Eco de l'Ain

Eco de l'Ain L'Eco de l'Ain est un magazine hebdomadaire d'informations destiné aux décideurs du département.

Bijouterie : les émaux bressans, une histoire de famille.Symbole du territoire, les émaux bressans continuent de briller...
16/07/2025

Bijouterie : les émaux bressans, une histoire de famille.
Symbole du territoire, les émaux bressans continuent de briller depuis leur création en 1850, en grande partie grâce au savoir-faire de la bijouterie Jeanvoine.
Les bijoux, c’est une histoire de famille chez les Jeanvoine. L’arrière-grand-père de David, actuel propriétaire de l’enseigne, a ouvert cette dernière en 1939, à Bourg-en-Bresse. « Au départ, il était basé à Plombières, dans les Vosges, avant de s’installer rue Thomas-Riboud », raconte David Jeanvoine. Les émaux bressans – bijoux émaillés dont les décors en or sont incrustés à chaud – ont connu leur apogée à la fin du XVIIIe siècle, en France mais aussi à l’étranger. David, quant à lui, a découvert leur fabrication à l’atelier Decourcelles-Jacquemin, racheté par sa famille en 1998. Un art dont il est aujourd’hui l’unique détenteur.

« Nous continuons de travailler en famille puisque mon frère m’accompagne, explique-t-il. Nous essayons d’intégrer cet esprit avec nos neuf salariés. » Un sentiment partagé une fois la porte d’entrée passée, grâce à l’accueil personnalisé du client et un diagnostic en temps réel. « C’est un vrai avantage de voir les professionnels travailler devant vous », décrit le patron. La bijouterie propose également une partie horlogerie, spécialité du frère, Hervé. Le chiffre d’affaires se réalise ainsi pour un tiers sur l’activité de montres, un tiers sur les bijoux en or et un dernier tiers sur des parures plus fantaisie.

C’est en montant à l’étage de la boutique que la magie opère. L’atelier de production se décompose en deux postes distincts : la confection des émaux et de leurs montures. Ceux-ci peuvent en effet aussi bien être montés sur des broches et des pendentifs, que des bagues ou encore, des boucles d’oreilles. Émilie, en charge de la création des émaux bressans, rappelle ses fonctions symboliques : « Le motif doit représenter une rosace et être parfaitement symétrique. »

La base est une poudre de silice avec des pigments minéraux, qui, après cinq passages dans un four à plus de 800 degrés, fond pour donner le motif final. Un travail rigoureux et très minutieux. « Les Bressans sont si attachés à leur bijou car ils connaissent toute la fabrication technique qui se cache derrière, indique Émilie. Et c’est aussi pour ça que nous avons du mal à sortir du territoire. » En effet, la clientèle reste très locale, dans un rayon de 60 kilomètres autour de Bourg selon David Jeanvoine.

Les équipes peuvent produire entre 10 et 20 pièces par jour. Un chiffre probablement en hausse dans les mois à venir puisque l’entreprise s’est dotée d’une machine de découpe pour la gravure interne des bijoux. L’outil permettra de gagner en temps de production et de diversifier l’offre en proposant des joyaux personnalisés. « On nous dira que nous nous éloignons de la tradition, mais nous nous adaptons juste à la demande client », rétorque le fils Jeanvoine. Les prix de ce savoir-faire commencent à 50 € pour monter jusqu’à 5 000 € pour le...

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Équid’Ain valorise le cheval dans toute sa diversité.L’association locale vient de présenter une plaquette mettant en lu...
16/07/2025

Équid’Ain valorise le cheval dans toute sa diversité.
L’association locale vient de présenter une plaquette mettant en lumière les valeurs équestres du département.

Dans l’Ain, l’histoire de l’équitation est riche et profondément ancrée dans le patrimoine rural et agricole. « Après les publications sur la filière équestre dans l’Ain (2004), le cheval dans l’Ain (2008) et l’Ain, terre de cheval (2015), il faut évoluer et réactualiser les choses », a expliqué Pascal Bouvet, président de l’association Équid’Ain, à l’occasion de la présentation de la plaquette L’Ain, l’atout cheval, le 28 juin dernier, à Ainterexpo Bourg-en-Bresse lors du festival des Retro Folies.

