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Alerte!   -  Le Soudan : carrefour de l’islamisme radical et enjeu stratégique pour Israël Analyse – La Rédaction Charil...
07/11/2025

Alerte! - Le Soudan : carrefour de l’islamisme radical et enjeu stratégique pour Israël

Analyse – La Rédaction Charilogone.

Depuis le déclenchement de la guerre civile au Soudan en avril 2023, le pays est devenu le théâtre d’un affrontement idéologique et géopolitique majeur. Deux visions s’opposent : celle d’un État islamiste, soutenu par des puissances régionales, et celle d’un Soudan laïc, démocratique et fédéral, portée par les Forces de soutien rapide (FSR) dirigées par Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemeti.

Héritage islamiste et résilience militaire

L’ancien président Omar El-Béchir, renversé en 2019, demeure une figure tutélaire de l’islamisme radical soudanais. Son alliance avec Hassan El-Tourabi et les Frères musulmans a profondément structuré l’armée, qui reste imprégnée de cette idéologie. Malgré sa chute, El-Béchir bénéficie toujours d’une protection assurée par des fidèles du général Abdel Fattah Al-Burhan, chef de l’armée et président du Conseil de souveraineté. Ce noyau islamiste agit comme un rempart contre les réformes proposées par les FSR, notamment le projet Tassis, qui vise à instaurer un État fédéral, laïc et démocratique.

Le Soudan, enjeu stratégique pour Israël

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Alert!   -  THE GAS SMELLS AND COULD IGNITE IN   By: Joe the Mutant – Charilogone Editorial Team(G: Gorane, A: Arab, Z: ...
07/11/2025

Alert! - THE GAS SMELLS AND COULD IGNITE IN

By: Joe the Mutant – Charilogone Editorial Team

(G: Gorane, A: Arab, Z: Zaghawa)
Since the fall of El Fasher in Sudan — and even long before — Chad has been witnessing a pre-fight boxing match without rules between its three dominant communities since 1982. If we add a fourth ethnic group related to the Goranes, the Toubous, we begin to fear the real demons: those of the most violent communities in Chad’s history. One wonders whether Islam, a religion of peace and tolerance, still holds sway in these communities, given how odious, arrogant, cruel, immoral, and ignorant their exchanges have become. And yet, the spread of Islam supposedly moved from east to west as early as the 7th or 13th century AD!

And yet, these three communities have jointly managed Chad’s economy for 40 years: the Arabs and Goranes dominate trade through monopolies, while the Zaghawa control the army, the state apparatus, and the Ministry of Finance. I can’t help but laugh when I hear speeches about justice in Chad. The Chadian problem is tribal, and few dare to admit it. Family feuds at the top of the state, clan conflicts always settled at the summit!

The fall of El Fasher has opened a Pandora’s box in Chad, leading to unnatural alliances. The Toroboro have lost their precious military bases, and the accusation that Marshal Mahamat Idriss Déby Itno supports their rival Hemeti Daglo has left them completely isolated. We now have unwanted Sudanese refugees in eastern Chad, and a Chadian army two-thirds composed of heavily armed Toroboro fighters…

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ALERTE!      : L’Afrique pharaonique parle sara Par: Alfred C. Djasnan, Journaliste.L’histoire officielle a longtemps ig...
06/11/2025

ALERTE! :
L’Afrique pharaonique parle sara
Par: Alfred C. Djasnan, Journaliste.

L’histoire officielle a longtemps ignoré une vérité fondamentale : le peuple Sara est porteur d’une mémoire sacrée, enracinée dans la vallée du Nil. Cette mémoire ne repose pas sur des archives coloniales, mais sur une langue vivante, des noms initiatiques, et une cosmologie transmise par voie orale. Elle révèle que Ramsès II, pharaon solaire de l’Égypte antique, est un Sara. LIRE PLUS: https://magazine-charilogone.over-blog.com/2025/11/l-afrique-pharaonique-parle-sara.html

Alerte!  🔴    -  LE GAZ SENT ET RISQUE DE BRÛLER AU TCHAD (G : Gorane, A : Arabe, Z : Zaghawa)Par : Joe le Mutant – La R...
05/11/2025

