ℭ'𝔢𝔰𝔱 𝔞𝔯𝔯𝔦𝔳é 𝔠𝔬𝔪𝔪𝔢 𝔞𝔲𝔧𝔬𝔲𝔯𝔡'𝔥𝔲𝔦

ℭ'𝔢𝔰𝔱 𝔞𝔯𝔯𝔦𝔳é 𝔠𝔬𝔪𝔪𝔢 𝔞𝔲𝔧𝔬𝔲𝔯𝔡'𝔥𝔲𝔦 ℭ'𝔢𝔰𝔱 𝔞𝔯𝔯𝔦𝔳é 𝔠𝔬𝔪𝔪𝔢 𝔞𝔲𝔧𝔬𝔲𝔯𝔡'𝔥𝔲𝔦- Drôlement raconté par FRÉDÉRIC LEWINO GWENDOLINE DOS SANTOS et autres

ℭ'𝔢𝔰𝔱 𝔞𝔯𝔯𝔦𝔳é 𝔠𝔬𝔪𝔪𝔢 𝔞𝔲𝔧𝔬𝔲𝔯𝔡'𝔥𝔲𝔦

Azul !.... pour ceux et celles qui aiment la lécture
et l'humour - vous trouverez chaque jour (sauf imprevu) une nouvelle actualité au coin supérieur gauche (cliquez dessus pour la lire)
C'est arrivé comme aujourd'hui - Drôlement raconté par FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

agréable journée et bonne lécture

★ 25 𝕵𝖚𝖎𝖓 1893  ★ 𝕱𝖆𝖎𝖙 𝖈𝖔𝖈𝖚 𝖕𝖆𝖗 𝖘𝖆 𝖋𝖎𝖆𝖓𝖈é𝖊, 𝖑𝖊 𝖘𝖊𝖗𝖌𝖊𝖓𝖙 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖙 𝖚𝖓 𝖆𝖇𝖔𝖒𝖎𝖓𝖆𝖇𝖑𝖊 𝖙𝖚𝖊𝖚𝖗 𝖊𝖓 𝖘é𝖗𝖎𝖊. ★  𝕬𝖕𝖗è𝖘 𝖚𝖓𝖊 𝖙𝖊𝖓𝖙𝖆𝖙𝖎...
24/06/2025

★ 25 𝕵𝖚𝖎𝖓 1893 ★ 𝕱𝖆𝖎𝖙 𝖈𝖔𝖈𝖚 𝖕𝖆𝖗 𝖘𝖆 𝖋𝖎𝖆𝖓𝖈é𝖊, 𝖑𝖊 𝖘𝖊𝖗𝖌𝖊𝖓𝖙 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖙 𝖚𝖓 𝖆𝖇𝖔𝖒𝖎𝖓𝖆𝖇𝖑𝖊 𝖙𝖚𝖊𝖚𝖗 𝖊𝖓 𝖘é𝖗𝖎𝖊.
★ 𝕬𝖕𝖗è𝖘 𝖚𝖓𝖊 𝖙𝖊𝖓𝖙𝖆𝖙𝖎𝖛𝖊 𝖗𝖆𝖙é𝖊 𝖉𝖊 𝖘𝖚𝖎𝖈𝖎𝖉𝖊, 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖘𝖊 𝖛𝖊𝖓𝖌𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝖋𝖊𝖒𝖒𝖊 𝖊𝖓 𝖛𝖎𝖔𝖑𝖆𝖓𝖙 𝖊𝖙 𝖒𝖆𝖘𝖘𝖆𝖈𝖗𝖆𝖓𝖙 à 𝖙𝖔𝖚𝖗𝖘 𝖉𝖊 𝖇𝖗𝖆𝖘.... ★ 𝕽𝖊𝖌𝖆𝖗𝖉𝖊𝖟 ☛ [ 𝕯é𝖙𝖆𝖎𝖑𝖘 : 𝖎𝖈𝖎-𝖇𝖆𝖘 ]
★ 𝕬𝖟𝖚𝖑 !... 𝕾𝖛𝖆𝖍 𝖆𝖑𝖝𝖎𝖗 𝖉𝖊𝖗𝖛𝖊𝖍 ♥ 𝕬𝖌𝖗é𝖆𝖇𝖑𝖊 𝕵𝖔𝖚𝖗𝖓é𝖊 𝖊𝖙 𝖇𝖔𝖓𝖓𝖊 𝖑é𝖈𝖙𝖚𝖗𝖊 !.... 😉

★ 25 𝕵𝖚𝖎𝖓 1893 ★ 𝕱𝖆𝖎𝖙 𝖈𝖔𝖈𝖚 𝖕𝖆𝖗 𝖘𝖆 𝖋𝖎𝖆𝖓𝖈é𝖊, 𝖑𝖊 𝖘𝖊𝖗𝖌𝖊𝖓𝖙 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖙 𝖚𝖓 𝖆𝖇𝖔𝖒𝖎𝖓𝖆𝖇𝖑𝖊 𝖙𝖚𝖊𝖚𝖗 𝖊𝖓 𝖘é𝖗𝖎𝖊.
★ 𝕬𝖕𝖗è𝖘 𝖚𝖓𝖊 𝖙𝖊𝖓𝖙𝖆𝖙𝖎𝖛𝖊 𝖗𝖆𝖙é𝖊 𝖉𝖊 𝖘𝖚𝖎𝖈𝖎𝖉𝖊, 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖘𝖊 𝖛𝖊𝖓𝖌𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝖋𝖊𝖒𝖒𝖊 𝖊𝖓 𝖛𝖎𝖔𝖑𝖆𝖓𝖙 𝖊𝖙 𝖒𝖆𝖘𝖘𝖆𝖈𝖗𝖆𝖓𝖙 à 𝖙𝖔𝖚𝖗𝖘 𝖉𝖊 𝖇𝖗𝖆𝖘.... ★ 𝕽𝖊𝖌𝖆𝖗𝖉𝖊𝖟 ☛ [ 𝕯é𝖙𝖆𝖎𝖑𝖘 : 𝖎𝖈𝖎-𝖇𝖆𝖘 ]
★ 𝕬𝖟𝖚𝖑 !... 𝕾𝖛𝖆𝖍 𝖆𝖑𝖝𝖎𝖗 𝖉𝖊𝖗𝖛𝖊𝖍 ♥ 𝕬𝖌𝖗é𝖆𝖇𝖑𝖊 𝕵𝖔𝖚𝖗𝖓é𝖊 𝖊𝖙 𝖇𝖔𝖓𝖓𝖊 𝖑é𝖈𝖙𝖚𝖗𝖊 !.... 😉
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Drôlement raconté par : FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

