LE CHÉLIF

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محمد ملياني مديرًا جديدًا لإذاعة الشلف: مراسم تنصيب رسمية بحضور السلطات الولائية.شهدت إذاعة الشلف، اليوم، مراسم تنصيب ال...
16/07/2025

محمد ملياني مديرًا جديدًا لإذاعة الشلف: مراسم تنصيب رسمية بحضور السلطات الولائية.

شهدت إذاعة الشلف، اليوم، مراسم تنصيب السيد محمد ملياني مديرًا جديدًا للمحطة، خلفًا للسيد معمر مرسلي، الذي تم تحويله لتولي نفس المنصب على رأس إذاعة وهران، وذلك في إطار الحركة الجزئية التي مست بعض مؤسسات الإذاعة الجزائرية.
وأُقيمت مراسم التنصيب بمقر الإذاعة تحت إشراف مساعد المدير العام للإذاعة الوطنية، السيد حميد مزيان، وبحضور رسمي مميز تقدّمه والي ولاية الشلف، السيد إبراهيم غميرد، إلى جانب رئيس المجلس الشعبي الولائي، السيد إبراهيم بوزيان، وعضو لجنة المشاركة، والأمين العام للفرع النقابي، بالإضافة إلى عدد من عمال وموظفي المحطة الإذاعية.
ويُعد السيد محمد ملياني من الكفاءات الإعلامية المعروفة، حيث شغل سابقًا منصب مدير إذاعة سعيدة، وراكم خبرة معتبرة في التسيير الإذاعي والمرافقة الإعلامية الجهوية، ما يجعله محل ثقة لتولي هذا المنصب الحيوي في واحدة من أبرز المحطات الجهوية.
وقد شهدت المناسبة أجواءً ودّية ورسائل تقدير وعرفان للمدير السابق السيد معمر مرسلي، نظير الجهود التي بذلها خلال فترة إشرافه على إذاعة الشلف، ومساهمته في تعزيز الأداء الإعلامي المحلي.

من المنتظر أن يواصل المدير الجديد مسيرة تطوير الأداء الإذاعي وتعزيز التفاعل مع محيط الولاية، من خلال انفتاح إعلامي أكبر ومواكبة انشغالات المواطن المحلي، بما يعكس دور الإذاعة كمرفق عمومي حيوي وفاعل في التنمية والتواصل.

آية شوال

Tlemcen : la police célèbre sa journée nationalePlusieurs activités ont marqué durant la journée d’aujourd’hui la fête d...
16/07/2025

Tlemcen : la police célèbre sa journée nationale

Plusieurs activités ont marqué durant la journée d’aujourd’hui la fête de la police à travers la wilaya de Tlemcen, à l’occasion du 63ème anniversaire du recouvrement de la souveraineté nationale et de la création de la direction générale de la sûreté national (DGSN).

Lors de ces manifestations célébrées au niveau du Grand Bassin de Tlemcen, l’accent a été mis sur la lutte contre le crime organisé qui demeure la grande priorité du programme d’action de la police. Avec une frontière immense, le gouvernement a appelé à plus d’efforts, pour endiguer la contrebande des drogues où des saisies énormes ont été effectuées depuis le début de cette année.

Ainsi et en mettant en exergue le rôle de la police de proximité, les organisateurs de cet événement n’ont pas manqué également de mettre en évidence les efforts déployés, dans le cadre de la lutte contre la délinquance et toutes les autres formes de criminalité, tout en assurant la sécurité personnes et des biens.

Lors de cette célébration à laquelle ont pris part les autorités civiles et militaires, le mouvement associatif, … un vibrant hommage a été rendu aux martyrs du devoir national.
https://lechelif.dz/2025/07/16/tlemcen-la-police-celebre-sa-journee-nationale/

RelizaneUn plan d’urgence pour faire face à la crise de l’eau ... Au terme de la deuxième session ordinaire de l’Assembl...
15/07/2025

Relizane
Un plan d’urgence pour faire face à la crise de l’eau ...

Au terme de la deuxième session ordinaire de l’Assemblée populaire de wilaya, le Wali de Relizane, M. Kamel Berkane, a passé en r***e une série de mesures et procédures de terrain visant à élever le niveau de développement local et à améliorer les conditions de vie des citoyens, à travers des dossiers stratégiques liés à l’habitat, au transport, à l’environnement, aux équipements publics et au secteur des ressources en eau.

