Union des Activistes de GPS - Officiel

Union des Activistes de GPS - Officiel Structure de Com créée en 2021, proche de GPS et dissoute en 2022 au profit de la fusion à GPS.

18/07/2025
17/07/2025

𝙇𝙐𝙈𝙀𝙉 𝙎𝙄𝙏

GBAGBO--SORO : DES RAISONS DE CROIRE À UN RAPPROCHEMENT QUI SUSCITE À TORT IRRITATIONS ET INTERROGATIONS.

𝙋𝙖𝙧 𝙅𝙤𝙨𝙪é 𝘿𝙅𝙊𝙇𝙊

‎À trois mois des élections présidentielles, le rapprochement entre deux figures majeures de la vie politique nationale, Guillaume Soro et Laurent Gbagbo, suscite naturellement à la fois espoirs et interrogations de part et d'autre. ‎La création du mouvement TROP C’EST TROP symbolise une prise de conscience collective et un sursaut républicain face aux dérives autoritaires, à l’exclusion politique et à la confiscation du jeu démocratique. Contrairement à ce qu'en pensent certains, ce rapprochement mérite d’être soutenu, compris et investi comme une chance historique pour la démocratie en Côte d’Ivoire.


‎Trop c'est trop : convergence patriotique.

‎L’histoire politique regorge d’exemples où des adversaires d’hier deviennent des alliés de demain, dès lors que l’intérêt supérieur de la Nation le commande. En réalité, cette main tendue par le Président Laurent Gbagbo et saisie par le Président Guillaume SORO est un acte de maturité politique, une posture de dépassement des rancunes pour construire un avenir démocratique commun. Guillaume Soro, fidèle, constant, à sa trajectoire de combattant pour la justice, n’a jamais dissimulé ses regrets pour les souffrances engendrées par la crise. Laurent Gbagbo, pour sa part, n’a cessé d’appeler à la réconciliation et au dialogue. Ensemble, ils matérialisent aujourd’hui une volonté commune de rupture avec les logiques de division.

‎Trop c'est trop : convergence de luttes.

‎Il ne s’agit pas d’une alliance d’intérêt opportuniste, mais d’un front commun pour des élections libres, transparentes et inclusives, qui mettent fin à la logique de confiscation du pouvoir. Ce qui unit Guillaume Soro et Laurent Gbagbo aujourd’hui, c’est la volonté de rétablir un ordre démocratique où chaque voix compte, où aucun acteur politique ne doit être arbitrairement exclu. Le mouvement TROP C’EST TROP est un cri citoyen contre la marginalisation des opposants, l’instrumentalisation de la justice et l’étouffement des libertés. Il est donc légitime que les grandes figures de l’opposition, malgré leur passé différent, s’unissent pour défendre la République.

Trop c'est Trop : un mouvement au service de l’intérêt général.

‎Croire à ce rapprochement, c’est croire en une autre façon de faire la politique. Une politique débarrassée des rancunes personnelles et centrée sur les grands enjeux tels que :
‎- la réforme de la Commission Électorale, - la fin des exclusions arbitraires ;
‎- le respect des libertés fondamentales ;
‎- le retour de tous les exilés ;
‎- et la mise en liberté des prisonniers politiques.
‎L’objectif n’est pas de reconstruire une nouvelle polarisation, mais d’unifier toutes les forces vives du pays pour bâtir une démocratie réelle, respectueuse de toutes les sensibilités.

‎Guillaume Soro a-t-il trahi le Nord ?

‎Certains craignent que ce rapprochement affaiblisse Guillaume Soro dans ses bastions naturels du Nord, en raison des souvenirs douloureux liés aux violences passées. Cette inquiétude, bien que compréhensible, ne doit pas occulter l’essentiel. Guillaume Soro reste profondément attaché aux aspirations de justice, de développement et de dignité des populations issues aussi bien du Nord que de toutes les régions du pays et ne saurait s'accommoder à quelque politique d'ethnicisation. En s’alliant à Laurent Gbagbo sur une base de principes démocratiques, il ne trahit pas ses frères du Nord. Bien au contraire, il leur offre un horizon de paix durable, de réconciliation nationale et de participation politique pleine et entière. C’est aussi un signal fort à la jeunesse ivoirienne. La politique ne doit pas être l’arène de la vengeance, mais un espace de dépassement, de construction collective et d’unité dans la diversité.