Le sergent Joseph Vacher du 60e régiment d'infanterie de Besançon, 23 ans, s'est amouraché d'une bonne absolument délurée nommée Louise Barrand. Il en est dingue au point d'en négliger son service. Le 25 juin 1893, bénéficiaire d'une permission, il court la retrouver. Mais la belle ne l'a pas attendu, elle s'est entichée entre-temps d'un autre militaire. Cruelle, elle lui jette la "bonne" nouvelle à la figure, s'amusant de son désarroi. Mais Joseph ne désarme pas. Il pose un genou à terre pour la demander en mariage. Louise explose de rire. Il se prend peut-être pour le Bachelor... Épouser ce simplet avec ses allures minables ? Jamais de la vie ! Il est tombé sur la tête !

Joseph se retire, la mort dans l'âme. Le soir même, il revient avec un bouquet de fleurs ramassées sur son chemin pour réitérer sa demande. Louise reprend ses moqueries de plus belle. Cette fois, la coupe est pleine pour le sergent Vacher. Il sort un revolver de sa poche pour lui tirer quatre balles dessus, avant de retourner l'arme contre lui. Non seulement il est cocu, mais il est également maladroit. En effet, tous deux réchappent à leurs blessures. Dommage pour ses futures victimes.

Mutilant et violant

En fait, le chirurgien ne parvient à extraire qu'une des deux balles logées dans le crâne. Joseph se retrouve avec la face balafrée, le côté droit du visage paralysé, sa bouche tordue quand il parle, l'oeil droit toujours injecté de sang et son oreille droite suppure en permanence. En le regardant, même Ribéry aurait un mouvement de recul... Inculpé de tentative d'assassinat, Vacher est interné à l'asile de Dole dans le Jura pour y subir un examen psychiatrique afin de déterminer sa responsabilité pénale.

En septembre 1893, le psychiatre Guillemin rend son rapport : "Le sieur Joseph Vacher est atteint d'aliénation mentale caractérisée par le délire des persécutions. Il est irresponsable de ses actes." Par conséquent un non-lieu est prononcé et Joseph est transféré à l'asile Saint-Robert dans l'Isère. Au début de son séjour, il est comme une bête en cage, pris d'accès de fureur, de crises de démence, de paranoïa ; il tente même de s'évader. Et puis, comme par enchantement, il devient doux comme un agneau à tel point que, le 1er avril 1894, il est considéré comme guéri !

Une fois dehors, le mouton se transforme vite en loup. Il erre dans les campagnes françaises, trouvant des jobs ici et là dans les fermes tout en tuant, massacrant, mutilant et violant des femmes, des enfants, sans que personne ne le soupçonne. Il parle comme un illuminé et, avec son allure, il inspire surtout la pitié. Vacher est inépuisable, il parcourt jusqu'à 70 kilomètres dans la même journée pour assouvir sa soif de sang. Il sème les cadavres aussi vite que le Petit Poucet ses cailloux, avec toujours le même rituel atroce : il croise un jeune berger ou une jeune bergère, l'assaille, l'étrangle, le met à terre, l'égorge, l'éventre, lui incise les parties génitales, va même jusqu'à planter ses dents dans sa chair et, ultime gâterie, se livre à un acte sexuel post mortem.

Il simule la démence

Celui qui va mettre fin à cette mortelle randonnée est un jeune procureur nommé Émile Fourquet. En 1897, venant de prendre son nouveau poste, son attention est attirée par un dossier en attente particulièrement horrible : le meurtre de Victor Portalier, égorgé, éventré, ses parties génitales tranchées et violé après sa mort. Les témoins décrivent un vagabond, un Quasimodo tout droit sorti d'une foire, mais à cette époque la France compte des milliers de vagabonds, impossible de le trouver ! Fourquet fait le rapprochement avec un autre meurtre commis la veille de l'assassinat de Victor à 100 kilomètres de là, la même boucherie. Dans ce cas aussi, les témoins rapportent avoir croisé un rôdeur au visage déformé... Et si c'était le même homme ?

Fourquet entame une enquête d'envergure malgré les faibles moyens de communication de l'époque et contacte tous ses homologues de l'Hexagone pour vérifier qu'ils n'ont pas de dossiers non élucidés similaires. Au total, il en retrouve une vingtaine. Comment mettre la main sur un vagabond qui change sans cesse de département ? Fourquet fait réaliser un portrait type qu'il adresse à ses confrères, le profilage est né ! Le 4 août 1897, Vacher est arrêté alors qu'il s'apprête à passer à l'attaque. Le procureur à qui on le présente se souvient de l'alerte de Fourquet, l'éventreur est démasqué.

Interrogé par Fourquet, le sergent Joseph Vacher nie les meurtres. Le procureur le harcèle chaque jour pour qu'il avoue. Rien à faire. Le 8 octobre enfin, le tueur se décide à parler, mais exige de publier une lettre à la France dans les journaux. Le procureur accepte. "Tant p*s pour vous si vous me croyez responsable... Votre seule manière d'agir me fait prendre pitié pour vous... Si j'ai conservé le secret de mes malheurs, c'est que je le croyais dans l'intérêt général, mais vu que peut-être je me trompe, je viens vous faire savoir toute la vérité : Oui, c'est moi qui ai commis tous les crimes que vous m'avez reprochés..., et cela, dans des moments de rage", écrit Vacher avant d'avouer finalement onze meurtres d'impulsion, sans mobile.

Bien sûr, il met tout sur le compte de la folie. Enfant, il aurait même été mordu par un chien porteur de la rage, et sa démence viendrait de là, selon lui. Fourquet s'adresse au docteur Alexandre Lacassagne, l'un des légistes les plus réputés, l'un des fondateurs de l'anthropologie criminelle, pour étudier la personnalité du tueur. Son diagnostic est sans appel, Vacher est sain d'esprit. Ses crimes sont prémédités. Il les commet systématiquement dans des lieux isolés, il porte toujours un couteau sur lui, et change de département après chacun de ses crimes. Ses crimes ne sont pas ceux d'un fou ! Il simule la démence. Bref Vacher se retrouve aux assises.

