Africanous TV

Africanous TV Powering Made in Africa Culture

Africanous TV
Acronyme anglais composé de « African », ce qui vient d’Afrique et du surffixe adjectival « ous », il traduit littéralement le fait d’être plein d’Afrique. Africanous TV est une chaine de télévision qui promeut une Afrique qui rime avec prouesses, magnificence, ingéniosité et réussite dans tous les domaines. Loin des clichés presby-prolétaristes, Africanous TV se veut être le canal d

’expression par excellence d’une Afrique renouvelée en perpétuelle évolution et surtout, plus que jamais conquérante.

16/07/2025



La bataille pour la et les élections apaisées en Côte d'Ivoire prend une nouvelle tournure en effet le PDCI et le PPA CI s'unissent pour poser les bases d'une nouvelle plateforme politique appeler le front commun.

Communiqué de Me Abiba Touré.

     ÉDITORIAL D'AFRICANOUS TV  -CRISE AU SEIN DE L'UEMOA ! L'heure est grave, très grave, pour l'Afrique de l'Ouest ! L...
12/07/2025



ÉDITORIAL D'AFRICANOUS TV -CRISE AU SEIN DE L'UEMOA !

L'heure est grave, très grave, pour l'Afrique de l'Ouest ! Le 11 juillet, à Lomé, un acte de défiance retentissant a secoué les fondations déjà fragiles de l'Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA). Les délégations du Faso, du et du , ces nations courageuses regroupées au sein de l'Alliance des États du Sahel (AES), ont claqué la porte de la 2ᵉ session ordinaire du Conseil des ministres. Un geste fort, symbolique, qui résonne comme un cri de ralliement pour la souveraineté africaine, mais aussi comme un avertissement funeste sur l'avenir de notre continent.

Le Déni de Souveraineté : La Goutte d'Eau qui Fait Déborder le Vase
La raison de ce départ fracassant ? Le refus inacceptable d'accorder au Burkina Faso la présidence tournante du Conseil pour deux ans. Un droit légitime, inscrit dans les statuts mêmes de l' , garantissant une alternance entre les ministres des Finances des États membres. Cette décision, perçue à juste titre comme un déni flagrant de souveraineté, est une insulte à la dignité de nos nations. Comment une organisation censée promouvoir l'intégration régionale peut-elle bafouer ses propres règles et humilier publiquement l'un de ses membres ? Ce blocage n'est pas qu'une simple querelle administrative ; il est le symptôme d'un mal profond, une atteinte directe à la cohésion de l'Union, et une preuve de plus que certaines forces obscures œuvrent à maintenir l'Afrique sous le joug de l'ingérence.

De la CEDEAO à l'UEMOA : Un Chemin Tracé vers l'Émancipation ?
Cet événement n'est pas un coup de tonnerre dans un ciel serein. Il s'inscrit dans la continuité d'une dynamique de réaffirmation de soi engagée par les États de l'AES. Rappelons-nous leur départ historique de la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Une décision courageuse, dictée par l'impératif de défendre leurs peuples contre les diktats externes et les sanctions injustes. Hier, la , aujourd'hui l'UEMOA. Le message est clair : l'Afrique nouvelle ne se laissera plus dicter sa conduite. Elle refuse d'être le jouet des puissances étrangères et de leurs marionnettes locales.

Si les pays de l'AES venaient à quitter l'UEMOA et, par extension, le franc CFA, les conséquences seraient monumentales, voire cataclysmiques pour certains, mais potentiellement salvatrices pour d'autres. Sur le plan économique, la rupture avec le franc CFA, arrimé à l'euro et garantit par la , signifierait une reprise en main totale de leur politique monétaire. Cela ouvrirait la voie à la création de monnaies nationales ou régionales, véritable pilier de la souveraineté économique. Certes, les défis seraient immenses : volatilité des taux de change, inflation potentielle, difficultés d'accès aux marchés financiers internationaux à court terme. Mais à long terme, c'est la capacité de nos États à financer leur développement, à contrôler leurs ressources et à s'affranchir des chaînes d'une dépendance coloniale qui est en jeu.

