NéEssenCiel

NéEssenCiel Thérapeute psycho corporelle

18/12/2024

Suite de la publication du 10 octobre 2024
Un expert en développement personnel partage 12 traits caractéristiques d'une enfance difficile.

2. Des problèmes de confiance en soi et une peur de l'abandon

Une enfance marquée par la trahison ou un manque de stabilité peut développer des problèmes de confiance en soi à long terme. Ceux qui en ont souffert, doute de l'intérêt des autres à leur égard et se questionnent sans arrêt sur les réelles intentions de leur entourage. Une méfiance qui nuit grandement à leur relation. La peur de l'abandon peut venir aggraver ce manque de confiance en soi. Ces personnes vont alors en plus, être à la recherche continue de réassurance et feront preuve d'un attachement excessif, étouffant leurs proches.

La suite dans une prochaine publication
́quences

Je vous partage une méditation guidée proposée par Active Solutions, sur le thème de la gratitude. Belles méditations 🙏
18/12/2024

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Toucher la gratitude en méditation et cultiver la gratitude au quotidien, nous permettent de construire un cercle vertueux.Plus d’informations sur notre site...

18/12/2024

"Toucher le fond et sauter le pas. Mais quel fond et quel pas ?

Là est la question, et forcément derrière elle, une, deux, voire plusieurs réponses se profilent.
Mais derrière cette multiplicité, il est une évidence à laquelle fond et pas ne dérogent pas, une évidence omniprésente bien qu’invisible qui vient dire que seul le mot fait exister la chose.
Sans les mots pour la dire, pour l’écrire, pour la circonscrire impossible de donner corps et sens à une réalité.

Ainsi, si l’on touche le fond, c’est qu’un fond existe ; mais au fond, de quoi s’agit-il ?
D’un fond qui parle d’essentiel et nous invite à sauter le pas sur le versant du bien commun oubliant les formes qui ne servent que l’individualisme ?
Du fond qui se trouve dans les tréfonds du désir ou du non-désir humain ? Ou encore de celui que touche l’émotionnel qui hurle sa détresse pour mieux exister et résister à qui mieux mieux à une possible dissolution du moi moi moi ?

Toucher le fond, c’est alors atteindre une limite qui interdit tout au-delà. Or en restant prisonnier d’un « sans au-delà », on se coupe de toute possibilité d’évolution.
Mais la vie est bien faite. Impossible de rester au fond ad vitam aeternam s’il s’agit d’un fond d’enfermement, d’un fond d’impuissance, d’un fond qui croit à un arrêt sur temps pour
se conserver en état d’immobilité ou de plainte. Les cycles multiples de l’existence y veillent.
Le fond vient attester d’une limite qui invite au dépassement. Ce fond-là se distingue du fond qui incite à toucher le fond d’un problème pour en percevoir l’ampleur, le considérer sous toutes ses facettes, en dégager les lignes de force, éviter les lignes de fuite, dessiner des solutions qui deviennent opportunités de découvrir de nouvelles clés de compréhension.

Toucher le fond c’est aussi ne pas s’arrêter à la forme, ne pas croire aveuglément à l’apparence qui n’est là que pour indiquer la nature de nos possibilités du moment.
Alors, quand la forme se montre, le fond lui reste en embuscade et dirige incognito le mouvement de l’existence.
À quels fonds répondons-nous derrière les agitations formelles qui sont les nôtres ?
À quels fonds s’abreuvent nos pensées, nos émois nos désirs, nos attentes, nos comportements ?
Quels sont les fondamentaux auxquels nous nous référons, les fondamentalismes qui nous enferment ? Quel est, au-delà des divers fonds que nous touchons, l’essentiel qui cherche à se dire dans les secrètes profondeurs de l’être ?

Toucher le fond, mais de quel fond parle-t-on ?
Et toucher le fond pour qui ? Pour quoi ?
Ces questions de fond sont un socle, non pour séjourner sur le plancher de l’impuissance, mais pour découvrir que le fond c’est ce qui nous constitue.
Il n’existe rien qui ne s’appuie sur un fond, rien qui ne résulte d’une toile de fond énergétique pourvoyeuse d’essentiel.
Alors, toucher le fond oui, pour sauter le pas et retrouver cet essentiel."
Frédérique Brasseur - Psychosophie

18/12/2024

Content ou pas content?

