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A𝐟f𝐚i𝐫e M𝐞 𝐀l𝐢c𝐞 𝐍k𝐨m : l'O𝐛s𝐞r𝐯a𝐭o𝐢r𝐞 𝐝u D𝐞́v𝐞l𝐨p𝐩e𝐦e𝐧t S𝐨c𝐢é𝐭a𝐥 𝐝é𝐧o𝐧c𝐞 𝐮n𝐞 𝐜a𝐦p𝐚g𝐧e d𝐞 𝐝é𝐧i𝐠r𝐞m𝐞n𝐭 𝐨r𝐜h𝐞s𝐭r𝐞́e𝑃𝑎𝑟 𝑅𝑜𝑑...
09/01/2025

A𝐟f𝐚i𝐫e M𝐞 𝐀l𝐢c𝐞 𝐍k𝐨m : l'O𝐛s𝐞r𝐯a𝐭o𝐢r𝐞 𝐝u D𝐞́v𝐞l𝐨p𝐩e𝐦e𝐧t S𝐨c𝐢é𝐭a𝐥 𝐝é𝐧o𝐧c𝐞 𝐮n𝐞 𝐜a𝐦p𝐚g𝐧e d𝐞 𝐝é𝐧i𝐠r𝐞m𝐞n𝐭 𝐨r𝐜h𝐞s𝐭r𝐞́e

𝑃𝑎𝑟 𝑅𝑜𝑑𝑟𝑖𝑔𝑢𝑒 𝐹𝑙𝑜𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑁𝐺𝐴𝑁𝐼 𝐽𝑜𝑢𝑟𝑛𝑎𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝐸𝑥𝑝𝑒𝑟𝑡 𝑒𝑛 𝐺𝑅𝐻

Le 9 janvier 2025, lors d'un point de presse, le Coordonnateur Général de l'Observatoire du Développement Sociétal (ODS), Lilian Maurice Xavier Koulou Engoulou, a vigoureusement dénoncé les attaques diffamatoires dirigées contre son organisation et lui-même, dans le cadre de l'affaire impliquant Me Alice Nkom, Présidente du Conseil d'Administration du Réseau des Défenseurs des Droits Humains en Afrique Centrale (REDHAC).

L'ODS, engagé dans la promotion de la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, avait déposé le 18 décembre 2024 une plainte auprès du Tribunal Militaire de Yaoundé, accusant Me Nkom de tentative d'atteinte à la sûreté de l'État, de financement du terrorisme et de bandes armées. Cette démarche s'appuyait sur des informations jugées crédibles, assorties de preuves matérielles annexées à la plainte.

En réponse, Me Nkom et certains de ses soutiens, notamment le Professeur Maurice Kamto, Président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), ont lancé une série d'accusations publiques contre l'ODS. Me Nkom a ainsi qualifié le Coordonnateur Général de l'ODS d'« indic à la solde de ceux qui manipulent les indics », tandis que le Professeur Kamto a décrit l'ODS comme une « organisation criminelle » instrumentalisée pour initier des poursuites pénales infondées.

Face à ces allégations, M. Koulou Engoulou a exprimé sa profonde indignation, dénonçant une campagne de dénigrement visant à discréditer l'ODS et à entraver ses actions en faveur du développement communautaire et de la justice sociale. Il a rappelé que l'ODS, fort de près d'une décennie d'engagement, jouit d'une réputation de sérieux et de crédibilité dans ses missions de sensibilisation et de promotion de la bonne gouvernance.

Le Coordonnateur Général a également critiqué l'attitude de défiance de Me Nkom, qui aurait refusé de répondre aux convocations des autorités administratives et judiciaires, ainsi que le soutien apporté par le Professeur Kamto à cette posture. Il a appelé les autorités judiciaires à engager les procédures appropriées pour que justice soit rendue, affirmant que la sûreté de l'État et la sécurité des populations doivent primer sur toute autre considération.

Pour rappel, Me Alice Nkom est convoquée le 14 janvier 2025 au Service Central des Recherches Judiciaires de la Gendarmerie Nationale, dans le cadre de l'enquête en cours.














𝗖𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗴𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗘́𝘁𝗮𝘁𝘀-𝗨𝗻𝗶𝘀𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀, 𝗶𝗺𝗽𝗲𝗮𝗰𝗵𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗮𝗺𝗯𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗰𝗮𝗰𝗵𝗲́𝗲𝘀 : 𝗕𝗶𝗱𝗲𝗻 𝗮𝘂 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱’𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗼𝘁...
20/11/2024

𝗖𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗴𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗘́𝘁𝗮𝘁𝘀-𝗨𝗻𝗶𝘀

𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀, 𝗶𝗺𝗽𝗲𝗮𝗰𝗵𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗮𝗺𝗯𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗰𝗮𝗰𝗵𝗲́𝗲𝘀 : 𝗕𝗶𝗱𝗲𝗻 𝗮𝘂 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱’𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗼𝘁 𝗱’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗼𝗻𝗱 ?

