Éditions 205

Éditions 205 Les ouvrages des Éditions deux-cent-cinq sont diffusés par Interart: [email protected]

Les Éditions deux-cent-cinq publient des ouvrages consacrés au design graphique, à la typographie et à toutes les pratiques contemporaines qui participent à nourrir et accompagner le regard et l’imaginaire des lecteurs. Convaincus que donner du sens aux images et aux signes qui nous entourent quotidiennement contribue à nous rendre autonome et citoyen, les Éditions deux-cent-cinq ont la volonté d

e proposer des ouvrages qui s’adressent au plus grand nombre, qu’ils soient initiés ou néophytes. Cette transmission des savoirs et d’une culture du design graphique passe par une pédagogie toujours exigeante, jamais réductrice, faisant confiance à l’intelligence et à la clairvoyance des publics auxquels elle s’adresse — adultes comme enfants.

[Podcast] Looking for architecture. Dialoguer avec les milieux habités, paru aux Éditions deux-cent-cinq, explore une di...
21/07/2025

[Podcast] Looking for architecture. Dialoguer avec les milieux habités, paru aux Éditions deux-cent-cinq, explore une diversité de projets interrogeant la transformation des espaces portés par l’agence LFA

Chaque expérience est sondée à partir de la voix plurielle de ses différents protagonistes (architectes, commanditaires, politiques, utilisateurs, artistes, etc.) rassemblés le temps d’un échange croisé (et gourmet).

Ces discussions font l’objet d’un podcast co-produit par ALF, Radio anthropocène, Cité anthropocène et les Éditions deux-cent-cinq.
7 épisodes à écouter dans le cycle «Habiter ici et le monde»

https://cite-anthropocene.fr/category/radio-a/emissions/ici-et-le-monde/

Épisode 01: Fictionner / Explorer les interstices urbains
Épisode 02: Cultiver / Les friches industrielles, terreau fertile pour l’émergence de l’art et de l’hospitalité
Épisode 03: Expérimenter / Repenser l’espace public à travers la co-construction
Épisode 04: Transformer / Entre ciel et terre: l’émergence d’un nouveau territoire sur l’ancienne base aérienne
Épisode 05: Accompagner / Une expérience entrepreneuriale de brassages
Épisode 06: Revitaliser / Un héritage patrimonial dans un contexte de bouleversement climatique
Épisode 07: À la recherche de l’architecture

L’ouvrage Looking for architecture. Dialoguer avec les milieux habités est paru aux Éditions deux-cent-cinq au sein de la collection «AAA…».

Auteur.rices: Laurent Graber, Antoine Trollat, Elisabeth Sulmont, LFA architectes
Pierre Cornu et Valérie Disdier
ISBN: 978-2-919380-88-6

Ce livre a bénéficié du soutien d’ALF, association loi 1901 à caractère culturel au service de l’intérêt général, lieu de rencontres et galerie où la diffusion des cultures cherche à décloisonner et multiplier les possibilités d’interactions entre les publics familiers ou non de l’art contemporain, en lien avec l’esprit cosmopolite du quartier.

Photographies de Matthieu Despeysses

[Nouveauté] Leçons hérétiques sur l’histoire du temps présentPierre CornuCoédition Cité anthropocène et Éditions deux-ce...
15/07/2025

[Nouveauté] Leçons hérétiques sur l’histoire du temps présent
Pierre Cornu
Coédition Cité anthropocène et Éditions deux-cent-cinq

https://www.editions205.fr/collections/anthropocene/products/lecons-heretiques-sur-l-histoire-du-temps-present

Ce livre est une exploration critique et méthodique des possibilités de se ressaisir du devenir historique dans un monde anthropocène qui a tendance à produire soit un effet de sidération impuissante, soit des formes d’activisme désarticulées. Convoquée de toutes parts, l’histoire elle-même ne sait plus si elle doit se transformer en vision politique, en écologie des transitions ou en sagesse désespérée pour tenter de s’adapter à une époque hantée par la possibilité d’une “fin de partie” pour l’humanité.

Inspiré des Essais hérétiques sur la philosophie de l’histoire du philosophe tchèque Jan Patočka, ce livre vise d’abord à éclairer les enjeux d’une adaptation de la méthode historique à un temps présent caractérisé par le désajustement des temporalités des sociétés, des systèmes techniques et de la biosphère.

