Africanous TV

Africanous TV Powering Made in Africa Culture

Africanous TV
Acronyme anglais composé de « African », ce qui vient d’Afrique et du surffixe adjectival « ous », il traduit littéralement le fait d’être plein d’Afrique. Africanous TV est une chaine de télévision qui promeut une Afrique qui rime avec prouesses, magnificence, ingéniosité et réussite dans tous les domaines. Loin des clichés presby-prolétaristes, Africanous TV se veut être le canal d

’expression par excellence d’une Afrique renouvelée en perpétuelle évolution et surtout, plus que jamais conquérante.

       La Politique 'Nigeria D’Abord', Un Modèle pour l'Afrique ?Un Appel à l'Action pour l'Autonomie AfricaineChers dir...
28/06/2025



La Politique 'Nigeria D’Abord', Un Modèle pour l'Afrique ?

Un Appel à l'Action pour l'Autonomie Africaine

Chers dirigeants et citoyens d'Afrique, où en sommes-nous sur le chemin de notre propre émancipation économique ? Tandis que certains de nos États membres continuent de dépendre massivement des importations, une nouvelle impulsion souffle depuis l'Ouest du continent, portant un message clair : l'heure est venue de placer nos nations et nos peuples au premier plan de nos politiques d'approvisionnement. Le Nigéria vient de prendre une décision historique qui résonne comme un appel vibrant à l'ensemble du continent.

Le Nigéria en Chef de File : La Politique "Nigeria D'abord"

Le 5 mai 2025, le Conseil Exécutif Fédéral du Nigéria, sous l'égide du Président Bola Ahmed Tinubu (souvent traité de pro occidentale NDLR), a approuvé la politique "Nigeria D'abord" pour les dépenses et les acquisitions fédérales. Cette initiative audacieuse, annoncée par l'Honorable Ministre de l'Information et de l'Orientation Nationale, Mohammed Idris, vise à donner une priorité inconditionnelle aux biens produits localement dans toutes les transactions gouvernementales. Plus qu'une simple directive, c'est une philosophie, un pari sur la capacité intrinsèque du Nigéria à bâtir sa propre prospérité.

Avantages Immenses pour le Nigéria

Pour le Nigéria, les retombées potentielles de cette politique sont considérables. Premièrement, elle constitue un puissant catalyseur pour l'industrialisation et la croissance économique locale. En garantissant un débouché stable et prioritaire aux produits nationaux, le gouvernement nigérian stimule directement la production manufacturière, l'agriculture et le secteur des services. Cela conduira inévitablement à la création massive d'emplois et à la réduction du chômage, offrant des opportunités concrètes à une jeunesse dynamique.

Deuxièmement, elle renforce la souveraineté économique du pays. Moins dépendante des importations, l'économie nigériane sera plus résiliente face aux chocs extérieurs et aux fluctuations des marchés mondiaux. Cette politique promeut l'autosuffisance et l'innovation locale, encourageant les entrepreneurs à investir et à innover pour répondre aux besoins nationaux. Le volet "renforcement des capacités locales et développement des compétences" est crucial, car il garantit que cette croissance soit ancrée dans le savoir-faire nigérian.

Enfin, c'est un formidable levier pour la fierté nationale. En privilégiant le "Made in Nigeria", le gouvernement envoie un message fort de confiance dans ses propres capacités, ce qui peut revitaliser le patriotisme économique et encourager les citoyens à soutenir également les produits locaux.

Les Enjeux à Ne Pas Ignorer

Cependant, comme toute politique d'une telle envergure, le "Nigeria D'abord" ne sera pas sans défis. Le premier est celui de la capacité de production. Le Nigéria devra s'assurer que ses industries peuvent réellement répondre à la demande accrue, tant en volume qu'en qualité. Une pénurie de l'offre locale pourrait entraîner une inflation et une pression sur les prix.

La qualité des produits est un autre enjeu majeur. Pour être durable, cette préférence nationale doit s'accompagner d'un engagement ferme envers l'excellence et la compétitivité. Des mécanismes de contrôle qualité rigoureux et un soutien aux entreprises pour améliorer leurs standards seront essentiels.