Evoquant la question du logement urbain et social, le wali a annoncé l’attribution de 150 logements dans le cadre du programme AADL au profit des habitants du quartier « Al-Intisar », dont les habitations contiennent de l’amiante. Il a expliqué que, dans leur majorité, soit environ 95 familles, les habitants ont approuvé le plan de relogement tandis que d’autres restent hésitants pour des raisons liées au nombre de pièces ou aux circonstances familiales, comme la présence d’enfants mariés. Pour rassurer ce groupe, le wali a confirmé leur inclusion sur la prochaine liste de logements en notant que les familles restantes seront incluses dans la liste des logements sociaux qui devrait être annoncée cette semaine. Le chef de l’exécutif de la wilaya a également ajouté qu’une deuxième liste sera annoncée en novembre prochain pour inclure d’autres catégories de bénéficiaires.

Parlant du projet des 80 logements en berne dans la commune de Mendas, il a indiqué que le chantier sera lancé sur une autre assiette de terrain plus appropriée. Il a également mis l’accent sur la nécessité, pour les entreprises du bâtiment, de respecter le cahier des charges, tant en termes de qualité des travaux que de délais légaux. Il a affirmé que les opérateurs qui ne respectent pas leurs obligations seront inscrits sur la liste noire, tandis que les entrepreneurs sérieux seront soutenus dans un cadre organisé et transparent.

Le transport, cet autre syndrome
Dans le domaine du transport universitaire, le wali a annoncé le renforcement des dessertes avec l’ouverture de quatre nouvelles lignes pour le transport des étudiants résidant dans les communes de Sidi Khattab et Yellel. Il a expliqué que cette mesure vise à assurer une meilleure couverture en phase avec les exigences de la prochaine année universitaire.

Des mesures ont été également prises en matière de transport terrestre urbain en plus du lancement des travaux de réaménagement des locaux commerciaux de la gare routière de Ben Daoud. Prochainement, il sera procédé à leur mise aux enchères publiques pour location. Le wali a donné des instructions pour accorder la priorité aux restaurateurs touchés par la décision d’interdire le stationnement des bus à El Matmar si ces derniers souhaitent bénéficier de nouveaux locaux. Il a également souligné l’importance de dynamiser la gare en ouvrant des lignes entre les communes et le chef-lieu de wilaya de manière permanente et organisée.

Des décharges contrôlées
Sur le plan environnemental, le wali a réitéré son engagement à doter chaque commune de la wilaya d’une décharge publique contrôlée, voire de passer des contrats avec une entreprise de gestion des sites d’enfouissement technique. Il a souligné que l’objectif est d’améliorer la gestion des déchets et de réduire l’impact des décharges incontrôlées sur l’environnement.
Le wali a par ailleurs annoncé un projet de restauration de la mosquée Al-Nour dans la ville de Relizane en précisant qu’un bureau d’études s’est porté volontaire pour entreprendre cette tâche. Il a souligné que la mosquée sera temporairement fermée jusqu’à ce que les travaux soient terminés.
Il a également révélé la décision de la wilaya d’entreprendre la restauration des logements sociaux endommagés et de s’attaquer au problème des sous-sols. L’opération sera mise en œuvre après le recensement complet de tous les sites concernés.

L’eau potable, une crise qui n’a que trop duré
Le wali a abordé la crise de l’eau potable sévit dans plusieurs communes de l’Ouarsenis, annonçant un plan d’urgence visant à remédier à la pénurie d’eau enregistrée et à en améliorer la distribution. Il a expliqué que le plan est basé sur l’exploitation de tous les forages, y compris ceux appartenant à des entreprises privées, pour leur connexion au réseau public de distribution ... Lire la suite sur : https://lechelif.dz/2025/07/15/relizane-un-plan-durgence-pour-faire-face-a-la-crise-de-leau/

Tlemcenla police, un maillon clé de la sécurité des personnes et des biensPar Mohamed MedjahdiLa police algérienne ne ce...
14/07/2025

Tlemcen
la police, un maillon clé de la sécurité des personnes et des biens

Par Mohamed Medjahdi

La police algérienne ne cesse de progresser grâce à la qualité de la formation de ses éléments, pour être au service de la nation. Cette police qui a payé chère en vie humaine durant la décennie noire, continue de se moderniser pour être à la hauteur de ses missions républicaines : lutter contre la criminalité sous toutes ses formes et assurer la sécurité des personnes et des biens.