Quelles archives, quels récits, quelles modalités de mise en débat pour une épistémologie historique de l’Anthropocène? Nourri de travaux d’histoire environnementale, des sciences et des techniques et d’une approche interdisciplinaire de la crise des temporalités, cet essai explore ensuite les thèmes majeurs de l’Anthropocène: le rôle ambivalent des technosciences et de l’innovation; la remise en cause de l’entre-prise de rationalisation du monde héritée des Lumières; la redistribution des rôles entre humains, non-humains et objets hybrides de toutes sortes, en révolte plus ou moins ouverte contre la “civilisation technique”; les enjeux du réencastrement de l’activité économique touchant aux ressources naturelles dans un ordre socio-écosystémique habitable et souhaitable.

Mettre en histoire l’Anthropocène, ce n’est pas le clore mais, au contraire, s’efforcer de le déverrouiller.

Pierre Cornu est professeur des universités en détachement à Inrae . Ses travaux croisent histoire des sciences et des techniques, mondes agricoles, enjeux environnementaux et action publique dans une perspective interdisciplinaire. Depuis quelques années, il a fait évoluer ses travaux vers une réflexion critique sur la crise des temporalités dans l’Anthropocène. Il a notamment publié La systémique agraire à l’Inra. Histoire d’une dissidence (Quae, 2021) et, conjointement avec Claire Weill, Les sciences de la durabilité. La recherche face aux défis du temps présent (PUBP, 2025). Il a également coécrit le tome II de l’Histoire environnementale de la France intitulé Les natures de la République 1870-1940 (La Découverte, 2025). Aux éditions 205, il a signé l’introduction de Looking For Architecture. Dialoguer avec les milieux habités (2024). Il est président de l’association Cité anthropocène et corédacteur en chef de la r***e Natures Sciences Sociétés.

Cet ouvrage a reçu le soutien de Burgundy Ventures. Les Éditions deux-cent-cinq remercient Roland de la Brosse pour son aide à la production de la collection “À partir de l’Anthropocène”.

Auteur: Pierre Cornu
Directeur.rice de collection: Valérie Disdier et Michel Lussault
Format: 9,5 × 15,7 cm
Pages: 128
ISBN: 978–2–919380–92–3
Parution: 2025
Langue: Français
Collection: “Sentinelles”
Domaine: “À partir de l’Anthropocène”
Prix: 12,50€

Design graphique: Éditions deux-cent-cinq
Polices de caractères: Thelo Micro, Text et Display, Tassiana Nuñez-Costa; Plaax, Damien Gautier; 205TF
Impression: Imprimerie Ott, 67310 Wasselonne, France

L’exposition Énergies Désespoirs. Un monde à réparer est à nouveau présentée au CENTQUATRE-PARIS dans une version actual...
09/07/2025

L’exposition Énergies Désespoirs. Un monde à réparer est à nouveau présentée au CENTQUATRE-PARIS dans une version actualisée.

À cette occasion, (re)découvrez le livre paru aux Éditions 205.
L’ouvrage met en tension les désespoirs qui naissent des constats des atteintes aux environnements et les énergies qui procèdent des expérimentations de réorientation écologique de nos modes d’habitation.⁠

Exposition visible à partir du 12 juillet
CENTQUATRE-PARIS
5 Rue Curial, 75019 Paris

Ouvrage disponible à la librairie L’arabesque au CENTQUATRE-PARIS et dans toutes les librairies

Énergies Désespoirs. Un monde à réparer
Coédition Cité anthropocène et Éditions deux-cent-cinq⁠

Auteurs: Frédérique Aït-Touati, Ikal Ang’elei, Jean-Christophe Bailly, Jeanne Burgart-Goutal, Julien Choppin, Mireille Delmas-Marty, Nicola Delon, Valérie Disdier, Matthieu Duperrex, Jean-Paul Engélibert, François Gemenne, José-Manuel Gonçalvès, Alice Gorman, Axelle Grégoire, Lou Herrmann, Tim Ingold, Catherine Larrère, Raphaël Larrère, Ronan Letourneur, Michel Lussault, Marielle Macé, Sébastien Marot, Mathieu Potte-Bonneville, Olivier Remaud, Ysé Sorel, Lucie Taïeb, Anna Tsing, Joëlle Zask⁠

Dessins et peintures: Bonnefrite
Direction éditoriale: Julien Choppin et Nicola Delon — Encore Heureux Architectes —, Michel Lussault, Bonnefrite⁠
Coordination éditoriale: Valérie Disdier, Lou Herrmann⁠
ISBN: 978-2-919380-42-8⁠

07/07/2025

[Actualité] L’exposition Énergies Désespoirs. Un monde à réparer est à nouveau présentée au CENTQUATRE-PARIS dans une version actualisée.