Alerte! 🔴 - LE GAZ SENT ET RISQUE DE BRÛLER AU TCHAD

(G : Gorane, A : Arabe, Z : Zaghawa)
Par : Joe le Mutant – La Rédaction Charilogone

Depuis la chute d'El Fasher au Soudan — et bien avant d'ailleurs — nous assistons au Tchad à un avant-combat de boxe sans règlement entre nos trois communautés régnantes depuis 1982. Si l’on ajoute une quatrième ethnie apparentée aux Goranes, à savoir les Toubous, on redoute les vrais démons : ceux des communautés les plus violentes de l’histoire du Tchad. On se demande vraiment si l’islam, religion de paix et de tolérance, a encore cours dans ces communautés tant leurs échanges sont odieux, prétentieux, cruels, immoraux et incultes… Pourtant, l’expansion de l’islam s’est faite d’est en ouest, paraît-il, depuis le VIIe ou le XIIIe siècle après Jésus-Christ !

Et pourtant, ces trois communautés gèrent économiquement ensemble le Tchad depuis 40 ans : les Arabes et Goranes dans le commerce avec le monopole, et les Zaghawa dans l’armée, le contrôle de l’État et du ministère des Finances. Je me marre quand j’entends certains discours prônant la justice au Tchad. Le problème tchadien est tribal, et peu osent l’admettre. Des problèmes de familles au sommet de l’État, des conflits de clans réglés toujours au sommet !

La chute d’El Fasher ouvre une boîte de Pandore au Tchad et des alliances contre nature. Les Toroboro perdent leurs bases militaires précieuses, et l’accusation selon laquelle le Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno soutient leur rival Hemeti Daglo les isole définitivement. Nous avons des réfugiés soudanais indésirables à l’est du Tchad, et une armée tchadienne dont les deux tiers sont Toroboro, armés jusqu’aux dents…
Lire PLUS: https://magazine-charilogone.over-blog.com/2025/11/le-gaz-sent-et-risque-de-bruler-au-tchad.html

MAHAMAT MAHDI ALI LEADER DU FRONT POUR L'ALTERNANCE ET LA CONCORDE AU TCHAD (FACT)« Notre liberté s'arrache »Dans un ent...
04/11/2025

MAHAMAT MAHDI ALI LEADER DU FRONT POUR L'ALTERNANCE ET LA CONCORDE AU TCHAD (FACT)
« Notre liberté s'arrache »

Dans un entretien accordé à la chaîne WEB «Réveil Tchadien », le leader du FACT a rappelé que «Doha a été une occasion en or pour réconcilier tous les Tchadiens, et je remercie Doha pour cet acte ».
DakarTimes revient sur cette interview exclusive.

En avril 2021, nous avons respecté un cessez-le-feu.
Nous avons libéré leurs prisonniers, car, selon nos valeurs, nous respectons nos engagements. Mais la junte, elle, a refusé de libérer les nôtres. Pire encore, elle a relâché nos prisonniers sans dire où ils étaient ni dans quel état.

Où avons-nous failli ?

Mahdi, le peuple tchadien n'a jamais failli à son devoir. Rappelons que c'est le peuple tchadien qui a dit « oui » au général De Gaulle devant les Allemands, alors qu'il était plus facile de dire oui au maréchal Pétain.
Dire « oui » à De Gaulle, c'était déjà un acte de courage. Si les Tchadiens souffrent aujourd'hui, ce n'est pas par manque de courage, mais parce qu'ils n'ont pas encore trouvé le dirigeant qu'il leur faut. Il ne faut pas non plus oublier les problèmes que les pays voisins nous ont créés.
Chaque Tchadien et chaque Tchadienne doit œuvrer pour l'unité et la concorde afin de vaincre cette junte qui divise tout le monde.

Alliance

Nous vivons dans un monde où deux frères libyens se battent, alors qu'ils sont tous deux amis du Tchad. En 2021, nous avons tendu la main à tout le monde, mais personne ne nous a suivis. Notre main restera toujours tendue, aussi bien vers les politico-militaires que vers le peuple tchadien, qui décidera lui-même de son destin et de ses dirigeants.

