La Revue: La voix des déshérités

La Revue: La voix des déshérités r***e politico socio culturelle

26/06/2025

La guerre Israël-Iran s'achève. Elle a durer douze jours. Trop courte, pour certains, comme les vendeurs d'armes. Trop longue, pour d'autres, ceux qui en ont eu à supporter le poids.
Y a-t-il un vainqueur? Des médias, fidèle à leur propagande désignent déjà Natanyahou. Il voulait détruire le potentiel nucléaire iranien, et selon eux, il y serait parvenu.
Admettons qu'il n'aurait que cette idée en tête. La centrale nucléaire iranienne a t-elle été complètement détruite? Beaucoup de doute plane à ce sujet.
Comment dans ce cas peut-on parler de victoire?
La volée de bois vert reçu par Israël au cours de e conflit armé, qui, sans l'appui des Etats Unis se serait écroulé complètement ne permet pas de l'affirmer.
Même si le but de Nattanyahou était autre? Si cette guerre éclair, mais sans vainqueur attitré, avait autre? En d'autres termes, si le premier ministre israélien, accusé de génocide, avec ce mandat d'arrêt international lancé contre lui, avait voulu détourné de lui l'attention de la communauté internationale? Une guerre avec l'Iran ne se présentait-elle pas comme un sujet de diversion idéal?
Si, du coup, le régime des Mollahs s'en trouverait renversé, l'Iran, après l'Irak et la Syrie, devenant l'ennemi numéro un d'Israël, c'était tant mieux!
Là, on ne saurait le nier. La partie engagée avec l'opinion internationale et jusqu'en Israël était gagnée, mais provisoirement. Car ce n'est que partie remise. Le capital de crédit qu'il s'était créé va fondre comme neige si ne met fin à son génocide. Et comme la paix ne peut revenir tout à fait dans cette région qu'avec la création d'un Etat Palestinien, avec la fin de cette guerre Israël-Iran, tout le monde se retrouve au même point de départ.

25/06/2025

Parmi les choses qui dérangent, c'est quand un philosophe se laisse dominer par ses émotions au point que celles-ci lui fassent dire des choses dont personne ne peut vérifier la véracité.
Par exemple, lorsque Bernard Henry Lévy, Français d'origine juive, mais fondamentalement sioniste, dit que "Israël est l'emblème de la démocratie et de l'anticolonialisme" énonce non une vérité, mais un gros mensonge.
Rien que pour cela, dans la Grèce antique où la confrontation des idées se fait sur l'agora, c'est à dire sur la place publique, il aurait été disqualifiée par la foule qui l'aurait hué.
Mais nous savons que, comme son maître à penser, Bernard Henry Lévy est brouillé à vie avec la vérité. Même un enfant sait qu'Israël est aussi hermétiquement fermé qu'un harem. Aucun journaliste n'a le droit d'entrer en Israël et de filmer ou d'écrire sans que soit exercé la plus sévère sur son travail.
Les pays arabes lui doivent une fière chandelle. Grâce à lui l'Irak, la Libye et la Syrie sont plongés dans le chaos. Ce qu'Israël avec une armée et son aviation n'aurait jamais pu faire.
Ayant l'oreille de Sarkosy, puis celle de Hollande et de Macron, dont il était le conseiller, il n'a eu de cesse de les pour à faire la guerre à ces pays, sous divers prétextes.
Les lettres en prennent, elles aussi, un coup. Les mêmes médias qui font campagne pour le compte de Natanyahou et sa politique génocidaire se battent pour l'écrivain francophone Boualem Sansal. L'idée était de le faire entrer à l'Académie française! Une mairie a baptisé une rue de son nom! Un on ne sait quel prix a couronné son oeuvre.
Est-ce qu'on entre à l'Académie française sans élection? Même en supposant que l'oeuvre qu'on veut couronner ainsi, qu'y aurait-il fait? Les séances, là bas, sont consacrées à la rédaction du dictionnaire de cette institution et seul un maître de la langue aurait pu remplir une telle charge. Notre franco-algérien aurait-il seulement était capable d'écrire son discours de récipiendaire?
Nous savons comment s'écrivent les livres et se continuent les oeuvres. Si on a de l'argent, où si on peut servir d'instrument contre un pays haï, alors, de tels soucis disparaissent.
Je reprends un des arguments que j'ai donnés dans mes commentaires aux publications de cette presse aux ordres. Si cet homme a le talent et le génie qu'on lui prête, pourquoi, depuis qu'il se rendait en France, on ne l'avait découvert qu'en 2024, alors que les relations entre l'Algérie et la France subissent un coup de froid?