À cette occasion, Michel Lussault, géographe, nous parle du livre paru aux Éditions 205. L’ouvrage met en tension les désespoirs qui naissent des constats des atteintes aux environnements et les énergies qui procèdent des expérimentations de réorientation écologique de nos modes d’habitation.⁠

Exposition visible à partir du 12 juillet
CENTQUATRE-PARIS
5 Rue Curial, 75019 Paris

Ouvrage disponible à la librairie l’Arabesque au CENTQUATRE-PARIS et dans toutes les librairies

Énergies Désespoirs. Un monde à réparer
Coédition Cité anthropocène et Éditions deux-cent-cinq⁠

Auteurs: Frédérique Aït-Touati, Ikal Ang’elei, Jean-Christophe Bailly, Jeanne Burgart-Goutal, Julien Choppin, Mireille Delmas-Marty, Nicola Delon, Valérie Disdier, Matthieu Duperrex, Jean-Paul Engélibert, François Gemenne, José-Manuel Gonçalvès, Alice Gorman, Axelle Grégoire, Lou Herrmann, Tim Ingold, Catherine Larrère, Raphaël Larrère, Ronan Letourneur, Michel Lussault, Marielle Macé, Sébastien Marot, Mathieu Potte-Bonneville, Olivier Remaud, Ysé Sorel, Lucie Taïeb, Anna Tsing, Joëlle Zask⁠

Dessins et peintures: Bonnefrite
Direction éditoriale: Julien Choppin et Nicola Delon — Encore Heureux Architectes —, Michel Lussault, Bonnefrite⁠
Coordination éditoriale: Valérie Disdier, Lou Herrmann⁠
ISBN: 978-2-919380-42-8⁠

1re de couv’ est une série réalisée par Matthieu Perret, avec l’aide du Centre national du livre.⁠

[Rencontre] Architecture patiente. Lieu de soin et soin du lieu�Atelier d’architecture Tolila + Gilliland ⁠⁠Lancement du...
23/06/2025

[Rencontre] Architecture patiente. Lieu de soin et soin du lieu�Atelier d’architecture Tolila + Gilliland ⁠

Lancement du livre en présence des architectes⁠
Gaston Tolila, architecte⁠
Nicholas Gilliland, architecte ⁠
Bérénice Bourgoin, architecte auteure⁠

Mercredi 25 juin à 19h30⁠
Librairie Volume ⁠
47, rue Notre-Dame de Nazareth, Paris 3e⁠

Faire avec la complexité, entendre des injonctions contradictoires, porter son attention à de multiples et diverses dimensions, est un chemin qui demande patience et attention.⁠
Trois structures hospitalières à Chevilly-Larue, Soisy-sur-Seine et Meulan-en-Yvelines, nichées dans un parc. Dans un environnement qui raconte la saisonnalité et le vivant, qui renaît chaque printemps. Ces lieux de la réparation, bien que nécessairement sécurisants et protecteurs, devaient tout autant ouvrir des possibles vers le parc, vers le monde, pour envisager des relations à l’autre que soi. Un jour, chacun et chacune à son rythme.⁠

Des permanences existent, mais chaque situation et chaque histoire sont singulières. Les lieux comme les personnes. Les pathologies aussi: l’autisme à Chevilly-Larue et à Soisy-sur-Seine, les addictions à Meulan-en-Yvelines. En architecture, chaque détail compte: les épaisseurs qui séparent sans enfermer, les toitures qui protègent sans écraser, les espaces qui relient sans se perdre, les couleurs et les textures qui disent l’hospitalité, les transparences qui emportent les regards sans les noyer, les seuils qui invitent à avancer sans trébucher. Des proportions à la juste échelle, à l’échelle de celles et ceux qui habitent les lieux — patients, résidents et soignants —, le jour comme la nuit. Gaston Tolila et Nicholas Gilliland y ont contribué en architectes.⁠