Nous avons des camarades originaires du Sud, comme Modeste.
Notre mouvement est ouvert à tout le monde: je ne parle ni de Sud, ni de Nord, ni d'Est, ni d'Ouest le mouvement est pour tous les Tchadiens.

Que fait le FACT ? Pourquoi ce silence ?

Mahdi, nous ne serons pas le problème. Nous attendons pour voir la suite, car nous avons donné notre parole à Doha. Si le dialogue de Doha ou le dialogue national inclusif avait porté ses fruits, nous aurions déposé les armes sans condition.
Mais ce dialogue n'a été qu'un film, une mascarade. L'histoire, aujourd'hui, nous donne raison.

Sur la mort de Yaya Dillo, Saley Déby et d'autres...

Le monde entier sera surpris quand nous ferons le bilan: ce régime a failli sur tous les plans. Tout ce qui intéresse la junte, c'est de conserver le pouvoir. Succès est emprisonné, Idriss Y. Boy, son confident le plus connu, croupit aussi en prison. Pire encore, Saley, l'oncle de Déby, est mort dans des circonstances sus-pectes. Aujourd'hui, il n'y a pas une seule ethnie ni une seule région qui n'ait été touchée par les crimes de cette junte. C'est pourquoi j'ai insisté sur l'importance de se rapprocher de son voisin, pour recréer une véritable solidarité. La Constitution a été modifiée, et on dirait que tout se rapproche du modèle de Paul Biya. Sur le plan économique, l'agriculture, l'élevage, le coton notre fierté sont totalement détruits. L'élevage est à zéro. Des milliards sont exportés du Tchad, mais où sont les réalisations?
Aucune. Le Tchad est devenu une proie dans la bouche d'une mafia.
Pire encore, il n'existe aucune trace comptable claire sur l'or et l'anti-moine.

Enquête sur la mort d'Idriss Déby : qui l'a tué ?

Mahdi, quand on fait la guerre, on tue ou on est tué. Il n'est donc pas si important de savoir qui a tué qui.
Nous avons, nous aussi, perdu des camarades. Mais aujourd'hui, on s'inquiète de la mort de Déby sans même parler de Yaya Dillo. Nous ne savons pas qui a tué qui, et ce n'est pas cela qui compte pour nous. Je dois ajouter une chose: le premier à avoir dit que Déby avait été assassiné, c'est l'ex-ministre Jean-Yves Le Drian, pour fragiliser notre lutte.
Macron a redonné de l'espoir à ce régime, jouant le même rôle que son ancien ministre Jean-Yves Le Drian, qui avait déclaré que Déby avait été assassiné pour lui arracher sa vic-toire. La venue de Macron au Tchad a galvanisé la junte, car tous ceux qui nous ont combattus le 26 avril sont venus de N'Djamena, et nous espérons que cela ne se répétera pas.
Nous ne savions même pas si Déby était sur le terrain. C'est seulement le 19 au soir que nous l'avons appris.
Mahdi, aujourd'hui, le monde est connecté. Il faut en profiter pour mobiliser, expliquer que nous sommes condamnés à vivre ensemble, car ce pays nous appartient à tous. Déployez toute votre énergie pour écrire l'histoire.

Quelle est la force du FACT et quand N'Djamena ?

C'est simple: nous sommes prêts, et nous avons le matériel. Mais ce matériel seul ne suffit pas : c'est la volonté des jeunes qui fera la différence. Moi-même, chaque matin, en les voyant, je puise du courage et de la détermination dans leurs yeux. Il faut être patient. Nous pourrons entrer au Tchad demain ou dans dix ans. Notre objectif est de construire un État moderne pour ce peuple qui souffre chaque jour: un Etat avec une vraie santé publique, une éducation digne et des infrastructures solides. Nous avons rencontré des cadres, non seulement pour bénéficier de leur savoir, mais aussi pour qu'ils le mettent au service de la jeunesse.

Passerez-vous la fin d'année à N'Djamena?

Cela fait dix ans que je n'ai pas fêté chez moi. Nous faisons tout notre possible pour alléger la souffrance du peuple tchadien. Nous rentrerons d'ici, comme aujourd'hui ou dans dix ans ; mais d'ici la fin de l'année, on verra bien.

