Apologie Magazine

Apologie Magazine Apologie Magazine - Provocateur d'émotions
Depuis juin 2015. Photo / arts / architecture / musique Apologie Magazine est gratuit dans nos points de diffusion.

L’histoire d’Apologie magazine est celle d’une envie : proposer 3 fois par an, un objet de haute qualité, tant sur la forme que sur les contenus proposés. L'option "Apologie livré à domicile", payante, existe. Elle permet de recevoir le magazine directement dans sa boîte aux lettres, avant sa diffusion officielle, avec en plus 5 tirages A5 de photos présentées dans le numéro. Les histoires traiten

t de sujets de société, à portée large, avec une dimension artistique et humaine, et une charge émotionnelle certaine. Apologie Magazine doit être un « provocateur d’émotions », comme l’indique sa baseline. Les sujets varient, allant de l’architecture à la musique, en passant par la décoration, la peinture, la photographie, le design et le sport. Ils peuvent avoir une dimension locale ou au contraire plus internationale, et dépassent à chaque fois les frontières de leur domaine. En résumé, des sujets dits « pointus » mais pas élitistes, puisqu’ils parlent à tous. GRATUIT EXIGEANT

Apologie magazine est ce qu’on pourrait appeler un « gratuit exigeant » :
- Notre ambition est de montrer qu’il est possible de proposer, avec ce modèle économique, un contenu de qualité qui fédère et fidélise une communauté de lecteurs engagés autour de ce projet.
- L’objet en lui-même est désirable. La qualité du papier et de l’impression, la mise en forme des contenus, la place laissée à l’image, la qualité des histoires et des textes proposés, les parti-pris radicaux (164 pages, 12% des pages de publicité, mise en page) font de ce magazine un objet à part, proche du livre, et qui a toute sa place sur une table basse ou dans un bibliothèque. Il peut être lu d’une traite, ou au contraire être « picoré » suivant la disponibilité ou le moment de la journée.
- L’ADN du magazine ? Amaury, David et Nicolas, ses 3 fondateurs. Les sujets proposés sont ceux qu’ils auraient aimé trouver dans une publication. Cette subjectivité est assumée et revendiquée. Les histoires sont traitées avec la même exigence que celle appliquée à la mise en forme : démarche journalistique, recherche de témoignages, anecdotes, succession de texte courts et dynamiques pour accompagner le lecteur. Apologie magazine apporte sur des histoires connues des éléments nouveaux, afin de susciter chez le lecteur un effet de surprise et un sentiment de sympathie. UNE RELATION NOUVELLE AVEC LES ANNONCEURS

Au-delà de l’objet, Apologie magazine se décline en ligne, via un site, des réseaux sociaux et une application mobile à venir. Ces vecteurs doivent nous permettre de créer et d’asseoir la marque « Apologie magazine » et de fédérer une communauté autour de cette marque. Une communauté faite de nos lecteurs et de nos annonceurs, que nous souhaitons valoriser comme des marques partenaires. Ce sont elles qui offrent Apologie magazine à nos lecteurs. C’est ainsi que nous souhaitons les valoriser à travers les opérations à venir.

Apologie Magazine  #2 « Après toutes ces années dans les faubourgs, je m’aperçois que la ville me va bien et que je me s...
22/03/2025

Apologie Magazine #2

« Après toutes ces années dans les faubourgs, je m’aperçois que la ville me va bien et que je me suis déjà attaché à mon quartier, avec son mélange changeant de blanc, de brun et de noir, sa polyphonie d’accents étrangers, ses enfants et ses arbres, ses familles de petits-bourgeois laborieux, ses couples de lesbiennes, ses épiceries coréennes, le saint homme indien barbu en robe blanche qui me salue en s’inclinant chaque fois que nous nous croisons dans la rue, ses nains et ses invalides, ses vieux retraités marchant à petits pas sur les trottoirs, les
cloches de ses églises et ses dix mille chiens, sa population clandestine de pilleurs de poubelles solitaires et sans logis poussant leurs caddies au long des avenues et fouillant les ordures en quête de bouteilles. »

Paul Auster, « Brooklyn Follies », Actes Sud, traduction Christine Le Bœuf, 2005
« I live in Brooklyn. By choice. »
Truman Capote – « Brooklyn Heights : A Personal Memoir », Holiday Magazine, 1959
« Le reste des Etats-Unis n’existe pas pour moi, sauf comme idée, ou comme histoire, ou comme littérature. »
Henry Miller, à propos de Brooklyn, où il a grandi.

