Éditions Alternatives

Éditions Alternatives 50 ans d'un parcours le nez au vent, privilégiant les chemins de traverse aux itinéraires balisés, toujours prêts à suivre les idées vagabondes.

Plus de 45 ans d'un parcours le nez au vent, privilégiant les chemins de traverse aux itinéraires balisés, toujours prêts à suivre les idées vagabondes. http://editionsalternatives.com/

Sortie ce jeudi de notre toute dernière parution de l’année “Street art New York” (https://www.editionsalternatives.com/...
20/11/2025

Sortie ce jeudi de notre toute dernière parution de l’année “Street art New York” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2372) de Kimberley Kevorkian (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2373 et de Valeriane Mondot (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2374). Découvrez les textes qui figurent sur la quatrième de couverture.

« Des premiers tags réalisés par une jeunesse en quête de visibilité aux graffiti colorés couvrant les rames du métro, des exploits des premiers graffeurs aux performances techniques des street artistes d’aujourd’hui, New York a joué – et joue toujours – un rôle de premier plan dans la production mondiale de l’art urbain. Collages à Manhattan, graffiti dans le Bronx, fresques immenses à Brooklyn, pochoirs dans le Queens… Partez à la découverte des spécificités de chacun des boroughs à travers plus de 300 photographies inédites, des portraits et interviews d’artistes et des focus sur les lieux emblématiques. Une immersion totale au cœur de la capitale mondiale de l’art urbain !

Photographe et passionnée de street art, Kimberly Kevorkian vit et travaille à Brooklyn. Valériane Mondot est la fondatrice de Taxie Gallery, une galerie d’art spécialisée en graffiti historique européen et américain. »

Les artistes présent.e.s dans le livre : Edward Graffiti, Blade, Cope2, Phase2, Seen, Bushwick Collective, Hopsart, Underhill Walls, Futura 2000, Dondi White, Graff Tours, Faile, Swoon, JMZ Walls, Bianca Romero, DR.Revolt, Zimer, Lady K Fever, JonOne, Sinclair the Vandal, Bkfoxx, Lee Quinones, Drecks

LES BONNES FEUILLES D’ALTERNATIVES.Quelques jours avant sa sortie, nous vous proposons un extrait d’une de nos nouveauté...
16/11/2025

LES BONNES FEUILLES D’ALTERNATIVES.
Quelques jours avant sa sortie, nous vous proposons un extrait d’une de nos nouveautés. Le 20 novembre, parution du livre “Street art New York” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2372) de la photographe Kimberley Kevorkian (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2373) avec une longue introduction/historique de la galeriste Valeriane Mondot (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2374). Découvrez la biographie de Toofly.
« Maria Castillo, alias Toofly, est une graffeuse, graphiste et éducatrice new-yorkaise qui signe des visuels percutants et s’engage pour le féminisme à travers sa créativité. Née en Équateur, elle a grandi à Corona dans le Queens, où elle a découvert la culture du graffiti dans les années 1990 lorsqu’elle prenait le métro tous les jours pour aller au lycée à Manhattan, à la Highschool of Fashion Industries, et qu’elle voyait partout sur son passage tags, fresques et autres productions d’art urbain. Son style unique mêlant graffiti, illustration et influences indigènes met en scène des femmes puissantes, ardentes et expressives, véhiculant des messages de force, d’affirmation de soi et de fierté. Le travail de Toofly apporte une perspective féminine particulièrement bienvenue dans cet univers encore très majoritairement masculin qu’est le graffiti. Ses fresques et ses visuels ornent les murs de la ville et ceux des galeries mais aussi les pages des livres d’art, notamment Graffiti Women et Outdoor Gallery.
Elle a également collaboré avec des écoles et des associations pour faire progresser les jeunes et leur donner confiance à travers l’art. Aujourd’hui, elle partage son temps entre New York et l’Équateur, et continue de se consacrer à la création, à l’éducation et à l’engagement social. Au-delà de la pratique artistique pure et simple, elle cherche à transmettre la culture, la force et l’importance de rester authentique et connectée à ses racines. »
Les artistes présent.e.s dans le livre : Edward Graffiti, Blade, Cope2, Phase2, Seen, Bushwick Collective, Hopsart, Underhill Walls, Futura 2000, Dondi White, Graff Tours, Faile, Swoon, JMZ Walls, Bianca Romero, DR.Revolt, Zimer, Lady K Fever, JonOne, Sinclair the Vandal, Bkfoxx, Lee Quinones, Drecks