Conclusion

Merci à vous, et merci au peuple tchadien. Avec toute sincérité, notre priorité doit être le vivre-ensemble, afin de laisser un avenir meilleur à nos enfants. Moi qui vous parle, je suis profondément préoccupé par ce qui viendra après cette junte. Il faut de la fraternité pour éviter de revivre les drames que connait actuellement El-Fasher. Quant à la promesse de la fin d'année, on verra bien.

Source: RÉVEIL TCHADIEN

🔴🔴Alerte!   - L’  pharaonique parle  Par: Alfred C. Djasnan, Journaliste.L’histoire officielle a longtemps ignoré une vé...
03/11/2025

🔴🔴Alerte! - L’ pharaonique parle

Par: Alfred C. Djasnan, Journaliste.

L’histoire officielle a longtemps ignoré une vérité fondamentale : le peuple Sara est porteur d’une mémoire sacrée, enracinée dans la vallée du Nil. Cette mémoire ne repose pas sur des archives coloniales, mais sur une langue vivante, des noms initiatiques, et une cosmologie transmise par voie orale. Elle révèle que Ramsès II, pharaon solaire de l’Égypte antique, est un Sara.

La démonstration est linguistique, spirituelle et culturelle. Dans la langue sara, Ram signifie mon corps, tandis que Sou / Ses / Sa signifie le fils. Ainsi, Ram-Sou devient le corps du fils, ou plus précisément : le fils de Râ incarné. Ce n’est pas une coïncidence. C’est une trace vivante de notre filiation divine. Ramsès, fils de Râ, est l’expression royale de notre essence solaire. Il est l’un des nôtres, un Sara, porteur de la lumière et du pouvoir cosmique.

Plusieurs noms en langue sara confirment cette structure initiatique. Ramedengarte signifie mon corps est sur la chefferie, et Ramessengar signifie mon corps est avec le chef. Ces noms ne sont pas des inventions modernes. Ils sont des codes initiatiques, transmis par les anciens, porteurs de la même symbolique que celle des pharaons. Ils expriment l’incarnation du pouvoir, la proximité avec l’autorité divine, et la continuité royale.

LIRE PLUS: https://magazine-charilogone.over-blog.com/2025/11/l-afrique-pharaonique-parle-sara.html

 : Les élèves veulent reprendre les cours : le Lycée de la Liberté en ébullition depuis ce matin Le calme est loin de re...
03/11/2025

: Les élèves veulent reprendre les cours : le Lycée de la Liberté en ébullition depuis ce matin

Le calme est loin de revenir dans les établissements scolaires de N’Djamena. Au Lycée de la Liberté, dans le 4ᵉ arrondissement, des dizaines d’élèves sont descendus dans la rue pour réclamer la reprise immédiate des cours. Ce mouvement intervient alors que le Syndicat des enseignants du Tchad (SET) section de N’Djamena vient à peine de lever sa grève, à la suite des promesses faites par le Premier ministre Allah May Alina.

Les élèves dénoncent des conditions d’études qu’ils jugent inhumaines et la lenteur des autorités à rétablir un calendrier scolaire normal. “Nous voulons étudier, pas manifester”, crie un jeune manifestant avant d’être dispersé par les forces de l’ordre.

La réponse policière a été violente : gaz lacrymogènes et tirs à balles réelles ont semé la panique parmi les adolescents, certains blessés ayant été évacués vers les centres de santé voisins. Autour du lycée, la tension reste vive et les affrontements sporadiques se poursuivent.

Selon plusieurs sources, le mouvement pourrait s’étendre à d’autres lycées de la capitale, où la frustration des élèves grandit face à ce qu’ils perçoivent comme une trahison des promesses gouvernementales.

Eric Ngarlem Toldé, Journaliste engagé pour la justice et la vérité au Tchad

  | la Plateforme NEKEMANDO alerte sur les risques de dérive ethnique du conflit au Soudan et appelle à la vigilance nat...
03/11/2025

| la Plateforme NEKEMANDO alerte sur les risques de dérive ethnique du conflit au Soudan et appelle à la vigilance nationale

Face à la montée de discours et de signaux inquiétants évoquant la résurgence de tensions communautaires, la Plateforme de Dialogue Interreligions et de la Paix Communautaire (NEKEMANDO) a tenu un point de presse à N’Djamena pour mettre en garde contre toute tentative de manipulation ethnique susceptible d’embraser le pays.