Depuis le début de l’année en cours, pas moins de 2 251 affaires ont été traitées par les services de la sûreté de la wilaya de Tlemcen. Ces affaires impliquent 3 556 personnes dont plus de 1 000 ont été placées sous mandat de dépôt. Selon le chargé de la communication de la sûreté de la wilaya, les unités de police ont engagé ces derniers temps une lutte sans merci contre le trafic de drogues qui prend des dimensions inquiétantes. Ainsi, 1 032 affaires ont été traitées avec la saisie de 178 kg de résine de cannabis, 39 184 comprimés psychotropes, ainsi que 2,5 kg de cocaïne. La même source a rappelé que de nombreux réseaux ont été démantelés et 1 361 narcotrafiquants ont été écroués.

Dans le cadre de la lutte contre la violence routière, la wilaya a enregistré 331 accidents ayant fait 18 morts et 432 blessés. La diminution notable des accidents de la route est due, selon la sûreté nationale, aux différentes opérations de sensibilisations et à l’application stricte de la réglementation, notamment les retraits de permis de conduire et la notification de procès-verbaux de contraventions. La police plaide cependant pour la multiplication des campagnes de sensibilisation des conducteurs quant au respect scrupuleux du code de la route afin d’atténuer autant que faire se peut le nombre d’accidents routiers en milieu urbain.

Les villes de la wilaya amplement sécurisées

Pour assurer une plus grande sécurité aux citoyens en cette période estivale, plus de 4 000 policiers sont mobilisés à travers le territoire de Tlemcen, avec l’implantation plusieurs barrages fixes dressés au niveau des giratoires, à la sortie des villes, en plus des patrouilles pédestres et des rondes régulières. L’objectif tracé vise à contrecarrer toutes formes de délits, notamment les agressions, vols et troubles à l’ordre public. De nuit comme de jour, nous assure-t-on, des unités de police sont déployées dans la région avec pour mission d’occuper le terrain dans le but de rétablir la paix et la quiétude publiques.

Au niveau des barrages fixes, de nombreuses voitures sont contrôlées a-t-on constaté, les policiers procèdent à la vérification de documents et à la fouille systématique des véhicules suspects et de leurs occupants. Par ailleurs, des opérations inopinées sont menées de nuit au niveau des quartiers et des endroits devenus de véritables nids pour la petite délinquance, à savoir les terrains vagues, les berges de certains oueds et dans les quartiers réputés difficiles comme Boudghene, Koudia, Mansourah, etc.

Durant la journée, la présence des hommes en uniforme bleu est visible au niveau des marchés, des mosquées et le centre-ville.

Selon la sûreté de wilaya, la situation est très bien maîtrisée grâce à la mise en place de la nouvelle stratégie tracée par le directeur de la sûreté et son staff. « La mobilisation des inspecteurs et agents de recherche combinée aux actions de sensibilisation sont des facteurs qui font régresser la délinquance surtout en cette période estivale », a-t-on estimé.

Au niveau des zones touristiques, la sûreté de Tlemcen a mis en place un dispositif pour dissuader toute forme de délinquance, notamment les vols et les agressions physiques ou verbales qui gâchent le séjour des touristes et vacanciers. Ce dispositif de sécurité demeurera en place car le souci majeur est d’assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens.

A Tlemcen, comme ailleurs, les femmes policières ont montré la preuve de leur engagement plein et entier dans leur métier. Elles aussi sont sur le terrain, menant de pair des opérations dans le cadre de leur mission républicaine.

Lutte sans merci contre le trafic de drogue

Le niveau élevé de coopération entre les différents services de sécurité est à la base de la lutte contre le trafic de drogue. Cette osmose entre les différentes institutions sécuritaires a permis le démantèlement de nombreux réseaux de narcotrafiquants et la mise hors d’état de nuire de plusieurs barons. Car il faut l’avouer, à la frontière ouest, le trafic de stupéfiants a pris une ampleur telle que la société tout entière risque d’être empoisonnée par les énormes quantités de drogue en provenance du pays voisin. Le commerce de ce poison ne vise pas seulement à nuire la santé des Algériens, il sape les fondements même de la société, en prenant pour cible la jeunesse, autrement dit la force de la nation.