Coupable de 11 meurtres

Le procès de Vacher s'ouvre à Bourg-en-Bresse, en octobre 1898. Le tribunal est pris d'assaut par la foule curieuse de voir le tueur. Elle n'est pas déçue. Vacher débarque avec une toque en poils de lapin blanche sur la tête, une pancarte autour du cou sur laquelle il a inscrit : "J'ai deux balles dans la tête." Il chante à tue-tête des airs à la gloire de Jésus et de Jeanne d'Arc. Cependant, il retrouve ses esprits par moments pour expliquer qu'il commet ses crimes lors de crises de démence. "À chaque fois, je suis pris d'une espèce de fièvre, d'un tremblement nerveux, je ne veux pas tuer, ni violer, mais il faut que je le fasse", raconte-t-il. Bah, voyons !

Les témoins défilent pour décrire son enfance. Terrible. Depuis qu'il est gosse, Vacher est la risée de son entourage. Avant-dernier d'une famille de quinze enfants, son père est souvent pris de délires et n'hésite pas à le cogner. Sa mère, elle, baigne dans le mysticisme et a régulièrement des apparitions divines, sans parler de l'une de ses soeurs maniaco-dépressives et d'une autre qui mourra à l'asile.

Pour ne rien arranger, il chope très jeune une fièvre typhoïde qui lui laisse des séquelles physiques et psychologiques. Lorsqu'il a 14 ans, sa mère meurt, il devient ouvrier agricole, puis est accueilli chez sa soeur, prostituée à Grenoble. Il fait la fête, profite des charmantes collègues de sa soeur pour attraper une maladie vénérienne qui lui fait perdre un bout de testicule. À 21 ans, il est incorporé dans l'armée. Tous les autres soldats se moquent de lui, il est bizuté autant qu'on peut l'être, chambré à longueur de temps. Malgré tout, il parvient au grade de sergent et se venge sur ses camarades. Lorsqu'il tombe amoureux de Louise, il croit enfin sortir de son enfer quotidien. Mais elle est, comme les autres, odieuse avec lui ! C'est alors qu'il démarre sa carrière de tueur en série.

Le 28 octobre 1898, Vacher est déclaré coupable de onze meurtres avec préméditation et condamné à mort. Son palmarès est probablement bien plus étoffé. Les experts lui attribuent une trentaine de meurtres dans toute la France, certains vont même jusqu'à avancer le nombre de cinquante. C'est simple, tous les meurtres non élucidés deviennent les siens. Mais Joseph Vacher a été exécuté pour onze meurtres, point barre, les familles des autres victimes ne sauront jamais si elles ont croisé la route du monstre sanguinaire. Le 31 décembre, la guillotine tranche la tête de Vacher. Au prêtre venu le confesser, le condamné déclare : "J'embrasserai Jésus-Christ tout à l'heure. Vous croyez expier les fautes de la France en me faisant mourir. Cela ne suffira pas, vous commettrez un crime de plus. Je suis la grande victime de cette fin de siècle." Cause toujours. Couic !

Les polongements de l'amour... La haine et la violence sont les prolongements de l'amour. F. Mauriac. (☆ *commentaire choisi*☆)

;) Regardez ☛ Des crimes presque parfaits: Joseph Vacher, tueur en serie ☛ https://www.youtube.com/watch?v=WazTlHbeoog&ab_channel=CANAL%2B

http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/25-juin-1893-il-eventre-emascule-et-viole-post-mortem-c-est-joseph-vacher-notre-premier-tueur-en-serie-24-06-2012-1477148_494.php

★ 25 Juin 1893 ★ Fait cocu par sa fiancée, le sergent Vacher devient un abominable tueur en série.
★ Après une tentative ratée de su***de, Vacher se venge des femme en violant et massacrant à tours de bras.... ★ Regardez ☛ [ Détails : ici-bas ]
★ Azul !... Svah alxir derveh ♥ Agréable Journée et bonne lécture !.... 😉

★ 25 𝕵𝖚𝖎𝖓 1893  ★ 𝕱𝖆𝖎𝖙 𝖈𝖔𝖈𝖚 𝖕𝖆𝖗 𝖘𝖆 𝖋𝖎𝖆𝖓𝖈é𝖊, 𝖑𝖊 𝖘𝖊𝖗𝖌𝖊𝖓𝖙 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖙 𝖚𝖓 𝖆𝖇𝖔𝖒𝖎𝖓𝖆𝖇𝖑𝖊 𝖙𝖚𝖊𝖚𝖗 𝖊𝖓 𝖘é𝖗𝖎𝖊. ★  𝕬𝖕𝖗è𝖘 𝖚𝖓𝖊 𝖙𝖊𝖓𝖙𝖆𝖙𝖎...
24/06/2025

★ 25 𝕵𝖚𝖎𝖓 1893 ★ 𝕱𝖆𝖎𝖙 𝖈𝖔𝖈𝖚 𝖕𝖆𝖗 𝖘𝖆 𝖋𝖎𝖆𝖓𝖈é𝖊, 𝖑𝖊 𝖘𝖊𝖗𝖌𝖊𝖓𝖙 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖙 𝖚𝖓 𝖆𝖇𝖔𝖒𝖎𝖓𝖆𝖇𝖑𝖊 𝖙𝖚𝖊𝖚𝖗 𝖊𝖓 𝖘é𝖗𝖎𝖊.
★ 𝕬𝖕𝖗è𝖘 𝖚𝖓𝖊 𝖙𝖊𝖓𝖙𝖆𝖙𝖎𝖛𝖊 𝖗𝖆𝖙é𝖊 𝖉𝖊 𝖘𝖚𝖎𝖈𝖎𝖉𝖊, 𝖁𝖆𝖈𝖍𝖊𝖗 𝖘𝖊 𝖛𝖊𝖓𝖌𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝖋𝖊𝖒𝖒𝖊 𝖊𝖓 𝖛𝖎𝖔𝖑𝖆𝖓𝖙 𝖊𝖙 𝖒𝖆𝖘𝖘𝖆𝖈𝖗𝖆𝖓𝖙 à 𝖙𝖔𝖚𝖗𝖘 𝖉𝖊 𝖇𝖗𝖆𝖘.... ★ 𝕽𝖊𝖌𝖆𝖗𝖉𝖊𝖟 ☛ [ 𝕯é𝖙𝖆𝖎𝖑𝖘 : 𝖎𝖈𝖎-𝖇𝖆𝖘 ]
★ 𝕬𝖟𝖚𝖑 !... 𝕾𝖛𝖆𝖍 𝖆𝖑𝖝𝖎𝖗 𝖉𝖊𝖗𝖛𝖊𝖍 ♥ 𝕬𝖌𝖗é𝖆𝖇𝖑𝖊 𝕵𝖔𝖚𝖗𝖓é𝖊 𝖊𝖙 𝖇𝖔𝖓𝖓𝖊 𝖑é𝖈𝖙𝖚𝖗𝖊 !.... 😉
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Drôlement raconté par : FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

