La Crypte

07/02/2025

NOEL SANGLANT
Un reboot du classique slasher

En tournage ce printemps, «Silent Night Deadly Night » est bien entendu le remake du slasher classique de 1984, signé Charles E. Sellier Jr., qui donna naissance à quatre suites et à un remake indépendant en 2012. Cependant, seuls les trois premiers films sont réellement connectés, tandis que les deux dernières suites n'étaient que des histoires centrées sur ou autour de la période de Noël. Dans l’original, un jeune garçon assiste au meurtre de ses parents par un homme déguisé en Père Noël, pour ensuite grandir et devenir lui-même un tueur. Hanté par un traumatisme et alimenté par un sens tordu de la justice, il enfile le costume rouge, transformant le calendrier de l'Avent en une série de nuits de terreur. À l'approche de la veille de Noël, une petite ville devient son dernier terrain de chasse, où les vilains et les méchants paient le prix ultime. Sixth Dimension, le nouveau label de genre de Studiocanal dirigé par Jed Benedict, a acquis les droits mondiaux hors Amérique du Nord du film. «Chez Sixth Dimension, notre mission est de trouver des films de genre audacieux et de haut niveau, écrits par de grands conteurs. Nous avons trouvé exactement cela dans la vision palpitante de Mike P. Nelson et, en combinaison avec l'équipe virtuose de Cineverse, Jamie R. Thompson, les producteurs originaux de Silent Night, Deadly Night et Steven Schneider, cette réinvention follement divertissante ne se contentera pas de proposer des festivités sanglantes et à coups de hache, mais fera également entrer clandestinement une histoire d'amour». Le scénariste/réalisateur Mike P. Nelson (The Domestics , le remake de Wrong Turn) a déclaré : «L'opportunité de travailler avec les producteurs impliqués dans le premier film et de collaborer avec l'équipe de Terrifier 3 est un honneur. Je n'oublierai jamais le moment où j'ai visité le magasin de vidéo du mini-centre commercial quand j'avais 5 ans et où j'ai vu l'affiche du film original. J'étais émerveillé et j'ai commencé à imaginer les choses horribles qui allaient se passer. Faire partie de l'héritage du film plusieurs années plus t**d est insensé ! J'ai hâte de lancer la production et de dévoiler ma nouvelle version de cette histoire fascinante». Les producteurs de l’époque, Scott Schneid et Dennis Whitehead de Wonderwheel Entertainment, sont de retour pour reprendre leurs fonctions. Ils espèrent «offrir une nouvelle approche moderne du cauchemar ultime des vacances».

08/01/2025

Suite aux objectifs atteint de la campagne KKBB, celle-ci (qui permet de gagner un tee shirt exclusif de Godzilla) est exceptionnellement prolongée !

https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/l-ecran-fantastique-des-portes-de-l-enfer-aux-aventures-galactiques?fbclid=IwY2xjawHrToBleHRuA2FlbQIxMAABHYvYTo27BzkzJTz3P0CyWTXJ8lidYqWYj5Zvu2U6B8WKLd-GjENt6KMhgA_aem_TePDzsdfqOKw7tesT7uEDQ

Embarquez-vous pour un voyage vers tous les multivers

08/11/2024

BOX-OFFICE
"Terrifier 3" dépasse les 2 millions d’Euros en Espagne

Ils sont déjà plus de 330 000 à se rendre au cinéma pour voir les aventures d'Art The Clown.
Cela fait à peine une semaine que « Terrifier 3 » est sorti dans les cinémas espagnols et au cours de ces sept jours, il a déjà récolté plus de 2 millions d'euros, attirant plus de 330 000 spectateurs dans les salles.

Ainsi,, le nouveau volet avec Art The Clown est déjà l'un des films d'horreur les plus rentables de l'année en Espagne et, rien qu'avec la sortie en Espagne, il a déjà couvert le budget du film.