Format: 23 × 32 cm⁠
Pages: 136⁠
ISBN: 978–2–919380–91–6⁠
Parution: 2025⁠
Langue: Français⁠
Domaine: AAA (a-rchitecture, Urb-a-nisme, P-a-ysage)⁠
Collection: Savoir-faire⁠
Prix: 29€

Déjà parus dans la collection“Savoir-faire”L’art d’accommoder les restesQue peut l’architecture à l’ère de l’Anthropocèn...
20/06/2025

Déjà parus dans la collection
“Savoir-faire”
L’art d’accommoder les restes

Que peut l’architecture à l’ère de l’Anthropocène? A-t-elle l’énergie de se saisir de l’occasion pour faire autrement et, ce faisant, de construire d’autres histoires?

L’acte de transformation négocie avec l’idée de pertes. Le face-à-face de l’architecte avec celles-ci est continu et se joue en toutes phases, de la conception jusqu’à la réalisation, en passant par la mise en usages. Ce qui est livré se patine, puis s’érode, dès le ruban rouge coupé; ces pertes sont irrémédiables.
Le projet déplace les réalités, les fait changer de formes, amenant à concéder un certain nombre de deuils. Certains sont d’ordre individuel, d’autres sont collectifs.
Cette condition de l’architecte générateur de pertes est intemporelle. Cependant, elle se conscientise de manière plus aiguë à l’ère de l’Anthropocène où l’idée de table rase est battue en brèche.
L’architecture — entendue comme discipline et comme champ de pratiques — tente de rester à flot dans sa traversée sans rive annoncée de la crise des ressources. De fait, le chavirement des idéaux modernes dominants de la croissance, du progrès et des techniques performatives de recherches de gains, fait disparaître de la surface des pertes sur lesquelles il n’est plus possible de revenir.
Or, dans ce changement de paradigme générant “désordre” et “tensions”, l’architecture est amalgamée au monde de la construction dont on ne cesse de relever la responsabilité dans la culture extractiviste qui conditionne les manières de transformer et d’habiter la Terre.
Dès lors, que peut l’architecture dans ce changement de paradigme? Qu’est-elle prête à perdre aussi? Qu’est-elle à même de laisser disparaître parmi ses modèles? On pourrait baisser les bras face à l’immensité de tels questionnements. On pourrait faire sécession et tout laisser derrière soi, à force de ne plus savoir quoi faire de tout ce désordre. Pointe néanmoins l’énergie de saisir l’occasion de faire autrement, et ce faisant, de construire d’autres histoires.

Auteur.es
Laurie Gangarossa, architecte, maîtresse de conférences à l’École nationale supérieure d’archi­tecture de Clermont-Ferrand, champ Villes et Territoire, chercheure et membre de l’UMR Ressources
Cyrille Weiner, photographe
Stéphanie David, architecte du patrimoine, maîtresse de conférences à l’École nationale supérieure d’architecture de Marseille
Éric David, architecte, maître de conférence à l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand
Format: 16,1 × 22,75 cm
Pages: 128
ISBN: 978-2-919380-68-8
Parution: 2024
Domaine: AAA (a-rchitecture, Urb-a-nisme, P-a-ysage)
Collection: Savoir-faire
Prix: 24 €

Déjà parus dans la collection“Savoir-faire”Looking for architectureDialoguer avec les milieux habitésLooking For Archite...
18/06/2025

Déjà parus dans la collection
“Savoir-faire”
Looking for architecture
Dialoguer avec les milieux habités

Looking For Architecture, titre de ce livre et nom de l’agence fondée par Laurent Graber et Antoine Trollat, résume en trois lettres — L F A — ce qui conduit et porte le travail des architectes: redonner sens à l’acte de construire alors que l’architecture et la ville sont percutées par le changement global.

Le livre explore une diversité de projets, chacun interrogeant la transformation des espaces. Des friches industrielles se métamorphosent en lieux d’expérimentation urbaine (Nuits sonores, biennales de Lyon). �Ces projets esquissent une ville en perpétuelle évolution, se construisant sur les ruines de son passé. La modularité et le réemploi des standards industriels ouvrent la voie à une architecture frugale et réversible. �L’accent mis sur la création d’«espaces capables» permet de réinventer des bâtiments patrimoniaux (ancienne école des beaux-arts de Lyon, Chalet du parc) pour les adapter aux usages contemporains.