Le sergent Joseph Vacher du 60e régiment d'infanterie de Besançon, 23 ans, s'est amouraché d'une bonne absolument délurée nommée Louise Barrand. Il en est dingue au point d'en négliger son service. Le 25 juin 1893, bénéficiaire d'une permission, il court la retrouver. Mais la belle ne l'a pas attendu, elle s'est entichée entre-temps d'un autre militaire. Cruelle, elle lui jette la "bonne" nouvelle à la figure, s'amusant de son désarroi. Mais Joseph ne désarme pas. Il pose un genou à terre pour la demander en mariage. Louise explose de rire. Il se prend peut-être pour le Bachelor... Épouser ce simplet avec ses allures minables ? Jamais de la vie ! Il est tombé sur la tête !

Joseph se retire, la mort dans l'âme. Le soir même, il revient avec un bouquet de fleurs ramassées sur son chemin pour réitérer sa demande. Louise reprend ses moqueries de plus belle. Cette fois, la coupe est pleine pour le sergent Vacher. Il sort un revolver de sa poche pour lui tirer quatre balles dessus, avant de retourner l'arme contre lui. Non seulement il est cocu, mais il est également maladroit. En effet, tous deux réchappent à leurs blessures. Dommage pour ses futures victimes.

Mutilant et violant

En fait, le chirurgien ne parvient à extraire qu'une des deux balles logées dans le crâne. Joseph se retrouve avec la face balafrée, le côté droit du visage paralysé, sa bouche tordue quand il parle, l'oeil droit toujours injecté de sang et son oreille droite suppure en permanence. En le regardant, même Ribéry aurait un mouvement de recul... Inculpé de tentative d'assassinat, Vacher est interné à l'asile de Dole dans le Jura pour y subir un examen psychiatrique afin de déterminer sa responsabilité pénale.

En septembre 1893, le psychiatre Guillemin rend son rapport : "Le sieur Joseph Vacher est atteint d'aliénation mentale caractérisée par le délire des persécutions. Il est irresponsable de ses actes." Par conséquent un non-lieu est prononcé et Joseph est transféré à l'asile Saint-Robert dans l'Isère. Au début de son séjour, il est comme une bête en cage, pris d'accès de fureur, de crises de démence, de paranoïa ; il tente même de s'évader. Et puis, comme par enchantement, il devient doux comme un agneau à tel point que, le 1er avril 1894, il est considéré comme guéri !

Une fois dehors, le mouton se transforme vite en loup. Il erre dans les campagnes françaises, trouvant des jobs ici et là dans les fermes tout en tuant, massacrant, mutilant et violant des femmes, des enfants, sans que personne ne le soupçonne. Il parle comme un illuminé et, avec son allure, il inspire surtout la pitié. Vacher est inépuisable, il parcourt jusqu'à 70 kilomètres dans la même journée pour assouvir sa soif de sang. Il sème les cadavres aussi vite que le Petit Poucet ses cailloux, avec toujours le même rituel atroce : il croise un jeune berger ou une jeune bergère, l'assaille, l'étrangle, le met à terre, l'égorge, l'éventre, lui incise les parties génitales, va même jusqu'à planter ses dents dans sa chair et, ultime gâterie, se livre à un acte sexuel post mortem.

Il simule la démence

Celui qui va mettre fin à cette mortelle randonnée est un jeune procureur nommé Émile Fourquet. En 1897, venant de prendre son nouveau poste, son attention est attirée par un dossier en attente particulièrement horrible : le meurtre de Victor Portalier, égorgé, éventré, ses parties génitales tranchées et violé après sa mort. Les témoins décrivent un vagabond, un Quasimodo tout droit sorti d'une foire, mais à cette époque la France compte des milliers de vagabonds, impossible de le trouver ! Fourquet fait le rapprochement avec un autre meurtre commis la veille de l'assassinat de Victor à 100 kilomètres de là, la même boucherie. Dans ce cas aussi, les témoins rapportent avoir croisé un rôdeur au visage déformé... Et si c'était le même homme ?

Fourquet entame une enquête d'envergure malgré les faibles moyens de communication de l'époque et contacte tous ses homologues de l'Hexagone pour vérifier qu'ils n'ont pas de dossiers non élucidés similaires. Au total, il en retrouve une vingtaine. Comment mettre la main sur un vagabond qui change sans cesse de département ? Fourquet fait réaliser un portrait type qu'il adresse à ses confrères, le profilage est né ! Le 4 août 1897, Vacher est arrêté alors qu'il s'apprête à passer à l'attaque. Le procureur à qui on le présente se souvient de l'alerte de Fourquet, l'éventreur est démasqué.

Interrogé par Fourquet, le sergent Joseph Vacher nie les meurtres. Le procureur le harcèle chaque jour pour qu'il avoue. Rien à faire. Le 8 octobre enfin, le tueur se décide à parler, mais exige de publier une lettre à la France dans les journaux. Le procureur accepte. "Tant p*s pour vous si vous me croyez responsable... Votre seule manière d'agir me fait prendre pitié pour vous... Si j'ai conservé le secret de mes malheurs, c'est que je le croyais dans l'intérêt général, mais vu que peut-être je me trompe, je viens vous faire savoir toute la vérité : Oui, c'est moi qui ai commis tous les crimes que vous m'avez reprochés..., et cela, dans des moments de rage", écrit Vacher avant d'avouer finalement onze meurtres d'impulsion, sans mobile.

