L'Artiste IA Engagé

L'Artiste IA Engagé Bienvenue sur "L'Artiste IA Engagé" – une fusion révolutionnaire entre art, intelligence artificielle

06/11/2024

À l’heure actuelle, aucun candidat n’a été déclaré vainqueur au niveau national. Le décompte des voix se poursuit dans plusieurs États clés, et la situation reste incertaine.

🔴 États remportés par Donald Trump :
Floride, Texas, Ohio, Caroline du Nord, Indiana, Kentucky, Louisiane, Missouri, Tennessee

🔵 États remportés par Kamala Harris :
Californie, New York, Illinois, New Jersey, Massachusetts, Maryland, Virginie, Washington, Oregon

❓ Les "swing states" encore indécis :
Pennsylvanie, Michigan, Wisconsin, Arizona, Géorgie, Nevada

La course est extrêmement serrée, et le résultat final pourrait prendre plusieurs jours pour être confirmé. 🕰️ Les votes restants sont encore en cours de comptabilisation et seront officiellement certifiés une fois le dépouillement terminé.

Il est donc peu probable que nous aillons un résultat sérieux dès mercredi...
03/11/2024

Il est donc peu probable que nous aillons un résultat sérieux dès mercredi...

🇺🇸 Avant même le moment de l'isoloir, Républicains et Démocrates ont déposé des dizaines de recours sur les règles électorales pour le scrutin présidentiel. Objectif : obtenir des arguments en cas de résultats très serrés.
➡️ https://l.francetvinfo.fr/DpW

🌎 Élection présidentielle américaine 2024 : une course serrée en perspective ! 🗳️La bataille pour la Maison Blanche s’in...
03/11/2024

🌎 Élection présidentielle américaine 2024 : une course serrée en perspective ! 🗳️

La bataille pour la Maison Blanche s’intensifie entre Kamala Harris (48,1%) et Donald Trump (47,4%), selon les derniers sondages. Bien que les chiffres nationaux soient proches, c’est dans les swing states que tout va se jouer !

Voici un aperçu des États clés où les candidats concentrent leurs efforts :

🔹 Pennsylvanie : Un État stratégique où les projets d’infrastructures et le soutien des syndicats pourraient faire pencher la balance.

🔹 Michigan & Wisconsin : La course est très serrée ! Les voix des communautés musulmanes et des syndicats (comme l’UAW) seront déterminantes.

🔹 Géorgie : Déjà 60 % des électeurs ont voté anticipé ! Les nouvelles mesures de sécurité sont en place, après les contestations de 2020.

🔹 Nevada : Historiquement démocrate, mais rien n’est joué. Le chômage (5,2%) et le vote latino-américain (20% de la population) pourraient influencer le résultat.

📊 Une élection sous tension : Le faible écart entre les candidats dans plusieurs États laisse présager une fin de course tendue, avec potentiellement des recours judiciaires pour les résultats.

👇 Cliquez dans les commentaires pour découvrir plus de détails sur les forces et faiblesses des deux candidats ! 🔍👥

Les grandes lignes de la loi de finances 2025 : ce qui va changer pour votre portefeuilleLa loi de finances 2025 apporte...
01/11/2024

Les grandes lignes de la loi de finances 2025 : ce qui va changer pour votre portefeuille

La loi de finances 2025 apporte son lot de changements fiscaux qui pourraient impacter votre situation financière. Voici un résumé des principales mesures à retenir :

# # Épargne et investissements

- Le taux du prélèvement forfaitaire unique (PFU) passe de 30% à 33% sur les revenus du capital. Un coup dur pour les épargnants et investisseurs.
- Une nouvelle tranche à 35% est créée pour les "super-distributions" de dividendes.
- Bonne nouvelle : le Livret A pourra désormais financer l'industrie de défense française, élargissant ses possibilités d'utilisation.

# # Immobilier

- Suppression des abattements pour durée de détention sur les plus-values immobilières. Ils seront remplacés par un abattement lié à l'inflation.
- L'exonération de plus-value sur la résidence principale sera conditionnée à une durée de détention d'au moins 5 ans.
- Le prêt avance rénovation sera accessible sans conditions de revenus, facilitant le financement de travaux énergétiques.

# # Donations et successions

- Doublement des abattements pour les donations entre frères et sœurs, neveux et nièces.
- Création d'une nouvelle tranche d'imposition à 49% pour les successions en ligne directe.

# # Autres mesures

- La contribution différentielle sur les hauts revenus (CDHR) devient permanente.
- Création d'un impôt universel pour les Français s'expatriant dans des paradis fiscaux.
- Extension de la réduction d'impôt mécénat aux contribuables non-résidents.

