PSCTV KAYI tv UNE CHAÎNE DÉDIÉE A LA CONSCIENTISATION DES MŒURS SUR TOUT LES SUJETS

06/08/2025

🎙️ PSCTV News
Titre : "Congo-Brazzaville face à l’intelligence artificielle : une nation larguée dans l’ère numérique"

> MFÛMÛ KAYI pour PSCTV News

Congolais, Congolaises, jeunesse de Brazzaville, de Pointe-Noire, de la diaspora, écoutez bien.

En 2025, alors que le monde avance à une vitesse fulgurante, au moins 99 % des Congolais ne savent pas ce qu’est ChatGPT, ni ce que représente l’intelligence artificielle. Et ce n’est pas une exagération. C’est une réalité brutale.

Le gouvernement ? Complètement largué.
Ministres, députés, même le président Denis Sassou Nguesso, et le maquisard Frédéric Bintsamou alias Pasteur Ntumi, qui fait semblant de se présenter à la présidentielle… Aucun d’eux n’est capable d’expliquer comment fonctionne l’intelligence artificielle. Ils ne comprennent pas les enjeux du numérique. Ils ne savent pas comment le monde évolue. Ils font du bruit dans les médias, se prennent pour des intellectuels, mais ils ne maîtrisent rien.

Ils donnent l’illusion d’être des dirigeants modernes, capables de relever les défis du XXIe siècle. Mais la vérité ? Ils sont dépassés. Prisonniers d’une vieille matrice : celle des slogans creux, des discours vides, du verbiage. "Votez pour moi", "Sassou doit partir", "Nous souffrons". Toujours les mêmes refrains. Mais aucune vision. Aucun projet. Aucun cerveau connecté à la réalité technologique.

Et la jeunesse ? Elle est en train de suivre le même chemin.
Les anciennes générations ont transmis un héritage toxique : le culte de la sape, le rêve de voyager, la quête de nationalité occidentale, la sorcellerie, l’hypocrisie, la jalousie, la haine. Tout sauf le savoir. Tout sauf l’innovation.

Aujourd’hui, le Congo est en re**rd sur tous les plans : éducation, technologie, gouvernance, vision stratégique. Le savoir est là, accessible à tous, mais les Congolais restent bouche fermée devant les nouvelles innovations. Ils ne comprennent pas que l’intelligence artificielle n’est pas un luxe, mais une nécessité. Une arme pour libérer les esprits, pour créer, pour transformer le pays.

Jeunesse congolaise, il est temps de se réveiller.
Il est temps de sortir de cette matrice. De refuser l’héritage de la bêtise. De se connecter au monde réel. De comprendre que le futur se construit avec des idées, pas avec des slogans.

Il faudra peut-être trois ou quatre générations pour changer de paradigme. Mais ce changement commence maintenant. Avec toi. Avec moi. Avec nous.

Le Congo mérite mieux. Le Congo peut mieux. Le Congo doit mieux.

05/08/2025

Ah le Congo, toujours des scénarios dignes d’un feuilleton ! Une ministre qui se laisse photographier dans des poses romantiques avec un soi-disant président de la République… c’est pas un gouvernement, c’est une télénovela 🤣📸💋 On dirait le casting d’un remake de Amour, Gloire et Politique 😆🎬

Franchement, même Netflix n’oserait pas scénariser ça… et pourtant, c’est bien réel 😭😂 Quelle époque mes amis !

Ni Frédéric Bintsamou alias pasteur Ntumi  ni Denis Sassou Nguesso ou un autre  leaders dans la diaspora et Congo-Brazza...
04/08/2025

Ni Frédéric Bintsamou alias pasteur Ntumi ni Denis Sassou Nguesso ou un autre leaders dans la diaspora et Congo-Brazzaville ne peut relever des défis du futur technologique car ils sont tous dépassés de l'évolution et des innovations .

03/08/2025

🧠 Changer les mentalités avant de changer les dirigeants : une urgence nationale

Avant de penser au changement des dirigeants, il est fondamental de transformer les mentalités. C’est là où tout commence. Malheureusement, le constat est amer : au Congo-Brazzaville, les mentalités régressent chaque jour, de génération en génération.

Une grande partie de la population, des citoyens aux élites politiques, est profondément complexée par l’Occident. L’image de réussite est désormais liée au fait de voyager, d’obtenir des papiers étrangers, ou même d’avoir une nationalité occidentale. Pour beaucoup, ce sont les seules échappatoires face à un pays perçu comme un enfer.

Les discours des dirigeants sont souvent centrés sur des contrats signés avec les grandes nations, promettant innovation et développement. Mais cette fascination pour l’étranger dépasse l’économie : elle touche aussi la vie personnelle. Se soigner à l’étranger, scolariser ses enfants ailleurs, vivre sous d’autres cieux... C’est devenu un symbole de réussite, même pour les membres du gouvernement.