Sur le plan politique, une telle sortie renforcerait davantage l'axe de l'AES, consolidant leur position de pôles de résistance et d'innovation en Afrique de l'Ouest. Elle enverrait un signal fort au reste du continent : l'émancipation est possible, et elle passe par la rupture avec les systèmes qui nous entravent. Ce serait un coup de massue pour l'hégémonie française et ses relais en Afrique, ouvrant la voie à une véritable architecture de sécurité et de développement pensée par et pour les Africains.

La Souveraineté Africaine : Notre Seule Boussole
La source anonyme citée par les médias, évoquant le refus du Burkina Faso, soutenu par et , d'interagir avec la France dans la gestion monétaire, met en lumière le cœur du problème. Le franc CFA, ce vestige colonial, est devenu le symbole d'une tutelle insupportable. Tant que nos monnaies seront sous le contrôle d'une puissance étrangère, notre souveraineté restera une chimère.
Il est temps que la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’UEMOA prenne ses responsabilités. L'heure n'est plus aux tergiversations, mais à l'action audacieuse.

Voici des pistes de résolution, dictées par l'impératif de la souveraineté africaine :
Respect Inconditionnel des Statuts :

La présidence tournante doit être accordée au Burkina Faso sans délai ni condition. Le respect des règles internes est le fondement de toute organisation saine.

Révision Profonde de la Gouvernance de l'UEMOA : Il est impératif de réformer les mécanismes de prise de décision pour garantir une véritable égalité entre les États membres et mettre fin à toute forme d'ingérence extérieure. L'UEMOA doit devenir un instrument au service des peuples africains, et non des intérêts néocoloniaux.
Vers une Monnaie Africaine Souveraine : Le débat sur le franc CFA doit être tranché une fois pour toutes. L'Afrique doit se doter de sa propre monnaie, gérée par ses propres institutions, libre de toute influence étrangère. C'est un acte de dignité, une nécessité économique, et le seul chemin vers une véritable émancipation.

Dialogue Inclusif et Fraternel : Les chefs d'État doivent s'asseoir autour d'une table, non pas pour sermonner, mais pour écouter et comprendre les aspirations profondes des peuples du Sahel. La division ne fera que nous affaiblir. L'unité dans la diversité est notre seule force.

L' est à un carrefour de son histoire. Le choix est clair : soit nous continuons de nous soumettre aux diktats externes et de nous déchirer, soit nous embrassons notre destin, unis, souverains et maîtres de notre avenir.

Africanous TV restera vigilante, aux côtés des peuples qui se battent pour leur liberté et leur dignité. Le temps de la résilience est arrivé, celui de la renaissance est à portée de main !

12/07/2025



ÉDITORIAL D'AFRICANOUS TV -CRISE AU SEIN DE L'UEMOA !

L'heure est grave, très grave, pour l'Afrique de l'Ouest ! Le 11 juillet, à Lomé, un acte de défiance retentissant a secoué les fondations déjà fragiles de l'Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA). Les délégations du Faso, du et du , ces nations courageuses regroupées au sein de l'Alliance des États du Sahel (AES), ont claqué la porte de la 2ᵉ session ordinaire du Conseil des ministres. Un geste fort, symbolique, qui résonne comme un cri de ralliement pour la souveraineté africaine, mais aussi comme un avertissement funeste sur l'avenir de notre continent.

Le Déni de Souveraineté : La Goutte d'Eau qui Fait Déborder le Vase

La raison de ce départ fracassant ? Le refus inacceptable d'accorder au Burkina Faso la présidence tournante du Conseil pour deux ans. Un droit légitime, inscrit dans les statuts mêmes de l' , garantissant une alternance entre les ministres des Finances des États membres. Cette décision, perçue à juste titre comme un déni flagrant de souveraineté, est une insulte à la dignité de nos nations. Comment une organisation censée promouvoir l'intégration régionale peut-elle bafouer ses propres règles et humilier publiquement l'un de ses membres ? Ce blocage n'est pas qu'une simple querelle administrative ; il est le symptôme d'un mal profond, une atteinte directe à la cohésion de l'Union, et une preuve de plus que certaines forces obscures œuvrent à maintenir l'Afrique sous le joug de l'ingérence.

De la CEDEAO à l'UEMOA : Un Chemin Tracé vers l'Émancipation ?