Enfin, il y a le risque de protectionnisme excessif. Bien que l'objectif soit louable, une fermeture trop abrupte aux marchés extérieurs pourrait limiter la concurrence, freiner l'innovation (en l'absence de benchmarks internationaux) et potentiellement nuire aux relations commerciales avec d'autres nations, y compris africaines. La mention d'une "justification forte" et d'un "waiver BPP" pour les dérogations est cruciale pour maintenir une certaine flexibilité et éviter les goulots d'étranglement.

Implications pour l'Afrique : Vers un "Afrique D'abord" ?

La décision nigériane a des implications profondes pour l'ensemble du continent. Elle pourrait servir de modèle inspirant pour d'autres nations africaines désireuses de stimuler leurs économies et de réduire leur dépendance. Si plusieurs pays adoptent des politiques similaires, cela pourrait créer un élan continental pour la production locale, favorisant l'émergence de champions industriels africains.

Cependant, cela soulève également des questions pour l'intégration économique régionale. La Zone de Libre-Échange Continentale Africaine ( ) vise à faciliter le commerce intra-africain. Des politiques nationales de préférence peuvent, si mal gérées, créer des barrières non tarifaires. L'idéal serait que le "Nigeria D'abord" s'inscrive dans une vision plus large d'un "Afrique D'abord", où la production locale est encouragée au niveau national, mais où le commerce des biens "Made in " est également facilité entre les pays du continent. Cela nécessiterait une coordination et une harmonisation des politiques à l'échelle régionale.

Le Chemin de la Prospérité Collective est t'il lancé ?

La politique " D'abord" est un pas audacieux et nécessaire vers l'autonomie et la prospérité du Nigéria. Ses succès et ses défis futurs serviront de précieuses leçons pour tout le continent. Africanous TV exhorte les autres nations africaines à étudier attentivement cette initiative et à envisager des stratégies similaires, adaptées à leurs contextes, pour stimuler leurs propres industries. C'est en cultivant la confiance en soi, en renforçant les capacités locales et en investissant dans nos propres forces que l'Afrique pourra véritablement réaliser son immense potentiel et forger un avenir où chaque citoyen africain bénéficie de la richesse de son continent. L'heure est à l'action, l'heure est à l' !

    Santé critique de Paul Kagame : Scénarios géopolitiques et enjeux régionaux dans l'Équation des Grands Lacs*DATE : 2...
23/06/2025



Santé critique de Paul Kagame : Scénarios géopolitiques et enjeux régionaux dans l'Équation des Grands Lacs

*DATE : 24 juin 2025*

Alors que l’armée rwandaise confirme une "grave crise de santé" du président Paul Kagame, Africanous TV analyse les implications potentielles de son éventuelle disparition sur un pays pivot de l’Afrique des Grands Lacs, où stabilité rime avec son leadership autoritaire depuis 25 ans.

FAITS AVÉRÉS
*[Traduction intégrale du communiqué officiel]*
*DÉCLARATION OFFICIELLE SUR LA SANTÉ DE S.E. LE PRÉSIDENT PAUL KAGAME*
*REF : RDF/DPA/A/10/03/25*
*Kigali, 23 juin 2025*

Les FORCES DE DÉFENSE RWANDAISES (RDF) INFORMENT LE PUBLIC QUE SON EXCELLENCE LE PRÉSIDENT PAUL KAGAME TRAVERSE ACTUELLEMENT UNE GRAVE CRISE DE SANTÉ.

NOUS CONFIRMONS QUE LES RAPPORTS RÉCENTS CONCERNANT SON ÉTAT SONT EXACTS. L'ÉTAT DU PRÉSIDENT EST TRÈS INSTABLE À L'HEURE ACTUELLE, ET IL RESTE SOIN MÉDICAL INTENSIF PAR UNE ÉQUIPE SPÉCIALISÉE.