Chaque expérience est sondée à partir de la voix plurielle de ses différents protagonistes (architectes, commanditaires, politiques, utilisateurs, artistes, etc.) rassemblés le temps d’un échange croisé (et gourmet).�
Au fil des discussions et des projets, se dessinent des permanences:
— un fort désir d’horizontalité entre programme, contexte, technique, financement et réglementation;
— un écosystème fait de rencontres, de «relations de résonance» selon les mots d’Hartmut Rosa;
— des projets qui ont trait au collectif et aux communs au travers d’une curiosité prononcée pour les cultures alternatives;
— l’acceptation d’un monde toujours plus fluctuant;
— une capacité à résister au temps qui réside dans la transformation, la réinvention possible des espaces et des lieux;
— le choix d’un design de l’attention plutôt que de l’intention.

Dans le prolongement de la pensée de Paul Ricœur, ce livre rapproche les fonctions liantes (ou reliantes) de l’architecture et celles du récit: opération configurante de l’espace pour la première et du temps pour la seconde.�
Pierre Cornu, historien du «temps présent», de ses enjeux environ­nementaux et de la place des sciences et des techniques dans l’Anthropocène, porte notre regard sur les récits engageants qui, attentifs à la complexité systémique des choses, prennent soin de nous et du monde — précaire — que nous habitons.

Auteur.es
Laurent Graber, architecte
Antoine Trollat, architecte
Elisabeth Sulmont, architecte
Pierre Cornu, historien
Valérie Disdier, urbaniste, historienne de l’art
Format: 23 × 32 cm
Pages: 168
ISBN: 978-2-919380-88-6
Parution: 2025
Domaine: AAA (a-rchitecture, Urb-a-nisme, P-a-ysage)
Collection: Savoir-faire
Prix: 30€

[Nouveauté] Architecture patiente. Lieu de soin et soin du lieu�Atelier d’architecture Tolila + Gilliland ⁠⁠Faire avec l...
16/06/2025

[Nouveauté] Architecture patiente. Lieu de soin et soin du lieu�Atelier d’architecture Tolila + Gilliland ⁠

Faire avec la complexité, entendre des injonctions contradictoires, porter son attention à de multiples et diverses dimensions, est un chemin qui demande patience et attention.⁠
Trois structures hospitalières à Chevilly-Larue, Soisy-sur-Seine et Meulan-en-Yvelines, nichées dans un parc. Dans un environnement qui raconte la saisonnalité et le vivant, qui renaît chaque printemps. Ces lieux de la réparation, bien que nécessairement sécurisants et protecteurs, devaient tout autant ouvrir des possibles vers le parc, vers le monde, pour envisager des relations à l’autre que soi. Un jour, chacun et chacune à son rythme.⁠

Des permanences existent, mais chaque situation et chaque histoire sont singulières. Les lieux comme les personnes. Les pathologies aussi: l’autisme à Chevilly-Larue et à Soisy-sur-Seine, les addictions à Meulan-en-Yvelines. En architecture, chaque détail compte: les épaisseurs qui séparent sans enfermer, les toitures qui protègent sans écraser, les espaces qui relient sans se perdre, les couleurs et les textures qui disent l’hospitalité, les transparences qui emportent les regards sans les noyer, les seuils qui invitent à avancer sans trébucher. Des proportions à la juste échelle, à l’échelle de celles et ceux qui habitent les lieux — patients, résidents et soignants —, le jour comme la nuit. Gaston Tolila et Nicholas Gilliland y ont contribué en architectes.⁠

Lancement en présence des architectes⁠
Mercredi 25 juin à 19h30⁠
Librairie Volume ⁠
47, rue Notre-Dame de Nazareth, Paris 3e⁠

Auteur.es⁠
Atelier d’architecture Tolila + Gilliland ⁠
Gaston Tolila, architecte⁠
Nicholas Gilliland, architecte ⁠
Bérénice Bourgoin, architecte auteure⁠

Format: 23 × 32 cm⁠
Pages: 136⁠
ISBN: 978–2–919380–91–6⁠
Parution: 2025⁠
Langue: Français⁠
Domaine: AAA (a-rchitecture, Urb-a-nisme, P-a-ysage)⁠
Collection: Savoir-faire⁠
Prix: 29€

