17/07/2025
𝑩𝒆𝒏𝒔𝒌𝒊𝒏𝒈 𝒅𝒆 𝒍'𝑰𝒏𝒇𝒐 - 𝑳𝒆 𝑹𝒆́𝒗𝒆𝒊𝒍 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑪𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆 (𝑵°2) ! 🚨🚨
𝑪𝒉𝒆𝒓𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒂𝒕𝒓𝒊𝒐𝒕𝒆𝒔, 𝒇𝒓𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒔œ𝒖𝒓𝒔 𝒅𝒖 𝑪𝒂𝒎𝒆𝒓𝒐𝒖𝒏, 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒏𝒐𝒔 𝒂𝒏𝒄𝒆̂𝒕𝒓𝒆𝒔 𝒒𝒖𝒊 𝒓𝒆𝒇𝒖𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒎𝒐𝒖𝒓𝒊𝒓 !
𝑹𝒆𝒈𝒂𝒓𝒅𝒆𝒛 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒊𝒎𝒂𝒈𝒆. 𝑬𝒍𝒍𝒆 𝒏'𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒋𝒖𝒔𝒕𝒆 𝒍𝒂 𝒑𝒉𝒐𝒕𝒐 𝒅'𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒏𝒖𝒎𝒆𝒏𝒕 ; 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆 𝑴𝒂𝒖𝒔𝒐𝒍𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝑻𝒉𝒐𝒎𝒂𝒔 𝑺𝒂𝒏𝒌𝒂𝒓𝒂, 𝒍𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒗𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒗𝒊𝒃𝒓𝒂𝒏𝒕 𝒅'𝒖𝒏 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆, 𝒅'𝒖𝒏𝒆 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒐𝒏, 𝒅'𝒖𝒏𝒆 𝒓𝒆́𝒗𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆́𝒕𝒐𝒖𝒇𝒇𝒆́𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈, 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒒𝒖𝒊 𝒓𝒆́𝒔𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒆́𝒄𝒆𝒏𝒏𝒊𝒆𝒔 𝒂𝒑𝒓𝒆̀𝒔 𝒔𝒐𝒏 𝒂𝒔𝒔𝒂𝒔𝒔𝒊𝒏𝒂𝒕. 𝑪'𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆 𝒕𝒆́𝒎𝒐𝒊𝒈𝒏𝒂𝒈𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒊𝒅𝒆́𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒊𝒃𝒆́𝒓𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒏𝒆 𝒎𝒆𝒖𝒓𝒆𝒏𝒕 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔, 𝒎𝒆̂𝒎𝒆 𝒒𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒑𝒔 𝒕𝒐𝒎𝒃𝒆𝒏𝒕 !
Et aujourd'hui, je m'adresse 𝙖̀ 𝙑𝙊𝙐𝙎, 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙩𝙧𝙞𝙖𝙧𝙘𝙝𝙚𝙨 𝙙𝙪 𝙧𝙚́𝙜𝙞𝙢𝙚 ! 𝙑𝙤𝙪𝙨, 𝙢𝙞𝙣𝙞𝙨𝙩𝙧𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙝𝙖𝙪𝙩𝙨 𝙙𝙞𝙜𝙣𝙞𝙩𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨, 𝙦𝙪𝙞 𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙯 𝙙𝙚́𝙟𝙖̀ 𝙖𝙪𝙭 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙖𝙣𝙙𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙢𝙖 𝙜𝙚́𝙣𝙚́𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙣𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙞𝙩, 𝙚𝙩 𝙦𝙪𝙞, 𝙖𝙪𝙟𝙤𝙪𝙧𝙙'𝙝𝙪𝙞, 𝙖𝙡𝙤𝙧𝙨 𝙦𝙪𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙖𝙥𝙥𝙧𝙤𝙘𝙝𝙤𝙣𝙨 𝙙𝙚 𝙡'𝙖̂𝙜𝙚 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙧𝙚𝙩𝙧𝙖𝙞𝙩𝙚, 𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙘𝙧𝙖𝙢𝙥𝙤𝙣𝙣𝙚𝙯 𝙚𝙣𝙘𝙤𝙧𝙚 𝙖̀ 𝙫𝙤𝙨 𝙛𝙖𝙪𝙩𝙚𝙪𝙞𝙡𝙨 ! 🤯🤯
Vous êtes non seulement vieux et dépassés par la moindre avancée technologique, par les enjeux du 21ème siècle, par les aspirations d'une jeunesse connectée et assoiffée de changement, mais en plus, vous osez commettre des crimes horribles contre notre nation ! La corruption généralisée, la spoliation de nos ressources, l'instrumentalisation de la justice, l'oppression de toute voix discordante, le démantèlement de nos services publics, la pauvreté qui s'étend comme une gangrène... Tout cela, c'est votre œuvre !
Vous vous croyez éternels ? Vous agissez comme si la mort n'existait pas pour vous ! Regardez le monument de Sankara ! Même les plus grands, même les plus puissants, finissent par rejoindre la terre. La seule chose qui perdure, c'est l'héritage, la mémoire collective.
Quel nom laisserez-vous dans l'histoire du Cameroun ? Celui de fossoyeurs de la nation, de tyrans qui ont préféré l'enrichissement personnel à la prospérité de leur peuple ? Celui de vieillards sourds aux cris de détresse de millions de Camerounais ?
Vous avez encore une chance infime de changer le récit. De laisser le changement s'installer. D'ouvrir la voie à une nouvelle génération, porteuse d'espoir, d'innovation et d'intégrité. De mettre fin à cette souffrance que vous infligez.
Écrivez votre nom positivement dans l'histoire de notre pays ! C'est la seule façon de trouver une véritable paix, après votre mort. Ne soyez pas ces figures que l'on maudira, que l'on effacera des mémoires, ou dont le souvenir sera associé à la misère.
𝙇𝒆 𝒑𝙚𝒖𝙥𝒍𝙚 𝙣'𝙚𝒔𝙩 𝙥𝒂𝙨 𝙙𝒖𝙥𝒆. 𝙇𝒆 𝒑𝙚𝒖𝙥𝒍𝙚 𝙣'𝙤𝒖𝙗𝒍𝙞𝒆 𝒑𝙖𝒔. 𝙀𝒕 𝒍𝙚 𝙫𝒆𝙣𝒕 𝒅𝙪 𝙘𝒉𝙖𝒏𝙜𝒆𝙢𝒆𝙣𝒕, 𝙞𝒏𝙨𝒑𝙞𝒓𝙚́ 𝙥𝒂𝙧 𝙙𝒆𝙨 𝙛𝒊𝙜𝒖𝙧𝒆𝙨 𝙘𝒐𝙢𝒎𝙚 𝙎𝒂𝙣𝒌𝙖𝒓𝙖, 𝒇𝙞𝒏𝙞𝒓𝙖 𝙩𝒐𝙪𝒋𝙤𝒖𝙧𝒔 𝒑𝙖𝒓 𝒃𝙖𝒍𝙖𝒚𝙚𝒓 𝒍𝙚𝒔 𝒇𝙚𝒖𝙞𝒍𝙡𝒆𝙨 𝙢𝒐𝙧𝒕𝙚𝒔.
Correspondance particulière
Gerard Philippe Kuissu Mephou
