Editions Alexandrines

Editions Alexandrines Nous sommes les créateurs, depuis 1997, d'une coll. de Géographie littéraire de la France.

Nos livres suivent les pas des grands écrivains dans leur région de naissance ou d'appartenance. Les vies des grands auteurs sont racontées par leurs plus éminents biographes et regroupées par 'pays'. Ces ouvrages emmènent nos lecteurs à la découverte "du génie des lieux et des lieux qui ont produit des génies". Derniers titres parus (2014) :
La Bretagne des écrivains
Le Nord des écrivains,
Le C

alvados des écrivains,
La Loire-Atlantique des écrivains
La Somme des écrivains

Tel : 01 45 44 21 40
Mail : [email protected]

28/03/2025

Editions Alexandrines - *|https://www. alexandrines.fr|*
"Le Paris de Lacan" est présenté le lundi 7 avril à 19h30 à la librairie Tschann,125 Bd du Montparnasse.
Son autrice, Clémence Tomberau, racontera sa démarche et ses recherches pour découvrir la vie parisienne du psychiatre. Nous serons heureux de vous recevoir en sa compagnie.

Editions Alexandrines -
26/03/2025

Editions Alexandrines -

17/11/2024
12/12/2023

Vue cette belle recension de Stéphane Guégan au sujet du « Paris des Goncourt » de Robert Kopp

« En dehors des « dîners Magny », où elle était la seule femme admise, à raison de l’hermaphrodisme de pensée, d’aspect, voire de morphologie, que ce cénacle masculin lui reconnaissait, Sand eut peu d’occasions de croiser les frères Goncourt. On se lisait, on s’estimait, plus qu’il n’est autorisé de le dire aujourd’hui. Mais la dame de Nohant, sous le Second Empire, bat la campagne plus que le pavé parisien, quand ses éditeurs ou les scènes théâtrales ne l’y appellent pas. Edmond et Jules souffrent eux d’une addiction contraire. La nature les éloigne de ses charmes quand la peinture de Daubigny ou de Corot ne la prend pas en charge, ils n’ont pas l’âme, ni le temps, d’explorer autre chose que la capitale, ses transformations plus ou moins heureuses, ses mœurs, des lorettes à la princesse Mathilde, ses journalistes prompts aussi à se vendre, ses cafés et ses restaurants bondés, autant de matériaux bruts nécessaires à leurs romans, mixtes d’exploration humaine sans précédent et d’écriture réaliste. Mais de quel réalisme procédaient-ils, eux qui préféraient Diderot à Rousseau, mais condamnaient Baudelaire ? « Poétiser » et « disséquer » la vie ne leur semblaient pas aussi antinomiques que ne le pensait Sand. Car Paris, nous rappelle Robert Kopp, au cours d’une passionnante promenade littéraire, fascine et horrifie nos compilateurs de « documents » et de papiers intimes. Ils étaient bien armés pour enregistrer l’évolution qu’ils déploraient. A mesure que se remplit le chaudron des impiétés du siècle, en tous sens, la ville tant aimée de Restif de La Bretonne et de Balzac faisait place au pandémonium des laideurs, morales et physiques, de l’âge moderne. Mais on ne quitte pas un bateau qui coule. Stephane Guégan
Le Paris des Goncourt, Éditions Alexandrines, 11€.

Stéphane Guegan commente « le Paris des Goncourt »par Robert Kopp, qui nous emmène vers « une passionnante promenade lit...
08/12/2023

Stéphane Guegan commente « le Paris des Goncourt »par Robert Kopp, qui nous emmène vers « une passionnante promenade littéraire …»
https://moderne.video.blog/2023/11/16/appelez-moi-france/

En dehors des « dîners Magny », où elle était la seule femme admise, à raison de l’hermaphrodisme de pensée, d’aspect, voire de morphologie, que ce cénacle masculin lui reconnaissait, Sand eut peu d’occasions de croiser les frères Goncourt. On se lisait, on s’estimait, plus qu’il n’est autorisé de le dire aujourd’hui. Mais la dame de Nohant, sous le Second Empire, bat la campagne plus que le pavé parisien, quand ses éditeurs ou les scènes théâtrales ne l’y appellent pas. Edmond et Jules souffrent eux d’une addiction contraire. La nature les éloigne de ses charmes quand la peinture de Daubigny ou de Corot ne la prend pas en charge, ils n’ont pas l’âme, ni le temps, d’explorer autre chose que la capitale, ses transformations plus ou moins heureuses, ses mœurs, des lorettes à la princesse Mathilde, ses journalistes prompts aussi à se vendre, ses cafés et ses restaurants bondés, autant de matériaux bruts nécessaires à leurs romans, mixtes d’exploration humaine sans précédent et d’écriture réaliste. Mais de quel réalisme procédaient-ils, eux qui préféraient Diderot à Rousseau, mais condamnaient Baudelaire ? « Poétiser » et « disséquer » la vie ne leur semblaient pas aussi antinomiques que ne le pensait Sand. Car Paris, nous rappelle Robert Kopp, au cours d’une passionnante promenade littéraire, fascine et horrifie nos compilateurs de « documents » et de papiers intimes. Ils étaient bien armés pour enregistrer l’évolution qu’ils déploraient. A mesure que se remplit le chaudron des impiétés du siècle, en tous sens, la ville tant aimée de Restif de La Bretonne et de Balzac faisait place au pandémonium des laideurs, morales et physiques, de l’âge moderne. Mais on ne quitte pas un bateau qui coule. SG / Robert Kopp, Le Paris des Goncourt, Éditions Alexandrines, 11€.

Il y a l’ombre de l’oubli, l’ombre du mépris, l’ombre du déni… Elles nous ont diversement écarté du roman sandien, maintenant réduit à quelques titres, souvent les plus champêtres. On ne peut se di…

Bel hommage hier, au Cercle Interallié, d’Amine Maalouf ( très ému) à Hélène Carrere d’Encausse On remarquait aussi de g...
07/12/2023

Bel hommage hier, au Cercle Interallié, d’Amine Maalouf ( très ému) à Hélène Carrere d’Encausse
On remarquait aussi de grands écrivains en dédicace : Emmanuel de Waresquiel, Sylvie Kaufman, Robert Kopp, Michael Edwards, Adrien Goetz…que recevait Monique Raimond, la présidente du comité du cercle littéraire.

"Le Paris des Goncourt" par Robert Kopp* en bonne place depuis le 1er novembre dans toutes les bonnes librairies (comme ...
17/11/2023

"Le Paris des Goncourt" par Robert Kopp* en bonne place depuis le 1er novembre dans toutes les bonnes librairies (comme par exemple La petite lumière, paris 14e) ou bien en commande sur notre site : https://www.alexandrines.fr/le-paris-goncourt/


* Grand connaisseur de leur vie, leur oeuvre, qui nous raconte avec vivacité et humour la vie à Paris de ces deux écrivains bougons, mauvaises langues et critiques du Tout Paris, couvrant presque un 1/2 siècle d’histoire de la France. Bonne lecture !

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129 Boulevard Saint Michel
Paris
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