L’autorisation controversée de frappes sur le territoire russe à l’aide de missiles ATACMS plonge la présidence Biden dans une tourmente sans précédent. Tandis que des membres du Congrès réclament sa destitution, des rumeurs évoquent une possible manipulation pour permettre à Kamala Harris d’accéder à la présidence. Une analyse critique des manœuvres politiques derrière les enjeux militaires et géopolitiques.

La décision récente du président Joe Biden d’autoriser l’Ukraine à utiliser des missiles à longue portée ATACMS pour frapper en profondeur sur le territoire russe a ouvert la voie à une crise politique et géopolitique sans précédent. Alors que les retombées internationales de cette décision soulèvent des inquiétudes quant à une escalade nucléaire, l’impact politique aux États-Unis s’intensifie. Plusieurs membres influents du Congrès américain, principalement républicains, réclament la destitution de Biden, accusé d’avoir agi de manière irresponsable et dangereuse, mettant en péril la sécurité mondiale.

Les frappes autorisées par Biden ne se limitent pas à un enjeu militaire. Elles suscitent de vives spéculations sur une possible stratégie calculée au sein des cercles du pouvoir. Selon des rumeurs persistantes, cette décision aurait pu être prise en vue de faciliter une transition inattendue vers la vice-présidente Kamala Harris avant l’investiture officielle de Donald Trump en janvier 2025. L’hypothèse, bien que controversée, s’appuie sur une chronologie troublante : l’autorisation des frappes, les appels à destitution et les bruits de couloir évoquant une démission de Biden.

Si les attaques avec les missiles ATACMS provoquent une réponse nucléaire de la Russie, Kamala Harris, en tant que présidente par intérim, pourrait invoquer l’état d’urgence national. Cela lui permettrait, théoriquement, de bloquer l’accès de Trump à la Maison-Blanche en prolongeant la durée de la présidence sous des pouvoirs d’exception. Ce scénario, bien qu’hypothétique, illustre les stratégies parfois vicieuses attribuées à l’État profond, ce réseau opaque d’acteurs politiques et institutionnels accusés de manipuler les événements pour préserver leurs intérêts.

Les membres du Congrès à l’origine des appels à l’impeachment dénoncent également une décision qui exacerbe les tensions internationales sans apporter de solution durable au conflit en Ukraine. Pour eux, Biden a non seulement compromis la sécurité mondiale, mais il a également fragilisé la crédibilité des États-Unis en tant que leader global.

Au-delà des débats politiques, cette situation reflète une Amérique divisée où les rivalités internes et les intérêts de pouvoir priment sur la stabilité internationale. Les citoyens américains, tout comme la communauté internationale, restent en attente de réponses claires face à ces manœuvres qui, sous couvert de stratégie militaire, dissimulent peut-être des ambitions politiques.

Alors que l’investiture de Trump approche et que le spectre d’une nouvelle guerre froide refait surface, la présidence Biden est à un carrefour. Entre accusations, spéculations et réalités géopolitiques, cette crise pourrait redéfinir non seulement l’avenir de la politique américaine, mais également l’ordre mondial. Biden agit-il sous pression ou est-il l’instrument d’un jeu de pouvoir plus vaste ? Les prochains mois s’annoncent décisifs pour lever le voile sur cette intrigue politico-militaire.
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𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝗰𝗮𝗹𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗹𝗶𝘁 𝗿𝘂𝘀𝘀𝗼-𝘂𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗶𝗲𝗻 𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗧𝗔𝗖𝗠𝗦 : 𝗹’𝗨𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲 𝗲𝗻 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗿𝘂𝘀𝘀𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲 𝗳𝗲𝘂 𝘃𝗲𝗿...
19/11/2024

𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝗰𝗮𝗹𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗹𝗶𝘁 𝗿𝘂𝘀𝘀𝗼-𝘂𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗶𝗲𝗻

𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗧𝗔𝗖𝗠𝗦 : 𝗹’𝗨𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲 𝗲𝗻 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗿𝘂𝘀𝘀𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲 𝗳𝗲𝘂 𝘃𝗲𝗿𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗘́𝘁𝗮𝘁𝘀-𝗨𝗻𝗶𝘀

Sous l'autorisation des États-Unis, les forces ukrainiennes ont mené une attaque ciblée avec des missiles à longue portée ATACMS dans la région russe de Briansk. Bien que la majorité des missiles aient été interceptés, cet acte marque une nouvelle phase dans l’intensification du conflit, soulevant des interrogations sur les conséquences de telles escalades.

