
24/07/2025
Je suis cette mère qui tient son enfant.
Et ne me demandez pas ce que fait cette publication sur linked in.
Elle nous concerne tous !
On m’a appris que les présidents étaient élus pour nous gouverner, nous protéger, prendre des décisions justes et courageuses, surtout quand l’humanité est menacée.
On m’a appris qu’il existait des institutions internationales qui veillaient à l’équilibre du monde, à la paix, à la dignité humaine.
Mais ce qu’on voit aujourd’hui en Palestine, ce qu’on endure en tant qu’êtres humains témoins de l’horreur, c’est un crachat au visage de cette promesse-là.
Des enfants meurent. Des parents enterrent leurs petits. Des hôpitaux sont détruits. Des civils sont massacrés. Et la réponse de ceux qu’on appelle « puissants » ? Des silences, des demi-mots, des mains dans les poches. Et des discussions. Toujours des discussions. À croire qu’ils attendent qu’il ne reste plus aucun Palestinien pour conclure qu’il y a eu problème.
Je le dis avec force : si vous ne protégez pas les peuples, alors vous ne méritez pas de les diriger.
Les mandats n’ont de sens que s’ils s’accompagnent de courage.
L’humanité crie, mais ses dirigeants dorment. Il ne s’agit plus d’un conflit, il s’agit d’un massacre.
Honte à ceux qui détournent le regard. Honte à ceux qui bloquent les publications. Honte à ceux qui filtrent les algorithmes pour faire taire la vérité.
Sur mon Instagram quand je poste pour parler de frites, de maillots de bain et de vacances, j’ai plus de 30.000 vues. Quand je parle de la Palestine, ça bloque à 2000 !
Aujourd’hui, la question n’est pas géopolitique. Elle est morale.
Et si vous n’avez pas le courage d’agir, alors retirez-vous. Parce que votre lâcheté ne protège plus personne, pas même vous.