07/10/2025
RÈGLES D'UNE O.N.G VENEZ LIRE ICI 🤗
La présidente d’une ONG est la responsable principale de l’organisation.
Elle représente l’ONG officiellement auprès des partenaires, des donateurs et du public.
Elle dirige les réunions, veille à ce que les projets soient bien réalisés et que l’argent soit utilisé correctement.
La présidente doit aussi encourager les membres, prendre des décisions importantes et assurer le respect des règles et des valeurs de l’ONG.
Son rôle est donc de guider, protéger et faire avancer l’organisation dans le respect de sa mission humanitaire.
Une ONG doit respecter plusieurs règles pour bien fonctionner.
Elle doit être indépendante du gouvernement et avoir un but non lucratif, c’est-à-dire qu’elle ne cherche pas à faire de profit.
Ses actions doivent être transparentes, honnêtes et conformes à ses objectifs humanitaires ou sociaux.
Elle doit aussi rendre des comptes sur l’utilisation des dons et des aides reçues.
Enfin, une ONG agit toujours dans le respect des droits humains, de la solidarité et de la neutralité.
Dans une ONG, les malades ont des droits importants qui doivent toujours être respectés.
Ils ont d’abord le droit d’être soignés sans discrimination, quelle que soit leur origine, leur religion ou leur situation.
Ils ont aussi le droit au respect et à la dignité, c’est-à-dire qu’ils doivent être traités avec humanité et compassion.
Le droit à la confidentialité est essentiel : les informations médicales d’un malade doivent rester secrètes.
Les malades ont également le droit d’être informés sur leur état de santé et sur les soins proposés, afin de pouvoir donner leur accord.
Enfin, ils ont le droit à la sécurité, c’est-à-dire à recevoir des soins de qualité dans de bonnes conditions.
🚫 Une ONG n’a pas le droit de discriminer les malades : elle doit soigner tout le monde, sans faire de différence de religion, de sexe, d’origine ou de richesse.
Elle ne doit jamais maltraiter un patient ni lui manquer de respect.
Elle ne peut pas révéler les informations médicales d’un malade sans son autorisation, car cela viole le secret médical.
Une ONG ne doit pas imposer un traitement sans expliquer au malade ce qu’il reçoit ni obtenir son accord.
Enfin, elle ne doit jamais utiliser les malades à des fins politiques, commerciales ou expérimentales.
📸 Dans une ONG, les malades ont le droit au respect de leur image.
Cela signifie qu’une ONG ne peut pas publier de photos ou de vidéos d’un malade sur les réseaux sociaux sans son autorisation écrite (ou celle de sa famille s’il ne peut pas décider).
Ce droit protège la dignité, la vie privée et la sécurité des personnes malades.
Même si l’intention est de montrer le travail humanitaire, il faut toujours demander le consentement avant toute diffusion.
Publier une image sans autorisation est une violation du droit à la vie privée et peut nuire au malade ou à sa famille.
💵 L’argent donné à une ONG pour les malades doit être utilisé uniquement pour leur soin et leur bien-être.
Les dons servent à acheter des médicaments, payer le matériel médical, former le personnel ou améliorer les hôpitaux et les centres de soins.
Une ONG doit être transparente, c’est-à-dire qu’elle doit expliquer clairement comment l’argent est dépensé.
Elle n’a pas le droit d’utiliser les dons à des fins personnelles ou politiques.
Chaque euro reçu doit donc profiter directement aux malades ou aux projets qui les aident.
1. Interdictions légales générales
Selon le pays, certaines règles sont souvent similaires :
Conflits d’intérêts :
La présidente ne peut pas prendre de décisions pour l’ONG qui bénéficient à ses intérêts personnels ou à ceux de proches (famille, amis, entreprise liée, etc.).
Gestion personnelle des fonds de l’ONG :
L’argent de l’ONG doit être utilisé exclusivement pour ses objectifs statutaires. Tout détournement est illégal (peut constituer un délit de détournement de fonds ou abus de confiance).
Activités politiques ou lucratives :
Dans certains pays, les ONG à but non lucratif ne peuvent pas être utilisées pour promouvoir un parti politique ou pour générer un profit privé.
Non-respect des statuts :
La présidente doit respecter les statuts et le règlement interne de l’ONG, y compris les règles sur la convocation des réunions, la signature de documents officiels, etc.
2. Interdictions statutaires / internes
Selon les statuts de l’ONG :
Ne pas engager l’ONG sans autorisation si les statuts exigent l’accord du conseil.
Ne pas modifier les objectifs de l’ONG ou ses programmes de manière unilatérale.
Ne pas nommer ou licencier des employés de façon contraire au règlement interne.
3. Interdictions éthiques et bonnes pratiques
Même si elles ne sont pas toujours inscrites dans la loi :
Ne pas utiliser la position pour obtenir des avantages personnels (logements, cadeaux, voyages).
Ne pas divulguer d’informations confidentielles sur l’ONG ou ses bénéficiaires.
Ne pas nuire à l’image ou aux financements de l’ONG par des actes contraires à sa mission.
4. Responsabilité
La présidente peut être tenue responsable personnellement en cas de :
Gestion frauduleuse ou imprudente des fonds.
Non-respect de la loi ou des obligations statutaires.
Dommages causés à des tiers à travers les activités de l’ONG.