Protéger les jeunes de ce fléau qu’est la drogue est un des axes majeurs de la mission de la sûreté nationale et de l’ensemble des services de sécurité à Tlemcen. La police qui tout récemment a disloqué un réseau de trafiquants et procédé à la saisie de grandes quantités de kif traité démontre à quel point cette institution joue un rôle-clé dans la protection de la société aux côtés de la gendarmerie et de la douane, elles aussi engagées dans le combat.

Le rôle de la famille négligée ?

Selon de nombreux interlocuteurs, l’une des causes principales de cette délinquance tient au fait que la famille a cessé de jouer son rôle en matière d’éducation et d’exercice de l’autorité parentale. Dépassés par les événements, beaucoup de parents ne s’occupent plus de leur progéniture, l’abandonnant aux dangers la rue. « User de drogues et d’alcool n’aide pas à la réussite scolaire : on travaille moins, l’intérêt pour les études diminue, le nombre de punitions augmente et les résultats se détériorent. La drogue et l’alcool sont des manières d’échapper à la réalité. Ils constituent un facteur qui pousse au crime, notamment en raison de la déresponsabilisation qu’ils provoquent chez l’individu », nous ont affirmé des policiers qui estiment qu’il existe une certaine « tolérance » à l’égard des psychotropes dans les quartiers populaires, voire le milieu scolaire. D’autres policiers nous avouent qu’ils sont quotidiennement confrontés à ce genre de phénomène.

Les subsahariens élisent refuge dans de nombreuses villes

Le flux migratoire a gagné aujourd’hui toutes les villes de la wilaya de Tlemcen. Les réfugiés subsahariens sont partout. Près des mosquées, sur les places publiques, au niveau des ronds-points, aux abords des routes, au marché, pour faire la manche ... La suite sur : https://lechelif.dz/2025/07/15/tlemcen-la-police-un-maillon-cle-de-la-securite-des-personnes-et-des-biens/

Béni Haoua : Quand rôde l’ombre de Lady ‘’Di’’Par Mahdi Boukhalfa.A Beni Haoua, petit bourg côtier paisible entre Ténès ...
13/07/2025

Béni Haoua :
Quand rôde l’ombre de Lady ‘’Di’’

Par Mahdi Boukhalfa.

A Beni Haoua, petit bourg côtier paisible entre Ténès et Cherchell, à quelques 200 km à l’ouest d’Alger, les fantômes ont la peau dure. Comme la vraie-fausse légende de Mama Binette. Cette supposée nonne échouée sur les « côtes de Barbarie », alors que son bateau cinglait vers les Amériques, hante toujours les campings des vacanciers (1).
La mer est calme. « Une mer d’huile » tant redoutée par les marins d’antan qui utilisaient la voile. Beni Haoua, en ce jeudi 28 août 2014, offre ce qu’elle a à ses vacanciers. Très peu en fait, avec ses figuiers, ses produits agricoles du terroir comme le miel, le « s’men » ou le muscat, l’un des raisins de table les plus prisés de la région. Et puis, il y a le poisson, la belle sardine, et des crevettes à faire rougir les « grands chefs ».
Beaucoup de chômage ici à Béni Haoua, la seule usine du village, qui faisait de la confiture de figues et accessoirement des champignons de Paris, a fermé. Depuis un moment déjà, raconte Abderrahmane, un ancien agent de la recette communale.
Au petit port de pêche, quelques petits emplois, accessoires, jamais permanents. « Ici, tout est vécu au jour le jour. Le chômage est important, car très peu d’opportunités d’emplois sont offertes », explique-t-il. Beni Haoua, daïra dépendant de la wilaya de Chlef, anciennement Francis Garnier, attire pourtant en été les vacanciers, qui lui procurent de quoi survivre jusqu’à la prochaine saison estivale.