25/06/2025
25/06/2025

La paix est-là. Fragile, car à tout moment, elle peut voler en éclat.
D'abord, il y a ce fou, ce criminel. Et tant qu'il sera au pouvoir et tout l'arsenal militaire dont il dispose, et qui est considérable, entre les mains, la menace d'une guerre, qui vu les alliances qui se créent en pareil moment, déboucherait fatalement en une guerre mondiale, planera toujours sur cette région du monde.
Il y a ensuite, les Etats Unis. Sans Trump, les Américains ont toujours étaient du côté d'Israël qui est devenu de jure, un Etat américain. Les intérêts de ce pays sont si inextricablement mêlés qu'on le croirait sans peine.
Il y a aussi l'Europe, cette Europe que d'aucuns considèrent comme une Marie couche-toi là, et qui, du moment que les Américains le décident, y va à fond. Cette dernière qui voit que les armes viennent principalement de ces derniers fournit son propre lot et mobilise toute la presse.
Comment dans ces conditions, où la puissance américaine s'allie celle de toute l'Europe, un génocidaire comme Natanyahou ne perdrait pas le peu de raison qui lui reste? En attaquant l'Iran ne se voyait-il pas partant en guerre contre l'Empire du mal et ne se taillait-il pas un rôle à la mesure de sa mégalomanie; le Messie lui-même!!!
Trump qui arrive dans ce contexte avec un sincère désir de paix est mal à l'aise. Il y a la guerre en Ukraine. Il ya ce génocide en cours à Ghaza. Il prend Zélinski par "la peau du cou" et l'amène à latable des négociation. Il se tourne vers Ghaza et décide de la vider de sa population.
Mais rien ne marche selon ses désirs. La réalité obéit à d'autres lois que celles du rêve, de la fiction.
Et alors que le président Américain réfléchit au moyen de ramener la paix dans ces deux zones de conflit, voilà qu'une autre guerre se déclenche, et qui, par ses implications, peut mettre en danger la planète tout entière.
Jouant au pompier, Trump, trompette une bonne fois et cela semble aller. Le feu est éteint mais il peut repartir à tout moment.

23/06/2025

C'est Natanyahou qui régale
Les médias français mentent. Ils mentent parce que leur maître à penser ment comme il respire. Il ment à propos de tout et de rien. Depuis le 7 octobre, il veut nous faire croire que son objectif est éradiquer le Hamas et que si, par mégarde, les bombes tombent sur les hôpitaux, les écoles, les marchés, les mosquées et même les bâtiments-surtout les bâtiments, devenus la cible priorité des bombardements-c'est parce que s'y cachent des éléments de ce mouvement de résistance qu'il qualifie de terroriste.
Il dit encore que l'accord de cessez le feu entre son gouvernement et Hamas est violé par Hamas, alors que les bombardements israéliens n'ont jamais cessé pendant cette courte période de répit. Le prétexte, cette fois prend une autre forme de mensonge. La poursuite de la guerre est ainsi justifiée: Tsahal repart en guerre pour libérer les "otages".
Ainsi, quand un mensonge est démasqué ou risque d'être éventé, un autre vient à son secours.
Des soldats israéliens tirent-ils sur la foule qui vient chercher la nourriture auprès des camions des Nations Unies? Le bourreau de Ghaza explique que ses soldats avant pris les victimes pour des terroristes, alors qu'ils les attendaient au coin de la rue b***e au canon.
Sa guerre contre l'Iran serait motivé par le soupçon que le pays des Mollahs détient la bombe nucléaire?
Part-on en guerre sur un simple soupçons que le rapport de l'AIEA est formel: l'Iran n'a pas la bombe et l'énergie qu'il fabrique à partir de l'uranium est pour un usage civil.
En fait, chaque fois que le bourreau de Ghaza, et si la communauté internationale laisse faire, bientôt l'Iran, nous sort de son chapeau un numéro pour détourner l'attention de l'Opinion de ses crimes. La guerre avec l'Iran le rend de nouveau fréquentable et crédible! In dit cette fois qu'il fait "le sale bouleau pour les Européens". Ainsi s'attribue-t-il le rôle du Messie. Il devient le sauveur du monde occidental menacé par "l'empire du mal".
Et ses alliés que le doute commençait à effleurer, lui accorde de nouveau toute leur foi.
Les médias qui ont une prédilection pour le mensonge se régalent.