L'Ukraine, bras armé de l'Occident dans un conflit envenimé

La décision américaine d'autoriser l’Ukraine à utiliser des missiles à longue portée sur le territoire russe a trouvé une application immédiate. Selon le ministère de la Défense russe, les forces armées ukrainiennes ont lancé six missiles ATACMS sur une installation militaire située dans la région de Briansk. Malgré une interception réussie de cinq projectiles par les systèmes de défense russes, un missile a endommagé l'installation, déclenchant un incendie rapidement maîtrisé. Aucun blessé ni dommage structurel majeur n’a été signalé.

Cependant, cette attaque, bien que techniquement limitée, résonne comme un acte symbolique puissant, franchissant une ligne rouge stratégique.

Un parrainage occidental au cœur des hostilités

En permettant de telles frappes, les États-Unis s'engagent dans une stratégie qui risque d’aggraver les tensions internationales. Washington, en accordant à Kyiv l’usage de missiles à longue portée, semble privilégier une politique d’escalade contrôlée, dans un contexte où l’administration Biden cherche à affirmer son influence avant la passation de pouvoir à Donald Trump en 2025.

Mais cette décision suscite des critiques acerbes. En se positionnant en fournisseur direct de technologies militaires avancées, les États-Unis agissent en chef d’orchestre d’un conflit qui dépasse désormais les frontières ukrainiennes. Cette posture s’inscrit dans une politique occidentale plus large, où la France et la Grande-Bretagne apportent également leur soutien militaire à Kyiv, au détriment de la recherche d’une paix négociée.

Le prix d'une stratégie risquée

Si cette attaque peut être interprétée par l’Ukraine comme une victoire symbolique, elle soulève des questions fondamentales : quelle est la limite de l'engagement occidental dans cette guerre ? Le soutien militaire sans précédent offert à Kyiv ne fait-il pas de cette nation un pion dans une rivalité géopolitique plus vaste, où les pertes humaines et économiques s’accumulent sans perspective claire de résolution ?

La Russie, par la voix de son ministère de la Défense, a condamné cet acte qu’elle perçoit comme une provocation directe des États-Unis et de leurs alliés. Cet incident ne fait que renforcer le sentiment d’un monde polarisé, où les puissances occidentales et orientales s’affrontent par procuration sur les terres d’une Ukraine exsangue.

Une paix qui s’éloigne

L’utilisation des ATACMS sur le territoire russe est un signe que la diplomatie cède définitivement la place aux armes. Les responsables politiques occidentaux, tout comme leurs alliés ukrainiens, semblent avoir oublié que chaque missile tiré repousse davantage la perspective d'une paix durable. Ce choix stratégique, dicté par des calculs politiques à court terme, pourrait bien s’avérer catastrophique pour la stabilité mondiale.

Au lieu d’ouvrir la voie à une désescalade, cette attaque montre que le conflit russo-ukrainien continue de s'enliser, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour l'ordre international.

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𝗜𝗻𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗴𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗺𝗮𝗻𝗱𝗮𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗼𝗻𝗴𝘂𝗲 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲́𝗲 𝗲𝗻 𝗨𝗸𝗿...
18/11/2024

𝗜𝗻𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗴𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝘃𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗺𝗮𝗻𝗱𝗮𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹

𝗠𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗼𝗻𝗴𝘂𝗲 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲́𝗲 𝗲𝗻 𝗨𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗲 : 𝗕𝗶𝗱𝗲𝗻 𝗷𝗲𝘁𝘁𝗲 𝘂𝗻 𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲𝗿 𝗽𝗮𝘃𝗲́ 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗮𝗿𝗲 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲́𝗲 𝗲𝗻 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗧𝗿𝘂𝗺𝗽

Alors que Donald Trump a été élu pour un second mandat et prendra officiellement ses fonctions en janvier 2025, l’administration sortante de Joe Biden vient de prendre une décision hautement controversée en autorisant l’Ukraine à utiliser des missiles à longue portée contre la Russie. Cette décision, interprétée par beaucoup comme un acte de sabotage politique, expose la nouvelle présidence à un conflit exacerbé dès son commencement. Analyse d’un geste final qui pourrait bien compliquer l’héritage laissé à son successeur.

L’autorisation accordée par l'administration Biden aux forces ukrainiennes d'utiliser des missiles à longue portée contre des cibles en territoire russe, quelques semaines seulement avant l’investiture officielle de Donald Trump en janvier 2025, a tout l'air d'un dernier coup d'éclat d'un président sur le départ. À première vue, cette décision semble être une tentative désespérée de renforcer le soutien américain à l'Ukraine, mais elle pourrait également être perçue comme un piège politique tendu à son successeur républicain.