Photographe :

Souvenir d’expo…. x  à la  avec
19/03/2025

Souvenir d’expo….
x à la avec

Ce weekend, Apologie est passé par  …Pour ceux qui nous connaissent, vous savez que nous avons exposés la bas 2 années c...
16/03/2025

Ce weekend, Apologie est passé par …
Pour ceux qui nous connaissent, vous savez que nous avons exposés la bas 2 années consécutives.
Vous savez que l’ADN d’Apologie était de faire découvrir des jeunes artistes qui étaient dans l’ombre.
Notre seul but était de leur apporter un peu de lumière pour que vous puissiez les découvrir et aimer leur art.
Et bien c’est avec beaucoup de fierté que nous avons pu constater que les artistes en qui nous avons cru, sont aujourd’hui connus et reconnus.
Voir leurs œuvres exposées sur les murs des galeries qui exposent à Art Up, nous rend tout simple fiers et heureux…
Comme quoi l’aventure Apologie avait bien une raison d’être.

Apologie 5, numéro dédié à toutes les femmes. Il y a 9 ans ne déjà….
08/03/2025

Apologie 5, numéro dédié à toutes les femmes. Il y a 9 ans ne déjà….

Rien ne remplacera le papier…
28/02/2025

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27/02/2025
Ce JOUET DE LA RÉALITÉ offre à l’univers imaginaire des Comics une vision plus vraie que nature.
25/02/2025

Ce JOUET DE LA RÉALITÉ offre à l’univers imaginaire des Comics une vision plus vraie que nature.

TA GU**LE DE GANG !En 2015, dans le tout premier numéro d’Apologie Magazine, nous avions décidé de publier une série de ...
24/02/2025

TA GU**LE DE GANG !
En 2015, dans le tout premier numéro d’Apologie Magazine, nous avions décidé de publier une série de portrait de
Cette série a largement contribué au succès d’Apologie. Il arrive de retrouver ces pages sous cadres chez des lecteurs… 😉
Un vrai Gang de Brooklyn.
Kevin Vast, photographe, vit depuis quelques temps à New York, dans le quartier de Bedford Stuyvesant, Brooklyn. Il en a ramené quelques portraits du voisinage…
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ART IS WORKVous connaissez Milton Glaser. Par coeur, si l’on peut dire. C’est lui qui a dessiné le  célébrissime « I ❤️ ...
23/02/2025

ART IS WORK
Vous connaissez Milton Glaser. Par coeur, si l’on peut dire. C’est lui qui a dessiné le célébrissime « I ❤️ New York ». Surprenant succès que celui de ce logo fait en
1975, probablement le plus connu du monde. Milton Glaser lui-même ne se l’explique pas, le qualifiant de miracle. Pour l’anecdote, il ne touche aucun droit sur
l’utilisation qui en est faite aujourd’hui. Il se dit juste heureux de le voir partout. Ce visuel n’est après tout qu’une infime partie de son travail. Un travail riche, varié, moderne et populaire. Celui d’un homme qui a littéralement voué sa vie à son art. Et la vision qu’il en propose, avec le recul des années, est incroyablement profonde.
Graphiste, designer, illustrateur, peu lui importe le qualificatif. L’important, explique Milton Glaser*, c’est de faire. L’activité créative n’a de valeur que si elle permet de matérialiser une idée. L’artiste doit permettre de comprendre le monde, de capturer le réel tel qu’il le comprend pour le communiquer, et provoquer l’attention. Pour cela, estime-t-il, rien de mieux que le dessin. Il est son mode d’expression. L’outil fondamental, le chemin le plus directe de l’esprit à la main, le moyen le plus sûr de
traduire ce qu’il observe. A 8 ans, il a commencé par dessiner des nus qu’il revendait 1 penny l’exemplaire à
ses camarades de classe. Il n’a depuis eu de cesse de peaufiner son geste. Au fil des ans, dit-il, le souci du style s’est estompé pour aller vers plus de clarté et
d’efficacité. Milton Glaser ne s’arrêtera jamais de travailler. Il déclare même que l’idée de mourir
à son bureau lui est agréable. « Art is work », a-t-il fait inscrire au fronton de son agence. Une manière de rejeter l’image de l’artiste torturé, qu’il déteste. « Il n’y a pas de souffrance dans la création. Il n’y a que du plaisir. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas de difficultés. Il y a des difficultés dans tout. Ce n’est rien d’autre que la vie. Je dis toujours que rien ne surpasse le privilège de créer des choses, de dévouer sa vie à la création** ». Galvanisant.
❤️ny