Mama Binette, une histoire défigurée
Quand le soir descend sur les campings, et que les lanternes s’allument, on se raconte des histoires. Dont celle de « Mama Binette », ou « Ima B’nette » (mère des filles) une prétendue nonne échouée avec six autres et le reste d’une expédition vers les Amériques. La légende voudrait qu’elle ait été prise pour femme par le chef du village. Aujourd’hui, on lui a construit un mausolée, comme un marabout, sur les hauteurs du village, et que les passagers visitent.
En fait, « rien de tout cela n’est vrai », me racontait le père Yahia, que j’ai vu pour la dernière fois au Diocèse d’Alger, Rue Bachir El Ibrahimi, à El Biar. Le père Yahia a vécu de très nombreuses années à Bissa, sur les hauteurs de Beni Haoua; c’était un « Père blanc ». Il y enseignait, avec un autre père blanc, Bruno, l’arabe et le français. Là-hautsur la montagne, où il neige souvent en hiver, ils cultivaient des petits pois, de la tomate, des courgettes et avaient un merveilleux potager, selon les témoignages des gens de Ténès. « Il n’y a jamais eu de nonne ou de religieuse dans ce navire qui a échoué près de Beni Haoua », m’avait-il un jour expliqué. Pour me convaincre, il me fit une copie d’un gros dossier, qui contenait, entre autres, la lettre de Napoléon Bonaparte au Dey Mustapha, dans laquelle le Premier Consul de France demandait des explications au Dey d’Alger sur les soldats morts et les disparus d’un navire de guerre, le Banel, qui s’était échoué près de la baie des Souilias, à quelques km de Beni Haoua, sur la route de Ténès. Cela se passait le 28 janvier 1802. « Non, il n’y avait pas de religieuses dans ce bateau, plein de soldats, dont la destination était Saint Domingue », poursuit Bruno. Et il me livre le secret de cette légende : « C’est un ex-SG de la mairie de Beni Haoua, qui a fait courir cette histoire pour attirer les touristes ».
Le Banel, un navire pris par Bonaparte à l’arsenal Vénitien en 1796 lors de sa campagne d’Italie, s’était échoué par gros temps sur les hauts fonds d’Oued Goussine, tout près du rivage. L’ancre de ce navire est toujours là, près du rocher de Kiouane (Hadjrette Kiouane). Beni Haoua est derrière, à plus de 15 km.
Et, en 2008, l’ancienne stèle marquant ce naufrage, érigée en 1937 par l’adjoint spécial de Francis Garnier, Camille Bortoloti, est refaite avec une autre épitaphe : Le mausolée de « Imma Binett » a été construit en 1937 par M. Camille Bortolotti, selon les traditions musulmanes. Et, sur la pierre tombale, Bortolloti fit mentionner en Arabe et en Français, par égard à la défunte, l’inscription suivante : « Ici repose Imma Binett. Avec ses compagnons, elle se trouvait à bord du Banel, allant de Toulon à la Louisiane. Elle fut épousée par une notabilité de l’endroit. A sa mort, elle fut vénérée comme une sainte. »
Alors, pourquoi en 2008, on ose écrire ‘’ses campagnes’’ au lieu de compagnons en détruisant la stèle originale ? C’est une des nombreuses déformations de l’histoire, vraie celle-là, du naufrage du Banel, un navire de la flotte napoléonienne en partance pour l’ile de Saint Domingue.
Donc il y a vraiment manipulation de l’histoire d’un dramatique naufrage.

Du Badminton pour Lady Diana
Et puis, il y a cette autre histoire surprenante, moins connue, tout aussi vraie celle-là également. Celle de Lady Diana, morte sous le pont de l’Alma, à Paris, le 31 août 1997. C’était au printemps 1982, pendant le voyage de noces de cette roturière, qui n’a en fait jamais pu capter l’attention de la Mère-reine de Grande Bretagne. « Le couple princier a mis pied à terre sur la plus belle des criques de Beni Haoua, à moins de 2 km du village, en venant de Damous », me raconte Maamar, dentiste de son état. « Avec le Prince Charles, ils étaient venus en canot pneumatique sur la petite plage de galets, avaient pris un moment de détente en jouant au badminton. Il y avait beaucoup de gardes du corps, et le bateau du Principe mouillait à moins d’un mile. Ils étaient venus en embarcation rapide, m’avait raconté alors ce dentiste qui avait effectué son service civil à l’hôpital de Damous.
lA SUITE SUR / https://lechelif.dz/2025/07/13/beni-haoua-quand-rode-lombre-de-lady-di/

Changements climatiques :L'eau se fait rare à Oueld Ben Ouled Ben Abdelkader (Chlef)La vague de chaleur qui sévit sur la...
12/07/2025

Changements climatiques :
L'eau se fait rare à Oueld Ben Ouled Ben Abdelkader (Chlef)

La vague de chaleur qui sévit sur la région de Chlef, dans sa partie sud en particulier, n’a jamais été vécue dans son histoire, selon certaines gens que nous avons rencontrées à Ouled Ben Abdelkader. Ajouté aux épisodes de sécheresse que connaît tout le centre-ouest de manière récurrente, la hausse des températures pénalise lourdement l’activité agricole dans son ensemble. Ainsi, les maraîchers souffrent le martyre pour trouver les quantités d’eau nécessaires à l’irrigation de leurs parcelles de tomate, pastèque, de melon ou poivron. Même les vergers arboricoles ont subi les contrecoups de cette situation climatique qui a fait chuter la production locale de fruits.

