se sent aimés.
Dans cette marée numérique, beaucoup dérivent sans repère.
Le lien humain se dilue dans le flux constant de notifications.
Les vraies discussions laissent place aux réponses rapides.
Le silence devient gênant. On fuit l’ennui, la solitude… en s’y enfonçant davantage.
Et pourtant, on n’en parle pas. Pourquoi ?
Parce que tout le monde a l’air d’aller bien.
Parce que la vulnérabilité fait peur.
Parce que se sentir seul dans un monde “connecté”, ça donne l’impression d’être anormal.
Ce paradoxe, il est là :
On peut avoir des centaines d’abonnés, et personne à qui vraiment parler.
Des conversations tous les jours, mais aucune vraie écoute.
Une vie bien remplie en stories, mais un grand vide entre les lignes.
Il est temps qu’on en parle. Pas pour accuser les outils, mais pour revaloriser le lien humain réel.
Un regard. Une présence. Un silence partagé sans écran.
C’est peut-être ça, le vrai luxe du 21e siècle.