Ces mesures visent globalement à augmenter la pression fiscale sur les hauts revenus et le patrimoine. La classe moyenne sera principalement impactée par les changements sur l'épargne et l'immobilier.

Restez informés et n'hésitez pas à consulter un expert pour évaluer l'impact sur votre situation personnelle.



[Image : Une illustration montrant une balance avec d'un côté des pièces de monnaie et billets, et de l'autre côté un document représentant la loi de finances 2025]

Citations:
[1] https://www.mayerbrown.com/en/insights/publications/2024/10/amendements-adoptes-en-commission-des-finances-au-17-octobre-2024-sur-le-projet-de-loi-de-finances-pour-2025
[2] https://www.lesechos.fr/patrimoine/impots/immobilier-retraite-livret-a-ces-5-amendements-au-budget-2024-repeches-par-le-gouvernement-2029181
[3] https://www.senat.fr/travaux-parlementaires/seance-publique/amendements-du-projet-de-loi-de-finances-pour-2024-dits-amendements-lolf.html
[4] https://lcp.fr/actualites/budget-2025-retraits-d-amendements-ouverture-de-seances-supplementaires-les-deputes
[5] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements/1680A/AN/5395
[6] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/dossiers/PLF_2024
[7] https://www.senat.fr/dossier-legislatif/pjlf2024.html
[8] https://www.extencia.fr/ai-perplexity-vs-chatgpt

19/09/2024

Bonjour bonjour,

Je partage une idée de question posée à Chatgpt, et je trouve sa réponse assez intéressante :)

Prompt : Rédige les principes fondamentaux qu'une constitution devrait selon toi intégrer pour prendre en compte et assainir l'impact des réseaux sociaux sur une société moderne.
Compare avec la situation actuelle.

Sa réponse :
Ces nouvelles idées visent à répondre de manière plus proactive et globale aux défis posés par les réseaux sociaux et le numérique. L’objectif est de protéger les droits fondamentaux tout en assurant une régulation éthique et responsable des plateformes, en évitant de nuire aux libertés individuelles. La législation actuelle en France traite déjà certains aspects des réseaux sociaux, mais ces propositions vont plus loin en intégrant directement ces enjeux au sein de la Constitution, avec une vision de long terme et une plus grande protection pour les citoyens.

1. Droit à la déconnexion numérique garanti constitutionnellement

Nouvelle idée : La constitution prévoit explicitement le droit de se déconnecter des plateformes numériques sans répercussions sociales ou professionnelles.

État actuel : La loi El Khomri de 2016 consacre le droit à la déconnexion pour les salariés, mais cela reste centré sur le cadre professionnel et n’est pas inscrit dans la Constitution. L’idée ici est d’élargir ce droit pour toute la population et tous les aspects de la vie privée.

2. Droit à l'accès équitable au numérique

Nouvelle idée : L'accès à une connexion Internet de qualité est ici considéré comme un service essentiel garanti par l'État, à l’instar de l'eau ou de l'électricité.

État actuel : Il existe des initiatives pour réduire la fracture numérique, mais aucun droit fondamental ne garantit un accès universel au numérique.

3. Transparence des algorithmes

Nouvelle idée : Obligation pour les plateformes de réseaux sociaux de rendre publics et contrôlables leurs algorithmes de recommandation pour limiter les effets des bulles de filtre et la radicalisation en ligne.

État actuel : La réglementation actuelle (RGPD, lois sur les droits numériques) impose des obligations de transparence sur le traitement des données, mais n'impose pas de transparence directe sur les algorithmes de recommandation.

4. Responsabilité individuelle numérique renforcée

Nouvelle idée : Constitutionnalisation de la responsabilité des utilisateurs des réseaux sociaux quant aux contenus qu'ils partagent ou publient, mettant un accent fort sur la responsabilité individuelle.

État actuel : Les utilisateurs peuvent être sanctionnés pour des infractions telles que la diffamation ou les discours haineux, mais cette responsabilité individuelle n’est pas inscrite explicitement dans des principes constitutionnels.

5. Droit à l’anonymat sous conditions

Nouvelle idée : Le droit à l’anonymat est reconnu et protégé, sauf dans les cas de délit. Ce principe serait inscrit dans la Constitution, avec une approche équilibrée entre la protection de la vie privée et la lutte contre les abus.

État actuel : Il existe des lois sur la protection de la vie privée et la surveillance numérique (Loi sur la confiance en l'économie numérique), mais l’anonymat en ligne n’est pas expressément protégé ni inscrit dans un texte fondamental.