NOUS LANCONS UN APPEL À TOUS LES RWANDAIS ET AMIS DU RWANDA POUR RESTER UNIS ET PORTER DANS LEURS PRIÈRES NOTRE CHEF D'ÉTAT DURANT CETTE PÉRIODE CRITIQUE.

NOUS ENCOURAGEONS ÉGALEMENT LA POPULATION À RESTER CALME. LES INSTITUTIONS DE LA RÉPUBLIQUE RESTENT OPÉRATIONNELLES, ET LES RDF S'ENGAGENT PLEINEMENT À GARANTIR LA PAIX, L'ORDRE ET LA STABILITÉ NATIONALE.

NOUS CONTINUERONS À FOURNIR DES MISES À JOUR OFFICIELLES SI NÉCESSAIRE.

ANALYSE : LES ENJEUX D'UN VIDE POTENTIEL
*1. Succession : L'Énigme institutionnelle*
- *Scénario verrouillé ?* Le Rwanda n'a jamais connu de transition hors cadre Kagame depuis 2000. Aucun dauphin clairement désigné n'émerge, malgré des figures comme le général James Kabarebe (conseiller sécurité) ou la ministre des Affaires étrangères Vincent Biruta.
- *Article 101 de la Constitution* : Le président du Sénat (actuellement Emmanuel Harelimana) assurerait l'intérim pour 60 jours. Un scénario fragile dans un système ultra-personnalisé.

*2. Démons régionaux : RDC, M23 et FDLR en embuscade*
- *Est de la RDC* : Toute instabilité à Kigali risquerait de réveiller les tensions :
▶︎ *Kinshasa* pourrait profiter d’un affaiblissement rwandais pour intensifier sa lutte contre le M23 (soutenu selon l'ONU par Kigali).
▶︎ *Rebond des FDLR* : Les groupes hutus réfugiés en RDC verraient une opportunité de revanche post-génocide.
- *Ouganda* : Les relations tendues avec Museveni (malgré une récente détente) pourraient basculer dans la compétition pour l’influence régionale.

*3. Économie : Le "miracle rwandais" en sursis*
- PIB multiplié par 8 sous Kagame, mais dépendant de ses réseaux internationaux (Commonwealth, investisseurs occidentaux). Un changement de leadership pourrait gripper les flux financiers et le tourisme (10% du PIB).

*4. Parrains internationaux : Qui tirera les ficelles ?*
- *Royaume-Uni* : Allié historique post-Brexit, pourrait plaider pour une continuité.
- *France* : Relations normalisées depuis 2021, mais Paris surveillera l’équilibre pro-occidental.
- *Chine* : En position de force (dette rwandaise à 15% du PIB) pour peser sur la succession.

CONCLUSION : L'HEURE DU RÉALISME
> "Kagame incarne l’oxymore rwandais : stabilité autoritaire mais absence d’institutions résilientes hors de son ombre", souligne Dr. Léa Uwase, politologue à l'Université de Nairobi.

Si le Rwanda a préparé des *back-offices sécuritaires* (RDF unifiée, cybersurveillance), l’après-Kagame pourrait déverrouiller des forces centrifuges capables d’embraser une région où 7 pays partagent des frontières poreuses et des conflits latents. La communauté internationale devra choisir entre *realpolitik* et pression démocratique.

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    Le Président Américain Donald Trump annonce avoir bombardé 3 sites nucléaires iraniens ce soir ''Nous avons mené à b...
22/06/2025



Le Président Américain Donald Trump annonce avoir bombardé 3 sites nucléaires iraniens ce soir

''Nous avons mené à bien notre attaque très réussie contre les trois sites nucléaires en Iran, notamment , et . Tous les avions sont désormais hors de l'espace aérien iranien. Une charge utile complète de BOMBES a été larguée sur le site principal, Fordow. Tous les avions rentrent sains et saufs. Félicitations à nos grands Guerriers américains. Aucune autre armée au monde n’aurait pu accomplir cela. C’EST MAINTENANT L’HEURE DE LA PAIX ! ''

Cette annonce résonne comme un coup de tonnerre stratégique. Dans la nuit du 21 juin 2025, des bombardiers furtifs B-2 américains ont largué des GBU-57, bombes antibunker de 13 tonnes, sur Fordo, Natanz et Ispahan, prétendument pour "l'heure de la paix" . Pourtant, cette frappe unilatérale, intervenue après des semaines de tensions israélo-iraniennes, pourrait précipiter la catastrophe nucléaire que la communauté internationale redoutait.