Dans le monde, « Terrifier 3 » a déjà rapporté 67 millions de dollars, dont 51 aux États-Unis. Pour nous donner une idée du succès du film, « Smile 2 » , la suite de l'un des titres d'horreur les plus réussis de ces dernières années, a rapporté à ce jour 54 millions de dollars aux États-Unis.

Contrairement aux deux films précédents qui se sont déroulés à Halloween, « Terrifier 3 » se déroule à Noël, et cette période des fêtes, le clown Art entreprend de semer le chaos parmi les habitants sans méfiance du comté de Miles alors qu'ils dorment paisiblement la veille de Noël.

De plus, « Terrifier 4 » a déjà été confirmé par le réalisateur Damien Leone et pourrait marquer la fin des aventures d'Art The Clown (au moins pour une saison).

07/11/2024

Le nouveau Reboot est paru !

https://www.journaux.fr/lecran-fantastique-reboot_cinema_art-et-culture_263425.html?fbclid=IwY2xjawGZZb9leHRuA2FlbQIxMQABHb4nnF4SsfvGuey75Fl50RiDXh80Bk_6AFG1AozFh_b2XQStA1W7sOJdaQ_aem_MIsunNwbAIQopw41hX8hVg

"L'écran fantastique Reboot" : C'est le magazine d'actualité dont vous avez l'habitude dans une formule rafraîchie. Chaque semaine des dizaines de films sortent en salles, chaque mois, des centaines de nouveautés débarquent en Blu-Ray ou sur les plate-formes de streaming, et dans les librairie...

30/10/2024

Vu sur Amazon Prime, le très sympathique LONG DISTANCE du tandem Josh Gordon et Will Speck, une coproducrion Universal DreamWorks. Une aventure de SF horrifique, réminiscente d’ « Alien», traitée sur un ton sérieux mais avec beaucoup d’humour (bienvenu). Les SFX sont impeccables et le suspense constant. Avec en vedette Naomi Scott (« Aladin », « Smile 2) et Antony Ramos (« Twisters »). On ne s’ennuie jamais. Il y a de la romance (légère) et les monstres sont effrayants à souhait. L’intrigue est efficace, et fonctionne bien. On passe un bon moment ! Rezcommandé.
(Alain Schlockoff)

Le sujet : Un ingénieur d'un vaisseau spatial s'écrase sur une planète extraterrestre. Seul et à court d'oxygène, il doit traverser un terrain accidenté afin de retrouver la seule survivante connue - une femme emprisonnée dans sa nacelle de secours.

29/10/2024

VOD

DON’T MOVE
Terreur immobile
***
USA. 2024. Réal.: Brian Netto et Adam Schindler. Scén.: T.J. Cimfel et David White. Prod. : SamRaimi, Sarah Sarandos, Christian Mercuri, Alex Lebovici et Zainab Azizi. Photo : Zach Kuperstein. Mus.: Mark Korven et Michelle Osis. Mont : Josh Ethier. 1h32. Avec : Kelsey Asbille, Finn Wittrock, Moray Treadwell, Daniel Francis. (Netflix).

Iris, une jeune femme désespérée qui s’apprête à se suicider en forêt fait la connaissance d’un homme étrange qui la convainc de ne pas passer à l’acte. Mais le bon samaritain est en réalité un psychopathe chevronné qui a pour habitude d’injecter un agent paralysant à ses victimes avant de les tuer…