Cet événement n'est pas un coup de tonnerre dans un ciel serein. Il s'inscrit dans la continuité d'une dynamique de réaffirmation de soi engagée par les États de l'AES. Rappelons-nous leur départ historique de la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Une décision courageuse, dictée par l'impératif de défendre leurs peuples contre les diktats externes et les sanctions injustes. Hier, la , aujourd'hui l'UEMOA. Le message est clair : l'Afrique nouvelle ne se laissera plus dicter sa conduite. Elle refuse d'être le jouet des puissances étrangères et de leurs marionnettes locales.

Si les pays de l'AES venaient à quitter l'UEMOA et, par extension, le franc CFA, les conséquences seraient monumentales, voire cataclysmiques pour certains, mais potentiellement salvatrices pour d'autres. Sur le plan économique, la rupture avec le franc CFA, arrimé à l'euro et garantit par la , signifierait une reprise en main totale de leur politique monétaire. Cela ouvrirait la voie à la création de monnaies nationales ou régionales, véritable pilier de la souveraineté économique. Certes, les défis seraient immenses : volatilité des taux de change, inflation potentielle, difficultés d'accès aux marchés financiers internationaux à court terme. Mais à long terme, c'est la capacité de nos États à financer leur développement, à contrôler leurs ressources et à s'affranchir des chaînes d'une dépendance coloniale qui est en jeu.

Sur le plan politique, une telle sortie renforcerait davantage l'axe de l'AES, consolidant leur position de pôles de résistance et d'innovation en Afrique de l'Ouest. Elle enverrait un signal fort au reste du continent : l'émancipation est possible, et elle passe par la rupture avec les systèmes qui nous entravent. Ce serait un coup de massue pour l'hégémonie française et ses relais en Afrique, ouvrant la voie à une véritable architecture de sécurité et de développement pensée par et pour les Africains.

La Souveraineté Africaine : Notre Seule Boussole

La source anonyme citée par les médias, évoquant le refus du Burkina Faso, soutenu par et , d'interagir avec la France dans la gestion monétaire, met en lumière le cœur du problème. Le franc CFA, ce vestige colonial, est devenu le symbole d'une tutelle insupportable. Tant que nos monnaies seront sous le contrôle d'une puissance étrangère, notre souveraineté restera une chimère.

Il est temps que la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’UEMOA prenne ses responsabilités. L'heure n'est plus aux tergiversations, mais à l'action audacieuse. Voici des pistes de résolution, dictées par l'impératif de la souveraineté africaine :

Respect Inconditionnel des Statuts : La présidence tournante doit être accordée au Burkina Faso sans délai ni condition. Le respect des règles internes est le fondement de toute organisation saine.

Révision Profonde de la Gouvernance de l'UEMOA : Il est impératif de réformer les mécanismes de prise de décision pour garantir une véritable égalité entre les États membres et mettre fin à toute forme d'ingérence extérieure. L'UEMOA doit devenir un instrument au service des peuples africains, et non des intérêts néocoloniaux.

Vers une Monnaie Africaine Souveraine : Le débat sur le franc CFA doit être tranché une fois pour toutes. L'Afrique doit se doter de sa propre monnaie, gérée par ses propres institutions, libre de toute influence étrangère. C'est un acte de dignité, une nécessité économique, et le seul chemin vers une véritable émancipation.

Dialogue Inclusif et Fraternel : Les chefs d'État doivent s'asseoir autour d'une table, non pas pour sermonner, mais pour écouter et comprendre les aspirations profondes des peuples du Sahel. La division ne fera que nous affaiblir. L'unité dans la diversité est notre seule force.

L' est à un carrefour de son histoire. Le choix est clair : soit nous continuons de nous soumettre aux diktats externes et de nous déchirer, soit nous embrassons notre destin, unis, souverains et maîtres de notre avenir. Africanous TV restera vigilante, aux côtés des peuples qui se battent pour leur liberté et leur dignité. Le temps de la résilience est arrivé, celui de la renaissance est à portée de main !