6. Droit à un contenu vérifié et lutte contre la désinformation

Nouvelle idée : Les citoyens auraient un droit constitutionnel à accéder à des informations vérifiées, et les plateformes seraient tenues d’informer clairement sur les sources et de lutter activement contre la désinformation.

État actuel : Des lois existent (par exemple la loi contre les fake news de 2018), mais elles se concentrent sur les périodes électorales. La lutte contre la désinformation dans cette proposition serait étendue à tous les moments de la vie publique et deviendrait un droit fondamental.

7. Propriété des données personnelles

Nouvelle idée : La Constitution reconnaîtrait formellement la propriété des citoyens sur leurs données personnelles, avec un droit inaliénable de contrôle.

État actuel : Le RGPD (Règlement général sur la protection des données) accorde des droits importants sur la gestion des données personnelles, mais la notion de "propriété" des données n’est pas inscrite dans un texte constitutionnel ou fondamental.

8. Régulation des plateformes par une autorité indépendante

Nouvelle idée : Une autorité de régulation indépendante, avec un pouvoir de contrôle sur les réseaux sociaux et les grandes plateformes numériques, serait inscrite dans la Constitution.

État actuel : La CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés) régule la protection des données, mais il n'existe pas d’autorité dédiée à la régulation des algorithmes ou des contenus de manière aussi large.

9. Fiscalité des plateformes numériques

Nouvelle idée : La constitution intègre un principe d’équité fiscale pour les grandes plateformes numériques, les forçant à contribuer de manière juste à l’économie nationale en proportion des profits générés.

État actuel : La France a mis en place une taxe sur les services numériques (taxe GAFA), mais l'intégration de ce principe dans une constitution serait une reconnaissance plus durable et structurelle de ce besoin.

10. Droit à la santé mentale et lutte contre la dépendance numérique

Nouvelle idée : Le droit à une protection contre les effets néfastes psychologiques des réseaux sociaux, comme la dépendance ou le harcèlement, est reconnu et garanti par l'État.

État actuel : Il existe des initiatives contre le cyberharcèlement (Loi contre le harcèlement scolaire de 2019, articles du Code pénal sur le harcèlement en ligne), mais aucune protection liée aux effets psychologiques des réseaux sociaux n’est inscrite dans la Constitution ou dans un texte fondamental.

11. Éducation numérique intégrée au système éducatif

Nouvelle idée : Une formation à la citoyenneté numérique, à l’utilisation des réseaux sociaux et à la vérification des informations deviendrait une obligation constitutionnelle dans le cadre de l’éducation nationale.

État actuel : Certaines initiatives éducatives existent, mais elles ne sont pas intégrées de façon structurelle et obligatoire dans le parcours éducatif.

15/06/2024

La France deviendra le Venezuela de l'Europe, criminalité inclue.

Rachida Dati a raison de le dire, avec le sens de la formule qu'on lui connait. Le programme avancé par l'union de la gauche provoquera sans aucun doute possible l'effondrement de notre économie en quelques mois.
Comme souvent avec la gauche, elle profite sciemment de l'effet Dunning-Kruger : les propositions sont faciles à comprendre, pour qui ne comprends l'économie.
Toujours démagogue et léthales pour notre économie. Je m'explique :

Acte 1 : Blocage des prix des biens de première nécessité :

Passons rapidement sur les questions de coûts, qui n'ont pas le même sens et la même importance pour chacun de nous, même s'il est nécessaire de rappeler le cout exorbitant du blocage des prix du gaz et de l'électricité (44 milliards d'euros en 2023). Cette mesure répondait à un comportement abusif des fournisseurs d'électricité, et à la survie de nos artisans boulangers et restaurants qui représentent l'écrasante majorité des entreprises en France.

Allons plutôt sur le fond, la mécanique économique qui s'activera en conséquence de cette décision.
L'industrie agro-alimentaire, qui irrigue nos supermarchés, est profondément internationalisée. Ses marges sont le fruits de l'optimisation du processus de transformation de la matière première. Elle a donc besoin de matière brute, dont le prix est déterminé par un marché international ; d'un cout du travail ; et de l'investissement de l'entreprise dans sa capacité de production.

Bloquer les prix, c'est sous entendre que chacun de ces mécanismes est suffisamment stable pour garantir les marges des entreprises qui paient les salaires, les investissements, et la matière première.

Or l'union de la gauche n'a aucune prise sur le cout des matières premières que nous importons, puisque nous n'en avons pas suffisamment sur notre territoire. Ce prix est largement sujet d'une part à la disponibilité de ces matériau - coucou le pétrole - ; et d'autre part à la géopolitique des ressources, sujet majeur posé par la guerre en Ukraine sur le prix du blé, du gaz etc.