‎Pour finir, le rapprochement entre Guillaume Soro et Laurent Gbagbo n’est pas une réconciliation de façade, mais un acte de responsabilité patriotique. Il est la preuve que les Ivoiriens peuvent dépasser les blessures du passé pour bâtir ensemble une Nation réconciliée et démocratique. Aux sceptiques, il faut rappeler que l’histoire ne se fait pas dans le repli, mais dans le courage du dialogue et de la construction collective. TROP C’EST TROP est un appel à tourner la page de l’exclusion et à écrire celle d’une Côte d’Ivoire plus juste, plus libre et plus fraternelle.

16/07/2025

𝐋𝐔𝐌𝐄𝐍 𝐒𝐈𝐓

LA PARTICIPATION CITOYENNE EN CÔTE D'IVOIRE À L’ÉPREUVE DU RÉGIME DESPOTIQUE DU RHDP.

𝙋𝙖𝙧 𝘼𝙂𝘼 𝘿𝙚𝙞 𝙇𝙞𝙗𝙚𝙧𝙩𝙖

La participation citoyenne se définit comme l'implication active des citoyens dans les décisions et actions qui affectent leur communauté. Elle se veut un puissant levier de l’expression démocratique et de l’essor économique d’un pays, car un moyen puissant de contrôle de la gestion du pouvoir d’État. Les citoyens s’intéressent ainsi à toutes les actions entreprises par les politiques en vue de la satisfaction de l’intérêt général. Cela a l’avantage de permettre à tout pays, de mieux se développer d’un point de vue économique. Les dirigeants, conscients du contrôle citoyen à travers une participation constante des citoyens dans les prises de décisions et dans leur mise en pratique, sont amenés à faire preuve de prudence et de gestion saine des ressources publiques. Des citoyens engagés réussissent toujours à garantir, une stabilité politique et économique durable, à leur pays.

La phobie du pouvoir Ouattara pour la participation citoyenne.

Alassane OUATTARA, devenu Président de la république, était conscient que des citoyens engagés au service de leur pays ne pourraient cautionner la mauvaise gouvernance du pays. Que fallait-il donc faire pour freiner toute volonté citoyenne de s’intéresser à la gestion des affaires publiques ? Il fallait procéder à l’intimidation, aux menaces, aux arrestations et emprisonnement arbitraires. Aujourd'hui, les citoyens ivoiriens sont contraints à se taire et à rester spectateurs de la mauvaise gouvernance politique, économique et sociale. La peur de la répression et des représailles de toute nature impose aux citoyens d'assister impuissants aux dérives d'un régime qui n'a de compte à rendre à personne.

La nécessité de l'engagement citoyen en dépit de la répression.

Il est vrai que le régime actuel n’entend pas garantir la participation citoyenne pour une vitalité démocratique à lui préjudiciable. Mais, les citoyens ne devraient pas se laisser intimider et abdiquer, renonçant à leur droit et devoir de contrôle, de veille, d'exigence de comptes aux dirigeants. Les impôts payés et leur destination, les besoins sociaux de base, la qualité des infrastructures réalisées, la politique et le rythme de l'endettement, l'État de droit, les libertés individuelles et collectives etc., sont autant de raisons qui doivent amener le citoyen à prendre une place importante dans la gestion de la cité. Le dirigeant en face, qu'il soit démocrate ou autoritaire ne devrait pas pouvoir se soustraire au contrôle du Peuple, encore moins à son jugement en cas de dérives et de félonie.

16/07/2025
14/07/2025
11/07/2025

𝐍'𝐙𝐀𝐒𝐒𝐀-𝐀𝐂𝐓𝐔

GUILLAUME KIGBAFORI SORO : LE COURAGE ET LA RÉSISTANCE D'UN LEADER POLITIQUE INDOMPTÉ PAR LE ROULEAU COMPRESSEUR D’ALASSANE OUATTARA.

