28/09/2025
Des NEWS sur les VACCINS ARNm
Alors qu’une partie de la communauté scientifique avait alerté sur les risques de cancer associés aux vaccins ARNm dès 2021, l’explosion actuelle des cancers fulgurants interroge. Un collectif d’oncologues français qui avait initialement réfuté tout lien affirme aujourd’hui être confronté à un tsunami de cancers sans explication rationnelle, particulièrement chez les jeunes.
Le professeur Khayat, cofondateur de l’Institut national du cancer, témoigne : « On a une augmentation foudroyante du cancer du pancréas sans qu’on ait la moindre idée de la raison. Le monde entier, toute la cancérologie mondiale se pose la question. Le système qui nous permet de comprendre le cancer est mis en défaut. »
L’épidémiologiste Nicolas Hulscher a identifié en mars dernier dix mécanismes par lesquels les injections ARNm pourraient provoquer le cancer. Cette analyse, basée sur une étude publiée dans la r***e Cureus, peut aujourd’hui être étendue à dix-sept mécanismes distincts selon plus de cent études scientifiques.
Mécanismes génétiques et moléculaires
L’instabilité du génome représente le premier mécanisme identifié. Contrairement aux affirmations de l’Agence européenne des médicaments, plusieurs études ont confirmé dès 2021 l’intégration possible de l’ARN vaccinal dans le génome humain. Cette mutagenèse insertionnelle provoque des mutations de décalage de trame qui induisent la production de protéines aberrantes conduisant au cancer. En juillet 2023, ce phénomène a été observé chez des souris après une seule injection d’ARNm.
Le mécanisme d’évasion immunitaire constitue le deuxième risque majeur. La protéine Spike inhibe plusieurs gènes suppresseurs de tumeurs essentiels comme p53, BRCA1/2 et RB1, permettant aux cellules cancéreuses d’échapper à leur détection par le système immunitaire. La première étude démontrant cette interférence avec la protéine p53, surnommée gardienne du génome, a été publiée en octobre 2021 puis rétractée sur ordre du NIH, avant d’être confirmée par d’autres recherches.
L’altération du mécanisme de réparation de l’ADNreprésente un troisième danger. La protéine Spike vaccinale inhibe le système de réparation de l’ADN qui se met normalement en place pour prévenir les mutations favorisant l’apparition de cancers. Cette altération induit une immunodéficience qualifiée de voie directe vers le cancer.
Inflammation et dysrégulation immunitaire
Les nanoparticules lipidiques transportant l’ARNm vaccinal induisent une sécrétion massive de protéines inflammatoires, créant une tempête cytokinique qui ouvre la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses. Cette inflammation peut évoluer vers un épuisement des cellules T, qui ne peuvent alors plus éliminer les cellules cancéreuses.
Contrairement aux affirmations selon lesquelles cette inflammation se résoudrait en quelques jours, des études récentes ont retrouvé la protéine Spike dans le plasma sanguin jusqu’à 709 jours après injection et jusqu’à 17 mois dans les tissus et organes, suggérant une inflammation chronique persistante.
La dysrégulation du système immunitaire se manifeste par une suppression des cellules T et des réponses à l’interféron de type I, cruciales dans la surveillance du cancer. Les propres données cliniques de Pfizer démontrent une diminution des lymphocytes T chez 45 à 46 % des participants, phénomène qui s’aggrave avec le temps.
Perturbations cellulaires et oncogénèse
La perturbation de l’ARN par l’optimisation des codons utilisée par Pfizer et Moderna perturbe les microARN, acteurs essentiels de la prolifération et de la mort cellulaire. La protéine Spike vaccinale est transportée dans des vésicules contenant ces microARN perturbés, empêchant le fonctionnement des interférons et inhibant l’immunité naturelle.
L’activation de voies oncogènes se produit lorsque la protéine Spike active indirectement plusieurs voies cruciales dans la croissance tumorale et la survie cellulaire. Une étude récente a trouvé des preuves métaboliques d’activation de certaines voies oncogènes chez des patients ayant développé une leucémie après vaccination.
