Les Glorieuses

Les Glorieuses ✊ Les newsletters des révolutions féministes D’autres dans le monde le font depuis de nombreuses années.

Les Glorieuses est un rendez-vous autour de la condition des femmes à travers le monde. De grandes thématiques viennent orchestrer cette newsletter : la légitimité des femmes dans la société, la fin des superwomen & la recherche d’un nouveau modèle et enfin, la violence faite aux femmes. Nous ne sommes pas seuls à se poser des questions autour du féminisme, de la violence, des icônes, du pouvoir des femmes, de la maternité, ou encore de la politique. Et nous devons nous en inspirer.

Pour approfondir vos connaissances sur le monde surprenant des « tradwives », nous vous invitons à participer à notre pr...
25/09/2025

Pour approfondir vos connaissances sur le monde surprenant des « tradwives », nous vous invitons à participer à notre prochain webinaire, au cours duquel Megan Clement, rédactrice en chef de l'édition spéciale, s'entretiendra avec Rebecca Stotzer.

Lors de cet événement en ligne, vous aurez l'occasion de poser directement vos questions à notre experte.

Participer, il suffit de s'inscrire, c'est gratuit. L'événement sera mené en anglais 👉 https://forms.gle/tdCgkhy9cfBGVTYS6

🗓️ Mardi 30 septembre à 9h

* L'événement est réservé aux abonnés de la newsletter. Si vous n'êtes pas encore abonné·e, vous serez automatiquement inscrit·e.

Pourquoi certaines femmes choisissent-elles de devenir des « tradwives » ?Dans ce nouveau numéro de la newsletter, la jo...
24/09/2025

Pourquoi certaines femmes choisissent-elles de devenir des « tradwives » ?

Dans ce nouveau numéro de la newsletter, la journaliste Josephine Lethbridge s'est entretenue avec deux expertes : Rebecca Stotzer, qui s’est intéressée à la manière dont les femmes qui se revendiquent « tradwives » expliquent l’attrait de ce mode de vie ; et Siobhain Lash, qui a étudié comment des esthétiques apparemment inoffensives, comme le cottagecore, peuvent être récupérées par des discours d’extrême droite.

« Tout comme certaines femmes choisissent de ne pas avoir de partenaire et/ou d'enfants et se concentrent sur leur carrière - en raison des difficultés persistantes liées au fait de mener à la fois une carrière brillante et d’être une mère présente, ces femmes font un choix inverse, celui de renoncer à participer au marché du travail au profit des tâches domestiques », a expliqué Stotzer.

Cependant, la vie « trad » ne se réduit pas à la fabrication du pain maison ou au retrait des contraintes modernes. Lash a étudié comment des esthétiques en apparence inoffensives – celles des contenus tradwife ou cottagecore – peuvent être détournées pour promouvoir un antiféminisme assumé, des positions transphobes, ou l’isolement.

« Si vous interagissez avec ce type de contenu, l’algorithme vous propose de plus en plus de vidéos issues de la droite », a dit Lash. « C’est subtil, et délibéré. On ne vous dit pas : “Voici notre rhétorique raciste, rejoignez-nous.” On vous murmure plutôt : “Ne préférez-vous pas cette vie simple, où vous pouvez subvenir à vos besoins, vivre en marge de la société, sans suivre les règles imposées par le gouvernement ?” »

Lisez la newsletter par Josephine Lethbridge 🔗 https://lesglorieuses.fr/femmes-traditionelles/

Les recommandations de la semaine de  :)-La série Long Story Short, disponible sur , suit l’histoire d’une famille à tra...
19/09/2025

Les recommandations de la semaine de :)

-La série Long Story Short, disponible sur , suit l’histoire d’une famille à travers plusieurs générations, explorant ses hauts, ses bas et les moments intermédiaires qui façonnent son identité.

-Le documentaire animé d'une des lectrices de la newsletter "Les filles, c’est fait pour faire l’amour" a été reprogrammé sur . Une plongée singulière et engagée sur le sujet, à ne pas manquer ! Voir le documentaire : https://www.france.tv/films/courts-metrages/5780778-les-filles-c-est-fait-pour-faire-l-amour.html

-Cet automne à Paris, de nombreuses expositions sont à découvrir :
Au avec Donna Gottschall et Hélène Giannecchini (Nous autres) et Carla Williams (Tendier) jusqu’au 16 novembre ;
à avec Les mondes de Colette du 23 septembre au 18 janvier ;
au avec Dans l’intimité d’une collection – Donation Decharme jusqu’au 21 septembre et les expositions Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hultén jusqu’au 4 janvier ;
à la .paris avec Marie-Laure de Decker jusqu’au 28 septembre ;
au avec Paula Padani (La danse migrante : Hambourg, Tel-Aviv, Paris) jusqu’au 16 novembre ;
au avec Anna Maria Maiolino jusqu’au 21 septembre ;
et au avec Vivian Suter, Thao Nguyen Phan, Chalisée Naamani, John Giorno, et Sharon Eyal Dance Compagnie jusqu’au 4 décembre.