    Nathalie Yamb décorée au Burkina Faso Contrairement aux rumeurs en ligne, la militante politique panafricaine et inf...
07/07/2025



Nathalie Yamb décorée au Burkina Faso

Contrairement aux rumeurs en ligne, la militante politique panafricaine et influenceuse Nathalie Yamb n’a pas été nommée conseillère spéciale de la Présidence du Faso. Cependant, elle a bel et bien été élevée au rang de Chevalier de l’ordre de l’Étalon, selon les informations reçus par Africanous TV.

Pour rappel, connue comme la « Dame de Sochi » depuis son discours percutant au sommet - de 2019, Nathalie s’est imposée comme une figure influente du panafricanisme. Journaliste de formation, experte en communication, conférencière et ancienne DRH, elle est l’une des figures panafricanistes du continent.

Née le 22 juillet en 1969, en Suisse et de nationalité camerounaise, Nathalie Yamb a donné plusieurs interviews et a écrit des articles sur l’indépendance et la renaissance africaines, plaidant pour un secteur privé dynamique, un régime parlementaire, la fin du franc CFA et de la Françafrique, et la remise des droits de propriété foncière aux populations pour un meilleur développement des pays africains francophones.

C'est ce combat qui lui vaut aujourd'hui d'être ajouté sur la liste des personnalités interdites de séjour dans les pays de l’Union européenne ( UE )le 26 juin 2025 par le conseil européen Sous le prétexte d'entretenir des liens avec « une organisation liée à des sociétés militaires privées russes ».

       La Politique 'Nigeria D’Abord', Un Modèle pour l'Afrique ?Un Appel à l'Action pour l'Autonomie AfricaineChers dir...
28/06/2025



La Politique 'Nigeria D’Abord', Un Modèle pour l'Afrique ?

Un Appel à l'Action pour l'Autonomie Africaine

Chers dirigeants et citoyens d'Afrique, où en sommes-nous sur le chemin de notre propre émancipation économique ? Tandis que certains de nos États membres continuent de dépendre massivement des importations, une nouvelle impulsion souffle depuis l'Ouest du continent, portant un message clair : l'heure est venue de placer nos nations et nos peuples au premier plan de nos politiques d'approvisionnement. Le Nigéria vient de prendre une décision historique qui résonne comme un appel vibrant à l'ensemble du continent.

Le Nigéria en Chef de File : La Politique "Nigeria D'abord"

Le 5 mai 2025, le Conseil Exécutif Fédéral du Nigéria, sous l'égide du Président Bola Ahmed Tinubu (souvent traité de pro occidentale NDLR), a approuvé la politique "Nigeria D'abord" pour les dépenses et les acquisitions fédérales. Cette initiative audacieuse, annoncée par l'Honorable Ministre de l'Information et de l'Orientation Nationale, Mohammed Idris, vise à donner une priorité inconditionnelle aux biens produits localement dans toutes les transactions gouvernementales. Plus qu'une simple directive, c'est une philosophie, un pari sur la capacité intrinsèque du Nigéria à bâtir sa propre prospérité.

Avantages Immenses pour le Nigéria

Pour le Nigéria, les retombées potentielles de cette politique sont considérables. Premièrement, elle constitue un puissant catalyseur pour l'industrialisation et la croissance économique locale. En garantissant un débouché stable et prioritaire aux produits nationaux, le gouvernement nigérian stimule directement la production manufacturière, l'agriculture et le secteur des services. Cela conduira inévitablement à la création massive d'emplois et à la réduction du chômage, offrant des opportunités concrètes à une jeunesse dynamique.

Deuxièmement, elle renforce la souveraineté économique du pays. Moins dépendante des importations, l'économie nigériane sera plus résiliente face aux chocs extérieurs et aux fluctuations des marchés mondiaux. Cette politique promeut l'autosuffisance et l'innovation locale, encourageant les entrepreneurs à investir et à innover pour répondre aux besoins nationaux. Le volet "renforcement des capacités locales et développement des compétences" est crucial, car il garantit que cette croissance soit ancrée dans le savoir-faire nigérian.

Enfin, c'est un formidable levier pour la fierté nationale. En privilégiant le "Made in Nigeria", le gouvernement envoie un message fort de confiance dans ses propres capacités, ce qui peut revitaliser le patriotisme économique et encourager les citoyens à soutenir également les produits locaux.