"Qu’est-ce qui t’a surpris aujourd’hui ? Qu’est-ce qui t’a semblé inhabituel ? À quoi t’es-tu ouvert et qu’as-tu appris ?
Si chaque soir tu examines ce qui t’a permis de porter un regard neuf sur le monde, tu empruntes une voie d’ouverture. Ça n’a l’air de rien, mais il est toujours quelque chose de beau qui se propose au-delà et par-delà l’apparence.
Même lorsqu’il est gris, le ciel se décline en chants de lumière. Et cette lumière traverse tout ce qui existe. Regardons-la derrière le gris, derrière le bleu, le rose, le jaune ou toute autre couleur. Regardons les nuances qui s’affichent, non pour vivre le quotidien en spectateur, mais pour reconnaître alentour les éclairements divers et les accompagner de nos lueurs particulières.

L’omniprésence de la lumière est telle que nous l’oublions et peinons à la reconnaître. Elle est là au cœur du paysage, dans les têtes, mais aussi dans le regard de nos contemporains. Et s’ils apparaissent tous gris et tout ronchons, sommes-nous réceptifs à ce qui s’exprime derrière leur côté tout grognon ?
N’oublions pas que derrière grincheux, la joie cherche à se frayer un chemin, car si ronchon n’imaginait pas un autre possible, il ne ronchonnerait pas.
Et ça, c’est une constante à prendre en compte quand il s’agit de lire nos éprouvés divers et les évènements du monde.

Râler c’est ne pas se satisfaire de ce qui est ; mais râler c’est aussi parfois ne pas se donner les moyens d’aller vers ce que l’on voudrait.
Eh oui, chacun, chacune, chaque pièce joue à pile ou face. À nous donc, de ne pas être dupe en oubliant, quand la pièce se présente en face, que pile est là, même si on ne le voit pas, et vice versa.
Alors content, pas content ça veut dire quoi ? Ça veut dire que nous sommes une pièce qu’il faut reconnaître pour ce qu’elle est ; une pièce, une petite pièce qui fait partie d’un grand trésor, une pièce à ajuster pour qu’elle prenne place dans le grand puzzle de l’existence en s’accordant au mieux aux pièces qui l’entourent.

Et peu importe qu’elle soit contente ou pas contente, l’essentiel c’est qu’elle s’assemble aux autres de façon harmonieuse. Dès lors, l’idée d’être contente ou pas contente ne l’effleure plus, car elle a trouvé sa place, heureuse de participer à un ensemble qu’elle ne soupçonnait pas quand elle ne s’attachait qu’à son contentement ou à son mécontentement personnel.
Si t’es ronchon, pas content de ta pièce, c’est que t’as égaré le mode d’emploi ; c’est que t’es un pile sans face, ou un face sans pile en perte d’identité.

Et si nous grossissons les rangs de nombreux ronchons qui, en panne de plan, tournent en rond, en ronron, ou en pauvre de moi, il est urgent de regarder l’horizon pour voir se dessiner d’autres possibles, sortir du content pas content de notre nombril et éclairer nouvellement nos atermoiements, pour cultiver l’étonnement en découvrant les leçons que procure l’instant.
À nos surprises et nos multiples avancées."
Frédérique Brasseur - Psychosophie

10/10/2024

Un expert en développement personnel partage 12 traits caractéristiques d'une enfance difficile.
Avoir vécu une enfance difficile peut définitivement laisser des traces sur une personne. En effet, les individus victimes d’une enfance malheureuse ont tendance à développer de nombreuses caractéristiques susceptibles de nuire à leurs relations avec les autres mais aussi avec eux-mêmes.

1. Une faible estime de soi et une recherche constante d'approbation

Quand les enfants sont sans cesse critiqués par un parent, qui les compare souvent à d'autres, ils finissent par assimiler ces remarques. Cela entraîne une faible estime de soi et une conviction qu'ils ne sont jamais à la hauteur. Ces personnes peuvent également avoir le besoin maladif d'être validées aux yeux des autres. Un trait particulièrement visible dans le milieu professionnel. La recherche d'une validation extérieure devient un moyen de combler le vide laissé par l'absence de renforcement positif pendant leurs jeunes années.

La suite dans une prochaine publication

09/10/2024

Qui es-tu ?
Difficile de répondre à cette question autrement qu'en enrobant de mots un ineffable qui est, qui transparaît, qui parfois apparaît derrière l'apparence.

Qui es-tu ?
Tu n'es pas un patronyme.
Tu n'es pas un rôle social.
Tu n'es pas une fonction au sein d'un organigramme professionnel ou familial.
Tu es une âme qui s'est glissée dans la peau d'un mortel qui tout en témoignant de ta présence, masque ton essentiel.

