Mediacoop

Mediacoop Le cactus de l'info, qui pique les consciences mais pas les yeux ! Appel aux dons sur OKPAL, merci ! Mediacoop c’est quoi ? Un gars, une fille. Pas mal.

Nous avons décidé de créer un média qui relie les citoyens au monde de l’information. Nous nous rendons compte de plus en plus que les micros et caméras se tournent toujours vers les mêmes, avec les mêmes clichés. Pour parler de politique, un politicien, pour agrémenter l’hiver, filmer un SDF. Les puissants aidés de leurs amis, directeurs de publication, parviennent toujours à faire entendre leur

voix. Les citoyens, le peuple, la vraie force politique et sociale d’un territoire, ne peuvent quant à eux que se taire. Nous avons donc décidé de donner la parole à ceux que nous n’avons pas l’habitude d’entendre. Notre premier documentaire raconte notre atelier d’écriture à l’accueil de jour de Clermont-Ferrand avec les SDF, relayé par le blog « la rue au quotidien » de Politis.fr . Un premier blog pour les sans abris…
Nous voulons aussi entendre la voix des déboulonneurs, des politiques autrement, des militants de tous poils, des lanceurs d’alerte, des prisonniers, des casseurs de pubs, des indignés, des medias libres, des zadistes, des squatteurs, des paysans qui luttent pour le respect de l’animal et de l’environnement, des écolos. Car, nous pensons peut-être naïvement que la solution est de ce côté-ci de la démocratie. Nous interrogeons concrètement la société pour redonner une place à Bourdieu, Sartre et les autres. Nous voulons saboter les clichés sur les banlieues, sur les luttes militantes, sur le terrorisme, sur le capitalisme, sur la fatalité ambiante…

Nous avons créé avec pas mal de copains un nouveau monde médiatique, un univers essentiel pour l’indépendance de l’information sous la forme de la CPML (Coordination Permanente des Medias Libres). 74 titres qui existent et qui résistent, qui offre une autre vision du monde ! Nous en faisons partie, nous avons ces mêmes valeurs, ces mêmes combats…


Mediacoop Pourquoi ? Parce que nous militons pour deux choses :
- une information participative, militante, et indépendante mais aussi
- pour la défense de notre métier : informer est une profession qui mérite salaire. Pour ces deux raisons, nous avons décidé de nous mettre en SCOP : une société équitable san patron ni chef, ou nous sommes à la fois gérant et salarié et dans laquelle nous avons une totale indépendance. Il est important de ne pas être un simple blog. Notre métier mérite quelques codes éthiques et déontologiques : nous ne sommes pas là pour détruire les gens, pour salir une réputation, notre média est un lieu d’enquête, de recoupe des sources, de témoignages, d’interviews, de rencontres. Nous prenons le temps de respecter les sujets, les étudier…

Il est important qu’un journaliste soit reconnu pour son travail, nous avons donc décidé d’en faire notre métier. Nous n’avons pas de gros salaires, mais suffisamment pour vivre, pour nous déplacer, pour prendre le temps. Nous ne voulions pas être une société capitaliste. Le but n’est pas de s’enrichir mais de faire grandir la SCOP. Voilà pourquoi nous sommes MediaCoop…



Mediacoop c’est qui ? Ce sont deux maigrichons, qui stressent tout le temps, qui bougent passionnément, qui s’interrogent beaucoup, qui se disputent peu, et qui se comprennent bien. Mais maigrichons. Ils commencent à avoir une belle expérience du journalisme et du documentaire. Mais le plus simple c’est de taper leur nom dans google…Parce qu’ils savent pas trop parler d’eux…( on ne devient pas journaliste par hasard !)

Ils sont aidés dans leur aventure par Laurent, alias zinedine, de l’UR SCOP Auvergne, qui sait mieux que quiconque calmer les conflits et faire des tableaux excels, de Frédérik, l’expert comptable spécialisé dans l’économie sociale et solidaire, Sacha et Marc, deux webmasters libres. Les contenus

- Plume de Bitume
- Lanceurs d’alerte, la vie d’après
- Mine de Rien
- Les universités, ce gouffre financier
- Interviews politiques : Bernard Friot, Yannis Youlountas, les économistes atterrés…
- Le rap, acte de résistance et parole
- Portrait :
- Atelier d’écriture
- Rubriques : paroles d’enfant, éducation aux médias, un joli texte sous une peau de vache

Merci de ce nouveau soutien !En espérant que notre proces fasse la lumière sur la réalité de ce qu'il se passe à Ladapei...
28/07/2025

Merci de ce nouveau soutien !