Le coordinateur de la plateforme Bishop Amane MAMATE, a exprimé la profonde préoccupation des leaders interreligieux face à ce qu’il qualifie de « menace réelle contre la cohabitation pacifique ».

« Le Tchad a connu des déchirures et des douleurs que personne ne souhaite revivre. Nous avons le devoir moral et spirituel de prévenir le danger avant qu’il ne soit trop t**d », a-t-il déclaré d’un ton grave.

La plateforme NEKEMANDO, reconnue pour son engagement dans la promotion du dialogue et de la paix, rappelle que les guerres qui ont secoué le Tchad dans le passé ont souvent trouvé leurs origines dans des influences extérieures. « Nos conflits ont pris racine au-delà de nos frontières, notamment du côté de la Libye et du Soudan, qui se sont autrefois réjouis de nos divisions », a souligné Bishop MAMATE, invitant les Tchadiens à ne pas répéter les erreurs du passé.

Il a évoqué la situation dramatique au Soudan et en Libye, estimant que ces pays vivent aujourd’hui les conséquences de ce qu’ils ont contribué à semer. Cependant, il a insisté : « Cette guerre n’est pas tchadienne. Nous ne devons pas la transformer en un problème tchadien. »

La coordination de NEKEMANDO appelle les populations frontalières, les leaders communautaires, mais aussi les acteurs politiques et médiatiques, à faire preuve d’une extrême prudence dans le traitement des sujets sensibles et recommande notamment de : préserver la fraternité historique entre communautés arabes, zaghawa, massalit, ouaddaïennes et autres groupes frontaliers ; rejeter toute instrumentalisation politique ou ethnique ; encourager les leaders religieux à jouer leur rôle de médiateurs et de gardiens de la paix.

La plateforme a également mis en garde contre l’usage abusif des outils numériques et de l’intelligence artificielle pour diffuser des images ou des contenus manipulés. De telles pratiques, estime-t-elle, peuvent « provoquer des violences incontrôlables » et « ternir durablement la cohésion nationale ».

O. T

*Alerte!   🇹🇩 Discours de Yacine Abdramane Sakine – Président du Parti Réformiste du Tchad* Aujourd’hui, il est temps de...
02/11/2025

*Alerte! 🇹🇩 Discours de Yacine Abdramane Sakine – Président du Parti Réformiste du Tchad*
Aujourd’hui, il est temps de dire la vérité. Le pays ne va pas bien. Ce n’est plus un secret : même les proches du président, les députés, les religieux, tous reconnaissent que le Tchad traverse une crise profonde. Le régime en place a échoué sa mission. Après 36 ans de pouvoir, il a détruit les fondements de notre nation.
99 % des Tchadiens veulent le changement. Et ce changement ne viendra que si nous abandonnons le racisme, la ségrégation ethnique, l’égoïsme et la jalousie. Soyons Tchadiens, tout simplement. Pensons ensemble, agissons ensemble.
Il est temps de soutenir les politiciens sincères. Supprimons l’égoïsme. La jalousie ne nous aidera pas. La peur ne doit plus nous paralyser. Sans sacrifice, rien ne changera. À Madagascar, les jeunes se sont levés et ont chassé leur régime. Pourquoi pas nous ?
Les menaces et les tueries ne nous feront pas peur. Nous devons faire tout ce qui est possible. Soyons optimistes. Refusons le récit selon lequel le président ne partirait jamais. Il a changé la Constitution. Il a arraché la nationalité à nos frères activistes.
La majorité des Tchadiens ne profite pas de la gestion des ressources du pays. Dans le BET, il n’y a même pas un mètre de goudron, pas d’eau, rien du tout. Seule une minorité profite de nos richesses. Soyons unis. Laissons de côté le racisme et nos divergences. Alors, Dieu nous aidera à changer ce régime et à construire notre avenir.
Faisons de la politique sans arrière-pensée. Soyons justes envers nous-mêmes et envers nos frères. Ayons un cœur propre. Le changement est entre nos mains.
Par: Transcription du discours - La Rédaction Charilogone

31/10/2025

Alerte! : L'opposition tchadienne se retire de la scène politique et invite les Tchadiens à prendre leurs responsabilités.

  | L’Écho des Villas vides et des Ventres creux : Notre beau pays étouffé par la corruption !À N’Djamena, le soleil tap...
31/10/2025

| L’Écho des Villas vides et des Ventres creux : Notre beau pays étouffé par la corruption !