« Si nous vous la présentons, il est bon de rappeler que nous ne sommes qu’un organisme centralisateur. Les acteurs du département étant nos membres associés et leurs bénévoles », a précisé Pascal Bouvet. Ainsi, par cette plaquette, succincte mais complète, l’association met en lumière les valeurs équestres du département.

Plus particulièrement destinée aux collectivités, elle est également un hommage aux femmes et aux hommes « qui transpirent sur le terrain, qui prennent des risques financiers et, parfois, des risques juridiques », a complété le président d’Équid’Ain.

Respect et valorisation
Avec ses 14 100 équidés, l’Ain se place comme 23e département français et deuxième de la Région Aura. Le territoire se classe, par ailleurs, au premier rang régional en nombre d’employeurs et de salariés, quatrième en termes de naissances. Qu’elles soient en lien avec la biodiversité, l’économie locale, l’aménagement du territoire ou encore, le tourisme, la cohésion se construit au quotidien, à travers des initiatives concrètes.

D’Alfred Mussato (Passion Traits de l’Ain) à Patrick Guillermin (président de l’Ain à cheval) en passant par Bernard Frey (président du Comité départemental d’équitation) et Odile Audinot (Syndicat des éleveurs de chevaux de sport), chacun a rappelé ses objectifs et ses compétences. Quant à Michel Fontaine, vice-président de Grand Bourg Agglomération, il s’est félicité de l’engagement de l’intercommunalité envers Équid’Ain, en souhaitant que cela se pérennise « au nom du travail réalisé par les uns et les autres ».

Si ce partenariat est primordial pour une filière bien présente dans le territoire, il est bon de rappeler que l’association L’Ain à cheval propose dix randonnées emblématiques qui traversent tout le département. Un tourisme équestre auquel s’ajoutera, pour la saison 2026, un nouveau circuit baptisé Dans les pas des maquisards, en lien avec le musée de la Résistance et de la Déportation situé à...

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Hébergements insolites : plus qu’un séjour, une expérience.Longtemps considérés comme un marché à part de l’hôtellerie, ...
11/07/2025

Hébergements insolites : plus qu’un séjour, une expérience.
Longtemps considérés comme un marché à part de l’hôtellerie, les hébergements insolites ont le vent en poupe et connaissent, depuis plusieurs années, une forte croissance. En Pays de Savoie et dans l’Ain, cabanes, bulles, yourtes… et portaledges font le bonheur des voyageurs en quête de nuits inoubliables et d’expériences immersives.

Des cabanes sur pilotis ou perchées dans les arbres aux bulles, en passant par les tiny houses et les tentes de luxe, l’offre d’hébergements insolites est en pleine expansion pour répondre aux attentes d’une clientèle qui veut vivre une expérience mémorable et déconnectée. La 3e édition biennale de l’Observatoire de l’insolite, publiée fin 2024 par Unic Stay, montre un marché français porteur, dont le volume d’affaires atteint 430 M€ en 2023, en hausse de 65 % par rapport à 2021, avec 1,2 million de nuitées disponibles (+46 %). Le panier moyen, lui, s’établit en moyenne à 265 € (+18 % depuis 2019), mais il faut compter 301 € pour une nuit en cabane.

Modernisation de l’offre

Quant au parc, dont la croissance est plus mesurée que celle observée post-covid, il compte désormais 2 226 sites professionnels, soit +30 % comparé à 2021. Il ressort, par ailleurs, que les innovations ont marqué le pas au profit de concepts plus aboutis et sophistiqués.

S’agissant de la répartition géographique, Auvergne-Rhône-Alpes arrive encore en tête avec 17 % du parc (379 sites), devant la Nouvelle-Aquitaine (15 %) et l’Occitanie (12 %). Dans le top 5 des départements le plus recherchés par les internautes, la Haute-Savoie se classe en 5e position.

Ces hébergements, très concentrés en montagne et en milieu rural, offrent une grande variété d’expériences, de l’immersion totale dans la nature à la plongée dans des univers thématiques (décor de cinéma, atelier de peintre…). Ils se veulent gages d’évasion et/ou de bien‑être. Les professionnels l’ont bien compris, multipliant les plateformes en ligne spécialisées comme AbracadaRoom, Insoolite ou Hébergement insolite, qui centralisent 65 % des réservations en 2023.

Côté tendances, ce sont les cabanes sous toutes leurs formes qui séduisent le plus, représentant désormais 44 % de l’offre. À l’instar de cette cabane de vigne, Le Refuge Princens, nichée sur les flancs d’un coteau boisé et restaurée dans son jus à 10 minutes de Saint-Jean-de-Maurienne. Ou encore des cabanes lacustres de Chanaz.

Les bulles transparentes, les dômes et les tiny houses gagnent également en popularité – enregistrant respectivement +60 %, +169 % et +204 % depuis 2021 – et se déclinent partout en Pays de Savoie et dans l’Ain (exemple à Morzine, Chamonix, St-Jean-d’Aulps, Valmeinier, Bagé-Dommartin…). Avec une préférence marquée pour les hébergements écoresponsables et durables.

Quelques adresses en Pays de Savoie et dans l’Ain :

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Panorama 360 : un 4 étoiles au cœur de Bourg-en-Bresse.Avec sa vue imprenable sur le Revermont et le monastère royal de ...
10/07/2025

Panorama 360 : un 4 étoiles au cœur de Bourg-en-Bresse.
Avec sa vue imprenable sur le Revermont et le monastère royal de Brou, l’établissement vient enrichir l’offre d’hébergement dans l’Ain.
« Aujourd’hui, nous n’inaugurons pas simplement un nouvel hôtel. Nous contribuons à construire une ville plus vivante, plus ambitieuse et toujours plus accueillante », lançait Valéry Moret, président du groupe Otica, lors de la soirée du vendredi 27 juin célébrant l’ouverture du complexe hôtelier 4 étoiles situé au bord du boulevard Joliot-Curie, à Bourg-en-Bresse.

« Cet événement marque une nouvelle étape dans le développement du groupe, ajoutait son président. Il reflète pleinement notre engagement en faveur d’une hôtellerie d’exception, locale, humaine et résolument ancrée dans les réalités de son territoire. » Avec sa vue imprenable sur le Revermont et le monastère royal de Brou, le Panorama 360 vient enrichir l’offre d’hébergement dans l’Ain.

Ouvert le 6 mai dernier, l’établissement qui occupe l’un des bâtiments du nouveau parc d’activité mixte nommé Bastide devrait s’enrichir d’un spa de 650 m², à proximité, au premier semestre 2026. « Ce centre de bien-être, ouvert à tous les publics, proposera des équipements de dernière génération, ainsi qu’une terrasse le long de la Reyssouze, annonçait Valéry Moret. Et une salle de 100 m² complétera notre offre de séminaires actuelle. »

Revaloriser le foncier
« Nous avons mis un accent particulier sur l’aspect environnemental de ce projet, précise Amaury Derognat, directeur du groupe Eltia (bâtisseur immobilier global). Ce qui s’inscrit dans une stratégie de revalorisation des emplacements stratégiques inexploités, sans consommer de nouveaux fonciers. » Pour le maire, Jean-François Debat, c’était l’occasion d’évoquer l’évolution de ce secteur de la ville et de ce projet qui s’insère dans la mutation de la cité.

« Par sa forme arrondie, cet aménagement permet une fluidité douce entre le boulevard et le Champ de foire. » Si Panorama 360 ambitionne bien plus qu’un séjour, « cela colle bien avec ce que nous voulons faire, complétait Jean Deguerry, président du Département. Proche des grandes métropoles, Bourg-en-Bresse est un carrefour dynamique pour le tourisme d’affaires ».

Ce complexe a aussi été pensé pour accueillir les équipes sportives visiteuses. « L’hébergement local doit se conformer à un certain cahier des charges

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Ambassadeurs économiques : les atouts industriels de l’Ain.La 12e édition des Ambassadeurs économiques du département a ...
10/07/2025

Ambassadeurs économiques : les atouts industriels de l’Ain.
La 12e édition des Ambassadeurs économiques du département a fait la part belle aux entreprises qui vont de l’avant pour rester performantes et innovantes.
«Le contexte économique est compliqué », résumait Thomas Colombari, responsable de l’antenne locale d’Auvergne-Rhône-Alpes Entreprises lors de la 12e édition des Ambassadeurs économiques de l’Ain qui s’est déroulée le 30 juin dernier, au Domaine de Sainte-Croix, sur le territoire de Montluel. « C’est en allant vers de nouvelles filières et de nouvelles activités que nous continuerons à être un territoire performant et innovant, poursuivait Thomas Colombari. Avec Invest, notre mission est d’assurer la promotion économique du territoire. Aussi, par votre présence sur les salons ou encore, à l’international, vous êtes nos premiers VRP. C’est vous qui défendez et représentez le territoire économique de l’Ain. Et, nous comptons également sur vous dans la détection de nouveaux projets. »

Initiée en 2011, la soirée des Ambassadeurs économiques de l’Ain se perpétue avec l’arrivée de nouveaux visages qui viennent enrichir le réseau de dirigeants déjà bien implantés dans le département. « Ce rendez-vous est le vôtre. Nous savons ce que nous vous devons. C’est vous qui investissez, c’est vous qui innovez, qui créez de l’emploi et de la richesse, assurait le responsable de l’agence Aura Entreprises. C’est grâce à vous que nous avons des services économiques et du service public. C’est pour cela que nous mettons tout en œuvre pour faire d’Auvergne-Rhône-Alpes la première région industrielle de France. »

Cela se traduit, au quotidien, par un travail avec les élus de la Région et des territoires afin de « sanctuariser du foncier économique pour pouvoir vous accompagner dans votre croissance, mais également pour assurer l’implantation de nouvelles activités », ajoutait Thomas Colombari.

Attractivité industrielle
Du nucléaire à la plasturgie, en passant par la santé, la ventilation, le caoutchouc… l’Ain est un territoire très attractif où les entreprises continuent d’innover, d’investir et d’aller sur de nouveaux projets. « Pour nous l’industrie est une chance. C’est une vraie richesse pour le territoire », se félicitait le responsable de l’agence aindinoise.

La soirée dédiée au rayonnement de l’industrie a fait la part belle aux entreprises nouvellement implantées sur le territoire, à savoir Vapure, qui produit des pastilles de do**he aromatisées et destinées au secteur de l’hôtellerie (Beaupont) ; Luxury Signs, fabricant suisse d’enseignes lumineuses haut de gamme pour les franchises et les grandes marques (Saint-Jean-de-Gonville) ; Ixemer et Jobel, deux transformateurs de plastiques et caoutchoucs (Martignat) ; VirexpR, plus grand laboratoire modulaire d’Europe pour la qualité de

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Département de l’Ain : eau, emploi, construction au cœur des relations avec l’État.Les actions autour de ces trois domai...
09/07/2025

Département de l’Ain : eau, emploi, construction au cœur des relations avec l’État.
Les actions autour de ces trois domaines illustrent la bonne entente entre les services de la collectivité et de la préfecture.
« L’État est un, unique. Et je représente le gouvernement dans son ensemble », a rétorqué la préfète Chantal Mauchet, lundi 30 juin, à l’heure de présenter l’action de l’État dans l’Ain, lors de la session du Conseil départemental. Le président, Jean Deguerry, venait en effet de saluer les bonnes relations qu’entretient la collectivité avec ses services, tout en fustigeant un certain nombre de décisions nationales, comme celle d’augmenter le montant du RSA sans concertation.

