25/07/2025
💥HOMMAGE & REPLAY💥
Boire et déboires ! Il était une fois un prince des ténèbres. Un homme aux cris déchirants, aux gestes flous, au regard chargé d’un autre monde. Le 22 juillet dernier, John Michael "Ozzy" Osbourne a quitté cette planète à l'âge de 76 ans, non sans y avoir laissé une empreinte indélébile.
Jamais un concert d’adieu n’aura aussi bien porté son nom que celui du 5 juillet dernier à BIRMINGHAM, sa ville natale. Le berceau du Heavy Metal lui disait adieu, et c’était bien plus qu’un concert. C’était un adieu au père fondateur qui a joué assis, presque un genou à terre...
Avec Black Sabbath, Ozzy a créé un son. Un son lourd, sombre, métallique. Dès 1970, avec des albums comme "Black Sabbath", "Paranoid" ou "Master of Reality", il posait les fondations d’un genre : le Heavy Metal. Rien que ça.
Puis il part en solo, tel un prophète de l’apocalypse. On le croit perdu, il revient en réalité plus fort. "Blizzard of Ozz", "Diary of a Madman", "No More Tears", ... et des hymnes immortels comme CRAZY TRAIN, MR. CROWLEY ou MAMA, I’M COMING HOME. À chaque fois, il flirte avec le chaos, la magie noire, la chute… mais il ne tombe jamais. Ou alors, il remonte encore plus haut.
Ses excès ? Il en a fait un art. Alcool, drogues, morsures de chauve-souris – Ozzy Osbourne était un dérapage permanent. Mais c’est aussi ça, la légende. Un homme qui a survécu à tout ce qui aurait dû le tuer, et qui a transformé chaque déviance en mythe.
Et puis il y a eu la télé. Les années 2000. THE OSBOURNES sur MTV : OZZY, figure surréaliste d’un quotidien fou. Un rockeur qui crie sur ses chiens entre deux prises de médicaments. Le chaos devient sitcom.
Créateur aux États-Unis du OZZFEST en 1996, il a offert une scène à des dizaines de groupes, souvent à leurs débuts : Slipknot, System of a Down, Korn ou encore Tool. Un festival qui a porté le métal à bout de bras pendant plus d’une décennie.
Ozzy Osbourne n’était pas seulement un chanteur. C’était un mouvement, une institution, un pan entier de l’histoire de la musique. Il a influencé des générations entières. Il a hurlé pour ceux qui n’avaient pas de voix. Même si, sur la fin, les ordinateurs l'aidait un peu…
Aujourd'hui, Stack lui rend hommage avec une playlist spéciale juste en-dessous et en podcast sur SUN. Que les prochaines nuits soient lourdes, bruyantes et belles.
Long live The Prince of Darkness.
Long live OZZY OSBOURNE.🤘🤘
Boire et déboires ! Il était une fois un prince des ténèbres. Un homme aux cris déchirants, aux gestes flous, au re...