Les Enjeux à Ne Pas Ignorer

Cependant, comme toute politique d'une telle envergure, le "Nigeria D'abord" ne sera pas sans défis. Le premier est celui de la capacité de production. Le Nigéria devra s'assurer que ses industries peuvent réellement répondre à la demande accrue, tant en volume qu'en qualité. Une pénurie de l'offre locale pourrait entraîner une inflation et une pression sur les prix.

La qualité des produits est un autre enjeu majeur. Pour être durable, cette préférence nationale doit s'accompagner d'un engagement ferme envers l'excellence et la compétitivité. Des mécanismes de contrôle qualité rigoureux et un soutien aux entreprises pour améliorer leurs standards seront essentiels.

Enfin, il y a le risque de protectionnisme excessif. Bien que l'objectif soit louable, une fermeture trop abrupte aux marchés extérieurs pourrait limiter la concurrence, freiner l'innovation (en l'absence de benchmarks internationaux) et potentiellement nuire aux relations commerciales avec d'autres nations, y compris africaines. La mention d'une "justification forte" et d'un "waiver BPP" pour les dérogations est cruciale pour maintenir une certaine flexibilité et éviter les goulots d'étranglement.

Implications pour l'Afrique : Vers un "Afrique D'abord" ?

La décision nigériane a des implications profondes pour l'ensemble du continent. Elle pourrait servir de modèle inspirant pour d'autres nations africaines désireuses de stimuler leurs économies et de réduire leur dépendance. Si plusieurs pays adoptent des politiques similaires, cela pourrait créer un élan continental pour la production locale, favorisant l'émergence de champions industriels africains.

Cependant, cela soulève également des questions pour l'intégration économique régionale. La Zone de Libre-Échange Continentale Africaine ( ) vise à faciliter le commerce intra-africain. Des politiques nationales de préférence peuvent, si mal gérées, créer des barrières non tarifaires. L'idéal serait que le "Nigeria D'abord" s'inscrive dans une vision plus large d'un "Afrique D'abord", où la production locale est encouragée au niveau national, mais où le commerce des biens "Made in " est également facilité entre les pays du continent. Cela nécessiterait une coordination et une harmonisation des politiques à l'échelle régionale.

Le Chemin de la Prospérité Collective est t'il lancé ?

La politique " D'abord" est un pas audacieux et nécessaire vers l'autonomie et la prospérité du Nigéria. Ses succès et ses défis futurs serviront de précieuses leçons pour tout le continent. Africanous TV exhorte les autres nations africaines à étudier attentivement cette initiative et à envisager des stratégies similaires, adaptées à leurs contextes, pour stimuler leurs propres industries. C'est en cultivant la confiance en soi, en renforçant les capacités locales et en investissant dans nos propres forces que l'Afrique pourra véritablement réaliser son immense potentiel et forger un avenir où chaque citoyen africain bénéficie de la richesse de son continent. L'heure est à l'action, l'heure est à l' !

    Santé critique de Paul Kagame : Scénarios géopolitiques et enjeux régionaux dans l'Équation des Grands Lacs*DATE : 2...
23/06/2025



Santé critique de Paul Kagame : Scénarios géopolitiques et enjeux régionaux dans l'Équation des Grands Lacs

*DATE : 24 juin 2025*

Alors que l’armée rwandaise confirme une "grave crise de santé" du président Paul Kagame, Africanous TV analyse les implications potentielles de son éventuelle disparition sur un pays pivot de l’Afrique des Grands Lacs, où stabilité rime avec son leadership autoritaire depuis 25 ans.

FAITS AVÉRÉS
*[Traduction intégrale du communiqué officiel]*
*DÉCLARATION OFFICIELLE SUR LA SANTÉ DE S.E. LE PRÉSIDENT PAUL KAGAME*
*REF : RDF/DPA/A/10/03/25*
*Kigali, 23 juin 2025*

Les FORCES DE DÉFENSE RWANDAISES (RDF) INFORMENT LE PUBLIC QUE SON EXCELLENCE LE PRÉSIDENT PAUL KAGAME TRAVERSE ACTUELLEMENT UNE GRAVE CRISE DE SANTÉ.