Le pire, c’est que cette mentalité nourrit un orgueil déplacé. Une fois régularisés dans un pays occidental, certains Congolais se vantent avec des phrases comme : « Bana na ngai ba botama na poto », « Nga naza na mikanda », « Mwana ya poto ya kala ». L’arrogance s’installe, les insultes fusent sur les réseaux sociaux, et l’esprit de communauté se délite.

Même les ministres et députés reproduisent ce schéma. Dans l’imaginaire collectif, l’Occident devient le seul modèle capable d’apporter développement et intelligence. Créer, inventer, se développer par soi-même semble inimaginable.

Sous la gouvernance de Denis Sassou Nguesso, un homme du passé dépassé par les technologies modernes, cette mentalité est entretenue. Tant que les Congolais restent ignorants, le pouvoir reste intact. L’ignorance devient un outil de contrôle : plus les citoyens sont surpris par l’innovation, plus ils s’extasient devant les « mayele ya mundele ».

Les conséquences ? Plagiat, jalousie, sorcellerie, bruits vides sur les réseaux sociaux, et un engagement factice sur des causes creuses. Le véritable changement commence par une révolution des mentalités. Il faut purifier cette génération abrutie, corrompue et enfermée dans de faux paradigmes.

Les Congolais doivent comprendre que Denis Sassou Nguesso, Frédéric Bintsamou alias pasteur Ntumi, et d’autres figures de ce système incarnent le passé et le sous-développement.

La jeunesse congolaise doit prendre conscience. Le réveil est urgent.
— MFÛMÛ KAYI pour PSCTV

01/08/2025

Introduction pour ton podcast :

Dans les premières années de l’indépendance du Congo, une voix s’élève pour guider, rassurer et parfois bousculer. Celle du président Fulbert Youlou, premier chef d’État du Congo-Brazzaville. À travers ses mots, c’est une époque qui parle, une vision qui s’impose, et une histoire qui s’écrit.

Voici un message du président Fulbert Youlou.

31/07/2025

📰 PSCTV NEWS – ÉDITION SPÉCIALE : DÉCOLONISONS LES TERMES, RÉVÉLONS LES NOMS VÉRITABLES
“BANTU” ET “BATÉKÉ” : LES NOMS IMPOSTEURS QUI ONT DÉFORMÉ NOTRE HISTOIRE
Voici pourquoi nous ne sommes ni des "Bantous", ni des "Tékés".
✍🏿 Par PSCTV – Pour une parole africaine libérée
Depuis des siècles, les peuples africains sont nommés à travers des filtres étrangers. Des mots comme “Bantu” ou “Téké” ont été imposés, adoptés de force dans les cartes, les livres d’histoire, les universités. Mais derrière ces mots, il y a des erreurs profondes, des incompréhensions linguistiques, et parfois même des tentatives de division.

PSCTV prend aujourd’hui la plume pour corriger, réinformer et restaurer les vraies identités.

❌ “BANTU” : UNE ERREUR FABRIQUÉE PAR LES COLONS, PAS UNE IDENTITÉ
Le mot "Bantu" n’a jamais désigné un peuple.

Il provient d’une confusion linguistique : lors d’un échange entre un colon et un locuteur de langue Kongo, une question a été posée :
👉 "Qui sont ces gens ?" — (Bo ba na ?)
👉 Réponse : "Ce sont des gens venus d’ailleurs." — (Bo bantu ba tukidi kwa kaka.)

Mais les Européens, incapables de comprendre la structure des langues africaines, ont isolé le mot "bantu" en croyant qu’il désignait un peuple.
Ce qui n’était qu’un élément grammatical normal (ba-ntu = les gens) est devenu une étiquette ethnique, puis une classification racialo-linguistique arbitraire.

🚫 Ce que le terme “Bantu” a provoqué :
Une uniformisation artificielle de centaines de peuples distincts.

L’effacement des identités véritables : Kongo, Lari, Luba, Fang, Sundi, Anziko, etc.

Une confusion entre langue, culture et peuple, à travers une logique coloniale.

📜 ANZIKO, PAS "TÉKÉ" : UNE TRAHISON DEVINT UN SOBRIQUET
Le mot “Téké” est lui aussi une erreur coloniale, mais plus grave encore : c’est un sobriquet historique né d’un conflit tragique.

Le véritable nom de ce peuple est les Anziko — une nation africaine forte, indépendante, établie bien avant les invasions européennes.