En effet, Donald Trump, élu pour un second mandat, devra dès le début de son mandat affronter un contexte géopolitique extrêmement tendu. En autorisant Kyiv à intensifier ses frappes en profondeur sur le territoire russe, Biden ne fait pas qu’intensifier le conflit : il impose à la nouvelle administration une guerre aux enjeux imprévisibles, rendant la transition présidentielle encore plus complexe. Les observateurs politiques ne sont pas dupes : il ne s'agit pas seulement d'un geste symbolique de soutien à l'Ukraine, mais plutôt d'un "cadeau empoisonné" laissé sur le bureau ovale pour le prochain occupant.

La stratégie de Joe Biden, en agissant ainsi sur le fil du rasoir, risque d’exacerber non seulement les tensions avec Moscou mais aussi de nuire aux efforts diplomatiques que Trump pourrait souhaiter engager pour ramener la paix. L'ancien président, qui a fait campagne sur la désescalade des conflits à l'étranger, hérite désormais d'une situation explosive qui pourrait saper ses premières actions diplomatiques dès le début de son nouveau mandat.

Pour des conseillers comme Richard Grenell, proche de Trump, cette autorisation relève d’une irresponsabilité dangereuse. « C'est un acte d'escalade inutile et irresponsable », a-t-il affirmé sur les réseaux sociaux, fustigeant ce qu’il perçoit comme une ultime tentative de Biden pour compliquer l’agenda de la nouvelle administration. En intensifiant les tensions avec la Russie à ce moment critique, l'administration sortante semble vouloir laisser un héritage de conflit à long terme.

Sur le plan militaire, l’efficacité stratégique de ces frappes reste à prouver. Les experts s'interrogent sur l'utilité réelle d'une telle décision à ce stade du conflit, alors que Kyiv n’a pas encore démontré la capacité à infliger des dommages décisifs à Moscou avec ces nouveaux missiles. Pour certains analystes, cette décision ne relève pas d’un impératif militaire, mais d’un calcul politique cynique visant à saboter la marge de manœuvre de l'administration Trump.

Le monde regarde avec appréhension l'évolution de la situation, alors que Washington continue d’armer Kyiv dans une guerre qui semble s’éterniser. Trump, en prenant ses fonctions en janvier, devra non seulement gérer une crise internationale exacerbée par son prédécesseur, mais également prouver que sa stratégie de désescalade est encore possible. Toutefois, avec ce coup de poker militaire, Joe Biden a clairement indiqué qu'il n'avait pas l'intention de laisser la scène sans un dernier éclat, quitte à aggraver un conflit déjà destructeur pour l'Europe de l’Est.

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𝗚𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀𝗡𝗶𝗰𝗼𝗹𝗮𝘀 𝗠𝗮𝗱𝘂𝗿𝗼 𝗱𝗲́𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗮 « 𝗳𝗼𝗹𝗶𝗲 𝗶𝗺𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 » 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗰𝗰𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗹’𝗮𝘂𝘁𝗼𝗿...
18/11/2024

𝗚𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀

𝗡𝗶𝗰𝗼𝗹𝗮𝘀 𝗠𝗮𝗱𝘂𝗿𝗼 𝗱𝗲́𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗹𝗮 « 𝗳𝗼𝗹𝗶𝗲 𝗶𝗺𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 » 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗰𝗰𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗹’𝗮𝘂𝘁𝗼𝗿𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗥𝘂𝘀𝘀𝗶𝗲

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a vivement critiqué la décision des États-Unis, de la France et du Royaume-Uni de fournir à l’Ukraine des missiles à longue portée destinés à cibler la Russie. Lors de son discours de clôture du Congrès bolivarien, il a qualifié cette initiative de preuve ultime d’une « folie impérialiste » et a dénoncé une escalade dangereuse orchestrée par une « sainte alliance du mal ».

Nicolas Maduro n’a pas mâché ses mots face à ce qu’il considère comme une nouvelle étape dans l'escalade militaire menée par les puissances occidentales. En autorisant l’Ukraine à utiliser des missiles à longue portée contre la Russie, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni franchissent, selon lui, une ligne rouge stratégique. « La sainte alliance du mal », comme il l’a désignée, semble être entrée dans une phase de « folie impérialiste et de vengeance », soulignant la détermination de ces puissances à intensifier le conflit en Europe de l'Est.

Pour Maduro, cette décision ne se limite pas à une simple assistance militaire à Kyiv, mais s’inscrit dans une logique de domination et de contrôle géopolitique à grande échelle. Derrière le soutien à l’Ukraine se dessine, selon le leader vénézuélien, une stratégie visant à affaiblir toute puissance contestant l’hégémonie occidentale. En désignant Zelensky comme un « criminel n**i », Maduro ne fait pas seulement écho à la rhétorique anti-occidentale traditionnelle, mais cherche à souligner ce qu'il perçoit comme l’instrumentalisation de l'Ukraine par les puissances atlantistes.