[Lancement] Architecture patiente. Lieu de soin et soin du lieu�Atelier d’architecture Tolila + Gilliland ⁠⁠Les Éditions...
13/06/2025

[Lancement] Architecture patiente. Lieu de soin et soin du lieu�Atelier d’architecture Tolila + Gilliland ⁠

Les Éditions 205 développent une ligne éditoriale dédiée à l’architecture, à l’urbanisme et au paysage. Intitulée “AAA”, elle met en lumière les réponses spatiales les plus pertinentes face à la crise de l’habitabilité — qu’il s’agisse de la finitude des ressources, des aléas climatiques majeurs, des enjeux de métabolisme urbain ou de justice sociale.� ⁠

Plusieurs collections se déploient, dont « Savoir-faire », qui aborde ces problématiques par le prisme de la pratique. Y sont valorisées des approches d’architectes, d’urbanistes et de paysagistes fondées sur l’attention, la considération, la maintenance et le ménagement des lieux comme des relations.��⁠

Le mercredi 25 juin, nous célébrerons la parution d’un nouvel ouvrage consacré à la démarche de l’agence Tolila+Gilliland, développée à travers trois projets architecturaux centrés sur un même enjeu: accueillir, interagir, prendre soin et accompagner des enfants et des adultes fragilisés ou vivant avec des troubles psychiatriques entravant leur autonomie.⁠

Lancement en présence des architectes⁠
Mercredi 25 juin à 19h30⁠
Librairie Volume ⁠
47, rue Notre-Dame de Nazareth, Paris 3e⁠

[Nouveauté] Le téléphérique du SalèveUne expérience du paysage vivantMaurice Braillard architecteDevaux & Devaux archite...
30/05/2025

[Nouveauté] Le téléphérique du Salève
Une expérience du paysage vivant
Maurice Braillard architecte
Devaux & Devaux architectes

L’îlot vert du Salève, montagne emblématique du Genevois, est un espace naturel préservé qui se distingue par sa géographie unique. Entre France et Suisse, il relie la ville de Genève à un paysage exceptionnel, offrant une vue panoramique sur les Alpes, le mont Blanc et le Jura.

Havre de nature préservée, le Salève invite à la découverte, à la randonnée, à l’escalade, tout en offrant un refuge à la biodiversité. Son histoire est riche, marquée par des pionniers scientifiques, des sportifs et des artistes — de Saussure à Mary Shillito — qui ont exploré ses vertus depuis le XVIIIe siècle.

La montagne est un sanctuaire écologique, protégé par son classement Natura 2000. Le pastoralisme, pratique ancestrale, entretient son paysage et soutient l’économie locale.

Le Salève est également le symbole d’une coopération franco-suisse exemplaire. Le téléphérique, premier lien transfrontalier, est l’emblème de cette région connectée.

Inauguré en 1932, ce chef-d’œuvre moderne conçu par l’architecte Maurice Braillard et l’ingénieur André Rebuffel offre un nouvel horizon aux échanges et au tourisme. La gare haute est un monument de beauté brutale, témoignage de l’audace de son époque.

Le projet de réhabilitation — salué par l’Équerre d’argent en 2024 — a été mené par l’agence Devaux & Devaux. Il s’est attaché à valoriser ce patrimoine tout en révélant la beauté naturelle du paysage.

Monument historique et architecture contemporaine, zone de loisirs en plein air, refuge, oasis… cet endroit est une étape vers la montagne ou une destination à part entière. Comme suspendu dans le temps, il offre un espace où toutes les existences deviennent possibles.

Visionnaire, il instaure une intimité avec la moyenne montagne et renoue avec l’émerveillement des premiers explorateurs des sommets.

Auteur.e.s
Maxime Delvaux, photographe
Carine Bel, journaliste
Fleur Richard, doctorante en architecture

Collection “a&s”

Coédition
Éditions deux-cent-cinq
CAUE de Haute-Savoie

Pages: 112
ISBN: 978–2–919380–94–7

26/05/2025

[Nouveauté] Le téléphérique du Salève
Une expérience du paysage vivant
Maurice Braillard architecte
Devaux & Devaux architectes

L’îlot vert du Salève, montagne emblématique du Genevois, est un espace naturel préservé qui se distingue par sa géographie unique. Entre France et Suisse, il relie la ville de Genève à un paysage exceptionnel, offrant une vue panoramique sur les Alpes, le mont Blanc et le Jura.