Une forte augmentation du prix des matières premières réduit la marge de l'entreprise, qui ne peut augmenter son prix en conséquence. Pourvu que le prix n'explose pas de 1000%, ca va vous me direz ?

Acte 2 : Le cout du travail :

Le SMIC a 1600 euros et l'indexation des salaires et des retraites sur l'inflation ont déjà été expérimentées par la gauche dans une époque qui précède la mondialisation (et donc l'hyper compétition que nous constatons aujourd'hui).
En 1983, Mitterrand est obligé de rompre avec l'indexation, qui incrémente une inflation structurelle dans l'économie : en augmentant les couts de la masse salariale au 1er janvier de chaque année, les entreprises sont obligées d'augmenter leurs prix pour conserver leurs marges, et ce tous les 1er janvier de chaque année, ce qui génère de l'inflation qui va du coup générer les augmentations de salaires qui vont du coup générer de l'inflation...

Alors oui, les salaires augmentent. Mais pas votre pouvoir d'achat.

Le cumul de cette mesure avec un SMIC a 1600 euros amorce la pompe de cet engrenage infernal :
Indexée à l'inflation, cette augmentation du SMIC pour 3.1 millions de français nous mettra tous au même niveau de salaire en quelques années, dans le meilleurs des cas, et rapprochera le salaire médian du SMIC, alors même que nos salaires n'arrivent pas à décoller. Nos smicards profiteront donc de 200 euros de plus, pendant quelques mois avant que l'inflation ne viennent capter ce pouvoir d'achat supplémentaire.

Ici encore, les salaires augmentent, mais pas votre pouvoir d'achat.

Acte 3 : anti-Emmanuel Macron ou le retour de l'ISF (c'est moral parce que c'est pour la transition écologique)

"Je suis sûr qu'ils peuvent sacrifier un yacht pour participer au redressement du pays" sifflait hier Oliver Faure. Ici encore, le principe à l'air efficace, mais il vient tuer le progrès majeur fait par notre économie sur ces 10 dernières années.

Emmanuel Macron, pendant les 7 dernières années, à conduit une action visant à résoudre un problème majeur de notre économie, qu'il connaissait bien de sa vie antérieure : son financement.

Il a travaillé sur deux axes : une rémunération exonérée d'ISF sur les biens financiers les plus risqués - actions, financement de start ups - et le renforcement des taxes sur la partie immobilière. L'objectif était de pousser les plus riches d'entre nous a financer l'économie, plutôt que de placer l'argent dans la pierre pour générer une rente.

Objectif dépassé : Le financement en capital-risque a presque doublé par rapport à 2020, atteignant des niveaux record. La tendance s'est poursuivie en 2022, pour chuter de 49% en 2023 lorsque la crise économique à démarrée.

Bon, c'est beau tout ça, mais ça veut dire quoi ?

Pour bien comprendre le sens de ces données financière, je vous suggère de regarder un épisode de "Qui veut être mon associé", qui fait un excellent job de vulgarisation.
Financer l'économie, c'est répondre à un problème : vous avez un produit, il fonctionne dans votre région mais vous avez besoin de le vendre partout en France, en Europe, à l'export pour continuer à gagner plus d'argent.
Pour ce faire, vous pouvez attendre de former les capitaux vous mêmes au prix d'un temps précieux ; ou vous associer avec un partenaire qui vous apporte de suite la somme dont vous avez besoin pour investir dans de nouvelles machines de production, ou de nouveaux commerciaux.

Ce besoin est fondamental pour mettre à l'échelle (qu'elle soit nationale ou internationale) votre entreprise.
Ces investissements sont les plus risqués : sur 10 start up financées, seule une, en moyenne, permettra de rentabiliser l'investissement de départ.

En rétablissant l'ISF, l'Etat vient prendre cette argent pour le mettre dans ses caisses, réduisant ainsi drastiquement les financements possibles pour des start up qui ne disposent pas de facilité de paiement - pas de 30 jours pour une nouvelle boite - ou d'accès au crédit. Et ce sans même aborder l'importance de l'accompagnement des entrepreneurs par d'autres entrepreneurs qui ont réussi.

Mais la bérézina ne s'arrête pas là : depuis 2019, la France est le premier territoire d'investissement étrangers en Europe. Cela signifie que des entreprises étrangères ont décidé d'investir massivement en France, malgré nos contraintes de taxes et de droit du travail, pour profiter de notre main d'œuvre qualifiée, et réputée créative.
Pour preuve l'investissement de Microsoft à Fessenheim, pour un montant de 5 milliards d'euros, l'ouverture de giga usines de batteries dans les haut de France etc.