Bien sûr, il met tout sur le compte de la folie. Enfant, il aurait même été mordu par un chien porteur de la rage, et sa démence viendrait de là, selon lui. Fourquet s'adresse au docteur Alexandre Lacassagne, l'un des légistes les plus réputés, l'un des fondateurs de l'anthropologie criminelle, pour étudier la personnalité du tueur. Son diagnostic est sans appel, Vacher est sain d'esprit. Ses crimes sont prémédités. Il les commet systématiquement dans des lieux isolés, il porte toujours un couteau sur lui, et change de département après chacun de ses crimes. Ses crimes ne sont pas ceux d'un fou ! Il simule la démence. Bref Vacher se retrouve aux assises.

Coupable de 11 meurtres

Le procès de Vacher s'ouvre à Bourg-en-Bresse, en octobre 1898. Le tribunal est pris d'assaut par la foule curieuse de voir le tueur. Elle n'est pas déçue. Vacher débarque avec une toque en poils de lapin blanche sur la tête, une pancarte autour du cou sur laquelle il a inscrit : "J'ai deux balles dans la tête." Il chante à tue-tête des airs à la gloire de Jésus et de Jeanne d'Arc. Cependant, il retrouve ses esprits par moments pour expliquer qu'il commet ses crimes lors de crises de démence. "À chaque fois, je suis pris d'une espèce de fièvre, d'un tremblement nerveux, je ne veux pas tuer, ni violer, mais il faut que je le fasse", raconte-t-il. Bah, voyons !

Les témoins défilent pour décrire son enfance. Terrible. Depuis qu'il est gosse, Vacher est la risée de son entourage. Avant-dernier d'une famille de quinze enfants, son père est souvent pris de délires et n'hésite pas à le cogner. Sa mère, elle, baigne dans le mysticisme et a régulièrement des apparitions divines, sans parler de l'une de ses soeurs maniaco-dépressives et d'une autre qui mourra à l'asile.

Pour ne rien arranger, il chope très jeune une fièvre typhoïde qui lui laisse des séquelles physiques et psychologiques. Lorsqu'il a 14 ans, sa mère meurt, il devient ouvrier agricole, puis est accueilli chez sa soeur, prostituée à Grenoble. Il fait la fête, profite des charmantes collègues de sa soeur pour attraper une maladie vénérienne qui lui fait perdre un bout de testicule. À 21 ans, il est incorporé dans l'armée. Tous les autres soldats se moquent de lui, il est bizuté autant qu'on peut l'être, chambré à longueur de temps. Malgré tout, il parvient au grade de sergent et se venge sur ses camarades. Lorsqu'il tombe amoureux de Louise, il croit enfin sortir de son enfer quotidien. Mais elle est, comme les autres, odieuse avec lui ! C'est alors qu'il démarre sa carrière de tueur en série.

Le 28 octobre 1898, Vacher est déclaré coupable de onze meurtres avec préméditation et condamné à mort. Son palmarès est probablement bien plus étoffé. Les experts lui attribuent une trentaine de meurtres dans toute la France, certains vont même jusqu'à avancer le nombre de cinquante. C'est simple, tous les meurtres non élucidés deviennent les siens. Mais Joseph Vacher a été exécuté pour onze meurtres, point barre, les familles des autres victimes ne sauront jamais si elles ont croisé la route du monstre sanguinaire. Le 31 décembre, la guillotine tranche la tête de Vacher. Au prêtre venu le confesser, le condamné déclare : "J'embrasserai Jésus-Christ tout à l'heure. Vous croyez expier les fautes de la France en me faisant mourir. Cela ne suffira pas, vous commettrez un crime de plus. Je suis la grande victime de cette fin de siècle." Cause toujours. Couic !

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★ 25 Juin 1893 ★ Fait cocu par sa fiancée, le sergent Vacher devient un abominable tueur en série.
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★ 24 𝕵𝖚𝖎𝖓 1947  ★ 𝕹𝖆𝖎𝖘𝖘𝖆𝖓𝖈𝖊 𝖉𝖚 𝖒𝖞𝖙𝖍𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝕺𝖁𝕹𝕴 𝖆𝖕𝖗è𝖘 𝖑𝖆 𝖛𝖚𝖊 𝖉𝖊 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊 𝖈𝖎𝖊𝖑 𝖉𝖊 𝖑'É𝖙𝖆𝖙 𝖉𝖊 𝖂𝖆𝖘𝖍𝖎𝖓𝖌𝖙𝖔𝖓. ★  𝕯𝖊𝖕𝖚𝖎𝖘 𝖘𝖔...
23/06/2025

★ 24 𝕵𝖚𝖎𝖓 1947 ★ 𝕹𝖆𝖎𝖘𝖘𝖆𝖓𝖈𝖊 𝖉𝖚 𝖒𝖞𝖙𝖍𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝕺𝖁𝕹𝕴 𝖆𝖕𝖗è𝖘 𝖑𝖆 𝖛𝖚𝖊 𝖉𝖊 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊 𝖈𝖎𝖊𝖑 𝖉𝖊 𝖑'É𝖙𝖆𝖙 𝖉𝖊 𝖂𝖆𝖘𝖍𝖎𝖓𝖌𝖙𝖔𝖓.
★ 𝕯𝖊𝖕𝖚𝖎𝖘 𝖘𝖔𝖓 𝖈𝖔𝖚𝖈𝖔𝖚, 𝕶𝖊𝖓𝖓𝖊𝖙𝖍 𝕬𝖗𝖓𝖔𝖑𝖉 𝖆𝖕𝖊𝖗ç𝖔𝖎𝖙 𝖓𝖊𝖚𝖋 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖛𝖔𝖑𝖆𝖓𝖙 𝖆𝖚 𝖑𝖔𝖎𝖓 𝖖𝖚𝖎 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖉𝖗𝖔𝖓𝖙 𝖉𝖊𝖘 "𝖋𝖑𝖞𝖎𝖓𝖌 𝖘𝖆𝖚𝖈𝖊𝖗𝖘".... ★ 𝕽𝖊𝖌𝖆𝖗𝖉𝖊𝖟 ☛ [ 𝕯é𝖙𝖆𝖎𝖑𝖘 : 𝖎𝖈𝖎-𝖇𝖆𝖘 ]
★ 𝕬𝖟𝖚𝖑 !... 𝕾𝖛𝖆𝖍 𝖆𝖑𝖝𝖎𝖗 𝖉𝖊𝖗𝖛𝖊𝖍 ♥ 𝕬𝖌𝖗é𝖆𝖇𝖑𝖊 𝕵𝖔𝖚𝖗𝖓é𝖊 𝖊𝖙 𝖇𝖔𝖓𝖓𝖊 𝖑é𝖈𝖙𝖚𝖗𝖊 !.... 😉

