13/08/2025
LE SOMMET DES GLACES ! TRUMP VS POUTINE
Courte nouvelle dystopique, créée avec l’aide de l’IA d’
Ceci est une fiction satirique. Toute ressemblance avec des personnes ou événements réels est volontairement exagérée à des fins de récit.
Dans un monde où les enjeux géopolitiques bouleversent les équilibres, voici une rencontre au sommet pleine de suspense, tromperie et enjeux secrets.
Bonne lecture, et n’hésitez pas à partager vos impressions !
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Le Dernier Deal
15 février — Six mois après "le sommet des glaces"
C’était censé être le coup du siècle. Le 15 août dernier, à Anchorage, en Alaska — symbole historique de la vente d’un territoire russe à l’Amérique —, Donald Trump avait organisé un sommet surprise avec Vladimir Poutine, prétendument pour signer un traité de "rééquilibrage global".
Ce jour-là, les caméras du monde entier avaient capté l’image d’un Trump resplendissant, tendant la main à un Poutine raide, silencieux. À 14h35, l’ex-président américain déclara en direct :
— Aujourd’hui, nous réécrivons l’Histoire. Et nous rendons justice.
Des soldats surgirent. Le "Poutine" présent fut arrêté, accusé de génocide, sous mandat international. Trump, convaincu de devenir un héros planétaire, avait orchestré l’arrestation devant les caméras. Il jubilait, persuadé d’avoir joué la plus grande carte de sa vie.
Mais à 14h44, Moscou diffusa une allocution en direct du véritable Vladimir Poutine.
— Ce que vous avez capturé n’est qu’un comédien. Vous avez voulu piéger un stratège avec une farce de télévision. Vous venez d’offrir à la Russie la légitimité pour agir sans limite.
Ce fut le choc.
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Dans les jours qui suivirent, la Russie lança "l'Opération Vérité".
Des cyberattaques massives paralysèrent les systèmes occidentaux. Plusieurs gouvernements européens s'effondrèrent, incapables de gérer les vagues de désinformation, de pannes électriques et de soulèvements populaires attisés par les réseaux sociaux.
En janvier, la Russie proposait des "traités de stabilisation" aux nations désorientées, qu’elles signaient en échange d’installations militaires et de contrôle énergétique.
L’ONU fut dissoute. L’OTAN, vidée.
La Maison-Blanche, abandonnée par ses alliés, restait figée. Trump, discrédité, vivait reclus dans une de ses propriétés du Nevada, sous surveillance. L'Amérique, frappée par des crises internes, peinait à rester debout.
Et pendant ce temps-là, Poutine défilait à Pékin, acclamé, salué comme l’architecte d’un nouvel ordre planétaire.
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Aujourd’hui, le 15 février, six mois après le sommet, la planète est sous le joug de la Fédération élargie de l’Est, un bloc dominé par Moscou et ses "États partenaires". Les anciennes puissances occidentales tentent de résister diplomatiquement, mais sans impact réel.
Anchorage reste vide, figée dans le froid, théâtre gelé d’une trahison à double tranchant. Une plaque commémorative a été placée par des sympathisants russes :
"Ici, l’orgueil d’un homme a offert le monde à un autre."
Et l’Histoire retiendra que le 15 août, ce n’est pas la paix qui fut signée… mais la reddition camouflée d’un monde qui croyait encore à ses propres illusions.