En espérant que notre proces fasse la lumière sur la réalité de ce qu'il se passe à Ladapei 63.

Que les maltraitances cessent.

Que les financeurs prennent leurs responsabilités.

Que les procédures-baillon soient punies.

🔴 Notre groupe a demandé des informations auprès de la vice-présidente sur la situation de l’ADAPEI63. Dans la logique de nos interventions en session de juin sur cette situation, nous nous interrogeons sur plusieurs points :

-La question de l’utilisation des fonds publics. Il semblerait que les coûts de journée supportés par les résidents et leurs familles soient très importants en comparaison avec la qualité de service, notamment concernant les repas et l’accompagnement ou vis-à-vis des sommes conséquentes aux nombreuses ruptures conventionnelles.
- Nous avions également des questionnements concernant la qualité d’accueil des publics. Les récits à la fois des familles et des salariés, nous inquiètent quant à la bonne prise en compte par la direction des objectifs qualitatifs d’accueil des publics en situation de handicap.
- Sur le fonctionnement interne, sans faire d’ingérence dans le dialogue social ou le management pratiqué dans cette organisation, nous souhaitons exprimer une inquiétude quant à de nombreux témoignages faisant état de pratiques plus que discutables.
- Enfin, concernant le fonctionnement démocratique des instances, nous sommes inquiets des retours des parents, s’ils étaient avérés, concernant des pressions par les instances de gouvernance vis-à-vis des voix discordantes.

Ces raisons nous poussent à réagir vis-à-vis de nos responsabilités d’élus départementaux en charge d'un regard sur le CPOM (Contrat d’Objectif et de Moyens) et au nom de la vérification de l’utilisation des fonds publics et de la qualité de service.
Par ailleurs, le journal Médiacoop a réalisé un travail d’enquête très fourni et nous sommes inquiets de la mise en place d’une procédure en diffamation qui ressemble à une procédure « bâillon » vis-à-vis de la presse ou des lanceurs d’alertes.

Pour retrouver l'interview France 3 : https://france3-regions.franceinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/programmes/france-3_auvergne-rhone-alpes_ici-19-20-auvergne?fbclid=IwY2xjawL0JG5leHRuA2FlbQIxMQABHhx7gtd3c_m_reac4NqMHB_4BDueTNf3SDPUOhWgrFCgAP8KTJyVBtnixAEi_aem_9o8DHC2L7KzigYHwx8D-AA

Ce soir, les vacances....Mediacoop ferme 3 semaines ses bureaux, pour aller se ressourcer. Un conseiller départemental q...
25/07/2025

Ce soir, les vacances....Mediacoop ferme 3 semaines ses bureaux, pour aller se ressourcer.

Un conseiller départemental qui s'en prend à Mediacoop....

Avant, ça, on vous met le texte qu'Eloïse a écrit hier. Ce qui est assez amusant, c'est que dans le même temps, et sans le savoir, nous avons appris qu'un conseiller départemental et la page Saccage Clermont utilisaient la haine, le mépris, le mensonge pour dénoncer notre enquête de 3 mois et 160 témoignages sur l'ADAPEI 63. Ils dénoncent notamment la forme, ne connaissant absolument rien à la déontologie journalistique. Mais pas non plus à la déontologie tout court. Puisqu'ils utilisent les manières qu'ils dénoncent : essayer de détruire une réputation via des faits mensongers et des allégations. Notre avocate a récupéré toutes les captures d'écran. Cela servira grandement pour le procès; Merci donc à tous nos ennemis de nous fournir de nouveaux éléments.