Frappe chirurgicale ou provocation globale ?

Les B-2 décollant de Diego Garcia (océan Indien) visaient spécifiquement Fordo, site enfoui sous une montagne, nécessitant une puissance que seul le arsenal américain possède. Selon les experts, "les installations nucléaires iraniennes les plus stratégiques sont construites jusqu’à 800 mètres de profondeur" – une cible hors de portée d’ seul .

Fracture du renseignement : Trump affirme que l’Iran était "à quelques semaines" d’une bombe, contredisant sa propre directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, qui estimait en mars 2025 qu’"aucun programme d’armement n’était en cours". Le Pentagone évaluait même un délai de 3 ans .

Riposte en chaîne : L’Iran a lancé une "vague massive de drones" contre Israël et menacé les intérêts américains au Moyen-Orient. Ali Khamenei promet "des représailles amères et douloureuses", tandis que la , alliée de Téhéran, alerte sur un monde "à quelques millimètres de la catastrophe nucléaire" .

Africanous TV suit là situation avec beaucoup d'intérêt

     la Russie et le Burkina Faso signent un accord sur le nucléaire civilLe 19 juin, la   et le   ont signé un accord i...
19/06/2025



la Russie et le Burkina Faso signent un accord sur le nucléaire civil

Le 19 juin, la et le ont signé un accord intergouvernemental sur la coopération dans le domaine de l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques, a annoncé le site de , société nucléaire d'État russe. Le document a été signé en marge du Forum économique international de Saint-Pétersbourg par le directeur général de Rosatom, Alexeï Likhatchov, et le ministre burkinabè de l'Énergie, des Mines et des Carrières, Yakouba Zabré Gouba.

Cet accord constitue le cadre juridique d'une coopération globale entre les deux pays dans le domaine de l'énergie et des technologies nucléaires. Les principaux axes de coopération sont la promotion de la création et de l'amélioration de l'infrastructure nucléaire du Burkina Faso conformément aux normes internationales, l’utilisation de radioisotopes en médecine, agriculture et industrie, ainsi que la formation des spécialistes du secteur nucléaire du pays.

« La signature de cet accord marque une étape importante dans le renforcement du partenariat entre la Russie et le Burkina Faso. Nous sommes prêts à fournir des technologies de pointe et une expertise pour la mise en œuvre de projets communs visant le développement durable et le renforcement de la sécurité énergétique de la région », a déclaré Alexeï Likhatchov.

La conduite des négociations et la signature de l'accord de coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire ont été ordonnées à Rosatom, conjointement avec le ministère russe des Affaires étrangères, par Mikhaïl Michoustine, Premier ministre russe, le 12 juin. Selon le document, la collaboration dans le domaine du nucléaire civil inclut la construction de réacteurs nucléaires de recherche, d'accélérateurs de particules et d'installations de dessalement. Un accord similaire a été ordonné entre la et le .

       Lomé sous tension, entre répressions et espoirs de renouveau médiatique  Lomé en état de siège : la rue défie le ...
06/06/2025



Lomé sous tension, entre répressions et espoirs de renouveau médiatique



Lomé en état de siège : la rue défie le pouvoir

Dans un climat de tension palpable, les forces de sécurité ont massivement investi les artères de la capitale togolaise ce vendredi 6 juin. Déploiement de gendarmes, barrages filtrants et dispersion violente de manifestants ont marqué cette journée de colère populaire. Les protestataires, exigeant une véritable transition démocratique, ont été confrontés à une répression systématique près du Palais des Congrès et dans le quartier administratif. Ces scènes rappellent cruellement l'arrestation récente du poète "Affectio", interné en hôpital psychiatrique pour un texte critique, et celle du cyberactiviste Aamron, cible du régime pour ses prises de position en ligne .