22/06/2025
22/06/2025

La bête du Gévaudan
Qu'ont demandé ces milliers de femmes et d'enfants assassinés par Israël depuis près de deux ans?
Ont-ils choisi de naître en ce siècle?
Leur a-t-on demandé leur avis sur le lieu de leur naissance, quand n'importe quel endroit du monde aurait fait leur joie et leur bonheur?
La liste des choix qu'ils auraient pu faire aurait été interminable. Mais ils ne savaient et on ne leur a rien demandé.
Alors, sans savoir, sans vouloir, ils étaient venus au monde à Ghaza. "Les femmes disant : j'ai un mari, il a un travail et nous nous aimons. Les enfants, chacun disant : j'ai de la chance. J'ai des parents en or. Ils m'aiment et je les aime.
Mais les femmes et les enfants se sont-ils dit ces choses? Se les disent-ils encore aujourd'hui avec ce ciel où les bombes pleuvent en permanence, où des coups de fusils peuvent partir de n'importe quel coin de rue, surtout à l'heure de la distribution de la nourriture organisée par les responsables de l'aide humanitaire?
Les parents, certes, savaient. Quoi que pas tout. Eux disaient: Combien de chances j'ai pour que mon enfant devienne un homme dans le contexte actuel?
Avant le contexte actuel, les chances les chances pour un enfant né en bonne santé allient peut-être jusqu'à 60 ou 70%. Devenu homme, les chances de rester en vie ou en liberté retombaient à 20 ou à 30%.
Mais avec de telles chances, on vivait dans ce camp de concentration qu'est devenu Ghaza. Un champ d'expérimentation de la mort. Dans les camps n**i, on utilisait le gaz pour tuer. A Ghaza, on utilise la faim, et la méthode est aussi efficace.
Maintenant, les chances sont devenues nulles. Si la femme ou l'enfant devenus des cibles privilégiées, dans ce nettoyage ethnique, ,ne meurent pas sous les bombes, ils meurent de faim.
Nulle part au monde, la précarité de la vie, de la condition humaine n'atteint un tel degré. L'enfant a-t-il le temps d'ouvrir les yeux sur ce monde qu'une bombe tombant sur le toit pulvérise son environnement.
Sort éphémère! Certains vivent quelques secondes. D'autres, les plus chanceux, quelques heures, voire quelques jours ou quelques mois.
A Ghaza, la vie s'arrête avant de commencer.
Le monde regarde, effaré et se demande; quel monde est-ce-là? Y a un ordre, une logique, une justice?
Dégringolade des valeurs! Comme en bourse.
Enfants, nous lisions un beau texte qui avait pour titre la bête du Gévaudan. C'était pendant la Révolution française de 1789. Ce monstre qui avait l'apparence d'un loup semait la terreur dans la région.
Peut-être cette bête n'avait jamais existé. Les gens avaient peur sans cela et leur imagination stimulé par ce sentiment avait créé ce montre.
Plus t**d une terreur allait bien être. Cette terreur, un homme l'incarnait Robespierre!
A ghaza, la bête du Gévaudan, c'est Tsahal. Robespierre, Natanyahou!
A quand donc la réaction thermidorienne?

21/06/2025

Le droit reconnu à Israël de se défendre, tel qu'il est comprit par beaucoup de pays occidentaux qui livrent encore des armes à Israël, lequel ne les utilise pas seulement à Ghaza où se commet un génocide, mais contre ses voisins comme l'Irak, l'Iran, la Syrie et maintenant l'Iran.
Ce droit qui ne s'appuie en fait sur rien de concret et qui débouche sur un nettoyage ethnique à Ghaza et sur une guerre livrée par Israël contre l'Iran va complètement à l'encontre du droit international.
Il est, par conséquent, condamnable.
Pourtant, on continue à croire en Europe et aux Etats Unis que Israël à le droit de se défendre. Cette confusion linguistique entre deux termes antonymes que l'on retrouve dans l'esprit de beaucoup d'hommes et de femmes politiques interpelle quant au monde où nous vivons dominé par le lobby juif et l'extrême droite.
Il ne serait pas étonnant, quoi que fort révoltant, de voir sur LCP un député attirer l'attention de l'Assemblée, dans questions au gouvernement, sur la situation en Ukraine.
Selon lui-et c'est tout juste s'il n'a pas fondu en larmes en l'évoquant-quinze enfants seraient morts dans leurs lits par des frappes russes.
Pendant qu'il parlait (et il parla longtemps espérant toucher tout le monde), nous l'avions suivi jusqu'au bout, nous demandant à quel moment de son discours, il allait se souvenir des enfants de Ghaza qui meurent quotidiennement sous les bombes et par la faim.
Mais cet élu ne regardez pas dans cette direction. Il ne voyait que l'Ukraine, déplorant que L'Europe n'en fasse pas assez..
"Il y a des Mirages, reconnaissait-il, mais ce n'est pas assez."
Il peignit La Russie, cette ennemie de l'Europe, sous les traits les repoussants, énuméra les dates où cette dernière eut à en souffrir de ce voisinage dangereux, en passant sous silence sa participation décisive à la deuxième guerre mondiale et appela, pour finir, à plus de soutien à l'Ukraine.
Il manquait à l'Assemblé un Caron ou une Mathilde Panot pour faire honte à cet homme qui a la vision discriminatoire, qui voit les morts en Ukraine qui bénéficie pourtant des moyens colossaux de l'Otan, mais omet de rappeler au génocide à Ghaza et même au Liban!
On se demande ce qui arriverait si cet homme investi de l'autorité présidentielle.
Mais cette attitude est révélatrice d'un état d'esprit. Au lieu de parler de paix, on invite à s'investir davantage dans la guerre. Livrer plus de matériel létal à Israël au risque de transformer les pays voisins en cimetières et agir de même avec l'Ukraine pour détruire la Russie.

20/06/2025

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