Mais au moment de la célèbre bataille d’Ambwila (1665), un conflit éclate entre les peuples Kongo et les Anziko, suite à une trahison politique au profit des Portugais.
Les Anziko, impliqués dans cet affrontement, sont ensuite surnommés par dérision "Batékéla ku Nvita" — littéralement : "ceux qui ont été battus/compromis dans la guerre."

👉 Ce surnom, transformé plus t**d en "Téké", fut transmis par les colons et répété jusqu’à aujourd’hui, au point d’effacer le nom originel : Anziko.

🛑 PSCTV RESTAURE LES NOMS, LES DIGNITÉS, LES MÉMOIRES
Il est temps de corriger ces falsifications :

Nous ne sommes pas des “Bantous”. Ce mot est une construction erronée.

Nous ne sommes pas des “Tékés”. Nous sommes les Anziko, peuple libre et ancien.

L’Afrique n’a pas besoin de noms fabriqués pour exister : elle a ses langues, ses peuples, ses archives orales, sa mémoire.

✊🏿 “Nous sommes Kongo, Anziko, Lari, Luba, Sundi. Nous ne sommes pas des catégories coloniales.”
PSCTV appelle à :

Enseigner les vrais noms dans les écoles africaines,
Corriger les livres d’histoire, les encyclopédies, les dictionnaires,

Redonner la parole aux gardiens des langues et des traditions africaines.

🗣️ “Il ne s’agit pas de rejet du passé, mais de réparation de la vérité. Les mots sont des armes, et il est temps de les reprendre.”

📣 PSCTV NEWS

Kuyiri
29/07/2025

Kuyiri

28/07/2025

COMMUNIQUÉ OFFICIEL À L’ATTENTION DE LA DIASPORA CONGOLAISE

Objet : Vigilance face à des infiltrations malveillantes dans les communautés de la diaspora

La diaspora congolaise, pilier de la mémoire collective et moteur du changement, est aujourd’hui confrontée à un défi silencieux : la présence dissimulée de certains anciens acteurs des conflits armés du Congo-Brazzaville, notamment de la région du Pool.

🔎 Profils et inquiétudes :
Des individus ayant appartenu à des milices telles que les Cobras, Ninjas, Cocoyes, et autres factions liées à des épisodes sombres de notre histoire nationale se présentent aujourd’hui comme des exilés politiques. Certains seraient responsables de tortures, assassinats ou empoisonnements, et se réfugient dans des pays tels que le Canada, les États-Unis ou des États d’Europe, fuyant toute confrontation avec leur passé.
🎭 Manipulation et stratégie :
Beaucoup de ces personnes endossent désormais des rôles de “leaders d’opinion” ou de “résistants”, infiltrant les milieux communautaires avec pour mission de :
- Semer la confusion par la désinformation
- Écarter les voix légitimes de la lutte
- Réhabiliter leur image à travers des récits victimaires
🚨 Appel à la conscience :
La diaspora est invitée à faire preuve de prudence et de discernement. Derrière certains discours militants peuvent se cacher des intentions contraires aux valeurs de justice et de vérité. N’oublions jamais que ceux qui ont semé le chaos cherchent parfois à redevenir visibles… sous d’autres visages.

PSCTV News

20/07/2025

Réintégrer les bourreaux : quand la violence cherche sa légitimité**
🛑 Proverbe lari : *Mutu wo Wonda ka ka ba mu shikirila ko*
_"Celui qui a déjà tué ne peut plus être digne de confiance."_
Ce proverbe ancestral résonne avec force dans le contexte du Congo. Car aujourd’hui, ceux qui s’agitent bruyamment autour de la figure de Frédéric Bintsamou, alias Pasteur Ntumi, sont pour la plupart des anciens Ninjas Nsiloulou — des combattants impliqués dans le conflit du Pool. Peu importe qu’ils affirment avoir protégé la région ; lorsque l’on a tué, on ne peut prétendre incarner la paix.
Ils revendiquent, s’expriment sans retenue sur les réseaux sociaux… mais ce sont avant tout des criminels de guerre. En temps normal, ces individus devraient être encadrés par des psychologues, non pas réintégrés dans l’armée. Cette idée de “réincarnation” des ex-combattants dans les rangs militaires est propre au Congo — une anomalie qui tente de légitimer la violence sous prétexte de rédemption.
Les crimes passés ne peuvent être effacés par la propagande. La version “Docteur Misonsa” de Ntumi, même arrangée politiquement, ne peut justifier l’effacement des responsabilités. D’un point de vue moral et républicain, son parti politique devrait être exclu de la scène nationale.
PSCTV NEWS

16/07/2025

Oh! BITOUMBA Kongoia André Masbaye ! Franchement c'est un Nom Congolais de BZ ça ?en plus il se fait passer pour Lari ! Complexés de l'ethnie des gens..

13/07/2025

Bon Dimanche

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