Un rêve et une plume

20/08/2024

13/07/2024

# COURT RÉCIT # A L'AFRICAINE # UNE FAMILLE # PARTIE 1

Famille koné, digne famille senoufo au tempérament de feu et à l'empathie étonnante était le repère de mes racines. Dans cette famille j'avais réussi à forgé mon caractère qui m'a conduit tout au long de ma vie. Défi sur défi, la vie m'a appris à mes dépend que nos principes parfois ne valait rien face à ses réalité.

Comme toute jeune fille au bonne moeurs j'avais réussi à me trouver dans la petite ville d'abengourou un travail de caissière dans un super marché de la place. À 24 ans j'étais célibataire, sans enfant et fier de ne compter sur un homme pour pourvoir vivre. J'étais habitué à un haut point à ma solitude que la seule amie que j'avais esther avait décidé sous agacement de me faire sortir ce samedi là où le début de mon sinistre calvaire allait débuter.

Esther : tu n'est pas encore prête ? Tu t**de trop et tu sais que je déteste attendre.

Samira : j'ai vraiment pas envie d'aller dans un bars et tu le sais alors ne t'étonne pas de me prendre mon temps.

Esther : tu aime trop te plaindre tu aura bientôt 25 ans et aucun homme dans ta vie et celà ne te dis rien. Tu crois que ta mère ne veux pas avoir des petits enfants un jour ?

Samira : je ne suis pas prête pour une relation c'est tout. Bref j'ai fini nous pouvons y aller.

Il était minuit quand nous avons quitté la maison pour ce fameux bars dont j'ignorais le nom. Et à peine arrivé sur le trottoir nous avons aperçu un taxi garé prêt à nous conduire comme si celui-ci savais que nous allions passer par ce chemin. Nous étions que deux filles et 3 garçons bien étrange t**d dans la nuit et celà , me dérangeait à un tel point que je voulut descendre mais hélas une mains dont j'ignorais la provenance me saisit la bouche tout en appuyant avec fermeté à l'aide d'un couteau mon fragile cou........

# A SUIVRE.

08/11/2023

# A LA RECHERCHE DU BONHEUR
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Fatima: eeeh ah maman tu m'insulte pourquoi même. Tu ne vois pas que je réfléchit.

Mère : seigneur !!! C'est à moi que tu parle comme ça, moi qui t'ai donner la vie ? D'ailleurs tu me donne l'argent de la popote quand le mois est déjà fini hein.

Fatima : qu'elle genre de parents êtes vous toi et ton mari , déjà que tu ne cesse de pondre alors que vous n'arrivez même pas à nous nourrir je dois aussi aller me prostituée dehors pour vous nourrir.

Mon père un incapable, passait la plupart de son temps perdus dans les cabarets du coin , à se soulé à mort jusqu'à traîné. Un père de 50 ans qui avait 5 enfant que dis je 6 enfant vue que ma mère était encore tombé enceinte. Rien que la misère. Une chose en était sûr moi fatima savais ce que je voulais devenir et pour ça je devais faire des sacrifices.

Mère : n'a tu jamais entendu que les enfants était l'investissement de leurs parents ? Je t'ai donner naissance et maintenant, oui maintenant tu te dois de trouver une solution pour nous aider ton idiot de père et moi . Majeure ou mineur je m'en contre fiche .

Voyez vous les paroles d'une dîtes mère à son enfant ?Je savais que j'étais une erreur de jeunesse, qu'elle n'aimait pas mon père et je l'a comprenait parfaitement car moi non plus je ne voudrais d'une vie dans une maison en bois , et d un mari ivrogne et insouciant. Mais ce que je ne comprenais pas s'était sa haine pour sa progéniture. Dans mes retranchements, je voulu sortir de la maison prendre l'air quand , celui qui se fait appeler mon père revint avec une toute jeune et belle fille à ses bras.

Fatima: papa c'est qui encore elle ?

Papa: respecte ta nouvelle maman car j'ai décidé d'avoir une seconde épouse.