Maduro a profité de cette tribune pour réitérer l'engagement de son pays en faveur d'un monde multipolaire, mettant en garde contre les dangers d’une « folie militante de l’empire gr**go ». Pour lui, la communauté internationale doit se mobiliser pour contrer cette dynamique de confrontation, qui ne sert, selon ses dires, que les intérêts des élites militaires et industrielles occidentales.

Le président vénézuélien voit dans cette récente escalade une tentative à peine voilée de rétablir un ordre mondial unipolaire, avec Washington en tête, cherchant à écraser toute résistance à sa domination. En s’attaquant à la Russie, Maduro perçoit un signe clair de l'ambition des États-Unis de reprendre le contrôle sur les nations souveraines, en recourant à des mesures extrêmes allant jusqu'à la militarisation effrénée des conflits régionaux.

Cette sortie virulente de Maduro intervient à un moment où les tensions internationales sont à leur paroxysme. Les frappes en territoire russe, autorisées par Washington, Paris et Londres, pourraient bien être le déclencheur d'une riposte accrue de Moscou, avec des conséquences potentiellement catastrophiques pour la stabilité mondiale.

Maduro conclut en appelant les nations alliées à s'unir face à ce qu'il qualifie de « stratégie suicidaire » menée par l'Occident. Pour lui, l'avenir passe par la résistance des nations indépendantes et par la construction d'un monde où la souveraineté nationale n'est pas soumise aux caprices de l'impérialisme occidental.

En condamnant fermement cette nouvelle escalade, le Venezuela se positionne une fois de plus comme un défenseur des nations qu'il estime être victimes de l'ingérence occidentale, tout en renforçant ses alliances stratégiques avec des puissances telles que la Russie et la Chine dans la lutte pour un ordre mondial multipolaire.
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𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝗰𝗮𝗹𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗹𝗶𝘁 𝘂𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗼-𝗿𝘂𝘀𝘀𝗲𝗞𝘆𝗶𝘃 𝘀𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗳𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝘂𝘀𝘀𝗶𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗧𝗔𝗖𝗠𝗦...
18/11/2024

𝗡𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝗰𝗮𝗹𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗹𝗶𝘁 𝘂𝗸𝗿𝗮𝗶𝗻𝗼-𝗿𝘂𝘀𝘀𝗲

𝗞𝘆𝗶𝘃 𝘀𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗳𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝘂𝘀𝘀𝗶𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗹𝗲𝘀 𝗔𝗧𝗔𝗖𝗠𝗦

Le Président ukrainien, Volodymyr Zelensky, annonce des frappes imminentes avec des missiles ATACMS à longue portée sur le territoire russe. Cette décision suscite de vives réactions, y compris aux États-Unis, où des voix s'élèvent contre l'intensification du conflit. Le conseiller de Trump, Richard Grenell, critique fermement la politique de Biden.

L'Ukraine semble prête à franchir un nouveau seuil dans la guerre qui l'oppose à la Russie. Le Président Volodymyr Zelensky, dans une déclaration vidéo, a annoncé que Kyiv s’apprête à déployer ses premiers missiles ATACMS contre des cibles en profondeur en Russie. Le dirigeant ukrainien, confiant, a affirmé que ces frappes à longue portée "parleraient d'elles-mêmes" et marqueraient un tournant dans le conflit. Cette annonce marque une étape décisive, mettant en lumière la détermination de l’Ukraine à riposter après des mois d’intenses combats sur le front.

Cependant, cette escalade militaire ne fait pas l'unanimité au-delà des frontières de l'Ukraine. Aux États-Unis, certains responsables s'inquiètent des répercussions potentielles de telles frappes. Richard Grenell, proche conseiller en politique étrangère de Donald Trump, a vivement critiqué la décision de l'administration Biden de fournir à Kyiv ces armes sophistiquées. Selon lui, cette initiative risque de prolonger inutilement le conflit au lieu de favoriser une issue diplomatique. Il a ainsi dénoncé sur le réseau social X que "Biden intensifie le conflit avant de quitter son poste", une critique sévère qui met en lumière les divisions au sein de la classe politique américaine.

Le déploiement des missiles ATACMS par l’Ukraine est perçu par certains analystes comme un moyen de frapper au cœur des infrastructures stratégiques russes, en notamment les centres logistiques et de commandement éloignés du front. Pourtant, malgré l’enthousiasme affiché par Zelensky, d'autres experts militaires estiment que ces frappes, bien que spectaculaires, ne seront pas suffisantes pour inverser la tendance d’un conflit qui s’enlise depuis plus de vingt mois. Ils soulignent que la Russie dispose d’une défense anti-aérienne sophistiquée et que les attaques en profondeur pourraient ne pas avoir l'effet escompté sur le terrain.