𝙋𝙖𝙧 𝘼𝙂𝘼 𝘿𝙚𝙞 𝙇𝙞𝙗𝙚𝙧𝙩𝙖

Cela n’est un secret pour personne. Le leader politique qui a le plus subi les coups d'Alassane OUATTARA est Guillaume SORO. Et pourtant, que de sacrifices consentis par l'ex leader des Forces nouvelles et actuel leader de Générations et Peuples Solidaires (GPS) pour porter au pouvoir l'actuel chef de l'État ivoirien. Depuis 6 ans voire plus, ce dernier a mis en marche sa machine répressive contre son bienfaiteur d'hier : Poursuites judiciaires contre lui, ses parents et ses proches ; plusieurs mandats d’arrêt émis ; tentatives d’enlèvement depuis l’étranger, confiscation de biens immobiliers, vente aux enchères de bien mobiliers etc.

Inébranlable face aux manœuvres malveillantes

En dépit des pressions et répressions, Guillaume SORO n’a point cédé à la dictature. Tous les coups reçus n’ont pu freiner sa détermination à sortir la Côte d’Ivoire de cette impasse dans laquelle Alassane OUATTARA l’oriente de jour en jour. Pour le Président du RHDP, Guillaume SORO est l'ennemi à abattre : cela se traduit par une traque sans merci à travers de nombreux renseignements collectés en vue de savoir sa position géographique exacte. Mais rien n'y fait. Malgré les campagnes diffamatoires, les accusations sans fondement et autres coups tordus, Guillaume SORO est demeuré inébranlable face à maintes manœuvres malveillantes, droit dans ses bottes et focus sur son objectif : celui de la conquête du pouvoir en vue du rayonnement de son pays et de son continent.

Un courage et une résistance politiques sans pareils.

En homme averti, pétri de l'expérience de l’arène politique ivoirienne et conscient des pratiques peu catholiques d’Alassane OUATTARA, Guillaume SORO n’entend pas reculer. Armé de courage, il poursuit sa marche inexorable pour le triomphe de la démocratie et de l’État de droit en Côte d’Ivoire. Le courage dont il fait preuve, depuis le début des persécutions contre lui en vue de l’ébranler et de le faire fléchir, est un cas d’école. Nombre d'opposants politiques qui ont connu la machine répressive d'Alassane Ouattara, ont très vite abdiqué, retournant au RHDP ou rentrant dans leur coquille, abandonnant ainsi le Peuple souverain à la merci de l'oppression. Dans sa marche politique, Guillaume SORO fait tout simplement preuve d'un courage et d’une résistance sans pareils.

Un leader qui incarne l'espoir du Peuple.

Face à la dictature, le Peuple peut craindre. Mais lorsque dans la classe politique, il existe des leaders politiques courageux, déterminés, résistants, engagés, etc., ce même Peuple peut espérer. Le leader Guillaume SORO, fort de toutes les qualités précitées, est valablement le leader sur qui le peuple peut aveuglément fonder ses espoirs. Avec engagement et amour pour sa patrie, le leader de GPS œuvre inlassablement pour libérer le pays de la dictature.

11/07/2025

𝐋𝐔𝐌𝐄𝐍 𝐒𝐈𝐓

LE RHDP DANS LA STRATÉGIE DES DÉRIVES VERBALES À L'APPROCHE DE LA PRÉSIDENTIELLE D'OCTOBRE 2025 : QUAND LES MOTS PRÉCÈDENT LES MORTS.