★ 24 𝕵𝖚𝖎𝖓 1947 ★ 𝕹𝖆𝖎𝖘𝖘𝖆𝖓𝖈𝖊 𝖉𝖚 𝖒𝖞𝖙𝖍𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝕺𝖁𝕹𝕴 𝖆𝖕𝖗è𝖘 𝖑𝖆 𝖛𝖚𝖊 𝖉𝖊 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊 𝖈𝖎𝖊𝖑 𝖉𝖊 𝖑'É𝖙𝖆𝖙 𝖉𝖊 𝖂𝖆𝖘𝖍𝖎𝖓𝖌𝖙𝖔𝖓.
★ 𝕯𝖊𝖕𝖚𝖎𝖘 𝖘𝖔𝖓 𝖈𝖔𝖚𝖈𝖔𝖚, 𝕶𝖊𝖓𝖓𝖊𝖙𝖍 𝕬𝖗𝖓𝖔𝖑𝖉 𝖆𝖕𝖊𝖗ç𝖔𝖎𝖙 𝖓𝖊𝖚𝖋 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖛𝖔𝖑𝖆𝖓𝖙 𝖆𝖚 𝖑𝖔𝖎𝖓 𝖖𝖚𝖎 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖉𝖗𝖔𝖓𝖙 𝖉𝖊𝖘 "𝖋𝖑𝖞𝖎𝖓𝖌 𝖘𝖆𝖚𝖈𝖊𝖗𝖘".... ★ 𝕽𝖊𝖌𝖆𝖗𝖉𝖊𝖟 ☛ [ 𝕯é𝖙𝖆𝖎𝖑𝖘 : 𝖎𝖈𝖎-𝖇𝖆𝖘 ]
★ 𝕬𝖟𝖚𝖑 !... 𝕾𝖛𝖆𝖍 𝖆𝖑𝖝𝖎𝖗 𝖉𝖊𝖗𝖛𝖊𝖍 ♥ 𝕬𝖌𝖗é𝖆𝖇𝖑𝖊 𝕵𝖔𝖚𝖗𝖓é𝖊 𝖊𝖙 𝖇𝖔𝖓𝖓𝖊 𝖑é𝖈𝖙𝖚𝖗𝖊 !.... 😉
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Drôlement raconté par : FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

Le mardi 24 juin 1947, l'Américain Kenneth Arnold, 32 ans, décolle aux commandes de son monomoteur. Membre du Search and Rescue Mercy Flyer, il est à la recherche d'un avion militaire disparu six mois auparavant près du mont Rainier, dans l'État de Washington. Vers 15 heures, son attention est attirée par un éclair lumineux à l'horizon. Curieux. Il aperçoit alors neuf objets blancs, arrondis à l'avant et triangulaires à l'arrière, voler à une vitesse stupéfiante.

"Je trouvais très étrange de ne pouvoir distinguer leur queue, mais je supposais qu'il s'agissait en quelque sorte d'engins à réaction..." Kenneth a la présence d'esprit de chronométrer le temps mis par ces curieux engins pour relier les monts Rainier et Adams. 1 minute et 42 secondes ! Vu la distance, cela les fait voler plus vite que la vitesse du son. Stupéfiant. Aucun avion, à cette époque, n'est capable d'un tel exploit. Kenneth en reste baba. Peut-être autant que s'il avait vu passer Arthur habillé en séminariste après avoir légué sa fortune aux Restos du coeur.

"Comme une soucoupe"

Encore ébaubi, le pilote retourne se poser à Yakima, près de Seattle, où il s'empresse de narrer son aventure aux pilotes de l'aérodrome. Certains l'accusent d'avoir eu des visions, d'autres évoquent des missiles de la base de Moses Lake. Personne ne songe encore à des extraterrestres. Kenneth finit par redécoller pour Pendleton en Oregon, où il raconte à nouveau son histoire.

Craignant que ces objets puissent être des armes secrètes soviétiques, il se rend à l'antenne locale du FBI pour signaler son observation, mais il trouve porte close. Le lendemain, toujours inquiet, il décide d'aller raconter sa petite histoire au quotidien local, l'East Oregon. Aux deux journalistes qui le reçoivent, il explique que les neuf engins volaient d'une manière irrégulière. Pour se faire mieux comprendre, il emploie l'image : "Like a saucer if you skip it across the water" (comme une soucoupe que vous feriez ricocher sur l'eau). Kenneth ne parle absolument pas de soucoupes volantes, mais d'objets glissant dans le ciel avec le mouvement d'une soucoupe ! Pourtant, dès le lendemain, la presse est pleine de "soucoupes volantes". L'un des deux journalistes a envoyé une dépêche à l'agence Associated Press. L'expression est reprise par les radios.

Et c'est parti pour l'hystérie collective. Les extraterrestres n'ayant pas pris la peine de passer un communiqué pour rectifier l'info, au cours des semaines et des mois qui suivent, des milliers d'Américains observent à leur tour les fameuses soucoupes volantes. Certains jurent même avoir rencontré des petits hommes verts. En Amérique, mais aussi dans le reste du monde.