Dans ce contexte, la décision de Kyiv d'intensifier les frappes avec des missiles ATACMS pourrait redéfinir les règles du jeu, tout en aggravant les tensions internationales. Les prochains jours seront déterminants pour mesurer l’impact de cette stratégie sur l’évolution du conflit et la réponse de Moscou face à cette nouvelle menace.

La guerre en Ukraine, qui a déjà coûté la vie à des milliers de personnes et déplacé des millions d'autres, entre dans une nouvelle phase dont les conséquences restent imprévisibles. Les efforts diplomatiques semblent pour l’instant relégués au second plan, alors que chaque camp intensifie ses offensives dans l’espoir de prendre l’avantage.
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𝗘𝗻𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗰𝗰𝗶𝗻𝘀 𝗮𝗻𝘁𝗶-𝗖𝗢𝗩𝗜𝗗-𝟭𝟵𝗟𝗲 𝗣𝗿 𝗗𝗶𝗱𝗶𝗲𝗿 𝗥𝗮𝗼𝘂𝗹𝘁 𝗿𝗲́𝘃𝗲̀𝗹𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗺𝗮𝘀𝘀𝗶𝘃𝗲 𝗱'𝗔𝗗𝗡 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗰𝗰𝗶𝗻𝘀 𝗣𝗳𝗶𝘇𝗲𝗿Une...
17/11/2024

𝗘𝗻𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗰𝗰𝗶𝗻𝘀 𝗮𝗻𝘁𝗶-𝗖𝗢𝗩𝗜𝗗-𝟭𝟵
𝗟𝗲 𝗣𝗿 𝗗𝗶𝗱𝗶𝗲𝗿 𝗥𝗮𝗼𝘂𝗹𝘁 𝗿𝗲́𝘃𝗲̀𝗹𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗺𝗮𝘀𝘀𝗶𝘃𝗲 𝗱'𝗔𝗗𝗡 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗰𝗰𝗶𝗻𝘀 𝗣𝗳𝗶𝘇𝗲𝗿

Une étude du Pr Didier Raoult dévoile des résultats préoccupants concernant les vaccins Pfizer contre la COVID-19. Des analyses révèlent la présence significative d'ADN dans ces injections, soulevant des interrogations quant à leur sécurité sanitaire.

Le Pr Didier Raoult, figure controversée mais respectée de la recherche médicale, a récemment publié une analyse explosive sur la plateforme scientifique HAL. Selon lui, des résidus d'ADN ont été détectés en quantité non négligeable dans les vaccins à ARN messager de Pfizer. Cette révélation relance le débat sur la sécurité des vaccins anti-COVID-19 et pourrait avoir des implications importantes pour la santé publique.

Selon les données divulguées par le Pr Raoult, l'analyse génétique des vaccins Pfizer a révélé la présence d'ADN plasmidique dans les doses injectées. À l'aide d'un fluoromètre Qubit, une concentration de 216 ng d'ADN par dose a été mesurée, atteignant même 5 160 ng/dose après un traitement au Triton-X-100. Cette découverte est alarmante car elle dépasse de 24 fois les valeurs initiales constatées.

La séquençage de nouvelle génération (NGS) a permis de cartographier le plasmide en question, révélant une matrice d'ADN complète de 7 824 paires de bases avec une couverture élevée (98,3%) et des profondeurs de lecture allant de 4 181 à 4 389 lectures. Ces résultats mettent en lumière la présence en grand nombre de copies d'ADN plasmidique dans le vaccin, soulevant des questions sur le potentiel risque d'intégration de cet ADN dans le génome des cellules humaines après injection.

Face à ces résultats, le Pr Raoult appelle à une réévaluation rigoureuse à grande échelle pour déterminer l'étendue de la contamination par l'ADN dans les vaccins à ARN messager, en particulier sur d'autres lots. Cette situation pose la question d'un éventuel retrait du marché pour garantir la sécurité des patients.

Ces révélations mettent en exergue la nécessité d'une transparence accrue et d'une régulation stricte dans le contrôle des vaccins, surtout face à une industrie pharmaceutique influencée par des fonds d'investissement tels que BlackRock et Vanguard.