Produit par Sam Raimi et réalisé par Brian Netto et Adam Schindler, Don’t Move est un thriller horrifique reposant sur un high concept alléchant. Après un générique très graphique, le réalisateur pose rapidement le contexte en nous présentant une héroïne au bord du gouffre qui, devant l’adversité, va reprendre en main son existence dans l’espoir de survivre face à un psychopathe parfaitement organisé. Le fait que le tueur inocule un produit chimique à sa victime, produit qui va la paralyser peu à peu, accentue évidemment la tension que véhicule l’histoire. Le concept, pourtant attrayant sur le papier, n’est cependant pas pleinement exploité et laisse un sentiment d’inachevé. Le suspense est néanmoins bien présent et certaines scènes font leur petit effet, en témoignent ce moment où la protagoniste principale dévale la rivière ou encore ce passage où elle est recueillie par Bill qui tente de la protéger. La personnalité de Richard, en outre, est particulièrement troublante et sème souvent le malaise, en particulier quand il a ses accès de violence donnant lieu à des exécutions brutales. L’interprétation de Finn Wittrock, figure récurrente de la série «American Horror Story», est, en ce sens, remarquable, le comédien incarnant, avec force et conviction, cet assassin froid et machiavélique. Face à lui, Kelsey Asbille campe avec brio Iris, rôle délicat s’il en est car immobile durant une bonne partie du récit. Des atouts qui, à l’arrivée, contribuent à faire de Don’t Move, une série B attractive à défaut d’être mémorable.

Erwan BARGAIN

28/10/2024

Chaque soir (sauf en période de bouclage...) les dernières nouveautés du genre sur ce site : https://www.ecranfantastique.fr/

25/10/2024

VOD

MR. CROCKET
Une série B sanglante et azimutée
***
USA.2024. Réal.: Brandon Espy. Scén.: Brandon Espy et Carl Reid. Prod.: Carl Reid, David Brooks, Jenna Cavelle, Josh Feldman, Jesse Ford, Sean King O’Grady, Arbi Pedrossian. Photo : Powell Robinson. Mus. Alex Winkler. Mont.: Alex Familian. 1h28. Avec : Jerrika Hinton, Ayden Gavin, Elvis Nolasco, Kristolyn Lloyd. (Disney+).

Summer, une jeune femme qui vient de perdre son mari, se retrouve seule pour élever son fils, Major, perturbé depuis le décès de son père. Un jour, elle trouve la VHS d’une émission pour enfants et l’offre à Major, pensant lui faire plaisir. Mais la cassette renferme bien plus qu’un simple programme télé et abrite en réalité l’esprit d’un psychopathe sanguinaire…

Premier long-métrage de Brandon Espy, Mr. Crocket est une production horrifique qui, à mi-chemin entre It, Shocker et The Ring, s’efforce de sortir des sentiers battus pour mieux effrayer le public. La séquence pré-générique montrant un repas de famille qui finit dans un bain de sang annonce clairement la couleur et introduit le personnage du terrifiant Monsieur Crocket et de ses marionnettes démentes. Cette entrée en matière aussi gore que décalée s’avère particulièrement prometteuse. Puis le récit, qui prend place dans les années 90, débute réellement en nous présentant Major, le jeune héros dont le père vient de décéder, et Summer, sa mère désormais v***e qui ne souhaite que le bonheur de son fils. Ce qui évidemment ne sera pas le cas entraînant ainsi la jeune femme dans un véritable cauchemar. Et quel cauchemar ! Capable de sortir de la télé pour punir les mauvais parents, l’animateur possède des pouvoirs surnaturels qui lui permettent de faire à peu près tout ce qu’il veut. En résulte un film décomplexé et débridé qui, truffé de quelques jump scares mais surtout de meurtres tous plus inventifs et sanglants les uns que les autres, surprendra plus d’un spectateur. Certaines scènes sont, en ce sens, étonnantes à l’image de celle où Crocket sort de la télévision que vient de détruire Summer. Ou encore celles se déroulant dans le repère sordide du psychopathe. À cela s’ajoute une esthétique très 90’s façonnée notamment par éclairages colorés et des effets visuels semblant sortir d’une autre époque mais qui confèrent un charme indéniable à l’ensemble. Voilà donc au final une série B délirante et efficace, qui ne lésine pas sur le gore, se distingue par sa folie et renoue avec l’esprit des productions de la fin des années 80.

ERWAN BARGAIN

https://www.youtube.com/watch?v=BVZUWthrVxM

25/10/2024

SCOOPS du prochain numéro (reboot novembre).Et bon week-end :)