Une enquête au long cours

De notre côté, nous n'avons pas voulu lire ces propos. Nous savons que notre travail est vérifié, que la direction a été sollicitée et n'a pas voulu répondre à nos question envoyées par écrit. Nous avons fait le contradictoire. Mais, quand des preuves accablantes et 160 témoignages viennent prouver ce que l'on nous dit, que des procédures pénales et prud'hommales sont en cours contre la direction, le devoir des journalistes est de le diffuser.
Le conseiller départemental aimerait nous apprendre notre métier, mais c'est nous qui avons la carte de presse et fait les études qui nous légitiment. Pour le reste, on attend le 2 septembre, réponse de notre jugement pour savoir si oui ou non, le dépôt de plainte en référé de l'ADAPEI était légitime. Et si, alors les témoins peuvent être entendus. Et nous pourrons sortir toutes les preuves et documents (1,5 kilos de papiers).

Nos ennemis sont nos meilleurs alliés.

Nous ne nous rabaisserons pas à répondre à ces gens et nous vous demandons de ne même pas répondre à leurs posts. Ils ne ostentatoire finalement qu'àtravers nous. Et nous, nous navons pas besoin d eux !Mais, nos ennemis sont nos meilleurs alliés dans cette affaire, tant ils nous fournissent de nouvelles preuves accablantes .

Media engagé mais pas militant ( et c'est notre droit : ça s'appelle le pluralisme de l'information !) (Sic: confondent ils militant er partisan?)

Quant à savoir si nous sommes un média militant, comme la droite et l'extrême-droite le confirment, la réponse est claire : absolument pas. D'ailleurs cela nous porte préjudice, nous ne sommes même pas syndiqués, et ça nous aurait bien aidés à payer les frais de justice. Mais, nous ne roulons pour personne. La fake news de dire que nous sommes proches de la municipalité clermontoise est assez drôle, quand on sait que Saccage Clermont avait relayé notre article sur la fermeture du brin de Zinc. Article dans lequel on dénonçait le rôle de la municipalité dans cette affaire.

Alors, média militant, certainement pas.
Media engagé, oui. Evidemment.
Engagé dans la vérité, l'investigation, l'enquête, et les idées progressistes.

Media d'investigation et d'impact

Nous espérons que l'ADAPEI 63 sortira grandi de cette histoire et pourra combattre le management toxique que Mediacoop n'a pas été le seul média a révéler. (Nous sommes toujours les premiers, mais on finit toujours par nous suivre, c'est le propre des médias d'enquête.) Nous savons que beaucoup y travaillent et que grâce à nos révélations, les choses sont en train de bouger et prennent une ampleur nationale. Mais, vous comprendrez tout cela à notre retour.
Cela s'appelle le journalisme d'impact. En révélant les choses, les journalistes, les médias peuvent faire changer les choses.

Le cas du Centre Jean Perrin

Lorsque nous avons parlé du harcèlement à Jean Perrin, la direction a tout de suite, favorablement réagi et a demandé une nouvelle enquête interne. Elle a compris que nous avions eu dans les mains un dossier nous permettant d'affirmer des faits graves. Le résultat de cette nouvelle enquête sera révélée en fin d'été. Notre rôle, à nous, s'arrête là.

Malheureusement, dans l'affaire de l'ADAPEI, la direction (et quelques administrateurs, loin d'être majoritaires!) n'a pas réagi de la même façon. Et en déposant plainte, la structure a permis à toutes les langues de se délier. Car rien n'est plus insupportable que de bâillonner, notamment la parole de gens en souffrance.

L'effet Streisand

On appelle ça, l'effet streisand. Cela provoque en fait un phénomène médiatique involontaire. Et le procès a fini de démontrer les pratiques injustifiées de l'ADAPEI 63. Un droit de réponse est de mise dans ces cas-là. C'est très codifié, on ne peut que recevoir qu'un certain nombre de signes mais cela permet aux personnes qui le souhaitent de s'exprimer, sans violence.
Au lieu de ça, nous avons reçu des dizaines de témoignages supplémentaires et une médiatisation sur la procédure-baîllon qui permet de parler encore et encore des problèmes rencontrés à l'ADAPEI 63.

Nous avons reçu des centaines de soutien, de la part de nos confrères et consoeurs journalistes, de la part de syndicats, de la part de parents d'enfants handicapés. Certains ont fait des banderoles qu'ils ont accrochées au barreau du palais de justice.