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 #𝗚𝘂𝗲𝗿𝗿𝗲𝗥𝗗𝗣𝗖𝗗𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹’𝗘𝘅𝘁𝗿𝗲̂𝗺𝗲-𝗡𝗼𝗿𝗱 : 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗥𝗗𝗣𝗖 𝗺𝗶𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝘁𝗲𝗹𝗮𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻...
15/11/2024

#𝗚𝘂𝗲𝗿𝗿𝗲𝗥𝗗𝗣𝗖

𝗗𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹’𝗘𝘅𝘁𝗿𝗲̂𝗺𝗲-𝗡𝗼𝗿𝗱 : 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗥𝗗𝗣𝗖 𝗺𝗶𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲

𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝘁𝗲𝗹𝗮𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻𝘃𝗼𝘆𝗲́𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗣𝗮𝘂𝗹 𝗕𝗶𝘆𝗮 𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲́𝘀 𝗱𝗶𝘀𝗽𝗮𝗿𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗺𝘆𝘀𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁

Nouvelles accusations au sein du RDPC. Un membre influent du comité central du parti au pouvoir pointe du doigt le détournement de matériel de secours envoyé par le président Paul Biya aux populations sinistrées de l’Extrême-Nord. Matelas, vivres, et autres articles destinés aux victimes des récentes inondations semblent s’être volatilisés avant d’atteindre leurs destinataires. Ce scandale révèle des failles graves dans la gestion des aides d’urgence et expose de nouvelles fissures au sein du parti au pouvoir.

Les tensions s'intensifient au sein du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) alors que de nouvelles révélations secouent la scène politique nationale. Cette fois, les accusations émanent d'un membre du comité central qui, sous couvert d’anonymat, dénonce un scandale de détournement de dons humanitaires. Selon ce haut responsable, plusieurs matelas, vivres et articles envoyés par le président Paul Biya pour soutenir les sinistrés des inondations dans l’Extrême-Nord n'auraient jamais atteint leurs destinataires.

Les sinistrés, déjà fragilisés par la perte de leurs biens et leurs habitations, attendaient ces secours avec impatience. Cependant, il semblerait que des fonctionnaires locaux, affiliés au RDPC, auraient détourné ces dons à leur profit. "C’est une trahison pure et simple de la confiance du président", fulmine notre source, ajoutant que ce n’est pas la première fois que des pratiques aussi scandaleuses entachent l’image du parti.

Les rapports sur le terrain confirment que des centaines de familles déplacées attendent toujours les matelas et les vivres promis. Selon plusieurs témoins, une grande partie des secours se serait évaporée avant même d'arriver dans les localités ciblées. Cette situation suscite une colère grandissante au sein des populations locales, qui voient ces détournements comme une trahison inacceptable venant de leurs propres représentants.

Face à ces accusations, la direction du RDPC reste pour le moment silencieuse. Cependant, ces nouvelles révélations accentuent les pressions internes, alors que le parti fait face à des luttes de pouvoir croissantes. La guerre interne au RDPC ne cesse de s’amplifier, exacerbée par des querelles d’intérêts personnels au détriment des priorités nationales.

Une crise de confiance au sein du parti

Pour de nombreux observateurs, cet énième scandale pourrait être la goutte d’eau qui fera déborder le vase. À quelques mois des échéances électorales, ces détournements risquent de ternir davantage l’image du parti au pouvoir, déjà fortement critiqué pour sa gestion des affaires publiques. "Si des mesures disciplinaires fermes ne sont pas prises, c’est l’intégrité même du RDPC qui est en jeu", avertit un analyste politique.

Alors que le président Paul Biya prône régulièrement l’intégrité et la rigueur dans la gestion des affaires publiques, ces incidents révèlent une réalité bien différente sur le terrain. En attendant une réaction officielle du RDPC, la grogne monte aussi bien au sein de la population que dans les rangs du parti.

Un test pour la cohésion du RDPC

Avec ces nouvelles accusations, le RDPC fait face à un dilemme critique : soit agir fermement contre les responsables locaux impliqués, soit risquer de perdre davantage de crédibilité auprès de la population. Alors que les sinistrés continuent de souffrir, la guerre interne au sein du RDPC semble loin d’être terminée, menaçant d’emporter avec elle ce qui reste de la confiance des Camerounais envers le parti au pouvoir.

𝗠𝗮𝗹𝗶 : 𝗨𝗻 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝗶𝘁𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗴𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲𝗔𝘀𝘀𝗶𝗺𝗶 𝗚𝗼𝗶̈𝘁𝗮 𝗲𝘁 𝘀𝗲𝘀 𝗮𝗹𝗹𝗶𝗲́𝘀 𝗿𝗲𝗽𝗼𝘂𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗹'𝗵𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝘅 𝗮...
15/11/2024

𝗠𝗮𝗹𝗶 : 𝗨𝗻 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝗶𝘁𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗴𝗲́𝗼𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲

𝗔𝘀𝘀𝗶𝗺𝗶 𝗚𝗼𝗶̈𝘁𝗮 𝗲𝘁 𝘀𝗲𝘀 𝗮𝗹𝗹𝗶𝗲́𝘀 𝗿𝗲𝗽𝗼𝘂𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗹'𝗵𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲 𝗱𝗶𝘅 𝗮𝗻𝘀 𝗱'𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗮𝗶𝘀𝗲

Après une décennie de présence militaire française, européenne et onusienne, le Mali était toujours largement occupé par des groupes terroristes. Pourtant, en moins de deux ans, sous la houlette du Colonel Assimi Goïta et avec l'appui de nouveaux partenaires, notamment russes, le pays a reconquis des territoires stratégiques comme Kidal. Retour sur une reconquête symbolique qui redéfinit l’avenir sécuritaire de la région.