Le stress hydrique a atteint un point tel que le cheptel ovin, bovin et caprin peine à s’abreuver correctement, les points d’eau naturels (gueltas, sources et bassins d’eau) se sont en effet taris, obligeant les éleveurs à éviter les pacages dans les zones éloignées des fermes.

La faune sauvage n’est pas en reste : selon les services des forêts et l’association locale des chasseurs, le mont Saadia, dans la commune d’Ouled Ben Abdelkader, connu pour être un fief pour différentes espèces animales, se voit se vider de cette richesse, faute de nourriture et d’eau. De rares initiatives consistant à créer des points d’eau artificiels en pleine forêt pallient un tant soit peu à cette situation dramatique...
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https://lechelif.dz/2025/07/12/changements-climatiques-leau-se-fait-rare-a-oueld-ben-abdelkader/

Ma première colonie de vacancesPAR SLIMANE CHERIFIFébrile, je courais dès le petit matin, mon petit cabas noir à la main...
12/07/2025

Ma première colonie de vacances
PAR SLIMANE CHERIFI

Fébrile, je courais dès le petit matin, mon petit cabas noir à la main. J’avais peur de rater le départ. Tout était là : mes deux tricots de peau et mes slips blancs, ma serviette de bain, mon savon, ma brosse à dents et mon dentifrice, comme l’exigeaient les organisateurs. L’espadrille, je l’avais aux pieds. J’étais prêt. Conduit par les soins de mon père, j’arrivai devant les portes du lycée à sept heures en même temps que l’autocar qui devait nous servir de transport. Il toussota un moment puis arrêta son moteur. A l’intérieur du lycée, au milieu de la grande cour, une cinquantaine d’élèves en file indienne attendaient leur tour. La fouille était méticuleuse et les élèves qui n’avaient pas rempli les conditions vestimentaires sont écartés. J’ai eu la peur au ventre de subir ce sort, jusqu’à ce qu’on me remette mon badge. Un petit rectangle en carton, sur lequel les organisateurs avaient collé ma photo et inscrit mon nom et mes prénoms. Elèves et parents attendaient le départ.

C’était la première fois que je quittais le nid familial. Mon père était stressé et ma maman encore plus. Elle ne me laissa sortir de la maison qu’après m’avoir embrassé trois fois et ébouriffé les cheveux autant de fois.

– Fais attention à toi ! me lança-t-elle de derrière la porte d’entré. Mon père ne s’éloigna de moi que quand les moniteurs annoncèrent le départ.

– Soit sage mon fils et obéit à tes éducateurs, me fit-il entendre en me faisant un dernier signe de la main. J’avais pris place derrière le chauffeur, sur le siège côté vitre ; j’avais choisi cette place pour voir du paysage quand je vis mon père essuyer le front. Bang ! Bang ! Frappant et criant « Papa ! Papa ! » Pour attirer son attention. Pour toute réponse, il grimaça un léger sourire.

On était pressé de prendre la route vers la bleue.

« Allez chauffeur, n’ai pas peur ! Mettez la gomme au moteur ! » criaient les vacanciers encouragés par leurs éducateurs.

La fouille et le petit encas – bol de lait, chocolat noir et tranche de pain – nous avait beaucoup ret**dé. Au fur et à mesure que l’autocar avalait les kilomètres qui nous séparaient du camp de colonie, l’enthousiasme qui nous animait, s’estompa. Les voix s’étaient tues et au bout d’un moment le car se transforma en ruche. Bzzz ! à droite ; Bzzz ! à gauche, rares étaient ceux qui restaient encore éveillés. L’autocar roula toute la nuit. On n’a eu droit qu’à un arrêt pour diner et se dégourdir les jambes.