Havre de nature préservée, le Salève invite à la découverte, à la randonnée, à l’escalade, tout en offrant un refuge à la biodiversité. Son histoire est riche, marquée par des pionniers scientifiques, des sportifs et des artistes — de Saussure à Mary Shillito — qui ont exploré ses vertus depuis le XVIIIe siècle.

La montagne est un sanctuaire écologique, protégé par son classement Natura 2000. Le pastoralisme, pratique ancestrale, entretient son paysage et soutient l’économie locale.

Le Salève est également le symbole d’une coopération franco-suisse exemplaire. Le téléphérique, premier lien transfrontalier, est l’emblème de cette région connectée.

Inauguré en 1932, ce chef-d’œuvre moderne conçu par l’architecte Maurice Braillard et l’ingénieur André Rebuffel offre un nouvel horizon aux échanges et au tourisme. La gare haute est un monument de beauté brutale, témoignage de l’audace de son époque.

Le projet de réhabilitation — salué par l’Équerre d’argent en 2024 — a été mené par l’agence Devaux & Devaux. Il s’est attaché à valoriser ce patrimoine tout en révélant la beauté naturelle du paysage.

Monument historique et architecture contemporaine, zone de loisirs en plein air, refuge, oasis… cet endroit est une étape vers la montagne ou une destination à part entière. Comme suspendu dans le temps, il offre un espace où toutes les existences deviennent possibles.

Visionnaire, il instaure une intimité avec la moyenne montagne et renoue avec l’émerveillement des premiers explorateurs des sommets.

Auteur.e.s
Maxime Delvaux, photographe
Carine Bel, journaliste
Fleur Richard, doctorante en architecture

Collection “a&s”

Coédition
Éditions deux-cent-cinq
CAUE de Haute-Savoie

Pages: 112
ISBN: 978–2–919380–94–7

21/05/2025

Entre ciel et terre: rencontre autour du livre Looking for architecture. Dialoguer avec les milieux habités ⁠
Vendredi dernier, nous avons eu le plaisir d’accueillir de nombreux participants pour arpenter une partie des 300 hectares de l’ancienne base aérienne 217 avec Laurent Graber et Antoine Trollat (LFA architectes), Nicolas Bonnenfant (Atelier Coloco), Arnaud Trecour et Olivier Quittard, SPL Air 217.⁠

Entre le ciel et la terre, c’est l’horizon qui se donne à voir sur l’ancienne Base aérienne 217. Le site est porteur de l’histoire de ceux qui, une fois sur terre, ont dompté les airs et participé au déploiement de l’histoire aérienne. Après sa fermeture, ce site empreint d’héritage a laissé place à des objets et des imaginaires vestiges, posés dans le grand paysage. Cultiver la mémoire du lieu, c’est aussi permettre à la nature de reprendre ses droits, en maintenant les continuités éco­logiques et une ouverture vers ce grand paysage. La démarche de réparation inspirée du kintsugi transforme le processus en véritable œuvre d’orfèvrerie, comme en témoigne la restauration de Béarn, l’ancien bâtiment-radar du site.⁠

Un grand merci à nos partenaires:⁠
• Maison de l’architecture Île-de-France
• Librairie Volume
• Enlarge your Paris
• SPL Air 217⁠
• Chaire aménager le Grand Paris⁠

Pour en savoir plus sur le livre et l’agence LFA:
https://www.editions205.fr/products/looking-for-architecture-dialoguer-avec-les-milieux-habites?_pos=1&_sid=31f712b42&_ss=r

Looking For Architecture, titre de ce livre et nom de l’agence fondée par Laurent Graber et Antoine Trollat, résume en trois lettres — L F A — ce qui conduit et porte le travail des architectes: redonner sens à l’acte de construire alors que l’architecture et la ville sont percutées par le changement global.⁠
Auteur.rices: Laurent Graber, Antoine Trollat, Elisabeth Sulmont, LFA architectes
Pierre Cornu et Valérie Disdier
ISBN: 9782919380886⁠

Adresse

24, Rue Commandant-Faurax
Lyon
69006

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Éditions 205 publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager