19/10/2023
L’Hôpital LE BON SAMARITAIN
Il peut désormais être appelé le mauvais samaritain !
Par ce que en réalité le nom ‘’Bon samaritain '’ est tiré d’une histoire biblique connue de tous. Un homme qui a sécourut un voyageur agressé et laissé pour mort, puis il prend soin de lui jusqu’à sa guérison totale, et lui dit ≪ Vas toi aussi, fais de même≫.
Malheureusement, cette histoire n’a pas lieu d’exister dans cet endroit (Hôpital Le Bon Samaritain), situé à walia dans le neuvième arrondissement.
C'est tout à fait le contraire depuis belle lurette dans cet grand hôpital, au sein duquel, croupissent les personnes malades du neuvième arrondissement de la capitale Tchadienne et ceux venu d’ailleurs.
Des infirmiers qui vont et viennent et qui jacassent comme des poules. Assis (e) confortablement dans les couloirs et les bureaux entendant la musique des pleurs des patients qui ne savent plus à quel saint se vouer.
Suppliant et criant à l’aide espérant trouver le secours d’un bon samaritain dans cet hôpital comme son nom l’indique .
Des patients qui peuvent passer plus de quatre heures de temps sans recevoir ne serait ce qu’un simple paracétamol pour calmer la douleur où la fièvre.
Les personnels soignants qui deviennent de plus en plus insensible aux douleur des autres voir même la mort d’un patient!
Un hôpital dans lequel les hommes en ténues kaki circulent comme des mouches et renvoient à tout bout de champ les garde-malades, sous prétexte qu’il y’a des semblant d’horaires pendant lesquels, des médecins font une certaine visite aux malades.
Des malades qui n’ont même pas eu cette chance d’être examiné au préalable et qui n’ont même pas un certain diagnostic.
Quelle sorte de visite recevront t-ils de la part d’un médecin qui n’a pas une fiche bien déterminé au préalable sous ses yeux pour déterminer les pronostics du patient ?
Certains patients quittent de chez eux n’ayant pas un sous, espérant se rendre chez '’ LE BON SAMARITAIN '’ pour au moins obtenir des soins primaire, se cognent le nez contre le mur et repartent chez eux clopin-cloplan, ou encore sur un brancard en route vers la morgue.
Au final, n’est-il pas mieux de se rendre dans un hôpital qui n’est pas '’ Le Bon samaritain '’ mais qui aurait la décence de soigner convenablement ses patients?
Nous reviendrons vers vous avec autres dossiers car à cette allure, sauver une vie devient une priorité pour tous quelqu’en soit la méthode pour y arriver.