Fatima : attends quoi, dans ce todi ? ...rire . Mais pourquoi vous les pauvres n'avez jamais pitié de vous, tu n'arrive même pas à nourrir ta famille et tu ramène ça à la maison ? Tu compte sur quoi toi moi ?

Claque.... il venait de me gifler .

06/11/2023

2

Tout se passe à gesco plus précisément à micao dans un atmosphère un peu plus calme pour un vendredi soir.
J'étais à la maison ce jour là quand mon téléphone sonna ( dring dring).
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Lavie: allô fatima où te trouve tu ? Aujourd'hui est le début du week-end et toi tu appel pas un de tes pointeur pour qu'on sorte .

Fatima: hum donc toi tu crois que que tu va vivre ton week-end sur mon dos quoi ? Je suis à la maison, mes frères ont faim alors je leurs fait à mangé.

Lavie: ok ok mais après ça faudrait qu'on sorte. Tu ne m'avais pas dis que kader fêtais ses 30 ans ? Il faut qu'on y aille j'ai besoin de bon gars la fête de fin d'année approche alors je dois compléter mon nombre de gars pour avoir plus d'argent.

Fatima : toi tu parle de toi , moi même je cherche un bon sugar non je dis tu me connais, quand je vais le prendre là il va dire mon nom dans son sommeil.

Lavie: rire..... ok compris si tu finis fait moi signe à plus.

Une incorrigible est mon ami mais je l'aime comme ça. Après notre conversation téléphonique, j'appella kader pour lui confirmer notre présence et force était de constater qu'il en était vraiment ravie au point de même vouloir venir me chercher en personne chez moi pour se rendre dans le lieux. Ce que j'eus refusé vue que s'était lui l'homme du jour. Kader est presque mon meilleur ami car il à toujours été là pour moi dans les bons et mauvais moment. Mais helas pour lui tout se passait autrement. Il ne voulais qu'une chose : avoir plus qu'une simple amitié. Sa mère une femme fort aimable et humble ne cessait aussi de m'en parler mais je ne pouvait accepter celà car j'avais une vision plus clair dont une relation amoureuse avec lui en était un obstacle.

Pensé après pensé j'étais tellement immergé dans cette histoire que je n'entendait même pas ce que ma mère assise près de moi me disais.

Mère : fatou , fatou .... mais qui rêve tu ? Tu ne m'entend pas t'appeler idiote .

02/11/2023

# A LA RECHERCHE DU BONHEUR

CHAPITRE 1

Je vie dans une ville où on doit être à la pointe de la mode et non différent des autres , alors parfois on va à l'encontre des principes, des valeurs qu'on nous à inculquer ou qu'on s'est inculquer. Et pour une fille provenant d'une famille très pauvre tout ceci n'est pas facile. Et bien que faire à par se battre pour un jour goûté au bonheur. Vous vous demander sans doute qui je suis et bien mon non est fatima , une fille très simple de 18 ans qui à eu mille et une raison de vouloir quitter ce monde mais hélas je ne peux abandonné mes frères. Avec l'irresponsabilité de mon père et le manque d'amour de ma mère je ne saurais qui d'entre eux ce soucis réellement de nous. Je suis né en côte d'Ivoire plus précisément à gesco dans les bas quartier de ce sublime endroit. Pourquoi sublime? Parce que je ne connais aucun endroit plus beau que celui qui me permet d'avoir mon gagne pain . Ce que je fais comme boulot est appelé chez nous " le gesié" . Et sans mentir ça ne rapporte pas assez mais au moins permet de se nourrir. Je ne savais ni lire ni écrire alors que faire d'autre et je ne voulais encore moins travailler pour ses femmes qui se disait être indépendante en souffrant nuit et jour sans pour autant être épanouie à cause de leurs nombreux enfants et mari . J'avais un grand rêve, me marié à un homme vieux , aisé afin de vivre confortablement avec sa richesse et surtout un grand souhait " LE VOIR MOURIR AVANT MOI" .

Auteur : Sarah kenzi

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