Le phénomène "ovni" est né. Pour en revenir à Kenneth, lui ne se focalise absolument pas sur E.T. Il craint surtout que les Russes ne soient à l'origine de ces engins volants. Il veut donc être pris au sérieux par les autorités. Le 8 juillet, il remet un rapport dactylographié à l'US Army tout en continuant à rassembler les témoignages semblables au sien. Peu à peu, l'administration américaine se met en branle. Les rapports se multiplient, s'entrecroisent, se contredisent. Un gars prétend avoir découvert des restes d'un disque volant près de Roswell. Les théories les plus folles voient le jour. Un général émet l'idée que les premières observations sont inventées de toutes pièces par des sympathisants cocos avec la machiavélique intention de déclencher une peur panique dans la population américaine.

Mirage

Ainsi, le 12 juillet, deux enquêteurs militaires viennent interroger Kenneth, mais aussi ses voisins et amis pour vérifier sa crédibilité et surtout s'il n'est pas un agent communiste. Leur rapport est favorable. On peut y lire : "Pour tout dire, s'il peut écrire un rapport d'une telle teneur sans avoir vu les objets qu'il prétend avoir vus, l'enquêteur est d'opinion qu'il s'est trompé de profession et qu'il ferait mieux d'écrire des aventures de Buck Rogers.

" L'armée conclut que les phénomènes observés sont bien réels, qu'il s'agit effectivement d'objets ayant la forme d'un disque. La possibilité qu'il s'agisse d'engins américains testés secrètement n'est pas écartée. Une propulsion nucléaire est évoquée. Cécile Duflot pique une crise de nerf... Finalement, le 30 décembre 1947, l'état-major lance une étude consacrée aux soucoupes volantes : le Project Saucer. Un astronome qui y participe relève des incohérences dans les informations fournies par Kenneth concernant la taille des neuf objets et leur éloignement. Ils auraient été bien plus proches que ne le pensait le pilote, et donc leur vitesse bien inférieure à celle du son. Conclusion : il s'agit probablement d'avions classiques. Ou alors d'une illusion due à un effet mirage de l'atmosphère. Exit les Russes, exit les extraterrestres. Pourtant, les soucoupes volantes et les ovnis continuent à sillonner le ciel. Des millions de Terriens restent persuadés de leur existence. Aux innocents les yeux pleins...
.. On n'a peut-être pas attendu les américains pour ça mais en tout cas ceux qui les ont précédé n'en ont pas parlé avec autant de force. D'ailleurs, c'est depuis que ces histoires nous sont parvenues des Etats-Unis que l'on se rappelle opportunément que "l'on avait déjà vu ça". Bref, les yankees auront au moins servi à quelque chose... (☆ *commentaire choisi*☆)

;) Regardez ☛ Top 5 des apparitions d'OVNI en France ☛ https://www.youtube.com/watch?v=CVLjUalUyJs&ab_channel=Topito

Image : Kenneth Arnold est le premier à avoir évoqué des "soucoupes volantes". © DR

http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/24-juin-1947-les-soucoupes-volantes-debarquent-sur-terre-dans-l-etat-de-washington-24-06-2012-1476946_494.php

★ 24 Juin 1947 ★ Naissance du mythe des OVNI après la vue de disques dans le ciel de l'État de Washington.
★ Depuis son coucou, Kenneth Arnold aperçoit neuf disques volant au loin qui deviendront des "flying saucers".... ★ Regardez ☛ [ Détails : ici-bas ]
★ Azul !... Svah alxir derveh ♥ Agréable Journée et bonne lécture !.... 😉

★ 24 𝕵𝖚𝖎𝖓 1947  ★ 𝕹𝖆𝖎𝖘𝖘𝖆𝖓𝖈𝖊 𝖉𝖚 𝖒𝖞𝖙𝖍𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝕺𝖁𝕹𝕴 𝖆𝖕𝖗è𝖘 𝖑𝖆 𝖛𝖚𝖊 𝖉𝖊 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊 𝖈𝖎𝖊𝖑 𝖉𝖊 𝖑'É𝖙𝖆𝖙 𝖉𝖊 𝖂𝖆𝖘𝖍𝖎𝖓𝖌𝖙𝖔𝖓. ★  𝕯𝖊𝖕𝖚𝖎𝖘 𝖘𝖔...
23/06/2025

★ 24 𝕵𝖚𝖎𝖓 1947 ★ 𝕹𝖆𝖎𝖘𝖘𝖆𝖓𝖈𝖊 𝖉𝖚 𝖒𝖞𝖙𝖍𝖊 𝖉𝖊𝖘 𝕺𝖁𝕹𝕴 𝖆𝖕𝖗è𝖘 𝖑𝖆 𝖛𝖚𝖊 𝖉𝖊 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊 𝖈𝖎𝖊𝖑 𝖉𝖊 𝖑'É𝖙𝖆𝖙 𝖉𝖊 𝖂𝖆𝖘𝖍𝖎𝖓𝖌𝖙𝖔𝖓.
★ 𝕯𝖊𝖕𝖚𝖎𝖘 𝖘𝖔𝖓 𝖈𝖔𝖚𝖈𝖔𝖚, 𝕶𝖊𝖓𝖓𝖊𝖙𝖍 𝕬𝖗𝖓𝖔𝖑𝖉 𝖆𝖕𝖊𝖗ç𝖔𝖎𝖙 𝖓𝖊𝖚𝖋 𝖉𝖎𝖘𝖖𝖚𝖊𝖘 𝖛𝖔𝖑𝖆𝖓𝖙 𝖆𝖚 𝖑𝖔𝖎𝖓 𝖖𝖚𝖎 𝖉𝖊𝖛𝖎𝖊𝖓𝖉𝖗𝖔𝖓𝖙 𝖉𝖊𝖘 "𝖋𝖑𝖞𝖎𝖓𝖌 𝖘𝖆𝖚𝖈𝖊𝖗𝖘".... ★ 𝕽𝖊𝖌𝖆𝖗𝖉𝖊𝖟 ☛ [ 𝕯é𝖙𝖆𝖎𝖑𝖘 : 𝖎𝖈𝖎-𝖇𝖆𝖘 ]
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Drôlement raconté par : FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS

Le mardi 24 juin 1947, l'Américain Kenneth Arnold, 32 ans, décolle aux commandes de son monomoteur. Membre du Search and Rescue Mercy Flyer, il est à la recherche d'un avion militaire disparu six mois auparavant près du mont Rainier, dans l'État de Washington. Vers 15 heures, son attention est attirée par un éclair lumineux à l'horizon. Curieux. Il aperçoit alors neuf objets blancs, arrondis à l'avant et triangulaires à l'arrière, voler à une vitesse stupéfiante.