La ville de Périgueux accueille la vingtième édition de l’incontournable Festival du Livre gourmand du 14 au 16 novembre...
11/11/2025

La ville de Périgueux accueille la vingtième édition de l’incontournable Festival du Livre gourmand du 14 au 16 novembre. Parmi les nombreux invité.e.s, pas moins de cinq de nos autrices seront présentes d’abord le samedi 15 novembre :
– Raphaëlle Salem de à partir de 10 h, sera au comptoir de dégustation pour faire découvrir sa recette d’herboristerie de la truffe aux herbes folles et dédicacer “Herbes folles à ma table” qu’elle a co-écrite avec son alter-ego Ludivine Véricel ;
– une heure plus t**d, à la salle André Maurois, .claire.frederic vous attend pour une rencontre-débat sur le thème : La fermentation n’aura plus aucun secret pour vous à l’issue de laquelle elle présentera son impressionnant dernier titre “À l’école de la fermentation”. Le lendemain dimanche à 14 h, vous pourrez à nouveau échanger avec Marie-Claire, « l’experte de la fermentation », lors d’un atelier-cours de cuisine sur l’esplanade Robert Badinter consacré à un spécial bocaux comment apprendre à faire votre choucroute et vos pickles de saison (réservation obligatoire) ;
– à 16 h 30, Catherine Bennetau et Solveig Darrigo-Dartinet () vous expliqueront comment préparer des cookies ch’okara, une des recettes extaite de leur récent livre “Soja” qu’elles se feront un plaisir de signer.
Et enfin, le dimanche 16 novembre à 12 h, salle Grassé, Salomé Malou () participera à un débat-rencontre, avec , sur le thème suivant : Ce n’est pas parce que l’on souffre d’exclusions alimentaires que l’on doit se punir ! À l’issue de cette rencontre, vous pourrez rencontrer Salomé qui vous fera découvrir les deux livres qu’elle a publiés chez nous : “Délicieusement digeste” et “Mes recettes anti-dysbiose” paru au printemps dernier.

Une grosse semaine après la sortie en librairie de son ouvrage “Les Sauvages” (https://www.editionsalternatives.com/site...
06/11/2025

Une grosse semaine après la sortie en librairie de son ouvrage “Les Sauvages” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2381), venez le samedi 8 novembre de 15 à 17 h à la rencontre de son auteur Olivier Granoux (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2382) qui propose une fresque des prémisses du street art à Paris au début des années quatre-vingt. Une plongée historique haute en couleur pour (re)découvrir ceux et celles qu’on a surnommé les « sauvages urbains ». C’est le Bookshop_du Fluctuart qui aura le plaisir de vous recevoir avec notre auteur, journaliste au service culture de “Télérama” qui chronique depuis plus de dix ans l’actualité des arts urbains.

Il y a donc tout juste 50 ans, c’était en octobre 1975 (mais on a oublié le jour exact…) paraissait le premier ouvrage d...
30/10/2025

Il y a donc tout juste 50 ans, c’était en octobre 1975 (mais on a oublié le jour exact…) paraissait le premier ouvrage de ce qui allait devenir les éditions Alternatives : “Le Catalogue des Ressources” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=1242).
Pour célébrer dignement cet anniversaire, notre maison a sorti pas moins de six nouveautés en ce mois d’octobre :
– “Mes recettes IG bas avec 5 ingrédient max !” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2369) de Ella Hagege (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=1950^) ;
– “L’Art de l’herbier” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2377) proposé par Vanessa Valognes (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2378) ;
– “Rues parisiennes” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2383) du photographe Daniel Quesney (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2384) et de l’architecte Philippe Simon (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2277) ;
– “L’Art du minuscule” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2371) de Emmanuelle Rosenzweig (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=1816) ;
– “Jana & JS - D’amour et d’art” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2375) du couple Jana & JS (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2376) ;
– “Les Sauvages” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2381) de “Monsieur art urbain” de l’hebdomadaire “Télérama” Olivier Granoux (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2382).
Vous pouvez admirer sur la photo les six couvertures... et le sac collector (hélas plus disponible !) avec ce magnifique gâteau passablement décalé – bien dans l’esprit de notre maison – imaginé par un autre couple célèbre du street art Ella & Pitr (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=1959).

