
17/07/2025
🔥 Jacques Fame Ndongo : Le ministre du mépris, l’usurpateur du Sud
Il est temps de dire les choses sans détour. Jacques Fame Ndongo, ministre d’État, ministre de l’Enseignement supérieur, est devenu le symbole d’une élite arrogante, déconnectée et prédatrice. Originaire du Sud, il n’a rien fait pour sa région. Rien. Pas une route digne, pas un lycée moderne, pas un hôpital fonctionnel. Il ne pense qu’à son village, à ses proches, à ses intérêts. Le reste du Sud ? Un terrain de campagne électorale et de silence complice.
Ce ministre, qui se proclame chef traditionnel de Nkolandom, a usurpé un titre sacré en contournant les coutumes ancestrales Bulu. Il n’a pas été désigné par les notables, ni initié selon les rites. Il a imposé sa chefferie par décret et manœuvres administratives, foulant aux pieds les traditions qui relient les vivants aux ancêtres. C’est une profanation, une trahison de l’esprit communautaire. Les vrais chefs sont choisis par le peuple, pas par les préfets.
Et ce n’est pas tout. Fame Ndongo est accusé d’avoir accaparé des terres ancestrales, au détriment des populations locales. Il est au cœur d’un système de spoliation foncière qui transforme les fils du Sud en étrangers sur leur propre sol. Les jeunes, les paysans, les familles entières sont dépossédés pendant que lui et ses alliés s’enrichissent. C’est un crime contre la terre, contre l’histoire, contre l’avenir.
Il se pavane dans les médias avec ses titres, ses décorations, ses discours en français pompeux. Mais à quoi sert toute cette intelligence si elle ne sert pas le peuple ? À quoi bon être ministre depuis 20 ans si ton propre village te rejette ? Lors d’une tournée, un jeune lui a lancé en face : « Tu dis que tu es chef, mais quel chef ne reçoit que les riches ? ». Voilà la vérité : Fame Ndongo est un chef sans peuple, un ministre sans vision, un intellectuel sans conscience.
Le Sud mérite mieux. Il mérite des leaders enracinés, pas des imposteurs.