La fin de l'ISF marque, à l'étranger, l'effacement de cette France enfin "business friendly", comme discuté à de nombreuses reprises par le Guardian, ou The Economist : nous attirons les capitaux parce que nous avons cessé de ponctionner ceux d'entre nous qui disposent de la richesse et la réinjecte dans l'économie.

L'union des gauche compte récupérer environ 3 à 4 milliards d'euros en rétablissant l'ISF. Cela ne couvre même pas l'investissement de Microsoft en Alsace. C'est dire à quel point cette mesure est destructrice et démagogue.

Je n'aborderai même pas le sujet de la transition écologique, tant celui ci est factice : les écologistes sérieux s'accordent à dire que l'immense majorité de nos émissions de CO2 sont liées à nos importations de biens produits en Asie.

Nombre de nos industries, que je rencontre toutes les semaines, ont mises au point des plans visant à la neutralité carbone en 2030. Compte tenu du climat géopolitique, nous irons plus vite en rapatriant nos productions en France plutôt qu'en taxant le financement de notre économie pour engrosser un Etat qui a plus que démontré son incompétence à générer de réels et sérieux progrès pour l'humanité. A fortiori lorsque son gouvernement, je crois qu'on l'aura démontré, feint de ne pas maitriser les basiques de l'économie pour réaliser son fantasme zadiste de retour au Moyen Age.
N'oublions jamais que nos progrès formidables de ces 50 dernières années ont été possible grâce à la paix formée par le commerce, qui a sauvé de la faim des millions de gens, permettant ainsi aux peuples de ne plus avoir a s'assassiner pour se nourrir, se loger, se vêtir !

Gare aux faux semblants donc ! L'inflation, couplée à la fin du financement de nos entreprises et de notre innovation font peser un risque réel d'effondrement de nos entreprises : en augmentant inexorablement leurs charges d'une année à l'autre tout en raréfiant - et donc en augmentant le cout ! - leur capacité de financement.

Merci à ceux qui m'auront lu ^^ :)

09/06/2024

Bonjour à tous,

Difficile de s'exprimer dans ce temps de bascule : le temps a commencé à ralentir. Les mois s'égrènent mais sans vitesse, comme suspendus à cette troisième année de guerre froide par une question qui structure toutes les décisions, toutes les attentes et évidemment toutes les angoisses : l'Amérique succombera t'elle à la tentation de l'autocratie ? (Cf interview de Trump dans le Time de cette semaine, voir en commentaire)

Nul ne peut plus douter que l'axe Moscou/Pékin/Téhéran a décidé d'en tirer profit : en déstabilisant en profondeur nos structures médiatiques modernes, irriguant ainsi le monde entier par leurs propagande, ils ont une influence inégalée dans l'Histoire sur les élections du monde entier.

Nos démocraties sont submergées par des réseaux sociaux militarisés et un capitalisme de connivence qui trahit tous les principes du libéralisme.

La division, voila l'objectif de Moscou. Poutine exploite la faiblesse humaine qui a mis tous les dictateurs de l'Histoire au pouvoir : la peur.

Je crois que nous en sommes tous les victimes, chacun à nos niveaux.
Nous constaterons tous, à 20h aujourd'hui, à quel point nous sommes sous son emprise.

Mais ne nous trompons pas sur l'enseignement principal de cette victoire annoncée : le Washington post (voir en commentaire) a d'ores et déjà montré que le Rassemblement National donnera une voix à Moscou au European Parliament.

Pour autant, je ne me résoudrai pas à montrer du doigt leurs électeurs. En plein bascule du monde, comment les blâmer de croire aux raccourcis qu'ils font eux mêmes, par manque d'éducation, par méconnaissance de l'Histoire ou même de la nature humaine.

Mes amis, l'Histoire est en marche et nous sommes presque impuissants. Nos élections européennes manquaient terriblement de nuances, d'alternatives, d'idées. Aux Etats Unis, la situation est identique.

Nous devons réagir, nous donner une voix. Nous devons, à l'image des gilets jaunes, faire émerger une alternative à la vision que nos élites ont forgés pour leur propre profit.

Sans ce travail de citoyen, je crains que 2027 ne soit que l'affirmation de la victoire de l'influence sino-russe sur nos démocraties, c'est à la dire la victoire de la tyrannie face à la liberté.

L'acte fondateur de la démocratie c'est le vote. Allez voter !

Bon dimanche à tous,

Adresse

Ittenheim
67117

Téléphone

+33658058289

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque L'Artiste IA Engagé publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à L'Artiste IA Engagé:

Partager