Qui es-tu ? Qui sommes-nous ?
Des êtres de passage, mais des êtres de passage qui passent et repassent à travers de multiples apparats pour permettre à la lumière qu'ils encapsulent d’émaner toujours plus pleinement.
Comme le soleil brille sur l'ensemble de son système, nous avons à rayonner ici-bas pour que nos lumières mêlées, nos synergies scintillantes concourent au grand œuvre. C’est ainsi qu’un jour la Terre resplendira auréolée d'une lumière qui la sacralisera.

Drôle de question : qui es-tu ?
Drôle de question : qui suis-je ?
Question incongrue tant on se la pose peu.
Trop souvent identifiés au factuel, trop souvent retranchés dans un faire, en oubliant l'Être qui pourtant ne cesse de dire sa présence, nous cheminons pas à pas sur la voie de la conscience.

Qui es-tu ? Qui sommes-nous ?
Des individus en perpétuel mouvement qui ne perçoivent pas toujours les mouvances physiques, sensibles, mentales, animiques qui leur permettent d'être en existence et de vaquer dans les méandres de l'incarnation.
Eh oui, nous sommes en perpétuel mouvement sans le réaliser et c’est ce mouvement qui donne corps et vie à ce que nous sommes, à ce que nous croyons être, à ce que nous montrons. C'est ce mouvement qui fait de tout un chacun une créature en évolution. C'est ce mouvement qu'il s'agit de reconnaître pour accompagner les mutations qui sans cesse se produisent à l'intérieur de nous, car la vie est cycle, échanges, allées et venues par lesquels l'essence imprègne toujours plus profondément l'existence pour rendre le monde plus radieux.

Qui es-tu ? Qui suis-je ? Qui sommes-nous ?
C'est en tentant de comprendre notre véritable identité que nous pouvons irradier et estomper les frontières de la séparativité pour que nous concourions ensemble à l’avènement de la paix qui résulte toujours d’un éprouvé d’unité.

Qui es-tu ?
Rien d'autre qu'un porteur de lumière qui se cherche, qui se trouve et qui peut dès lors, éclairer l’alentour.
Ensemble, éclairons-nous, éclairons la Terre, pour resplendir la vie qui nous anime, pour abolir les frontières qui nous isolent de l’Autre, des autres et reconnaître notre humanité.
Qui est-elle ? Un grand être qui cherche l’unité, et c’est toi, c’est moi, c’est nous qui le constituons.
F. Brasseur - Psychosophie

Toujours à propos des fascias, je vous partage un podcast très intéressant sur l'importance de ces membranes/tissus et d...
09/10/2024

Toujours à propos des fascias, je vous partage un podcast très intéressant sur l'importance de ces membranes/tissus et de l'alimentation. Vous y trouverez des conseils utiles 😉

Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Hélène Altherr-Rischmann, pharmacienne et experte en fascias, cette vaste toile d’araignée blanche tissée à travers ...

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02/10/2024

Je vous partage une méditation guidée proposée par Active Solutions, sur le thème de l'impersonnalité. Belles méditations 🙏🏽✨

L’Impersonnalité nous permet de dépasser les limites de notre individualité et d'embrasser l'Unité. Ensemble, créons un monde où l’Amour et la Volonté Impers...

     ̂tre    ́
02/10/2024

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28/09/2024

PLUTON rétrograde!

Début septembre et jusqu'au 11 octobre 2024, Pluton, planète de la destruction, de la transformation, mais aussi de la résilience entre en rétrograde, et son influence plutôt intense nous impacte d'une manière ou d'une autre. On peut se sentir particulièrement "bousculés" (positivement ou négativement) en cette période. Mais n'oublions pas que chaque épreuve apporte au final un trésor.
Un peu d'explication sur les effets de cette rétrogradation.

La planète de la transformation a pour habitude de nous faire affronter nos peurs et nos blessures du passé, pour renaître et nous en libérer. Lorsqu’elle rentre en période rétrograde, Pluton nous pousse encore plus loin dans nos retranchements. Elle nous fait nous questionner sur notre identité profonde, mais aussi sur les motivations de notre cercle proche, en rendant les schémas toxiques de notre quotidien encore plus visibles (et insupportables).

Belles transformations 🙏✨

28/09/2024

"Tu comprendras quand tu seras grand ! Mais quelle drôle de phrase ! Quelle façon de botter en touche pour éviter de répondre à une question qui va bien au-delà des mots qui la formulent ! Tu comprendras quand tu seras grand ! Mais si on te pose cette question aujourd’hui c’est qu’elle est d’actualité ; c’est qu’elle n’a pas à attendre demain pour trouver un éclairage nouveau.
Une question c’est toujours un pont pour découvrir quelque chose. Parfois elle porte sur des problématiques factuelles, parfois elle s’intéresse à la vie des autres et cherche à savoir ce qui leur arrive, mais même derrière cette apparente futilité, même derrière parfois une curiosité malsaine, il existe une interrogation, un mouvement vers un ailleurs à découvrir.

