Parlons poil

03/06/2024

Save the date comme on dit ✌️

Le 7 juillet à 12h, on sera présente dans l’une de nos librairies parisiennes préférées aux côtés d’une de nos autrices-illustratrices préférées !

Au programme :

12h : Séance d’écoute de notre podcast sur la discrimination pilophobe dès l’école (primaire !) .media (lien en bio)

12h30 : Échange avec et vous sur nos livres respectifs : Parlons poil! et Les poils de la colère (dont on a signé la postface !)

13h : Vente et dédicace de ces 2 merveilleux ouvrages poilus

Et pour finir : tout le monde va manger, c’est l’heure 🍝🍝🍝

29/04/2024

🤷‍♀️ Pourquoi écrire un livre sur le poil féminin et non masculin ?

Cette question nous est posée tellement souvent, et à l’air de susciter tellement d’intérêt, que l’on y répond ici :

Parce que le poil masculin, ce n’est pas le poil féminin. C’est un tout autre sujet. Il ne symbolise pas la même chose. La pilosité masculine n’est pas taboue, pas stigmatisée. Associée à la virilité, elle est même valorisée. La barbe, la moustache ou encore le bouc chez l’homme restent des sujets cosmétiques,
pas transgressifs.

Parce que, oui, les hommes se rasent beaucoup plus qu’avant, c’est vrai. Oui c’est aussi un sujet intéressant. Mais si ces messieurs n’exhibent pas un corps
lisse, sont-ils mis au ban de la société ?
Aujourd’hui, les hommes sont libres de se raser intégralement ou d’être poilus. Ce n’est pas le cas pour les dames. On se répète, c’est un autre sujet.

🎂 Il y a trois ans sortait Parlons poil !

20/02/2024

💜 On signe la postface du livre de et on en est raviessss

💜 Découvrez dès le 8 mars « Les poils de la colère » et en attendant on a une question : Si vous étiez un poil sur un corps féminin, que pourriez-vous attendre de la vie ?

13/12/2023

Allez voir , une comédienne qui parle poils en même temps qu’elle nous fait rire, en même temps qu’elle nous instruit et/ou nous déconstruit.

On a ri (beaucoup ri), on a appris de nouvelles choses sur notre sujet préféré (oui, le champ du poil est infini et mérite plusieurs bouquins), on a rencontré Clémentine Delait, la femme à barbe de Thaon-les-Vosges, on a croisé une petite fille un peu poilue et beaucoup trop moquée, on a voyagé dans le temps : retour à l’adolescence, retour au temps du « je cherche un rasoir pour profiter de la vie, aller à la plage, faire l’amour, porter une robe en été ». Comme Stéphanie Lapiney, on porte le même message : posons-nous la question de ce que nous voulons pour nos corps ? Que voulons nous vivre avec nos poils ? Comme cette comédienne que l’on suivra, on vous incite à parler poil, à les montrer, à les normaliser pour que les petites filles de demain puissent gambader l’esprit libre et décomplexé.

Vous le savez, on est obsédées par les poils et par la dénonciation de l’injonction à l’épilation.

Non, nos corps ne sont pas libres. Stephanie Lapiney nous le rappelle dans son histoire de corps, dans sa relation complexe et ambiguë avec sa pilosité.

15/10/2023

👀 Dans les pages des magazines féminins, vous avez appris qu’il était préférable “de faire vœu de chasteté le temps de ne plus jouer les remake de Gorilles dans la brume.” (Grazia). 

👀 Vous avez aussi découvert que le poil sur certaines zones n’était pas « normal » : « Les brunes connaissent bien le problème, les poils gâchent souvent la joliesse de leurs mains ! » (Avantages)

👀 Vous avez aussi lu à plusieurs reprises que l’on s’épile pour s’occuper de soi : « Parfum, couleur, texture... les marques mettent tout en œuvre pour apporter ce petit plus qui fait de l’élimination des poils superflus un vrai rituel de beauté. » (Femme Actuelle)
La liste est longue.

👉 Un message, une image qui vous a marqué en feuilletant du papier glacé (ou en allumant la tv, ou l’ordi ?)

18/03/2022