C'est ça que nous gardons en mémoire avant notre départ en vacances.
Les mots d'amour, on laisse le venin à celles et ceux qui n'ont plus rien pour se défendre.

Nous avons confiance en la justice. Nous avons confiance en nous et en notre travail. Nous avons confiance en l'avenir.
Nous n'aurions jamais pensé qu'aller à cette manif des salariés devant l'IME de Vertaizon finirait par une enquête de cette ampleur et que nous y découvririons tant de mal-être. Mais puisque c'était notre destin, nous l'avons assumé...

Nous partons en vacances, en ayant une pensée pour les parents, salariés, administrateurs, qui nous soutiennent. Ce sont eux qui souffrent. Nous, nous faisons notre travail. Et maintenant que nous avons enquêté, dénoncé, alerté, nous ne pouvons guère fait davantage. Notre métier s'arrête là.

A la rentrée, nous vous ferons de nouvelles révélations.
En attendant, nous ne répondrons pas au venin. Nous avons appris à mépriser le médiocre. Faites pareil, ne donnez pas d'importance à ceux qui voudraient en prendre.
Nos ennemis sont nos meilleurs alliés, leurs critiques nos plus belles preuves.
Mais, nous ne voulons pas les faire exister.

Voici les mots d'amour d'Eloïse, avant notre départ en vacances. Ils combattent à eux seuls, la haine des autres. Très belles vacances à vous. Prenez soin de vous :

"

et puis...je suis tombée...
Parce que je ne suis pas une warrior, une star de dessin animé. Je suis un être humain, et pire encore, je suis journaliste. De celle qui écoute, transcrive, aime, partage, et se met à la place. qui enrage et qui vit à travers le destin des autres. Je pleure et je ris avec ces gens qui me déposent leurs histoires.
Depuis 3 mois, certains le savent, j'enquête auprès de salariés en souffrance et de parents d'enfants handicapés.
J'ai été leur espoir, leur voix, et leur banderole.
Grâce à mes articles, leurs souffrance ont été entendues.
J'en paie le prix cher avec une audience en référé renvoyée deux fois, et donc 3 semaines d'attente avant d'entendre la plaidoirie de mon avocate.
Mais, ce jour-là, je suis tombée, j'ai pleuré, d'injustice. D'incompréhension aussi.
Tout tente à prouver la maltraitance institutionnelle mais rien ni personne ne bouge. Les familles sont à bout, les salariés en arrêt.
Une maman m'a soufflé " j'ai pensé à tuer mon enfant et me suicider après."
Attend-on un drame ?
Alors, j'ai pleuré, j'ai eu la tête qui tourne et les jambes qui flageolent. Un combat national que je porte sur mes petites épaules, éreintées d'une année de reportage, ateliers et enquêtes.
Je n'ai plus eu de force. Lassée.
Le burn out n'est pas loin. .Je le sais, on me l'a dit. Il y a les vacances, et le repos, les souvenirs qui vont s'y construire, les enfants, l'amour, les paysages.
Mais, aujourd'hui, tout lâche, et les larmes roulent.
Comment peut-on laisser un management aussi toxique sans rien dire ni faire ?
Comment peut-on laisser une direction voir sans réagir ses salariés tomber en burn out sans aucune bienveillance ?
Comment les administrateurs peuvent-ils laisser la direction détruire une si belle institution ?
On parle d'enfants bien souvent non verbaux, au coeur de problématiques financières...
Ce sont les premières victimes.
Alors, oui, je pleure tant que je le peux aujourd'hui, incapable de bosser...De finir mes derniers papiers avant les vacances demain soir.
Je pleure sur l'injustice de ce monde, sur les drames qu'on pourrait éviter mais que personne n'ose prévoir.
Je pleure pour ces mères, ces pères, ces familles...
Mais aussi pour ces gens qui détruisent la société et qui n'ont même pas le respect de partir, de s'excuser et de se rendre compte. Des gens qui continuent à s'enfoncer dans leur malveillance er médiocrité. Qui regardent les autres pleurer à cause d'eux.
Mais quel monde voulons-nous ? Quelle société?
Je suis attaquée en justice pour avoir donné la parole, et dénoncé celles et ceux qui veulent les faire taire.
J'ai fait le job.
Il m'use...
Car je ne suis pas de celles qui ne se remettent pas en question, qui vivent insensiblement les choses et la vie.
Alors je pleure, c'est le prix de mon humanité.
Je pleure et je n'ai pas honte...
Je pleure et je suis même un peu fière de m'être épuisée auprès de ces personnes qui n'attendaient qu'une chose : qu'on les écoute et qu'on les respecte.
Je pleure et c'est difficile, c'est triste et éprouvant.
Je préférerais être en joie de préparer mes vacances. Mais je n'ai plus l'énergie, ni la foi en la vie...
Je n'ai pas peur du procès, je suis sûre de mon coup, sûre d'avoir toutes les preuves. Sûre d'être simplement victime d'une procédure-baillon.
Ils gagnent 10 fois plus que moi, ont un réseau plus important que le mien, Ils n'ont pas d'état d'âme, ils ne pleurent pas.
Moi, il me reste mes larmes et toute mon humanité. J'espère que cette épreuve ne m'en prendra miette.
Je sais que c'est l'amour qui finit toujours par gagner, même si ça épuise...
Ces mères, ces salariés, ces élus qui se battent main dans la main et qui ont construit autour de mon procès une véritable solidarité me font penser, que de toutes façons, on a déjà gagné..."