Le 14 novembre 2023 marquait un tournant historique pour le Mali. En cette date, les Forces Armées Maliennes (FAMa) entraient dans Kidal, ville stratégique abandonnée par les forces onusiennes de la Minusma sous prétexte d’un retrait ordonné. Ce retrait a laissé le champ libre aux groupes terroristes, révélant, selon les autorités maliennes, le jeu trouble d’une coalition occidentale dirigée par la France. Pendant dix ans, malgré les multiples interventions militaires, la situation sécuritaire n'a cessé de se détériorer. Assimi Goïta, en prenant le pouvoir et en coupant les ponts avec la France, a changé la donne en s’appuyant sur de nouveaux partenaires pour libérer son pays du joug terroriste.

La reconquête du Mali par ses propres forces, avec l’appui stratégique de la Russie, souligne l’échec cuisant des interventions occidentales dans la région. En janvier 2013, alors que le président par intérim Diocounda Traoré appelait à une aide aérienne, la France, sous la direction de François Hollande, lançait l'opération Serval, rapidement suivie par une présence militaire au sol. Toutefois, au lieu de combattre les djihadistes, les troupes françaises ont, selon plusieurs témoignages, entravé l’accès des forces maliennes à des zones stratégiques comme Kidal. Le refus en mai 2013 de de laisser l'armée malienne pénétrer dans cette ville symbolique a été perçu comme un acte de sabotage visant à protéger des intérêts géopolitiques, plutôt que de défendre la souveraineté malienne.

Le ministre russe des Affaires étrangères a récemment confirmé les soupçons sur le rôle trouble de la France en Afrique, notamment son soutien présumé aux groupes armés en Libye, avec des répercussions directes sur la sécurité au Mali. Selon les autorités maliennes, les promesses faites par Paris aux groupes terroristes en vue d’un contrôle du nord du Mali témoignent d'une stratégie visant à maintenir un climat d’instabilité pour justifier une présence militaire prolongée. En outre, alors que le Mali se voyait refuser l'achat d'armes pour se défendre, les mêmes fournisseurs occidentaux auraient équipé les milices déstabilisant la région.

Le tournant décisif :
Le véritable basculement s’est produit le 2 mai 2022, lorsque le Colonel Assimi Goïta a annoncé la fin de la coopération militaire avec la France. Cette décision, suivie par le retrait des derniers contingents français le 15 août 2022, a permis au Mali de se repositionner sur la scène internationale. En établissant de nouveaux partenariats, notamment avec la Russie, le Mali a pu rapidement renforcer ses capacités militaires, permettant ainsi une offensive décisive contre les groupes terroristes.

La reprise de Kidal a été rendue possible grâce à une stratégie militaire audacieuse menée par les FAMa, avec un soutien logistique et tactique de la Russie. Cette victoire, largement célébrée par le peuple malien, est un message fort adressé aux puissances occidentales : le Mali est déterminé à défendre son indépendance et à contrôler ses ressources naturelles sans ingérence extérieure.

Une victoire à nuancer :
Cependant, la reconquête de Kidal n'est qu'une étape dans une lutte plus vaste pour la souveraineté du Mali et de la région sahélienne. Les sanctions imposées par la CEDEAO et l'Union européenne, ainsi que les campagnes de désinformation menées par les anciens alliés du Mali, illustrent la résistance à ce basculement géopolitique. Pourtant, le soutien populaire au gouvernement de transition reste fort, avec une volonté claire de tourner la page d’une décennie d'interventions infructueuses.

Un hommage aux héros maliens :
Le Mali ne doit pas cette victoire qu'à ses nouveaux partenaires, mais avant tout au courage de ses soldats, de ses dirigeants, et de son peuple, qui ont su faire preuve de résilience face à des menaces multiples. Hommage est rendu à tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour défendre l'intégrité du territoire. Leur bravoure démontre que l'Afrique est capable de se relever par elle-même lorsque des dirigeants audacieux choisissent de défendre l'intérêt national plutôt que de céder aux pressions extérieures.

La reconquête de Kidal et la fin des accords militaires avec la France marquent le début d'une nouvelle ère pour le Mali. Cependant, les défis restent nombreux.
LR●

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