La veille, la communauté internationale réagissait : le Collège "Avocats pour la Démocratie" basé à Paris publiait une déclaration alarmante sur l'érosion des libertés fondamentales sous la Ve République, dénonçant "une démocratie de façade verrouillant les institutions" .

⚡ Crise énergétique et souveraineté économique
Dans l'ombre des troubles politiques, la Compagnie Énergie Électrique du Togo (CEET) annonçait des coupures programmées dans plusieurs quartiers de Lomé jusqu'au 6 juin, plongeant des milliers de ménages dans le noir . Paradoxe saisissant : alors que les foyers togolais subissent des délestages, le pays a engrangé 122,8 milliards FCFA en 2023 grâce à la réexportation de produits pétroliers – une manne en hausse de 64,6% qui interroge sur la redistribution des richesses .

Pourtant, l'économie affiche des signes de résilience. Le Togo a mobilisé 22 milliards FCFA sur le marché financier de l'UMOA, dépassant ses attentes initiales. Une performance saluée par le FMI qui reconnaît les "avancées dans la mise en œuvre des réformes économiques" .

🎤 Liberté de la presse : entre répression et résistance
Dans un geste inattendu, les autorités ont annoncé la réouverture des accréditations pour les médias étrangers à partir du 26 juin. Une décision qui intervient alors que le Togo occupe la 121e place mondiale au classement RSF 2025 de la liberté de la presse, derrière le Niger (83e) et le Mali (119e) .

Cette ouverture contrôlée ne doit pas masquer l'acharnement contre les voix critiques. Le média d'investigation L'Alternative, soutenu par Reporters Sans Frontières, prépare depuis Dakar une enquête explosive sur "la corruption dans l'exploitation des phosphates" et les circuits financiers de la famille Gnassingbé, au pouvoir depuis 58 ans. Son rédacteur en chef Isidore Kouwonou confie : "C'est l'amour pour notre pays qui nous maintient debout malgré les mandats d'arrêt internationaux".

🌍 Diplomatie : le double jeu togolais
Le Président du Conseil Gnassingbé multiplie les initiatives régionales. Reçu lundi par une délégation de ministres africains des Affaires étrangères, il positionne Lomé comme plateforme du "repositionnement stratégique de l' ". Dans le même temps, son ministre des Affaires étrangères lance des appels du pied à l'Alliance des États du Sahel (AES), déclarant qu'une adhésion serait "une décision stratégique" .

Cette ambiguïté stratégique survient alors que le Togo assure la médiation dans le conflit en RDC pour le compte de l'Union Africaine – un rôle qui contraste avec les dérives autoritaires intérieures .

💡 "Le téléphone mobile est devenu l'arme absolue du journaliste africain. Face à la répression, il permet de contourner les rédactions muselées et de documenter l'indicible" .

🔎 Africanous TV décrypte : le piège de la Ve République
La réforme constitutionnelle de mai 2024 a officiellement instauré un régime parlementaire. Mais derrière ce vernis démocratique, Faure Gnassingbé conserve la réalité du pouvoir comme Président du Conseil, tandis que la fonction présidentielle devient honorifique. L'opposition dénonce une "mascarade institutionnelle" permettant à Gnassingbé de perpétuer son emprise après vingt ans de règne .

Les récentes élections sénatoriales, boycottées par les principaux partis d'opposition, ont consacré la mainmise de l'Union pour la République (UNIR) avec 34 des 41 sièges. Un verrouillage prévisible du système politique .

L'éternel combat
Ces 48 heures résument le paradoxe togolais : un pouvoir qui pratique la répression tout en jouant les médiateurs régionaux, une économie formellement vertueuse mais socialement injuste, une jeunesse innovante face à des élites verrouillant l'horizon politique.

Pourtant, comme le rappelle Isidore de L'Alternative : "Nous maintenons la flamme même après un an d'absence". Cette résistance silencieuse, nourrie par le courage des journalistes d'investigation et la détermination de la rue, pourrait bien écrire le prochain chapitre de l'histoire togolaise.