À N’Djamena, le soleil tape dur. Il cuit les murs de terre, il dessèche les espoirs. Quelque part, dans un quartier où la poussière se mêle aux rêves brisés, une mère de famille compte les derniers CFA pour un peu de mil. Son enfant, le ventre gonflé par la faim, la regarde sans comprendre. Le repas sera encore léger aujourd’hui. Comme hier. Comme demain.

À quelques kilomètres de là, dans le fracas silencieux d’un scandale, s’élèvent 31 villas. Trente-et-une. Pas des maisons, des forteresses de béton et de marbre, érigées à la gloire de l’argent volé. Leur propriétaire ? Un simple trésorier. Un fonctionnaire dont le salaire, même cumulé sur dix vies, n’aurait jamais dû effleurer le prix d’une seule de ces demeures.

31 villas. En si peu de temps.

Ce chiffre n’est pas qu’un nombre. C’est une gifle. C’est l’équivalent de milliers de repas qui ne seront jamais dans les assiettes, de centaines de médicaments qui manqueront dans les centres de santé, de dizaines de salles de classe qui resteront à l’état de projet. C’est le développement, palpable, qui a été détourné et transformé en fontaines et en portails électriques.

Comment expliquer à cette mère que le pays « avance » quand le fruit du travail de tous est siphonné par quelques-uns avec une telle impudence ? Comment lui parler de patriotisme, d’efforts collectifs, quand l’exemple venu d’en haut est une leçon de cynisme et de cupidité ?

Le développement n’est pas un mot creux que l’on sort lors des discours. C’est un chemin concret, pavé d’écoles, d’hôpitaux et de routes. Un chemin que le Tchad ne peut emprunter parce que des mains invisibles, mais terriblement efficaces, en ont dérobé les pierres pour se bâtir des palais.

Ce trésorier et ses 31 villas ne sont que la partie émergée de l’iceberg, le symptôme d’un mal qui ronge les entrailles de la nation. C’est un système où la corruption n’est plus une exception, mais une règle non écrite. Un système qui étouffe les plus vulnérables et qui ricane de leur détresse.

Alors oui, c’est scandaleux. C’est une trahison envers chaque Tchadien qui se lève à l’aube pour gagner honnêtement sa vie. Envers chaque enfant qui étudie à la lueur d’une lampe-tempête. Envers tout un peuple à qui on promet un avenir meilleur tandis qu’on vend le sien au plus offrant.

Le vrai développement ne viendra pas lorsque le dernier gratte-ciel pointera vers le ciel de N’Djamena. Il viendra le jour où la justice, sourde aux pressions et aux puissants, frappera à la porte des 31 villas. Il viendra le jour où l’argent du pétrole et des impôts nourrira non pas l’opulence de quelques-uns, mais l’espoir de tous.

En attendant, les villas sont silencieuses, et les ventres, eux, crient. Leur cri est un rappel douloureux : un pays ne peut pas se construire sur le vide laissé par ce qui a été volé.

Soutien total à l'Autorité indépendante de lutte contre la corruption (AILC) dans sa mission ! » Abdraman Kore Ahmat, Journaliste et expert en communication.

Alerte!!!    : Près de quatre mois se sont écoulés depuis que Wakit Tama section politique a saisi, le 1er juillet 2025,...
30/10/2025

Alerte!!! : Près de quatre mois se sont écoulés depuis que Wakit Tama section politique a saisi, le 1er juillet 2025, la Cour suprême du Tchad pour contester l’arrêté illégal, liberticide et arbitraire n°011/PR/PM/MATD/SG/DGAD/DAPEC/SAC/2025 pris par le ministère de l’Administration du territoire.
Aujourd’hui, la Cour suprême garde un silence complice, révélant à la face du peuple tchadien l’instrumentalisation totale du pouvoir judiciaire par le pouvoir exécutif. Ce mutisme est un aveu d’échec de la justice et une insulte à la démocratie.