-Le .festival, c’est l’événement féministe, familial et pluridisciplinaire de la rentrée ! Spectacles, concerts, ateliers, cabaret, performances, tables rondes, grand marché, comedy club… le tout pour tous les âges. Trois jours pour faire bouger les lignes sur l’égalité et faire la fête. Rendez-vous du 19 au 21 septembre au Point Fort d’Aubervilliers pour l’édition #6 !

Que signifie une porte violette ? Au Zimbabwe, beaucoup. C’est un refuge 🟪Au Zimbabwe, selon la Banque mondiale, en 2024...
17/09/2025

Que signifie une porte violette ? Au Zimbabwe, beaucoup. C’est un refuge 🟪

Au Zimbabwe, selon la Banque mondiale, en 2024, près de 39,4 % des femmes ont subi des violences physiques, et 11,6 % des violences sexuelles.

Que signifie “Purple Door” ? Les sages-femmes ont décidé de peindre les portes de leurs maisons en violet, les transformant en refuges. À l’intérieur, elles offrent désormais écoute, conseils et orientation vers la police ou des professionnels de santé mentale, selon les besoins de chaque survivante. Il y a des cas où leur soutien a également aidé les couples à modifier leurs comportements violents.

Dans cette édition de la newsletter, la journaliste Tafadzwa Mwanengureni explique comment, en 2023, , une organisation de soutien aux mères adolescentes, s’est associée à un groupe de sages-femmes traditionnelles d’Epworth pour lancer l’initiative “Purple Door” .

Pour en savoir plus, lisez la newsletter en cliquant sur le lien dans la bio ou commentez ici « Lire » et nous vous l'enverrons par mp.

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✨ Retrouvez toutes les newsletters réalisées en partenariat avec  !Cette année,  amsellem s'est entretenue avec les phot...
16/09/2025

✨ Retrouvez toutes les newsletters réalisées en partenariat avec !

Cette année, amsellem s'est entretenue avec les photographes et @ ainsi qu'avec la commissaire d'exposition à propos de leurs univers artistiques, de leurs inspirations et de leurs aspirations.

Lors des éditions précédentes, Rebecca s'était également entretenue avec les artistes , , , , , , , et .

Leurs réflexions sur l'art et ses représentations, leur parcours et leurs projets futurs, ainsi que leur vision de l'utopie féministe ont fait partie des échanges dans le cadre du prestigieux festival de photographie qui célèbre les idées en images depuis 1970.

👉 https://www.rencontres-arles.com/fr/mediatheque/index/?tp%5B%5D=flipbook&k%5B%5D=18

La newsletter Les Glorieuses est gratuite. Souhaitez-vous soutenir notre travail ? Nous vous remercions de faire un don....
15/09/2025

La newsletter Les Glorieuses est gratuite. Souhaitez-vous soutenir notre travail ? Nous vous remercions de faire un don.

On offre en septembre un carnet Les Glorieuses x Dirty Notes à toutes les personnes qui nous font un don de plus de 50 euros.

Votre soutien représente beaucoup 💜 lesglorieuses.fr/don

Les recommandations de la semaine par  !-Aller voir « Écriture allongée », l’exposition d’Anne-Marie Schneider à la .Ent...
14/09/2025

Les recommandations de la semaine par !

-Aller voir « Écriture allongée », l’exposition d’Anne-Marie Schneider à la .
Entre dessins, céramiques et peintures, l’artiste nous offre dans cette nouvelle exposition personnelle son exercice pour rester concentrée sur l’essentiel. Jusqu’au 25 septembre à la Galerie Michel Rein, 42 Rue de Turenne, 75003 Paris.

-On croit connaître les combats LGBTQIA+, et puis l’histoire de Florent, fondateur du compte militant (ou Claire Underwood), rappelle combien la vie peut surprendre. À 55 ans, frappé par un AVC qui l’a rendu aveugle et en chaise roulante, il vit désormais dans un Ehpad où ses plaisirs se limitent à écouter France Inter. Mais quand il parle de son activisme, tout semble - presque - revenir. https://agencekara.my.canva.site/dagth7m4ggw/ -vie-en-ehpad-01

-Le documentaire Louise Bourgeois, la sculpture et la colère
Plongez dans l'univers de Louise Bourgeois (1911–2010), figure majeure de l'art contemporain, avec ce documentaire captivant diffusé sur . À travers ses sculptures et ses écrits, Bourgeois explore les thèmes de la maternité, de l'intime et de la condition féminine, offrant une réflexion profonde sur l'identité et la mémoire. Disponible en streaming gratuit jusqu'au 10 octobre 2025. https://www.arte.tv/fr/videos/108480-000-A/louise-bourgeois-la-sculpture-et-la-colere/

Rebecca Amsellem a découvert le travail de Jane Evelyn Atwood grace à une exposition à la Maison Européenne de la Photog...
11/09/2025

Rebecca Amsellem a découvert le travail de Jane Evelyn Atwood grace à une exposition à la Maison Européenne de la Photographie en 2011, où la photographe états-unienne exposait des images de travailleuses du sexe de la rue des Lombards sans un regard paternaliste.