"Je trouvais très étrange de ne pouvoir distinguer leur queue, mais je supposais qu'il s'agissait en quelque sorte d'engins à réaction..." Kenneth a la présence d'esprit de chronométrer le temps mis par ces curieux engins pour relier les monts Rainier et Adams. 1 minute et 42 secondes ! Vu la distance, cela les fait voler plus vite que la vitesse du son. Stupéfiant. Aucun avion, à cette époque, n'est capable d'un tel exploit. Kenneth en reste baba. Peut-être autant que s'il avait vu passer Arthur habillé en séminariste après avoir légué sa fortune aux Restos du coeur.

"Comme une soucoupe"

Encore ébaubi, le pilote retourne se poser à Yakima, près de Seattle, où il s'empresse de narrer son aventure aux pilotes de l'aérodrome. Certains l'accusent d'avoir eu des visions, d'autres évoquent des missiles de la base de Moses Lake. Personne ne songe encore à des extraterrestres. Kenneth finit par redécoller pour Pendleton en Oregon, où il raconte à nouveau son histoire.

Craignant que ces objets puissent être des armes secrètes soviétiques, il se rend à l'antenne locale du FBI pour signaler son observation, mais il trouve porte close. Le lendemain, toujours inquiet, il décide d'aller raconter sa petite histoire au quotidien local, l'East Oregon. Aux deux journalistes qui le reçoivent, il explique que les neuf engins volaient d'une manière irrégulière. Pour se faire mieux comprendre, il emploie l'image : "Like a saucer if you skip it across the water" (comme une soucoupe que vous feriez ricocher sur l'eau). Kenneth ne parle absolument pas de soucoupes volantes, mais d'objets glissant dans le ciel avec le mouvement d'une soucoupe ! Pourtant, dès le lendemain, la presse est pleine de "soucoupes volantes". L'un des deux journalistes a envoyé une dépêche à l'agence Associated Press. L'expression est reprise par les radios.

Et c'est parti pour l'hystérie collective. Les extraterrestres n'ayant pas pris la peine de passer un communiqué pour rectifier l'info, au cours des semaines et des mois qui suivent, des milliers d'Américains observent à leur tour les fameuses soucoupes volantes. Certains jurent même avoir rencontré des petits hommes verts. En Amérique, mais aussi dans le reste du monde.

Le phénomène "ovni" est né. Pour en revenir à Kenneth, lui ne se focalise absolument pas sur E.T. Il craint surtout que les Russes ne soient à l'origine de ces engins volants. Il veut donc être pris au sérieux par les autorités. Le 8 juillet, il remet un rapport dactylographié à l'US Army tout en continuant à rassembler les témoignages semblables au sien. Peu à peu, l'administration américaine se met en branle. Les rapports se multiplient, s'entrecroisent, se contredisent. Un gars prétend avoir découvert des restes d'un disque volant près de Roswell. Les théories les plus folles voient le jour. Un général émet l'idée que les premières observations sont inventées de toutes pièces par des sympathisants cocos avec la machiavélique intention de déclencher une peur panique dans la population américaine.

Mirage

Ainsi, le 12 juillet, deux enquêteurs militaires viennent interroger Kenneth, mais aussi ses voisins et amis pour vérifier sa crédibilité et surtout s'il n'est pas un agent communiste. Leur rapport est favorable. On peut y lire : "Pour tout dire, s'il peut écrire un rapport d'une telle teneur sans avoir vu les objets qu'il prétend avoir vus, l'enquêteur est d'opinion qu'il s'est trompé de profession et qu'il ferait mieux d'écrire des aventures de Buck Rogers.

" L'armée conclut que les phénomènes observés sont bien réels, qu'il s'agit effectivement d'objets ayant la forme d'un disque. La possibilité qu'il s'agisse d'engins américains testés secrètement n'est pas écartée. Une propulsion nucléaire est évoquée. Cécile Duflot pique une crise de nerf... Finalement, le 30 décembre 1947, l'état-major lance une étude consacrée aux soucoupes volantes : le Project Saucer. Un astronome qui y participe relève des incohérences dans les informations fournies par Kenneth concernant la taille des neuf objets et leur éloignement. Ils auraient été bien plus proches que ne le pensait le pilote, et donc leur vitesse bien inférieure à celle du son. Conclusion : il s'agit probablement d'avions classiques. Ou alors d'une illusion due à un effet mirage de l'atmosphère. Exit les Russes, exit les extraterrestres. Pourtant, les soucoupes volantes et les ovnis continuent à sillonner le ciel. Des millions de Terriens restent persuadés de leur existence. Aux innocents les yeux pleins...
.. On n'a peut-être pas attendu les américains pour ça mais en tout cas ceux qui les ont précédé n'en ont pas parlé avec autant de force. D'ailleurs, c'est depuis que ces histoires nous sont parvenues des Etats-Unis que l'on se rappelle opportunément que "l'on avait déjà vu ça". Bref, les yankees auront au moins servi à quelque chose... (☆ *commentaire choisi*☆)

;) Regardez ☛ Top 5 des apparitions d'OVNI en France ☛ https://www.youtube.com/watch?v=CVLjUalUyJs&ab_channel=Topito

Image : Kenneth Arnold est le premier à avoir évoqué des "soucoupes volantes". © DR

http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/24-juin-1947-les-soucoupes-volantes-debarquent-sur-terre-dans-l-etat-de-washington-24-06-2012-1476946_494.php

★ 24 Juin 1947 ★ Naissance du mythe des OVNI après la vue de disques dans le ciel de l'État de Washington.
★ Depuis son coucou, Kenneth Arnold aperçoit neuf disques volant au loin qui deviendront des "flying saucers".... ★ Regardez ☛ [ Détails : ici-bas ]
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C'est arrivé comme aujourd'hui Azul !.... pour ceux et celles qui aiment la lécture et l'humour - vous trouverez chaque jour (sauf imprevu) une nouvelle actualité au coin supérieur gauche (cliquez dessus pour la lire) C'est arrivé comme aujourd'hui - Drôlement raconté par FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS agréable journée et bonne lécture