Le lendemain matin, à cinq heures trente, les passagers furent réveillés aux cris et aux klaxons du chauffeur :

– Terminus ! On est à bon port ! ... Lire la suite sur : https://lechelif.dz/2025/07/12/ma-premiere-colonie-de-vacances/

12/07/2025

كلمة الاستاذة نسيمة طايلب- منسقة مؤسسة شباب الجزائر بمناسبة الندوة العلمية المنظمة بدار الثقافة والمرسومة ب: الشباب والتراث والتراث والذاكرة تحت الرعاية السامية للمرصد الوطني للمجتمع المدني بالتنسيق مع مديرية الشباب والرياضة بولاية الشلف
عدسة Nassira Saib

Après le vol d’un câble téléphoniqueZiadnia sans téléphone ni Internet…Les habitants de la cité du colonel Amirouche Aït...
11/07/2025

Après le vol d’un câble téléphonique
Ziadnia sans téléphone ni Internet…

Les habitants de la cité du colonel Amirouche Aït Hamouda, ex-Ziadnia, dans la commune d’Ouled Ben Abdelkader (wilaya de Chlef) ne comprennent toujours pas la lenteur des services d’Algérie Télécom pour le rétablissement de la ligne téléphonique en panne depuis plus de trois mois. La panne générale, faut-il le rappeler, est survenue suite au vol le câble téléphonique reliant cette grosse agglomération au réseau de l’opérateur Algérie Télécom. Cette action criminelle, vraisemblablement opérée de nuit par les malfaiteurs, a complètement perturbé les systèmes de communication dans ce village.

Face aux réclamations incessantes des clients pénalisés, les services d’Algérie Télécom font comprendre que les réparations sont coûteuses et prennent du temps. Les victimes de cette interruption de service sont les habitants de l’ancienne Ziadnia qui, à l’opposé de leurs concitoyens des autres quartiers, ne peuvent utiliser ni le téléphone ni l’internet depuis belle lurette...
https://lechelif.dz/2025/07/11/apres-le-vol-dun-cable-telephonique-ziadnia-sans-telephone-ni-internet/

Mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens : les USA menacent de représailles les 125 pays membres de la CPIC’est ...
11/07/2025

Mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens : les USA menacent de représailles les 125 pays membres de la CPI
C’est du jamais vu et vécu depuis la création des Nations unies et leurs institutions il y a 80 ans. Les États-Unis dirigés un président ultra-nationaliste proche de l’extrême-droite, n’ont pas hésité à proférer des menaces directes contre les 125 Etats membres de la Cour pénale internationale (CPI) s’ils ne votent pas le retrait des mandats d’arrêt lancés contre le premier ministre israélien et son ancien ministre de la défense pour de présumés crimes de guerre et crimes contre l’humanité dans l’agression menée contre la bande palestinienne de Gaza.

Ces menaces ont été proférées le 8 juillet dernier par le conseiller juridique du département d’État américain, Reed Rubinstein, devant les délégués de l’Assemblée des 125 États parties de la CPI réunis au siège de l’ONU à New York sur l’examen des amendements relatifs au crime d’agression. « Nous attendons que toutes les actions de la CPI contre les États-Unis et notre allié Israël – c’est-à-dire toutes les enquêtes et tous les mandats d’arrêt – soient abandonnées », a dit ce responsable à l’assistance dans un souci d’intimidation et de démonstration de force. « Si les mandats d’arrêt pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre émis par la Cour, le 21 novembre 2024, contre le premier ministre israélien, Netanyahou, et l’ex-ministre de la défense Yoav Gallant, et si les enquêtes en cours sur les crimes commis dans la bande de Gaza et sur la colonisation du territoire palestinien ne sont pas abandonnées, toutes les options restent sur la table », a déclaré le responsable US dont le pays a été invité en tant qu’Etat non-membre de la CPI.

Depuis le retour à la Maison Blanche il y a sept mois de Donald Trump, le monde assiste mi-amusé mi -médusé, à des déploiements de force d’un dirigeant mégalomane et arrogant lors de ses interventions publiques devant les caméras. On croirait revenir à l’époque du Far West où la loi du plus fort est, comme dirait l’autre, la meilleure.