“Quand je fais des photos, je suis concentrée sur ce qu'il y a devant mes yeux. C'est sûrement prétentieux de le dire ceci mais la raison réside sans doute dans le fait que moi j’ai un grand respect pour ces femmes. Et c’est ce respect peut-être qui transparait dans mes photographies”, affirme Atwood dans la dernière newsletter.

Jane Evelyn Atwood a également photographié des personnes trans, notamment dans l'une de ses photos les plus célèbres : celle d'une femme transgenre allongée nue. “Pour moi, c’est l’une des plus belles images que j’ai jamais réalisées”.

🔗 Découvrez cette artiste fascinante sur lesglorieuses.fr/jane-evelyn-atwood/

Image : Femmes en prison, Providence City Hospital, Anchorage, Alaska, USA, 1993 @ Jane Evelyn Atwood

La photographe états-unienne Jane Evelyn Atwood vise, à travers ses images, à rendre visible cequi est souvent invisibil...
10/09/2025

La photographe états-unienne Jane Evelyn Atwood vise, à travers ses images, à rendre visible ce
qui est souvent invisibilisé. Elle a photographié des travailleuses du sexe ou des personnes trans, et
elle a également pris des photos en Haïti ou des personnes en prison.
L’appareil photo, dit-elle, lui a donné l’excuse et la légitimité nécessaires pour pouvoir entrer dans
ces lieux. Sa série sur Jean-Louis, la première personne séropositive en Europe à accepter d’être
photographiée, puis son travail sur les femmes en prison, ont été des chocs visuels et politiques,
remarque dans son interview.
“Tout part d’un sentiment de curiosité. Ensuite, je peux être enragée ou pas, selon les situations.
Dans les prisons, par exemple, j’étais souvent en colère, parce qu’il y avait tellement d’injustices. On
punit les gens en les enfermant, et après on les traite comme des chiens”.
L’une des images prises par Atwood a changé la loi aux États-Unis : il s’agit de la photo d’une
femme en prison en Alaska, en train d’accoucher dans des conditions inhumaines.
Lisez l’entretien sur www.lesglorieuses.fr

Image : Blondine, Rue des Lombards @ Jane
Evelyn Atwood

.paris

La photographe états-unienne Jane Evelyn Atwood vise, à travers ses images, à rendre visible ce qui est souvent invisibi...
10/09/2025

La photographe états-unienne Jane Evelyn Atwood vise, à travers ses images, à rendre visible ce qui est souvent invisibilisé. Elle a photographié des travailleuses du sexe ou des personnes trans, et elle a également pris des photos en Haïti ou des personnes en prison.

L'appareil photo, dit-elle, lui a donné l'excuse et la légitimité nécessaires pour pouvoir entrer dans ces lieux. Sa série sur Jean-Louis, la première personne séropositive en Europe à accepter d'être photographiée, puis son travail sur les femmes en prison, ont été des chocs visuels et politiques, remarque Rebecca Amsellem dans son interview.

“Tout part d’un sentiment de curiosité. Ensuite, je peux être enragée ou pas, selon les situations. Dans les prisons, par exemple, j’étais souvent en colère, parce qu’il y avait tellement d’injustices. On punit les gens en les enfermant, et après on les traite comme des chiens”.

L'une des images prises par Atwood a changé la loi aux États-Unis : il s'agit de la photo d'une femme en prison en Alaska, en train d'accoucher menottée dans des conditions inhumaines.

🔗 Lisez l’entretien - lesglorieuses.fr/jane-evelyn-atwood

Images : Femmes en prison, Providence City Hospital, Anchorage, Alaska, USA, 1993 @ Jane Evelyn Atwood / Jean-Louis, vivant et mourant avec le SIDA, août-septembre, Paris, France, 1987 @ Jane Evelyn Atwood

08/09/2025

Trop heureuses de vous retrouver !

Cette semaine, la newsletter Les Glorieuses reprennent leur place dans votre boîte mail, un espace pour penser autrement, questionner le monde et explorer des perspectives nouvelles.

Et parce que ce projet vit aussi grâce à vous : qui rêvez-vous de voir interviewer pour la 11e saison ?

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