Ce soir, les vacances….Mediacoop ferme 3 semaines ses bureaux, pour aller se ressourcer. Un conseiller départemental qui s’en prend à Mediacoop….Avant, ça, on vous met le texte qu’Eloïse a écrit hier. Ce qui est assez amusant, c’est que dans le même temps, et sans le savoir, nous avo...

Une article dans Mediapart
23/07/2025

Une article dans Mediapart

Cette fois, les plaidoiries des avocates ont pu avoir lieu pour valider ou annuler la procédure, la déclarer recevable ou irrecevable. Décision le 2 septembre.

Voici notre passage sur France 3 Auvergne
23/07/2025

Voici notre passage sur France 3 Auvergne

Retrouvez ici le programme france 3 Auvergne à regarder en direct ou en streaming dès que possible !

Ayez, on est passés...enfin ! Notre avocate a été formidable ! Merci aux parents et salariés venu.es nombreux-ses.Merci ...
22/07/2025

Ayez, on est passés...enfin !

Notre avocate a été formidable !

Merci aux parents et salariés venu.es nombreux-ses.

Merci à France 3 Auvergne pour leur couverture médiatique.

Délibéré le 2 septembre. On vous prépare une petite surprise ..

18/07/2025
On en parle de Clermont Non Conforme dont les membres se réunissent pour savoir lequel obtiendra la"fachoscoupe" ?On les...
17/07/2025

On en parle de Clermont Non Conforme dont les membres se réunissent pour savoir lequel obtiendra la"fachoscoupe" ?

On les laisse tranquilou bilou ?

(Sur leur fil Signal)

Merci pour ce retour en vidéo
16/07/2025

Merci pour ce retour en vidéo

Nouveau renvoi de la part de l ADAPEI 63 contre nous. Nous sommes convoqués le 22 juillet.Nous sommes tellement prêts.
15/07/2025

Nouveau renvoi de la part de l ADAPEI 63 contre nous.
Nous sommes convoqués le 22 juillet.

Nous sommes tellement prêts.

Des salariés qui se mettent en grève, par solidarité à Eloise Lebourg et Mediacoop .Pour défendre la liberté d'expressio...
15/07/2025

Des salariés qui se mettent en grève, par solidarité à Eloise Lebourg et Mediacoop .

Pour défendre la liberté d'expression.

Aujourd'hui nous sommes convoqués à 10h30 au tribunal de Clermont-Ferrand.

L Adapei 63 nous assigne en référé pour 4 articles mais peut etre que 2 (leurs conclusions e sont pas claires du tout !) que l association, sa directrice et le directeur de la filière soin estiment diffamatoires.

Merci pour tous vos témoignages de sympathie, de soutien et vos témoignages toit courts contre l Adapei 63.

