23/09/2025
🔴 SONDAGE: UNE EXIGENCE POPULAIRE D’ÉLECTIONS INCLUSIVES EN CÔTE D’IVOIRE QUE L’ÉTAT NE DOIT PAS NÉGLIGER…
Un récent sondage du THE MESSINA GROUP une maison américaine de sondage sérieuse fondée et dirigée par JIM MESSINA, un conseiller politique américain qui a été chef adjoint de cabinet de la MAISON-BLANCHE chargé des opérations sous la présidence de BARACK OBAMA de 2009 à 2011, et directeur de campagne de la réélection victorieuse d’Obama en 2012.
Leur dernier sondage effectué entre Août et Septembre 2025 sur la situation en Côte d’Ivoire révèle une donnée capitale : LA MAJORITÉ DES ÉLECTEURS IVOIRIENS, Y COMPRIS CEUX DU CAMP PRÉSIDENTIEL, SOUHAITENT LA PARTICIPATION DES PRINCIPAUX OPPOSANTS À L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE.
- 66 % des électeurs d’Alassane Ouattara veulent que Tidjane Thiam figure sur la liste électorale.
- 55 % des mêmes électeurs d’Alassane Ouattara souhaitent la présence de Laurent Gbagbo, malgré l’h.ostilité historique entre leurs bases.
- 59 % se déclarent favorables à la participation de Charles Blé Goudé.
- 56 % se prononcent pour le retour politique de Guillaume Soro.
Ces chiffres traduisent un fait indéniable : le peuple ivoirien aspire à une compétition électorale ouverte, inclusive et transparente, loin des e.xclusions arbitraires qui faussent le jeu démocratique.
Que même des électeurs proches d’Alassane Ouattara souhaitent voir des figures de l’opposition participer démontre que l’idée d’inclusion transcende les préférences politiques.
Ce n’est plus seulement une revendication des opposants, mais un consensus national.
Le peuple veut choisir librement entre toutes les alternatives, et non entre des candidats triés par la Commission Électorale (CEI) et le Conseil Constitutionnel.
Si les principales figures de l’opposition restent e.xclues :
Le scrutin perd toute légitimité populaire.
La participation des électeurs risque de chuter, accentuant la défiance.
Le pays s’expose à des t.ensions sociales et politiques, car une majorité frustrée considérera l’élection comme un simulacre imposé.
Autrement dit : pas d’élection possible sans une véritable ouverture démocratique.
En refusant l’inclusion, la CEI apparaît comme une machine de confiscation du pouvoir au service d’une élite politique.
Les chiffres du sondage révèlent que la population n’est plus dupe : elle a identifié la m.anipulation électorale comme l’obstacle principal à la paix et à l’alternance démocratique.
Ce sondage constitue donc un désaveu clair de la « m.afia électorale » qu’est la CEI.
Selon le même sondage réalisé par The Messina Group, les intentions de vote pour le premier tour se répartissent ainsi :
- Alassane Ouattara (RHDP) : 38 %
- Tidjane Thiam (PDCI) : 25 %
- Laurent Gbagbo (PPA-CI) : 18 %
- Assalé Tiémoko (ADCI) : 5 %
- Vincent Toh Bi Irié : 4 %
- Ahoua Don Melo : 4 %
- Jean-Louis Billon : 2 %
- Ensemble des autres candidats : 5 %.
Concernant le second tour, le sondage, inchangé depuis avril 2025, place TIDJANE THIAM en tête avec 57 % des suffrages exprimés, contre 43 % pour le président sortant ALASSANE OUATTARA.
C’est avec ces chiffres, destinés à convaincre l’opinion internationale de l’injustice des ex.clusions motivées par la P.EUR du régime de PERDRE le POUVOIR, que TIDJANE THIAM conduit sa b.ataille diplomatique aux ÉTATS-UNIS, où il a été invité par le US Department of State pour être entendu par le Secrétaire d’État adjoint aux affaires africaines, Jonathan Pratt. Ce dernier est chargé de la formulation et de la mise en œuvre de la politique ét.rangère américaine envers l’Afrique subsaharienne, couvrant des domaines tels que la diplomatie, la sécurité, la gouvernance, les droits h.umains, le commerce et la coopération au développement.
TIDJANE THIAM a également rencontré les responsables des deux principaux partis américains et a été reçu par plusieurs institutions influentes, notamment :
- International Republican Institute, chargé de promouvoir la démocratie, la liberté politique et l’engagement citoyen dans le monde, ainsi que de réaliser des évaluations préélectorales pour analyser les conditions électorales, les risques de V.IOLENCE, l’environnement politique et la crédibilité des processus électoraux.
- American Enterprise Institute, un think tank majeur spécialisé dans la recherche, l’analyse et la formulation de politiques publiques sur l’économie, la gouvernance, les affaires ét.rangères, la défense, la santé, l’éducation et la culture.
Enfin, il a également eu des échanges avec Ajay Banga, président de la Banque mondiale.
Quand plus de la moitié des électeurs ivoiriens et jusqu’à 66% des électeurs du RHDP, le pouvoir en place eux-mêmes, réclament une élection inclusive, toute tentative d’e.xclusion devient insoutenable.
Un scrutin sans GBAGBO, THIAM, AFFI, BLÉ GOUDÉ ou SORO ne saurait être considéré comme une élection nationale, mais comme un simple arrangement de pouvoir.
La Côte d’Ivoire n’a pas besoin d’élections falsifiées : elle a besoin d’un processus qui reflète