NOUS CONFIRMONS QUE LES RAPPORTS RÉCENTS CONCERNANT SON ÉTAT SONT EXACTS. L'ÉTAT DU PRÉSIDENT EST TRÈS INSTABLE À L'HEURE ACTUELLE, ET IL RESTE SOIN MÉDICAL INTENSIF PAR UNE ÉQUIPE SPÉCIALISÉE.

NOUS LANCONS UN APPEL À TOUS LES RWANDAIS ET AMIS DU RWANDA POUR RESTER UNIS ET PORTER DANS LEURS PRIÈRES NOTRE CHEF D'ÉTAT DURANT CETTE PÉRIODE CRITIQUE.

NOUS ENCOURAGEONS ÉGALEMENT LA POPULATION À RESTER CALME. LES INSTITUTIONS DE LA RÉPUBLIQUE RESTENT OPÉRATIONNELLES, ET LES RDF S'ENGAGENT PLEINEMENT À GARANTIR LA PAIX, L'ORDRE ET LA STABILITÉ NATIONALE.

NOUS CONTINUERONS À FOURNIR DES MISES À JOUR OFFICIELLES SI NÉCESSAIRE.

ANALYSE : LES ENJEUX D'UN VIDE POTENTIEL
*1. Succession : L'Énigme institutionnelle*
- *Scénario verrouillé ?* Le Rwanda n'a jamais connu de transition hors cadre Kagame depuis 2000. Aucun dauphin clairement désigné n'émerge, malgré des figures comme le général James Kabarebe (conseiller sécurité) ou la ministre des Affaires étrangères Vincent Biruta.
- *Article 101 de la Constitution* : Le président du Sénat (actuellement Emmanuel Harelimana) assurerait l'intérim pour 60 jours. Un scénario fragile dans un système ultra-personnalisé.

*2. Démons régionaux : RDC, M23 et FDLR en embuscade*
- *Est de la RDC* : Toute instabilité à Kigali risquerait de réveiller les tensions :
▶︎ *Kinshasa* pourrait profiter d’un affaiblissement rwandais pour intensifier sa lutte contre le M23 (soutenu selon l'ONU par Kigali).
▶︎ *Rebond des FDLR* : Les groupes hutus réfugiés en RDC verraient une opportunité de revanche post-génocide.
- *Ouganda* : Les relations tendues avec Museveni (malgré une récente détente) pourraient basculer dans la compétition pour l’influence régionale.

*3. Économie : Le "miracle rwandais" en sursis*
- PIB multiplié par 8 sous Kagame, mais dépendant de ses réseaux internationaux (Commonwealth, investisseurs occidentaux). Un changement de leadership pourrait gripper les flux financiers et le tourisme (10% du PIB).

*4. Parrains internationaux : Qui tirera les ficelles ?*
- *Royaume-Uni* : Allié historique post-Brexit, pourrait plaider pour une continuité.
- *France* : Relations normalisées depuis 2021, mais Paris surveillera l’équilibre pro-occidental.
- *Chine* : En position de force (dette rwandaise à 15% du PIB) pour peser sur la succession.

CONCLUSION : L'HEURE DU RÉALISME
> "Kagame incarne l’oxymore rwandais : stabilité autoritaire mais absence d’institutions résilientes hors de son ombre", souligne Dr. Léa Uwase, politologue à l'Université de Nairobi.

Si le Rwanda a préparé des *back-offices sécuritaires* (RDF unifiée, cybersurveillance), l’après-Kagame pourrait déverrouiller des forces centrifuges capables d’embraser une région où 7 pays partagent des frontières poreuses et des conflits latents. La communauté internationale devra choisir entre *realpolitik* et pression démocratique.

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    Le Président Américain Donald Trump annonce avoir bombardé 3 sites nucléaires iraniens ce soir ''Nous avons mené à b...
22/06/2025



Le Président Américain Donald Trump annonce avoir bombardé 3 sites nucléaires iraniens ce soir

''Nous avons mené à bien notre attaque très réussie contre les trois sites nucléaires en Iran, notamment , et . Tous les avions sont désormais hors de l'espace aérien iranien. Une charge utile complète de BOMBES a été larguée sur le site principal, Fordow. Tous les avions rentrent sains et saufs. Félicitations à nos grands Guerriers américains. Aucune autre armée au monde n’aurait pu accomplir cela. C’EST MAINTENANT L’HEURE DE LA PAIX ! ''

Cette annonce résonne comme un coup de tonnerre stratégique. Dans la nuit du 21 juin 2025, des bombardiers furtifs B-2 américains ont largué des GBU-57, bombes antibunker de 13 tonnes, sur Fordo, Natanz et Ispahan, prétendument pour "l'heure de la paix" . Pourtant, cette frappe unilatérale, intervenue après des semaines de tensions israélo-iraniennes, pourrait précipiter la catastrophe nucléaire que la communauté internationale redoutait.