Adresse

Clermont-Ferrand

Site Web

http://www.mediacoop.fr/

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Mediacoop c’est quoi ? Nous avons décidé de créer un média qui relie les citoyens au monde de l’information. Nous nous rendons compte de plus en plus que les micros et caméras se tournent toujours vers les mêmes, avec les mêmes clichés. Pour parler de politique, un politicien, pour agrémenter l’hiver, filmer un SDF. Les puissants aidés de leurs amis, directeurs de publication, parviennent toujours à faire entendre leur voix. Les citoyens, le peuple, la vraie force politique et sociale d’un territoire, ne peuvent quant à eux que se taire. Nous avons donc décidé de donner la parole à ceux que nous n’avons pas l’habitude d’entendre. Notre premier documentaire raconte notre atelier d’écriture à l’accueil de jour de Clermont-Ferrand avec les SDF, relayé par le blog « la rue au quotidien » de Politis.fr . Un premier blog pour les sans abris… Nous voulons aussi entendre la voix des déboulonneurs, des politiques autrement, des militants de tous poils, des lanceurs d’alerte, des prisonniers, des casseurs de pubs, des indignés, des medias libres, des zadistes, des squatteurs, des paysans qui luttent pour le respect de l’animal et de l’environnement, des écolos. Car, nous pensons peut-être naïvement que la solution est de ce côté-ci de la démocratie. Nous interrogeons concrètement la société pour redonner une place à Bourdieu, Sartre et les autres. Nous voulons saboter les clichés sur les banlieues, sur les luttes militantes, sur le terrorisme, sur le capitalisme, sur la fatalité ambiante… Nous avons créé avec pas mal de copains un nouveau monde médiatique, un univers essentiel pour l’indépendance de l’information sous la forme de la CPML (Coordination Permanente des Medias Libres). 74 titres qui existent et qui résistent, qui offre une autre vision du monde ! Nous en faisons partie, nous avons ces mêmes valeurs, ces mêmes combats… Mediacoop Pourquoi ? Parce que nous militons pour deux choses : - une information participative, militante, et indépendante mais aussi - pour la défense de notre métier : informer est une profession qui mérite salaire. Pour ces deux raisons, nous avons décidé de nous mettre en SCOP : une société équitable san patron ni chef, ou nous sommes à la fois gérant et salarié et dans laquelle nous avons une totale indépendance. Il est important de ne pas être un simple blog. Notre métier mérite quelques codes éthiques et déontologiques : nous ne sommes pas là pour détruire les gens, pour salir une réputation, notre média est un lieu d’enquête, de recoupe des sources, de témoignages, d’interviews, de rencontres. Nous prenons le temps de respecter les sujets, les étudier… Il est important qu’un journaliste soit reconnu pour son travail, nous avons donc décidé d’en faire notre métier. Nous n’avons pas de gros salaires, mais suffisamment pour vivre, pour nous déplacer, pour prendre le temps. Nous ne voulions pas être une société capitaliste. Le but n’est pas de s’enrichir mais de faire grandir la SCOP. Voilà pourquoi nous sommes MediaCoop… Mediacoop c’est qui ? Ce sont deux maigrichons, qui stressent tout le temps, qui bougent passionnément, qui s’interrogent beaucoup, qui se disputent peu, et qui se comprennent bien. Un gars, une fille. Pas mal. Mais maigrichons. Ils commencent à avoir une belle expérience du journalisme et du documentaire. Mais le plus simple c’est de taper leur nom dans google…Parce qu’ils savent pas trop parler d’eux…( on ne devient pas journaliste par hasard !) Ils sont aidés dans leur aventure par Laurent, alias zinedine, de l’UR SCOP Auvergne, qui sait mieux que quiconque calmer les conflits et faire des tableaux excels, de Frédérik, l’expert comptable spécialisé dans l’économie sociale et solidaire, Sacha et Marc, deux webmasters libres. Les contenus - Plume de Bitume - Lanceurs d’alerte, la vie d’après - Mine de Rien - Les universités, ce gouffre financier - Interviews politiques : Bernard Friot, Yannis Youlountas, les économistes atterrés… - Le rap, acte de résistance et parole - Portrait : - Atelier d’écriture - Rubriques : paroles d’enfant, éducation aux médias, un joli texte sous une peau de vache