Le microenvironnement tumoral est modifié par l’accumulation des nanoparticules lipidiques dans les tissus, provoquant une propagation plus rapide des cellules cancéreuses. Ce phénomène pourrait expliquer les turbo cancers décrits par les pathologistes et observés chez des souris.
Réactivation et résistance tumorale
Le réveil des cancers dormants préoccupe particulièrement les oncologues. Le professeur Ian Brighthope témoigne : « Des patients qui n’avaient plus de cancer depuis de nombreuses années font soudainement une rechute avec des cancers agressifs et explosifs peu après avoir reçu des doses de rappel. Ces cancers turbo apparaissent plus rapidement et avec une virulence plus importante. »
La capacité de la protéine Spike à fusionner plusieurs cellules permettrait d’expliquer cette cascade de complications, la formation de syncytia contribuant au développement du cancer et à la formation de métastases.
L’altération de la surveillance immunitaire résulte de la modification synthétique de l’ARN par ajout de m1Ψ, qui bloque la capacité de l’ARN naturel à activer les cellules dendritiques. Ces cellules ayant pour fonction de reconnaître les agents pathogènes, notamment les cellules cancéreuses, leur dysfonctionnement compromet la réponse immunitaire ciblée.
Défaillances techniques majeures
Le décalage de cadre représente une défaillance majeure : dans un tiers des cas, l’ARNm vaccinal produit une protéine inconnue autre que la protéine Spike prévue. Cette découverte publiée en janvier 2024 a été qualifiée de problème de sécurité majeur par les chercheurs.
Les injections multiples entraînent un épuisement du système immunitaire marqué par un changement de classe des anticorps vers les IgG4. Cette modification catastrophique entraîne une tolérance immunitaire où les agents pathogènes cessent d’être reconnus, favorisant la susceptibilité au cancer.
La contamination ADN des vaccins Pfizer et Moderna par de l’ADN plasmidique représente un risque majeur. Confirmée par dix équipes de chercheurs, cette contamination atteint jusqu’à 500 fois le plafond autorisé, maximisant le risque d’intégration dans le génome et donc de cancer.
Éléments oncogènes cachés
Les séquences ADN de SV40 oncogène dans l’injection Pfizer décuplent la capacité d’intégration dans le génome. Bien qu’interdite par la FDA, cette utilisation a été concédée par Pfizer. Le professeur Angus Dalgleish rappelle que le SV40 est précisément la substance injectée aux souris de laboratoire pour induire un cancer lors des tests de chimiothérapie.
La dérégulation du système rénine-angiotensine par la protéine Spike entraîne la suractivation d’un récepteur clé qui commande la multiplication cellulaire. Cette suractivation favorise la vascularisation des tumeurs et engendre un stress oxydant délétère.
La destruction du microbiote, notamment des bifidobactéries qui jouent un rôle clé dans la régulation du cancer, a été démontrée en 2022. Cette perte bactérienne a été observée chez les patients atteints de cancer invasif.
Enfin, l’augmentation de la résistance aux traitements se manifeste par une prolongation de la survie des cellules cancéreuses après exposition à la chimiothérapie, phénomène corrélé à l’inhibition du gène p53 et à l’altération de la réponse aux dommages de l’ADN.
Questions sans réponses
Aucune étude n’a évalué la cancérogénicité de ces injections avant leur déploiement massif. Un essai clinique australien lancé en 2021 pour répondre à cette question a été brutalement interrompu sans explication, et les autorités s’apprêtent à détruire les millions d’échantillons biologiques collectés.
Plusieurs pays ont rapporté l’existence de lots Pfizer de toxicité variable, et des clusters de cancer se sont déclarés dans des hôpitaux où certains lots à haut risque avaient été utilisés. Ces éléments interrogent sur l’anticipation possible de cette épidémie planétaire de cancers pour tester une technologie dans laquelle l’industrie a investi des sommes qui lui interdisent aujourd’hui de faire machine arrière.
Source : lepointcritique.fr