𝙋𝙖𝙧 𝙈𝙞𝙘𝙝𝙚𝙡 𝙕𝙧𝙖𝙣𝙠𝙖𝙮𝙚𝙪 𝘿𝙄𝙊𝙈𝘼𝙉𝘿𝙀

À l’approche de l’élection présidentielle d’octobre 2025, la Côte d’Ivoire donne l’image d’un pays sous contrôle. Les institutions sont verrouillées, l’opposition est muselée, les voix dissidentes traquées. Mais derrière cette façade d’ordre, une autre réalité plus dangereuse émerge : celle d’un pouvoir qui laisse ses cadres tenir des discours d’une rare violence. Ces propos ne sont ni des dérapages, ni des maladresses. Ça participe de la stratégie de la terreur. Des menaces froidement calculées. Et dans une nation encore marquée au fer rouge par les crises de 2002 et 2010, ces mots sont des étincelles qui pourraient rallumer l’incendie.

Un discours politique qui vire à l’intimidation.

Le 23 avril dernier, le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, s’est illustré par une sortie musclée. Interrogé sur les tensions croissantes autour des radiations de l’opposition de la liste électorale, il prévient, sans détour : «Le désordre ne sera pas toléré. Ce n’est pas une menace, c’est un conseil.»
Derrière cette phrase hypocritement paternaliste, se cache une logique brutale : celle d’un pouvoir qui ne négocie pas, qui n’écoute pas, qui impose. En assimilant toute contestation à du désordre, ce discours nie la légitimité de l’opposition à exprimer son mécontentement. Et surtout, il menace à demi-mot toute tentative de mobilisation citoyenne. Ce type de langage n’est pas isolé. Il s’inscrit dans une ambiance générale où les cadres du RHDP multiplient les déclarations à l’emporte-pièce, les menaces voilées et les intimidations ouvertes. Les propos hostiles deviennent une norme de communication. L’objectif est clair : faire taire toute voix discordante, réduire l’espace démocratique à néant.

Une stratégie délibérée de tension.

Ces discours ne sont jamais condamnés par le sommet de l’État. Le silence du Président Ouattara face à ces dérives équivaut à un feu vert. Dans un pays qui a payé au prix fort les dérives verbales de ses élites politiques, le mutisme actuel est irresponsable. La stratégie est connue : radicaliser la parole publique pour justifier, ensuite, la répression politique. Faire croire que l’opposition est dangereuse, que les manifestations sont synonymes de chaos, pour mieux criminaliser l’engagement citoyen. Ce schéma a été éprouvé en 2020, il est réactivé en 2025.

Les risques d’un retour à la violence.

L’histoire récente de la Côte d’Ivoire est là pour rappeler une évidence : chaque fois que la parole politique s’est radicalisée, le sang n’a pas tardé à couler. En 2010, en 2020, les mots ont précédé les morts. Quand on insulte, on exclut. Quand on exclut, on frappe. Et quand on frappe, on tue. Aujourd’hui encore, les discours violents des cadres du régime contribuent à un climat de peur généralisée. Des journalistes reçoivent des menaces. Des militants de l’opposition sont traqués. Des Ivoiriens s’autocensurent. La violence n’est pas seulement physique. Elle est psychologique, institutionnelle, rampante. Et elle commence toujours par les mots.

Un appel à la responsabilité nationale.

Il est temps que cela cesse. Il est temps que les Ivoiriens, y compris ceux qui soutiennent encore le RHDP, dénoncent cette dérive. La Côte d’Ivoire a besoin de démocratie, pas d’un monologue autoritaire. Elle a besoin de pluralisme, pas de menaces. Elle a besoin de débat, pas de peur. Il est temps que la HACA remplisse sa mission. Que les journalistes reprennent leur rôle de contre-pouvoir. Que la justice cesse d’être un instrument aux ordres. Car ceux qui ferment les yeux aujourd’hui sur ces dérives verbales seront les premiers à en payer le prix demain.

10/07/2025
09/07/2025

𝙇𝙐𝙈𝙀𝙉 𝙎𝙄𝙏

"TROP C'EST TROP !" : PLUS QU'UN VAIN SLOGAN, LE RAS-LE-BOL DU PEUPLE IVOIRIEN ÉTOUFFÉ PAR LA MAL GOUVERNANCE.