Ce dernier jeudi d’octobre, sortie en librairie du livre de Olivier Granoux () “Les Sauvages” sous-titré “L’odyssée punk...
29/10/2025

Ce dernier jeudi d’octobre, sortie en librairie du livre de Olivier Granoux () “Les Sauvages” sous-titré “L’odyssée punk des pionniers du street art français”. Voici ce qu’on peut lire sur la quatrième de couverture.
« Un retour aux origines de l’art urbain français, une aventure artistique et humaine racontée par ceux qui l’ont vécue et construite.

Au début des années 1980 à Paris, l’art s’est échappé des musées ! La faute à une jeune génération d’artistes pirates qui a décidé de se rebeller contre l’ordre établi et les institutions, en sortant la peinture de son cadre classique. Désormais, la rue est leur galerie. Combien sont-ils ? Qui sont-ils ? Difficile à dire. On les surnomme les sauvages urbains. Ils n’ont rien à voir avec le graffiti américain et la culture hip hop. Étudiants en art biberonnés au punk, ils sont regroupés en collectifs adeptes de la performance interdite, agissant sans autorisation. Leurs terrains de jeux ? Les catacombes, les usines désaffectées, les palissades de chantier, les panneaux publicitaires et les murs de béton. Ils ne le savent pas encore, mais ils viennent de poser les bases de ce que l’on va bientôt appeler le street art.

Avec des interviews exclusives des acteurs de la scène historique : Jérôme Mesnager, Blek le Rat, Speedy Graphito, les VLP, Banlieue Banlieue…


Olivier Granoux est journaliste au service culture de “Télérama” où il chronique l’actualité de l’art urbain depuis une dizaine d’années. »
.gallllego

LES BONNES FEUILLES D’ALTERNATIVES.Quelques jours avant sa sortie, nous vous proposons un extrait d’une de nos nouveauté...
26/10/2025

LES BONNES FEUILLES D’ALTERNATIVES.
Quelques jours avant sa sortie, nous vous proposons un extrait d’une de nos nouveautés. Le 30 octobre sort en librairie du livre de Olivier Granoux (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2382) “Les Sauvages” sous-titré “L’odyssée punk des pionniers du street art français” (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=2381).
Voici des extraits de son introduction.
« À une époque où le street art ne s’appelait pas encore comme ça, des étudiants en art ont pris d’assaut les murs de Paris à grands renforts de couleurs. Sur les panneaux publicitaires, les palissades de chantier, ou dans les Catacombes… la peinture sortait du cadre, s’affranchissait du format tableau, de la galerie et du musée, pour venir à la rencontre du public. En 1985, l’historien de l’art Denys Riout (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=899) publiait aux éditions Alternatives “Le Livre du Graffiti”, (https://www.editionsalternatives.com/site.php?type=P&id=115), qui officialisait l’existence de ces peintres de rue rebelles. Quarante ans plus t**d, l’envie de donner une suite actualisée à l’ouvrage était évidente. Pour d’abord confirmer que Riout avait raison : il s’est passé dans les années 80 une réelle secousse sismique créative, qui a profondément impacté l’art urbain du XXe siècle. Pour raconter aussi un âge d’or de la culture qui pendant les années Mitterrand se permettait toutes les folies.
Combien étaient-ils, ces peintres de rue ? Difficile à dire. Alors pour garder une trame de roman historique, il a fallu faire des choix […] pour se concentrer sur les collectifs principaux. Ces bandes de potes qui étaient poussées dans la rue par cette envie irrésistible d’aller créer tous ensemble pour l’offrir ensuite au plus grand nombre. Quarante ans plus t**d, il est plus ici question de raconter l’histoire d’une utopie collective que d’un mouvement artistique. Une odyssée punk vécue à hauteur d’homme, pour retracer les destins croisés insensés de ceux que Denys Riout qualifiait de picturograffitistes. D’autres les nommaient les sauvages urbains, les média-peintres, la Nouvelle Vague, et même Hard Déco… Mais personne ne réussira à imposer durablement une étiquette. Ce qui finira par avoir quelques conséquences. »
Illustration : l’un des premiers collages des futurs Frères Ripoulin, avec Rafael Gray, 1984. Archives Rafael Gray

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