Mood du soir....Bonsoir.
21/02/2025

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21/02/2025

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We are not artists, we are writers. ©️Nasty
18/02/2025

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©️Nasty

Souvenirs de Los Angeles
16/02/2025

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15/02/2025

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Souvenirs de Kyoto
14/02/2025

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L’histoire d’Apologie magazine est celle d’une envie : proposer 3 fois par an, un objet de haute qualité, tant sur la forme que sur les contenus proposés. Apologie Magazine est gratuit dans nos points de diffusion. L'option "Apologie livré à domicile", payante, existe. Elle permet de recevoir le magazine directement dans sa boîte aux lettres, avant sa diffusion officielle, avec en plus 5 tirages A5 de photos présentées dans le numéro. Les histoires traitent de sujets de société, à portée large, avec une dimension artistique et humaine, et une charge émotionnelle certaine. Apologie Magazine doit être un « provocateur d’émotions », comme l’indique sa baseline. Les sujets varient, allant de l’architecture à la musique, en passant par la décoration, la peinture, la photographie, le design et le sport. Ils peuvent avoir une dimension locale ou au contraire plus internationale, et dépassent à chaque fois les frontières de leur domaine. En résumé, des sujets dits « pointus » mais pas élitistes, puisqu’ils parlent à tous. GRATUIT EXIGEANT Apologie magazine est ce qu’on pourrait appeler un « gratuit exigeant » : - Notre ambition est de montrer qu’il est possible de proposer, avec ce modèle économique, un contenu de qualité qui fédère et fidélise une communauté de lecteurs engagés autour de ce projet. - L’objet en lui-même est désirable. La qualité du papier et de l’impression, la mise en forme des contenus, la place laissée à l’image, la qualité des histoires et des textes proposés, les parti-pris radicaux (164 pages, 12% des pages de publicité, mise en page) font de ce magazine un objet à part, proche du livre, et qui a toute sa place sur une table basse ou dans un bibliothèque. Il peut être lu d’une traite, ou au contraire être « picoré » suivant la disponibilité ou le moment de la journée. - L’ADN du magazine ? Amaury, David et Nicolas, ses 3 fondateurs. Les sujets proposés sont ceux qu’ils auraient aimé trouver dans une publication. Cette subjectivité est assumée et revendiquée. Les histoires sont traitées avec la même exigence que celle appliquée à la mise en forme : démarche journalistique, recherche de témoignages, anecdotes, succession de texte courts et dynamiques pour accompagner le lecteur. Apologie magazine apporte sur des histoires connues des éléments nouveaux, afin de susciter chez le lecteur un effet de surprise et un sentiment de sympathie. UNE RELATION NOUVELLE AVEC LES ANNONCEURS Au-delà de l’objet, Apologie magazine se décline en ligne, via un site, des réseaux sociaux et une application mobile à venir. Ces vecteurs doivent nous permettre de créer et d’asseoir la marque « Apologie magazine » et de fédérer une communauté autour de cette marque. Une communauté faite de nos lecteurs et de nos annonceurs, que nous souhaitons valoriser comme des marques partenaires. Ce sont elles qui offrent Apologie magazine à nos lecteurs. C’est ainsi que nous souhaitons les valoriser à travers les opérations à venir.