Sobriété et croissance
La représentante de l’autorité administrative a cependant souligné, elle aussi, les bonnes relations que l’État local et la collectivité entretiennent. Pour les illustrer, elle a cité, entre autres, « la démarche pionnière en faveur de la préservation de la ressource en eau, dénommée “L’eau de l’Ain” ». Relevant la mobilisation des élus et des citoyens autour des Trophées de l’eau, signe qu’une « dynamique collective est à l’œuvre », elle a notamment précisé : « Dans le cadre du Plan Eau national, l’entreprise Kem One à Balan a réussi, avec l’accompagnement de la Dréal, à diminuer de 20 % ses prélèvements entre 2022 et 2024, tout en augmentant sa production. L’entreprise Carrier, à Culoz, a également réduit ses prélèvements de 15 % sur la même période. Ces performances démontrent que sobriété et croissance peuvent aller de pair. »

Plein emploi et RSA
Chantal Mauchet a également cité « le lancement de la démarche pour le plein-emploi dans l’Ain » et la mise en place, dès l’automne dernier, d’un comité départemental pour l’emploi, qui a valu au territoire, la visite de la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet. La vice-présidente Clotilde Fournier s’est d’ailleurs inquiétée d’une incompatibilité informatique entre les systèmes de la Caisse d’allocations familiales et de France Travail, qui empêche de déléguer à ce dernier service, l’orientation des bénéficiaires du RSA.

« Le problème est en cours de résolutions, mais l’on observe encore 10 % d’erreurs dans les pré-orientations », a répondu la préfète. Avec + 5 %, « l’Ain est parmi les départements qui ont connu la plus forte hausse du nombre de bénéficiaires du RSA entre mars 2024 et mars 2025. Nos efforts en matière de plein-emploi passent donc nécessairement par un accompagnement de ce public. C’est l’objectif du pacte des solidarités [… auquel] le Conseil départemental n’a pas souhaité participer », a-t-elle de surcroît regretté.Jean Deguerry s’en était auparavant expliqué : « Trop souvent, pour obtenir 1 € de crédit, nous devons nous aussi mettre 1 €. Ce mode de relation n’est pas

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Les solutions de camions électriques de Renault Trucks.L’enjeu du leader industriel est de s’assurer une performance sur...
09/07/2025

Les solutions de camions électriques de Renault Trucks.
L’enjeu du leader industriel est de s’assurer une performance sur ces métiers traditionnels afin de financer sa transformation.
« L’innovation, c’est la clé du succès pour toutes les entreprises », martelait, au nom de l’agence Isère Attractivité, le vice-président départemental Jean Papadopulo, lors de la 21e édition de la Journée de l’Inno qui s’est tenue, le 1er juillet dernier, dans le Nord-Isère, à Saint-Quentin-Fallavier. « Lorsque l’on est dans une industrie en pleine mutation, on n’a guère le choix de se transformer », commentait Christophe Martin, directeur général de Renault Trucks France et grand témoin de cet événement fédérateur au service de l’innovation et du réseau.

Et d’ajouter : « Chez Renault Trucks, l’innovation n’est pas seulement technologique. Elle peut être culturelle en partageant avec nos équipes le fait que l’on peut développer un nouveau monde, un nouveau modèle. L’enjeu étant d’assurer une performance sur nos métiers traditionnels pour financer notre transformation et de nous transformer pour être performant. Et ce n’est pas seulement nous, mais avec tous nos partenaires que nous réussirons ».

Cette manifestation phare de la région portée par la Chambre de commerce et d’industrie du Nord-Isère et ses partenaires dont la CCI Auvergne-Rhône-Alpes, la CCI Savoie et le groupe Ecomedia, a permis de s’en rendre compte : « L’innovation est le cœur du dispositif du développement économique », complétait le vice-président départemental au côté de Christophe Carron, président de la CCI Nord Isère.

Une position ambitieuse
Dans le soin du détail de cette journée qui s’articulait autour des thématiques de la décarbonation et de l’impact climatique, « la chaleur caniculaire va mettre en relief les propos de notre intervenant », s’amusait Philippe Perichon, responsable du programme stratégie management innovation et conseiller en développement et innovation à la CCI Nord Isère.

Entré chez l’acteur majeur de l’industrie en 1993, ce Lyonnais – un vrai gone comme il le revendique – a vécu exclusivement à l’étranger pour le compte de Renault Trucks, entreprise du groupe Volvo depuis 2001. De Hong-Kong à Singapour, en passant par Istanbul, Casablanca, Pékin et Bangkok, ce sont « 20 ans d’aventures professionnelles et personnelles impactantes, racontait Christophe Martin qui, depuis sept ans, a la charge de Renault Trucks France. Aujourd’hui, Volvo Group, c’est environ 110 000 salariés et 55 milliards de chiffre d’affaires, dont 10 000 collaborateurs et entre 5 et 6 milliards de CA pour Renault Trucks. Avec 130 ans d’existence, très attaché à ses...

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Ain : les dirigeants concernés aussi par la santé mentale.Le club de l’Ain “Les entreprises s’engagent” a planché sur le...
03/07/2025

Ain : les dirigeants concernés aussi par la santé mentale.
Le club de l’Ain “Les entreprises s’engagent” a planché sur le bien-être psychique au travail. Et pas seulement celui des salariés.
« La santé mentale du dirigeant est une thématique qui nous tient à cœur », relève Emmanuel Maquet, en charge de l’animation du club de l’Ain “Les entreprises s’engagent”, lors de la matinée dédiée à ce thème essentiel. Stress, surcharge mentale, isolement… Les risques psychosociaux les touchent autant que leurs salariés. Et prendre soin de son bien-être psychique, c’est aussi prendre soin de la performance durable de sa structure.

Longtemps ignorée ou sous-estimée dans le monde du travail, depuis la crise Covid, la santé mentale est reconnue comme un enjeu prioritaire de santé publique, indissociable de la santé globale et comme un enjeu de société. Aussi, jeudi 19 juin, une quarantaine de chefs d’entreprise se sont retrouvés autour de cette thématique à Montluel, chez Lindab France, aux côtés de son directeur général Michaël Blazy.

Pour aborder le sujet, le club “Les entreprises s’engagent de l’Ain” a fait appel à Gaël Allain, docteur en psychologie cognitive mais également conférencier et consultant en gestion de la charge mentale. À travers cette matinée, les participants ont pu découvrir le concept d’écologie mentale et poser des concepts sur des ressentis. Dans un cadre bienveillant et sans jugement, cet événement a répondu aux objectifs des 300 entreprises membres du club aindinois, unies en faveur de l’inclusion, du bien-être et de l’écoresponsabilité.

Partage d’expériences
« Ce club, c’est une façon de faire réseau afin de pouvoir vous connaître et partager vos besoins, vos difficultés et vos réflexions, expose Olivier Paternoster, directeur de la Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS). En cette semaine de la Qualité de vie au travail (QVT), je tiens à rappeler que le Gouvernement a fait de la santé mentale une grande cause nationale, en ce qui concerne le monde de l’entreprise et plus largement les publics en recherche d’insertion. Dans l’Ain, nous constatons une augmentation assez préoccupante du nombre de personnes vulnérables qui sont en situation de détresse psychique. Aussi, avec l’agence régionale de santé (ARS), nous cherchons des solutions nouvelles pour accompagner ces publics en situation de difficulté mentale. » En ce qui concerne le volet entreprise, le directeur de la DDETS reconnaît que le dirigeant est soumis à une

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Festival : la Dombes vibre aux sons des cuivres.Rendez-vous mythique du territoire aindinois, Cuivres en Dombes revient ...
03/07/2025

Festival : la Dombes vibre aux sons des cuivres.
Rendez-vous mythique du territoire aindinois, Cuivres en Dombes revient pour la 29e fois avec la volonté de valoriser les instruments à vent et le patrimoine dombiste.

Promouvoir le territoire de la Dombes aux doux sons des instruments à vent ? C’est le défi que se donne le festival Cuivres en Dombes, chaque année, depuis maintenant 29 ans.

« À l’époque, la Dombes n’était pas un territoire aussi attractif qu’aujourd’hui, il était plus connu pour les moustiques et les marais, en sourit Camille Marchalot, directrice artistique du festival. De même pour les cuivres, vus comme des instruments de musique militaire. Les musiciens avaient l’image des pitres au fond de l’orchestre qui jouaient fort. »

Fondé par Philippe Constant, l’évènement musical se compose de plusieurs concerts en plein air organisés sur plusieurs sites des Dombes. « Nous sommes un festival itinérant, majoritairement gratuit, qui s’est donné comme point d’honneur de compter minimum un cuivre par concert », explique la directrice. Des instruments au son particulier encore trop peu connus et appréciés du grand public. Par cette initiative, chaque spectateur aura l’opportunité de découvrir différentes sonorités. « Au départ, l’idée du festival était de réhabiliter les cuivres et leur image. Prouver qu’ils peuvent être joués par tous les styles comme le classique, le jazz, le funk ou encore le groove », raconte Camille Marchalot, qui honore sa onzième année en tant que cheffe du festival. La 29e édition s’ouvrira le 4 juillet pour un closing le 26 juillet.

Un patrimoine riche

La particularité du festival Cuivres en Dombes réside dans ses lieux d’accueils d’exceptions. Parmi les 28 concerts au programme, sept se dérouleront « dans des sites patrimoniaux, avec des stars de la scène internationale ». Ces shows inédits sont payants, contrairement aux 21 autres. En plus de la parenthèse musicale, les curieux joueront avec leurs sens. Dégustation gourmande avec la chocolaterie Richard, concerts-apéros dans plusieurs villages, offre de restauration affiliée à Saveurs de l’Ain ou encore, visites guidées du Grand Hôtel-Dieu à Châtillon-sur-Chalaronne et du château de Glareins à Lapeyrouse, le festival propose une variété d’animations. Le clou du spectacle sera la soirée de clôture, le 26 juillet, avec Big Funk Brass en première partie, suivi du groupe The Amazing Keystone Big Band accompagné de Neima Naouri, qui interprétera un répertoire de...

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Ainterpros du bâtiment durable, 10 ans d’évolutions.Les Ainterpros ont fêté leur dixième anniversaire le 26 juin. L’occa...
03/07/2025

Ainterpros du bâtiment durable, 10 ans d’évolutions.
Les Ainterpros ont fêté leur dixième anniversaire le 26 juin. L’occasion d’une vision rétrospective et prospective des manières de construire plus vertueuses : matériaux biosourcés et géosourcés, réemploi…
«L’Ain est un territoire riche où les ressources sont nombreuses. À Labalme par exemple, pour bâtir l’école, les coupes en forêt communale ont été mises à contribution. Et cela a été l’occasion d’un chantier pédagogique, dans les bois, avec les enfants. Nous avons aussi la terre, utilisée pour les locaux des Cafés Dagobert, à Châtillon-sur-Chalaronne. Cette facilité d’accès aux ressources et l’envie de recourir à des matériaux sains ont créé un véritable engouement. Depuis 10 ans, les démarches ont été très fortes », a répondu l’architecte Étienne Mégard, à la question posée dans le cadre du dixième anniversaire des Ainterpros du bâtiment durable : « Quels ont été les changements les plus remarquables au cours de ces années ? »

Mais, la célébration de cette décennie – le 26 juin à la salle des fêtes rénovée de Saint-Denis-lès-Bourg (lire ci-dessous) – n’avait pas qu’une visée rétrospective. Elle se voulait aussi prospective, raison pour laquelle, dérogeant à leur schéma classique visite de chantier plus table ronde, les Ainterpros avaient invité l’architecte Philippe Madec (lire plus bas).

Certaines collectivités sont motrices en matière de bâti durable. Isabelle Dubois, présidente de la Communauté de communes de la Dombes, a cité la crèche en bois et paille de Neuville-les-Dames, la recyclerie intercommunale ou encore, le parc d’activité de Mionnay. « Nous pouvons donner une impulsion à travers nos propres projets, mais aussi à travers l’aide aux communes. Nous avons un fonds de concours doté de 4 M€, axé sur les transitions écologiques et énergétiques », a souligné l’élue. Et Étienne Mégard de relever : « Les constructeurs publics ont un rôle à jouer. Leurs bâtiments sont des démonstrateurs. »

Mais, il faut aussi faire évoluer les Plans locaux d’urbanismes (PLU) pour permettre des systèmes constructifs différents. Le constructeur de maisons et de résidences Fabrice Corbioli se souvient s’être heurté à une exigence d’alignements horizontaux ou perpendiculaires aux voies d’accès, lorsqu’il a voulu tester ses premiers bâtiments à énergie positive. Or, l’orientation joue là un rôle essentiel.

« Il a fallu demander une dérogation. » Avec l’architecte, il plaide pour une approche collective. « Il faut mettre tout le monde autour de la table, en conception-réalisation, pour trouver les bonnes solutions dès le départ », a demandé le constructeur. Et Étienne Mégard d’ajouter : « Travailler sur la ressource, économiser de la matière, cela nécessite de l’intelligence. Or, aujourd’hui, à vouloir maîtriser toutes les dépenses, on risque de réduire le temps de la réflexion. »

Et cela pourrait bien se révéler contreproductif. « Raisonner seulement en termes de coûts de construction ne veut rien dire. Il faut aussi prendre en compte les coûts de fonctionnement et

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Ain : VirexpR inaugure un banc d’essai de 30 m³.Ce laboratoire modulaire permet de simuler différents environnements pou...
02/07/2025

Ain : VirexpR inaugure un banc d’essai de 30 m³.
Ce laboratoire modulaire permet de simuler différents environnements pour tester les systèmes mobiles de traitement de l’air contre les pathogènes.
« Nous sommes une jeune société innovante dédiée à la qualité de l’air. Du diagnostic au déploiement de contre-mesures en environnement confiné pour lutter contre la transmission d’éléments pathogènes, nous étions déjà en capacité d’évaluer les systèmes de traitement. Mais, il nous fallait des moyens supplémentaires pour une approche au plus près des conditions réelles, notamment pour pouvoir établir des préconisations en matière de contre-mesures, comme le nombre de machines à mettre en place », explique Anaïs Proust, cofondatrice de VirexpR avec Thomas Julien et Manuel Rosa-Calatrava.

Aussi, l’entreprise a inauguré, lundi 23 juin à Reyrieux, un banc d’essai modulaire de 30 m³ de type BSL-3 (BioSafety Level), développé par Imebio, un expert des environnements techniques pour la biotechnologie à Fontaine (Isère), qui fabrique des laboratoires mobiles de haut niveau, le plus souvent dans des conteneurs maritimes.

Ainsi équipée, VirexpR est la première à l’échelon européen, à pouvoir répondre aux nouvelles normes qui s’imposent en Europe et en Amérique du Nord, aux fabricants de systèmes mobiles de traitement de l’air, en matière de tests d’efficacité contre les micro-organismes. La société envisage d’ailleurs de se développer au Canada.

« Nous pouvons recréer des environnements réalistes, comme une salle de classe, une chambre d’hôpital ou un laboratoire de recherche », note encore la dirigeante. Des virus comme le Sars-Cov-2, des bactéries, des bactériophages… sont diffusés dans l’atmosphère du simulateur. Puis, les systèmes de traitement sont mis en route pour un certain nombre de cycles. Il suffit ensuite de récupérer l’air et de quantifier les agents infectieux résiduels pour évaluer leur performance.

Ce nouvel équipement vient en complément d’un banc d’essai flux d’air pour les essais des systèmes de traitement des gaines de ventilation et d’un simulateur de chambre d’hôpital, qui permet de la mettre en surpression ou en dépression pour évaluer les fuites de contaminants de l’intérieur vers l’extérieur et vice-versa. Ce dernier, créé avec la société Aspida, leader en solutions ultrapropres évolutives pour la santé, à Trévoux, vise à limiter le risque de maladies nosocomiales.

Tout cela permet à VirexpR, qui emploie 10 personnes et vise 400 000 euros de chiffre d’affaires en 2025 (après 280 000 en 2024), de candidater à des programmes de recherche publics ou privés. « Notre activité se compose en grande partie de recherche et développement, notamment pour l’industrie, indique Anaïs Proust. Nous sommes heureux d’être implantés dans l’Ain, une sorte de vallée de l’air où l’on compte de nombreux acteurs de la filière aéraulique, frigorifique et thermique. Il existe une vraie émulation entre nous, tous tendant vers l’excellence. »

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