Frappe chirurgicale ou provocation globale ?

Les B-2 décollant de Diego Garcia (océan Indien) visaient spécifiquement Fordo, site enfoui sous une montagne, nécessitant une puissance que seul le arsenal américain possède. Selon les experts, "les installations nucléaires iraniennes les plus stratégiques sont construites jusqu’à 800 mètres de profondeur" – une cible hors de portée d’ seul .

Fracture du renseignement : Trump affirme que l’Iran était "à quelques semaines" d’une bombe, contredisant sa propre directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, qui estimait en mars 2025 qu’"aucun programme d’armement n’était en cours". Le Pentagone évaluait même un délai de 3 ans .

Riposte en chaîne : L’Iran a lancé une "vague massive de drones" contre Israël et menacé les intérêts américains au Moyen-Orient. Ali Khamenei promet "des représailles amères et douloureuses", tandis que la , alliée de Téhéran, alerte sur un monde "à quelques millimètres de la catastrophe nucléaire" .

Africanous TV suit là situation avec beaucoup d'intérêt

     la Russie et le Burkina Faso signent un accord sur le nucléaire civilLe 19 juin, la   et le   ont signé un accord i...
19/06/2025



la Russie et le Burkina Faso signent un accord sur le nucléaire civil

Le 19 juin, la et le ont signé un accord intergouvernemental sur la coopération dans le domaine de l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques, a annoncé le site de , société nucléaire d'État russe. Le document a été signé en marge du Forum économique international de Saint-Pétersbourg par le directeur général de Rosatom, Alexeï Likhatchov, et le ministre burkinabè de l'Énergie, des Mines et des Carrières, Yakouba Zabré Gouba.

Cet accord constitue le cadre juridique d'une coopération globale entre les deux pays dans le domaine de l'énergie et des technologies nucléaires. Les principaux axes de coopération sont la promotion de la création et de l'amélioration de l'infrastructure nucléaire du Burkina Faso conformément aux normes internationales, l’utilisation de radioisotopes en médecine, agriculture et industrie, ainsi que la formation des spécialistes du secteur nucléaire du pays.

« La signature de cet accord marque une étape importante dans le renforcement du partenariat entre la Russie et le Burkina Faso. Nous sommes prêts à fournir des technologies de pointe et une expertise pour la mise en œuvre de projets communs visant le développement durable et le renforcement de la sécurité énergétique de la région », a déclaré Alexeï Likhatchov.

La conduite des négociations et la signature de l'accord de coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire ont été ordonnées à Rosatom, conjointement avec le ministère russe des Affaires étrangères, par Mikhaïl Michoustine, Premier ministre russe, le 12 juin. Selon le document, la collaboration dans le domaine du nucléaire civil inclut la construction de réacteurs nucléaires de recherche, d'accélérateurs de particules et d'installations de dessalement. Un accord similaire a été ordonné entre la et le .

       Lomé sous tension, entre répressions et espoirs de renouveau médiatique  Lomé en état de siège : la rue défie le ...
06/06/2025



Lomé sous tension, entre répressions et espoirs de renouveau médiatique



Lomé en état de siège : la rue défie le pouvoir

Dans un climat de tension palpable, les forces de sécurité ont massivement investi les artères de la capitale togolaise ce vendredi 6 juin. Déploiement de gendarmes, barrages filtrants et dispersion violente de manifestants ont marqué cette journée de colère populaire. Les protestataires, exigeant une véritable transition démocratique, ont été confrontés à une répression systématique près du Palais des Congrès et dans le quartier administratif. Ces scènes rappellent cruellement l'arrestation récente du poète "Affectio", interné en hôpital psychiatrique pour un texte critique, et celle du cyberactiviste Aamron, cible du régime pour ses prises de position en ligne .