Le Tchad traverse aujourd’hui l’une de ses phases politiques les plus sombres.
Au lieu de choisir l’ouverture et le dialogue, le pouvoir a opté pour la répression et l’intimidation.
L’assassinat des leaders, comme le président du Parti Socialiste sans Frontières Yaya Dillo, la destruction de son siège, l’arrestation des opposants tels que Robert Gam, secrétaire général du Parti Socialiste sans Frontières, et l’ancien Premier ministre Dr. Succès Masra, la muselière imposée aux médias et l’élimination de toute opinion libre. Tous ces actes sont les signes d’un régime qui n’a plus seulement peur de la vérité, mais qui la combat par tous les moyens.

La fermeture de l’espace politique, la dissolution des partis d’opposition et la persécution des voix indépendantes ne garantissent pas la stabilité ; elles renforcent la colère populaire et rapprochent le pays du moment de l’explosion.
Quand les portes de la justice se ferment, l’histoire ouvre celles de la résistance.

Wakit Tama section politique dénonce avec force cette dérive autoritaire et l’anarchie institutionnelle qui gangrènent le Tchad. Le régime en place, dirigé par un clan familial et politique restreint, ne travaille que pour lui-même. Depuis 20 ans, l’exploitation du pétrole a servi à enrichir une minorité et à acheter des armes, tandis que le peuple, et en particulier les étudiants, sont laissés à l’abandon.

Nous dénonçons également la suspension récente du Bureau national de l’Union nationale des étudiants tchadiens (UNET), intervenue après que le bureau a appelé à une grève pour protester contre,

la suppression de la restauration universitaire,

l’arrêt des bus de transport,

la dégradation généralisée des conditions d’études.

Cette suspension, identique à celle dont a été victime Wakit Tama section politique, illustre la stratégie du régime, museler toute voix critique, punir les revendications légitimes et criminaliser l’action citoyenne. Wakit Tama section politique exprime son soutien indéfectible à l’UNET et appelle les étudiants à tenir bon face à cette forfaiture.

Nous dénonçons un système profondément injuste, où le pouvoir utilise la répression, l’arbitraire et l’impunité pour se maintenir, ignorant les droits fondamentaux et la dignité humaine. La Cour suprême, par son silence, se rend complice de ce régime, qui n’hésite plus à suspendre des organisations citoyennes, à restreindre les libertés et à contrôler toutes les institutions de l’État.

Concernant la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), qui sollicite actuellement le statut A à Genève, Wakit Tama section politique rappelle que les droits humains au Tchad sont désormais une façade vide, réservée aux seuls affidés du pouvoir. Les assurances de soutien reçues après notre suspension sont des supercheries et un compromis avec l’injustice.
Nous annonçons que la CNDH sera saisie à Genève afin d’empêcher son accréditation et de révéler sa complicité avec le régime.

Notre lutte pacifique et démocratique se dirigera désormais vers l’international. À Paris, Bruxelles, Berlin et Genève, nous saisirons les institutions et partenaires internationaux pour dénoncer la dérive autoritaire implacable instaurée par Mahamat Idriss Déby Itno. Des plaintes internationales seront déposées contre les responsables directs de la répression et de l’injustice, avec les noms des personnes ciblées rendus publics très prochainement.

Chers compatriotes, notre lutte est vôtre.
Nous ne sommes ni des lâches, ni des fuyards, moins encore des défaitistes ou des spectateurs pour abandonner la lutte que nous avons entamée ensemble. Croyez-nous, nous serons éternellement de votre côté, peu importe la pression et les menaces existentielles.
Nous continuerons à nous battre, pacifiquement mais sans relâche, pour la liberté, la dignité et la justice, et nous intensifierons notre action à l’international, y compris devant l’ONU et les juridictions américaines, jusqu’à ce que la démocratie et les droits humains renaissent au Tchad.

Wakit Tama section politique ne reculera jamais.

Vive la République libre, vive le peuple pour que vive le Tchad debout et à l'ouvrage ! Nous vaincrons la tyrannie et la dynastie !

Fait à Paris, le 29 octobre 2025

Le Coordonateur National
Zakaria Adam Zakaria

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