𝗣𝗮𝗿 𝗝𝗲𝗮𝗻-𝗣𝗶𝗲𝗿𝗿𝗲 𝗗𝗢𝗨𝗕𝗔𝗛𝗜

L'ex Président de la République de Côte d'Ivoire et Président du PPA-CI, en lançant le slogan de combat politique "Trop c'est trop" contre la dérive autoritaire et la mal gouvernance du pouvoir RHDP, ne croyait pas si bien jauger de sa pertinence, tant il exprime le ras-le-bol d'un peuple, le Peuple ivoirien, ployant et geignant sous la férule de la dictature. En effet, depuis bientôt 15 ans, tous les compartiments de la vie sociale en Côte d'Ivoire présentent un sombre tableau.

La mal gouvernance politique.

Sur le plan politique, la démocratie ivoirienne vit la pire période depuis sa réinstauration il y a 35 ans. Les libertés politiques sont en berne. Les droits de l'homme bafoués. La justice émasculée et instrumentalisée. Les opposants par vague enlevés, arrêtés et jetés en prison. Quand les partis et mouvements politiques ne sont pas dissous, ils sont tout simplement infiltrés par des chevaux de Troie pour les empêcher de fonctionner. À moins de quatre mois de la présidentielle prochaine, les candidatures des principaux leaders de l'opposition sont entravées par des artifices judiciaires. Deux leaders politiques majeurs et non des moindres, Guillaume Soro de GPS et Tidjane Thiam du PDCI-RDA se retrouvent en exil. Comme en 2020, l'élection présidentielle de 2025 s'écrira probablement de couleur sang au regard des menaces des cadres et des nervis du pouvoir. Le dialogue politique, autrefois recette prisée par les ivoiriens dans la résolution des crises, est aujourd'hui au point mort du fait de l'intransigeance politique du Président Ouattara qui au mépris de la Constitution, n'écarte pas la possibilité d'un quatrième mandat, dont le deuxième illégal.

La mal gouvernance économique.

Jamais dans son histoire, la Côte d'Ivoire n'a connu autant de scandales financiers que ces 15 dernières années. Les détournements de deniers publics, la corruption, les marchés gré à gré au profit de proches politiques et de parents, tout y passe.
La Côte d'Ivoire étouffe sous le poids d'une dette colossale de 30 000 milliards de francs cfa. Un surendettement justifié par la réalisation d'infrastructures incapables de résister au temps et aux premières intempéries. Les universités, écoles, hôpitaux dont le pouvoir se targue, n'ont de nom que dans la forme, non dans le contenu. L'émergence promise en 10 ans de pouvoir ne point pas à l'horizon après 15 ans. Les recettes provenant des impôts, de la vente des produits agricoles de rente, du pétrole et des mines servent davantage à entretenir le train de vie d'un État comptant une pléthore d'institutions budgétivores, aux personnels tout aussi pléthoriques que budgétivores.
Si la Côte d'Ivoire peut se targuer d'une forte croissance, il est à constater que celle-ci n'est ni inclusive ni durable comme indiqué par un rapport publié en décembre 2024 par le Ministère français de l’Économie. En outre, l'écart se creuse entre une minorité qui s'accapare les fruits de la croissance et une majorité qui sombre dans la pauvreté.

La mal gouvernance sociale.

Comme conséquence de la mauvaise réparation de la richesse créée, la majorité des ivoiriens fait face au quotidien au mal-être : l'accès à l'éducation et aux soins de santé demeure plus que limité parce que coûteux pour le plus grand nombre. La Côte d'Ivoire se classe parmi les pays les plus chers au monde. Situation dûe à la pression fiscale induite par la pression des échéances de l'énorme dette. La précarité humaine dans le pays a été confirmée par les chiffres du Pnud qui pour l'année 2023, le créditait de l'indice 0,582. Ce qui le classe dans la catégorie des pays à développement humain moyen et au 157ème rang mondial sur 193 pays.

Dans un tel décor de mal gouvernance généralisée dans un pays que seuls les tenants du pouvoir qualifient de paradisiaque, le Peuple vivote, subsiste, survit. Aujourd'hui, ce n'est donc pas un vain slogan pour ce peuple que de crier "Trop c'est trop !"

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