La veille, la communauté internationale réagissait : le Collège "Avocats pour la Démocratie" basé à Paris publiait une déclaration alarmante sur l'érosion des libertés fondamentales sous la Ve République, dénonçant "une démocratie de façade verrouillant les institutions" .

⚡ Crise énergétique et souveraineté économique
Dans l'ombre des troubles politiques, la Compagnie Énergie Électrique du Togo (CEET) annonçait des coupures programmées dans plusieurs quartiers de Lomé jusqu'au 6 juin, plongeant des milliers de ménages dans le noir . Paradoxe saisissant : alors que les foyers togolais subissent des délestages, le pays a engrangé 122,8 milliards FCFA en 2023 grâce à la réexportation de produits pétroliers – une manne en hausse de 64,6% qui interroge sur la redistribution des richesses .

Pourtant, l'économie affiche des signes de résilience. Le Togo a mobilisé 22 milliards FCFA sur le marché financier de l'UMOA, dépassant ses attentes initiales. Une performance saluée par le FMI qui reconnaît les "avancées dans la mise en œuvre des réformes économiques" .

🎤 Liberté de la presse : entre répression et résistance
Dans un geste inattendu, les autorités ont annoncé la réouverture des accréditations pour les médias étrangers à partir du 26 juin. Une décision qui intervient alors que le Togo occupe la 121e place mondiale au classement RSF 2025 de la liberté de la presse, derrière le Niger (83e) et le Mali (119e) .

Cette ouverture contrôlée ne doit pas masquer l'acharnement contre les voix critiques. Le média d'investigation L'Alternative, soutenu par Reporters Sans Frontières, prépare depuis Dakar une enquête explosive sur "la corruption dans l'exploitation des phosphates" et les circuits financiers de la famille Gnassingbé, au pouvoir depuis 58 ans. Son rédacteur en chef Isidore Kouwonou confie : "C'est l'amour pour notre pays qui nous maintient debout malgré les mandats d'arrêt internationaux".

🌍 Diplomatie : le double jeu togolais
Le Président du Conseil Gnassingbé multiplie les initiatives régionales. Reçu lundi par une délégation de ministres africains des Affaires étrangères, il positionne Lomé comme plateforme du "repositionnement stratégique de l' ". Dans le même temps, son ministre des Affaires étrangères lance des appels du pied à l'Alliance des États du Sahel (AES), déclarant qu'une adhésion serait "une décision stratégique" .

Cette ambiguïté stratégique survient alors que le Togo assure la médiation dans le conflit en RDC pour le compte de l'Union Africaine – un rôle qui contraste avec les dérives autoritaires intérieures .

💡 "Le téléphone mobile est devenu l'arme absolue du journaliste africain. Face à la répression, il permet de contourner les rédactions muselées et de documenter l'indicible" .

🔎 Africanous TV décrypte : le piège de la Ve République
La réforme constitutionnelle de mai 2024 a officiellement instauré un régime parlementaire. Mais derrière ce vernis démocratique, Faure Gnassingbé conserve la réalité du pouvoir comme Président du Conseil, tandis que la fonction présidentielle devient honorifique. L'opposition dénonce une "mascarade institutionnelle" permettant à Gnassingbé de perpétuer son emprise après vingt ans de règne .

Les récentes élections sénatoriales, boycottées par les principaux partis d'opposition, ont consacré la mainmise de l'Union pour la République (UNIR) avec 34 des 41 sièges. Un verrouillage prévisible du système politique .

L'éternel combat
Ces 48 heures résument le paradoxe togolais : un pouvoir qui pratique la répression tout en jouant les médiateurs régionaux, une économie formellement vertueuse mais socialement injuste, une jeunesse innovante face à des élites verrouillant l'horizon politique.

Pourtant, comme le rappelle Isidore de L'Alternative : "Nous maintenons la flamme même après un an d'absence". Cette résistance silencieuse, nourrie par le courage des journalistes d'investigation et la détermination de la rue, pourrait bien écrire le prochain chapitre de l'histoire togolaise.

> "La balance, symbole de justice, s'est transformée en épée de Damoclès suspendue au-dessus des journalistes togolais''.

Nous y reviendrons

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