> "La balance, symbole de justice, s'est transformée en épée de Damoclès suspendue au-dessus des journalistes togolais''.

Nous y reviendrons

      lancement officiel de la Bourse des Matières Premières Agricoles ( ) ce 2 juin 2025. Soutenu par la Bourse Régiona...
02/06/2025



lancement officiel de la Bourse des Matières Premières Agricoles ( ) ce 2 juin 2025.

Soutenu par la Bourse Régionale (BRVM), ce projet vise à moderniser la vente du cacao, de la noix de cajou, du coton et d’autres produits clés. L’idée ? Une plateforme électronique pour plus de transparence sur les prixet une meilleure traçabilité Sur le papier, c’est ambitieux… mais est-ce que ça va vraiment changer la vie des cultivateurs ivoiriens ?

Les bons côtés, d’abord
Cette bourse pourrait stabiliser les revenus des planteurs grâce à des contrats qui fixent les prix à l’avance. En plus, ça pourrait attirer des investisseurs et donner un coup de jeune à tout le secteur agricole. Autre atout : centraliser les transactions aide à lutter contre la spéculation sauvage et renforce la BRVM, la bourse commune de l’Afrique de l’Ouest. Bref, une belle vitrine pour l’intégration économique régionale.

Mais… attention aux pièges !

Le gros risque ? Que les petits producteurs soient laissés sur le carreau Beaucoup n’ont pas internet, ni les moyens de comprendre ces outils financiers complexes. Sans accompagnement, ils pourraient se faire doubler par les gros acteurs. Autre souci : même si ça limite la spéculation locale, les cours mondiaux restent hyper volatils… et une bourse, ça peut aussi amplifier les crises ! Sans oublier les coûts : certification, frais de transaction… Tout ça pourrait grignoter leurs maigres marges. Et puis, dépendre techniquement de la BRVM, est-ce vraiment l’autonomie promise ?

Comment faire pour que ça marche pour tous ?
Déjà, il faut inclure les petits. Des applis mobiles simples, en langues locales, pour qu’ils suivent les prix en temps réel. Ensuite, créer un fonds de garantie public pour les protéger quand les marchés s’effondrent – parce que ça arrivera. Et surtout : qu’ils aient leur mot à dire ! Mettre des représentants agricoles dans la gestion de la bourse, c’est non-négociable. Enfin, il faut pousser les industriels *locaux* à acheter sur cette bourse, pour ne pas tout laisser aux multinationales.

Cette bourse agricole, c’est un pas audacieux vers plus de souveraineté. Mais si elle ne sert pas d’abord ceux qui font vivre la terre, les cultivateurs, les coopératives , elle risque de devenir un jouet pour financiers. À l’Ivoirienne de montrer l’exemple : une bourse solidaire, pas juste un marché de plus. Toute l’Afrique a les yeux rivés sur ce laboratoire vivant !

30/05/2025



Panel de Chef d'Etat et de gouvernement

Suivez les Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la Banque africaine de développement :
« Tirer le meilleur parti du capital de l’Afrique pour favoriser son développement »

🇨🇮

29/05/2025



Discour de SEM M. Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d'Ivoire

Suivez les Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la Banque africaine de développement :
« Tirer le meilleur parti du capital de l’Afrique pour favoriser son développement »

🇨🇮

      M. Sidi Ould Tah élu Président de la Banque africaine de développement avec 76,18% et succède à Akinwumi Adesina. ...
29/05/2025



M. Sidi Ould Tah élu Président de la Banque africaine de développement avec 76,18% et succède à Akinwumi Adesina.

29/05/2025



Bilan de gouvernance de SEM M. Akinwumi Adesina Président de la Banque africaine de développement

Suivez les Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la Banque africaine de développement :
« Tirer le meilleur parti du capital de l’Afrique pour favoriser son développement »

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28/05/2025



Suivez les Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la Banque africaine de développement :
« Tirer le meilleur parti du capital de l’Afrique pour favoriser son développement »

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