Savoir que quelqu’un réussit là où le sceptique en doutait, montre qu’avec la ferme intention d’atteindre un but on y arrive. Savoir que quelque chose est possible permet de l’actualiser, et toute question y concourt.
Le possible se différencie du potentiel. Le possible s’exprime à l’instant T, sinon il est un potentiel ; possible certes, mais à vérifier. Et dire à l’autre, tu comprendras quand tu seras grand, met l’accent sur un potentiel, sur une capacité à comprendre qui se révélera plus t**d.

Quel mépris ! Quel non prise en compte que de s’affranchir de l’effort de dire ce que l’on sait ou de ce que l’on ne sait pas !
Quel mépris que de botter en touche pour n’avoir pas à dire ce qui nous coûte en énergie, en mots, en donner à voir de nos savoirs ou de nos inconnus !
Tu comprendras quand tu seras grand, c’est une façon de dire à l’autre que son intérêt, sa curiosité n’ont aucune place dans la relation que nous avons avec lui.

C’est dommage ; mieux vaut dire que l’on ne sait pas répondre, mieux vaut dire nos limites que de dire à l’autre que les siennes sont telles qu’il faut reporter aux calendes grecques les réponses aux questions qu’il se pose aujourd’hui.
Le potentiel s’actualise en différé, le possible lui peut se vivre sur l’instant qui se présente et nul n’a jamais deux fois l’occasion de vivre un instant présent ; et ce, même si le présent se présente à chaque instant.
Compliqué, non ?
Non, non – tu peux comprendre, pas besoin d’être grand pour apprendre à réfléchir."
F. Brasseur - Psychosophie

28/09/2024

RIEN NE VA PLUS
"Rien ne va plus, mais contrairement à la roulette des casinos où quand les jeux sont faits rien ne va plus sur le tapis, quand rien ne va plus dans l’existence les jeux ne sont pas faits. Sinon cela signifierait que nous sommes faits comme des rats ; pris au piège des miasmes d’une incarnation dont on ne pourrait jamais s’extraire ; or ce n’est pas le cas.

Quand rien ne va plus, les jeux ne sont pas faits et nul n’est défait, même au pire moment de l’existence. Quand rien ne va plus, l’occasion de jouer à qui perd gagne se profile, pour le meilleur ; forcément pour le meilleur ! Car rien n’est plus joyeux que de s’adonner à l’espoir quand au fin fond du désespoir nul possible ne se dessine. Rien n’est plus propice pour échapper à l’enfer de nos prisons psychiques que les temps où l’on se sent au pied du mur, sans aucune possibilité de s’extirper du cul-de-sac dans lequel on se trouve. Car quand rien ne va plus, l’impression d’être dans un cul-de-sac est totale. Pas d’échappée belle !

Mais… quand rien ne va plus, un changement se propose.

C’est là qu’un peu d’imagination s’avère nécessaire. C’est là qu’empêtré sur place, il convient de prendre de la hauteur. Car le rien ne va plus n’est pas à l’extérieur, mais à l’intérieur de nous ; et c’est au fin fond de notre intérieur qu’il faut dénicher le piège à malice qui nous tient prisonniers dans les espaces du pas possible.
Quand rien ne va plus, les jeux ne sont pas faits, car il nous revient d’inventer un nouveau jeu de pistes pour nous-même d’abord, pour sortir des marécages de nos souffrances et pour les autres ensuite, indiquant la voie qui mène d’un problème à une opportunité de croître en contentement.

Évidemment, parler de contentement quand rien ne va plus, c’est parfaitement inadéquat !

Oui, pour celui ou celle qui s’accroche à ce rien ne va plus sans accepter qu’au-delà de cet affreux moment un autre possible se dessine. Non, pour celui ou celle qui renonce à ce rien ne va plus, et fait le deuil de l’équilibre à jamais perdu d’hier, car quand rien ne va plus, l’important n’est pas de retrouver ce qui allait, mais d’inventer avec entrain, ce qui ira.
Rien ne va plus et les jeux ne sont pas faits, car personne ne suit à notre place le jeu de piste que propose l’essence en se jouant de nos petits malheurs et en parsemant l’existence de faux petits bonheurs. Les uns comme les autres sont illusoires.
Alors quand rien ne va plus, rien de grave ; c’est ça la morale de l’histoire !"
F. Brasseur - Psychosophie

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