Il faut rappeler que cinq juges et procureurs ont déjà été mis sous sanctions par les Etats-Unis, qui viennent d’étendre ces mesures punitives à la représentante des Nations unies pour les droits de l’homme en Palestine occupée, l’Italienne Francesca Albanese. « Nous utiliserons tous les instruments diplomatiques, politiques et juridiques appropriés et efficaces pour bloquer les abus de pouvoir de la CPI », a réitéré le responsable américain devant les délégués des 125 pays ayant signé le statut de Rome portant création de cette juridiction internationale... Lire la suite sur :
https://lechelif.dz/2025/07/11/mandats-darret-contre-des-dirigeants-israeliens-les-usa-menacent-de-represailles-les-125-pays-membres-de-la-cpi/

Mes vacances d’été !« Si j’étais médecin, je prescrirais des vacances à tous les patients qui considèrent que leur trava...
11/07/2025

Mes vacances d’été !

« Si j’étais médecin, je prescrirais des vacances à tous les patients qui considèrent que leur travail est important » …
De Bertrand Russel

De nos jours, prendre quelques jours de vacances ne peut être que bénéfique surtout sur le plan moral. Une véritable thérapie lorsqu’elles sont réussies. Pour moi, je ne commence à y penser et à les programmer qu’un peu t**d, pour ne pas dire à la toute dernière minute, car étant occupé, toute l’année, par la charge du travail et celle de la famille. Et n’aller surtout pas croire que c’est un programme outre-Méditerranée ou transatlantique, un rêve inaccessible. Loin de là, quelques jours au bord d’une de nos plages suffisent largement à dissiper l’ennui, le dégoût et la routine envahissante de toute une année. Occasion unique aussi de se ressourcer et de se revitaliser avant de reprendre le rythme de la vie quotidienne.

Généralement, j’opte pour le Centre ou l’Ouest qui sont des destinations plus ou moins proches de ma ville natale, Tissemsilt. Pour ce qui est de l’Est, ça reste comme projet pour l’avenir si les choses vont s’améliorer du point de vue transport. C’est surtout la distance lointaine qui me dissuade de profiter de nos plages orientales.

Une fois rassuré pour l’hébergement surtout, c’est la joie générale qui se lit sur le visage de mes enfants qui commencent à rassembler tout un arsenal d’objets liés aux vacances, de la simple casquette au parasol en passant bien sûr par la glacière, les chaises pliantes, maillots de bain et serviettes ! Mais leur maman veille au grain et est à cheval sur les bagages. Eh oui ! Préparer sa valise est un art qui nécessite à la fois méthode et prévoyance. Elle essaye de ne rien oublier en particulier pour les petits détails qui peuvent faire la différence. Vêtements adaptés, trousse de toilette, médicaments, accessoires de tout genres : chargeur, crème solaire, anti-moustiques etc. Ce petit nécessaire qui peut éviter bien des désagréments.

Arrivés enfin sur les lieux, ce sont les nerfs qui commencent à prendre le dessus de la situation en commençant par le bonhomme au gilet jaune et bâton à la main qui vous demande de casquer la première addition du parking, au choix d’une place à la vue dégagée sur la mer. Là, faut pas trop y compter sans avoir mis la main à la poche aussi puisque d’autres énergumènes y ont déjà placé leurs matériels, acte de propriété et livret foncier à la main donc n’allait point leur demander quoi que ce soit au risque d’avoir pas mal d’ennuis. On se contente donc du premier espace qui s’offre à nous, on dresse notre parasol et tout ce qui s’ensuit. Une fois installés, et le premier « ouf » lancé, les enfants se précipitent vers l’eau et c’est un va-et-vient entre l’eau et le parasol jusqu’à la pause-déjeuner. Moi, je me contente de quelques plongées dans l’eau, préoccupé surtout par la surveillance des enfants. « T’éloigne pas, reviens, reste à côté de moi… » C’est le lot de paroles qui me collera sur les lèvres toute la journée. Leur maman, quant à elle, une fois dans l’eau, se retrouvera entourée par ses enfants qui essayent de la guider le plus loin possible de la plage pour lui montrer qu’ils sont dans leur terrain de jeu et qu’elle n’a rien à craindre avec eux. Elle se contente de quelques moments de fraicheur et surtout de quelques pics avec la tête pour conjurer tous les mauvais sorts et toutes les charges maléfiques collectés durant l’année. Eh oui ! Superstition féminine quand tu nous tiens ! Elle n’y retournera plus campant durant tout le séjour à nous servir et surtout à scruter l’horizon sous tous les angles. La suite sur :
https://lechelif.dz/2025/07/11/mes-vacances-dete/

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